Affaire Éliane KABILE

Affaire Éliane KABILE

organe

Thierry Kabile
33, rue Danton
92300 Levallois-Perret
Levallois, le 31 Décembre 2015,
Monsieur le Président de la République
Palais de l’Elysée
55, rue du Faubourg Saint Honoré
75008 Paris
LRAR
Copie : Mme Christiane Taubira, Mme Marisol Touraine, M. Manuel Valls
Maître Bernard Grelon, Maître Dominique Kounkou, Maître Béatrice Arboux
Objet: Affaire Éliane KABILE
Monsieur François Hollande, Président de la République.
Attentif aux voeux que vous venez de formuler aux Français dont je pense en faire partie,
mon attention était très forte lorsque vous avez émis le voeu de protéger chaque Français.
J’ai également été très sensible à l’hommage public que vous souhaitiez rendre aux victimes
ainsi qu’aux familles endeuillées des attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan.
Ma famille et moi-même avons doublement été marqués par ces drames, nous dont notre
mère a été victime d’un meurtre dans un hôpital en France pour lui voler ces organes, dont
nous savons aujourd’hui que ces personnes qui protègent fortement ces médecins nous
obligent à nous poser cette questions macabre mais légitime qui est de savoir si ces
médecins ont eu également l’autorisation de faire leur marché macabre sur les victimes de
ces attentats.
C’est pour cette raison, que je sollicite votre haute bienveillance, pour vous informer de faits
extrêmement graves, dont ma famille et moi-même sommes victimes depuis quinze ans
dans le pays des droits de l’homme, porteur des droits universels.
Le 27 Décembre 2000, notre Mère, Eliane Kabile entre à l’hôpital pour une simple douleur
au mollet. Non, seulement, elle n’en ressortira pas vivante de cet hôpital, mais son corps ne
sera jamais retrouvé.
Aujourd’hui nous les enfants Kabile, nous nous battons pour la manifestation de la vérité.
Nous nous battons car notre Mère n’est pas morte dans un attentat terroriste, ni dans un
naufrage en pleine mer, mais dans un hôpital public français, protégé par les principes
républicains, dont vous être le garant.
Dans un pays de droit, nous nous sommes vus refuser la veillé funéraire que nous avions
organisée suite à une exhumation des plus douteuses car sans fondement légal, puisque ni la
famille ni un représentant légal n’a pu assister à cette exhumation dont l’horaire était prévu à
8 h 30 mais qui s’est déroulé à 6 h 30 en dehors des heures légales comme l’indique le
document des fonctionnaires qui ont effectué cette tâche.
Mais pour une raison que nous les enfants Kabile ignorons, l’article de loi R2213-40, tout
comme la veillée funéraire, ne concernent pas ma famille, pourtant Française avec un grandpère
qui s’est battu en tant que militaire pour notre France trente années de sa vie.
La veillée funéraire est autorisée pour un criminel en prison mais pas pour nous, les enfants
Kabile. Pour nous, comme l’estimera la justice, ce sera une amende de 15 000 euros.
Quant à l’avocat, pour avoir osé nous représenter, il subira des menaces sur sa vie et
aujourd’hui une mise à pied d’un an pour avoir résisté dans cette procédure.
Toute cette injustice alors que nous avons dans nos mains toutes les preuves que notre
maman a été précipitée vers la mort pour alimenter un commerce de trafic d’organes.
Aujourd’hui nous nous retrouvons avec trois actes de décès pour notre maman qui n’est
morte pourtant qu’une seule fois, un seul jour, à une seule heure et non à trois moments
différents comme l’indiquent les trois actes de décès.
Malgré l’amende de 15 000 euros pour abus de procédure, nous avons de nouveau saisi la
justice, dont le devoir est de nous répondre sur ces trois actes de décès.
La réponse du Procureur de la République, de l’Agent Judiciaire de l’État et du Juge devant
ces trois actes, présentés comme des nouvelles pièces est une prescription, suivi de la mise à
pied de notre Avocat Maître Dominique Kounkou.
Tout cela pour ne pas répondre aux trois actes de décès.
Plus grave la Juge se permet de manipuler le verbe pour couvrir la date d’autopsie qui a eu
lieu le 16/02/2001 comme la indiqué l’expert de la cour qui s’est basé sur la réquisition du
Procureur de la République et elle va mentir en donnant la date du 20/02/2001 pour
l’autopsie.
Toute cette démarche pour couvrir un réseau criminel de trafic d’organes humain.
En effet datant l’autopsie au 20/02/2001, on peut comprendre que les corps (au nombre de
deux) dont la date de réquisition de transport, le 19/02/2001, aient subi une autopsie le
20/02/2001. Mais comme l’indique l’expert c’est le 16/02/2001 que s’est pratiqué l’autopsie
et les réquisitions de transports portent la dates du 19/02/2001 !
Cet élément démontre de façon indiscutable que l’autopsie du 16/02/2001 qu’ils ont toujours
faite passé comme étant celle du 20/02/2001 ne peut au aucun cas être celle de notre
maman.
Pour toutes ces raisons nous vous sollicitons pour répondre sur ces injustices qui mettent en
péril le droit dans un pays de droit protégé par des principes républicains.
Nous, les enfants Kabile, attendons une réponse de votre part.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma très haute
considération.
Thierry KABILE
PS : la présente et sa réponse attendue seront intégralement publiées dans le livre à paraître
prochainement sur cette affaire, en français, anglais et russe.
Pièce jointe : citation directe de M. Jean Maïa devant la 11ème chambre correctionnelle,
prochaine date le 11 janvier 2015.

” Le journal attend également une réponse ainsi que tous les futures électeurs des présidentielle “

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