LIRE EN POCHE

Lire en Poche

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Pour sa 12ème édition, Lire en Poche se penche sur les sentiments d’amour et de haine. 
Une édition parrainée par PEF, le célèbre auteur du Prince de Motordu, entouré d’une centaine d’auteurs français et étrangers, en particulier un événement avec la présence de Marc Levy mais aussi R.J Ellory, Philippe Delerm, Agnès Desarthe, Gilles Kepel, Sylvain Tesson, Véronique Ovaldé, Lionel Duroy, Léonor de Récondo…
” Ce thème 2016 est sans nul doute un des plus grands sujets dans l’histoire des Belles Lettres, allant de l’amour d’un couple, l’amour intergénérationnel, l’amour-amitié et leurs multiples corollaires (construction de soi, solidarité, élans religieux, passions, coups de foudre et vies bouleversées) jusqu’à son opposé, la haine, celle de l’autre, la rupture amoureuse, mais aussi la destruction de soi, voire la folie.
Une thématique qui viendra irriguer la programmation du salon, de manière directe (par exemple un débat autour de la littérature sentimentale, une conférence philosophique sur l’amour, des spectacles autour des textes de Léonor de Récondo, Brigitte Giraud ou Joël Pommerat…) ou plus indirecte (rencontres avec Gilles Kepel et la haine prônée par l’islam radical, avec Sylvain Tesson et son amour du voyage et de l’ailleurs, ou avec Philippe Delerm et sa passion de la langue française).
L’amour et la haine, deux sentiments puissants, deux révélateurs des comportements humains, qui se déclinent dans l’amour ou la détestation pour un pays, un territoire, une idée, dans une haine réduite à sa simple expression d’antipathie, ou devenant répulsion, aversion, voire violence extrême.
De Marc Levy et ses personnages mis à l’épreuve des sentiments, aux sombres destins de ceux des romans noirs et policiers de Qiu Xiaolong, en passant par les émois enfantins en littérature jeunesse ou les vies bouleversées des fictions d’Agnès Desarthe, Milena Agus, Eric Reinhardt, Véronique Ovaldé ou David Vann, Lire en Poche réunira une centaine d’auteurs, de tous les horizons, pour tous les publics, et en gardant au cœur du salon… l’amour du poche !”
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