Le nouveau Carmen Souza arrive sur W3, encore une merveille de plus 🙂 CARMEN SOUZA & THEO PASCAL Epistola Sortie le 22/09 (Galileo / Harmonia Mundi) Concert au New Morning, Paris, le 30 septembre Carmen et Theo seront à Paris les 9, 10 & 12 septembre pour des interviews Egalement en concert le 11 septembre à Besançon, le 9 décembre à Carquefou, le 21 janvier 2016 à Toulouse, le 22 janvier 2016 à Saint Barthélémy d’Anjou… Après six albums acclamés par le public et la critique, Carmen Souza et Theo Pascal sortent Epistola, « une lettre ouverte à quiconque est avide de nouvelles expériences musicales». Enregistré entre Londres, Lisbonne et New York, le disque Epistola présente un groupe renouvelé avec le batteur anglais Shane Forbes (du groupe Empirical), des musiciens de New York (Matt King au piano et Craig Yaremko au saxophone et à la clarinette) ainsi que le jeune batteur Zoe Pascal. Ce nouvel album inclut huit chansons originales de Souza & Pascal, Moonlight Serenade de Glenn Miller, Cape Verdean Blues d’Horace Silver (sur lequel elle a écrit les paroles) et Mira Me Miguel, une chanson traditionnelle du Nord Est du Portugal. Ces douze dernières années, Carmen Souza et Theo Pascal ont développé leur propre son sous le seul nom de « Carmen Souza », mené par la voix incroyable de Souza, ses paroles profondes, engagées, sur des compositions et arrangements originaux de Theo Pascal. Une délicieuse recette mêlant racines africaines/capverdiennes, jazz (la « recette du succès » selon le magazine Downbeat), recevant les faveurs à la fois du public et de la presse jazz et world, partout dans le monde. Pour ce nouvel album, Carmen Souza souhaitait être présentée avec Theo Pascal qui a été le premier à découvrir et à croire en son talent et qui a toujours été derrière elle comme un mentor, compositeur, producteur… Leurs influences transparaissent tout au long de l’album, on peut citer pêle mêle : Charles Mingus, Thelonious Monk, McCoy Tyner, Fela Kuti, Carlos Paredes, Hermeto Pascoal, Ornette Coleman, John Coltrane, etc. Mais ce qui reste le plus important est de créer leur propre voix, leur propre identité et cela n’est possible qu’en s’écoutant soi même… Ils aiment appeler ce son unique du « jazz organique ». |
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