Le premier single ultra-sensuel et hypnotique de HOMA, “The Taste of Old Times » est sorti le 27 octobre 2017 chez Simple (Sony Music). Annonçant la couleur du mini LP à paraitre le 23 mars, HOMA y dévoile sa voix : la musique sans parole du premier EP a laissé place aux chansons, quelque part entre Robert Wyatt et MGMT, Jean-Michel Jarre et Phoenix.
Entre univers rétro-futuriste assumé, langueur estivale, efficacité pop et questionnement métaphysique, la musique de HOMA s’adresse à chaque partie de votre être, le corps comme l’esprit.
Pour connaître un peu mieux qui se cache derrière ce patronyme, voici quelques informations essentielles : Alexandre Barberon est né de parents français à Port Chester, dans l’État de New York, le 18 mars 1985.
En 1988, à l’âge de trois ans, il s’ouvre le crâne sur un pot de fleurs pendant la leçon de musique de sa soeur : le téléphone à cadran sur lequel sa mère tente désespérément de pianoter 9-1-1 se couvre de sang tandis que les sirènes de l’ambulance font bientôt écho aux accords suspendus du piano, couvrant les plaintes de sa voix naissante.
Premier choc esthétique, première performance live.
En 2002 il fonde le groupe pop/rock “In furs”, aka “Ellen pears”, puis “Ranelagh” en 2005, bon, mais surtout, à partir de 2006, il plonge avec la ferveur des néo convertis dans l’étude de la musique classique. D’abord avec Sylvie Carbonel, puis avec Jeanine Boutin, pianiste-concertiste et élève de Messiaen. Il tombe amoureux de Scriabine. Alexandre devient un pianiste accompli à la sensibilité nourrie d’une grande culture musicale.
Sa rencontre en 2013 avec Etienne de Nanteuil (Octopus Production / Les Editions du Poulpe) signe le début du projet HOMA. En 2015 sort Google Only Knows, son premier EP, quasi intégralement instrumental. Les prémices du son HOMA sont déjà là.
La suite se joue au présent avec la sortie d’un premier album déjà salué par la critique, à découvrir avec les deux extraits vidéo The Taste of Old Times et Maybe I Forgot what we Said.
|