BOULE infos concerts

BOULE

Boule
Nouvel album Appareil Volant Imitant L’Oiseau Naturel
Déjà disponible chez Cholbiz / L’Autre Distribution
Boule est de retour avec son nouvel album Appareil Volant Imitant L’oiseau Naturel, Avion autrement dit ! Boule, c’est comme une évidence qui en dit court sur les idées longues de cet artiste fantasque à la plume aiguisée.
Ses chansons promènent le public dans un univers où jeux de mots rivalisent avec tendresse pour faire passer les cruautés du quotidien. Avec sa guitare et sa gueule d’atmosphère, Boule réjouit le cœur et l’esprit. Un peu clown, vraiment classe, Boule a un charme singulier, léger et piquant. Il raconte au fil de ses chansons le parcours d’un artiste en route vers le succès.
A travers des anecdotes autobiographiques, il propose un récit détaillé, entre humour et émotion. Avec ses chansons poétiques, parfois surréalistes, un jeu de guitare précis et riche en influences (Brésil, Irlande, Grèce,…), le musicien s’impose comme un auteur compositeur à découvrir de toute urgence. Après avoir dévoilé le clip de L’ours polaire, Boule nous offre la vidéo d’Avion en duo avec Jeanne Rochette, qui donne le titre au nouvel album.
Pour regarder et diffuser le clip d’Avion (avec Jeanne Rochette) :
 
Boule est le diminutif de patronyme Cédrik Boulard. Même s’il est coutumier d’échappées, tout le ramène à Rouen. Une ville dont les souvenirs jaillissent à chaque coin de rue et qui reste son point de chute en toutes circonstances.
L’enfance, d’abord. Sa grand-mère lui offre sa première guitare achetée au supermarché. Il a huit ans et ne sait pas encore que l’instrument deviendra son plus fidèle allié. Au collège, il découvre Les copains d’abord et ne sait pas, là encore, qu’il décrochera bien plus tard le Grand Prix Georges Brassens.
C’est alors qu’intervient Sanseverino. Au cours d’une édition du feu festival Le rock dans tous ses états à Évreux, Boule lui remet une maquette. Sanseverino le rappelle, le prend sous sa coupe, l’invite à effectuer ses premières parties. Parrainage artistique doublé d’une amitié solide. Cette rencontre fait sauter les verrous, l’encourage à autoproduire son premier album (Chansons vaches, 2006), et d’arpenter les routes hexagonales sans autre souci que d’être livré à lui-même.
Au même titre que Thomas Fersen, avec qui il partage un goût prononcé pour le bestiaire, Boule a l’art de raconter des histoires. Ancrées dans la tradition réaliste, ses chansons n’en oublient pas pour autant d’être de leur temps. Il y a aussi ses références à des personnages illustres comme Fantômas et Landru. Concernant le second, il lui a même consacré un spectacle pour lequel il a tourné pendant plus d’un an et demi.
Ce nouvel album au titre acronyme, Appareil Volant Imitant L’oiseau Naturel, s’ouvre vers l’extérieur. Un acte artistique prégnant pour quelqu’un contraint jusqu’alors de devoir gérer toutes les étapes de la création. Aux manettes, on retrouve le duo Robin Leduc – Cyrus Hordé (Gauvain Sers, Revolver) qui installent le chanteur dans un écrin classieux et minimaliste, offrent de discrètes percées électroniques et font preuve de la précision adéquate pour servir cette voix si singulière.
Boule, lui, s’envole en duo avec Jeanne Rochette pour « abandonner là les hommes indolents et le désordre structurel » (Avion), joue de l’ironie du macabre (Tout le monde), assume sans complexe ses retards à répétition (Je prends le temps), incarne l’homme bipolaire (Bicéphale) et le bienveillant conscient de la méchanceté gratuite (L’ours polaire), se cogne à un indifférent de la beauté du monde (Les pizzas), invente un territoire pour les puissants qui se gavent à outrance (Welcome in Hippopotamie, avec Lucrèce Sassella). Et quand il se remémore son ami d’enfance, le traitement impulsé devient universel. Parce qu’on a tous connu un Franckie. Un disque que l’on savoure sur la durée et qui tient.
Prochains concerts :
06/07 DOIGNIES (59) Les Scènes du Haut Escaut
08/07 PARIS (75) L’Auguste Théâtre
09/07 SAINT PAIR SUR MER (50) Les Renk’arts
12/07 LE BLANC (36)
25/07 au 02/08 ROUEN (76) Un soir au Jardin, l’Orangerie du Jardin des Plantes
Boule
Nouvel album Appareil Volant Imitant L’Oiseau Naturel
Disponible chez Cholbiz / L’Autre Distribution
Boule nous revient avec son second album Appareil Volant Imitant l’Oiseau Naturel et une vaste tournée. Aux manettes, on retrouve le duo Robin Leduc – Cyrus Hordé (Gauvain Sers, Revolver). À travers des anecdotes autobiographiques, Boule propose un récit décalé entre humour et émotion. Comme à son habitude, il pose un regard amusé et tendre à la fois sur les humains. Des chansons poétiques, parfois surréalistes, un jeu de guitare précis et riche en influences (Brésil, Grèce, Irlande…) porté par un ton original et réjouissant. De quoi colporter la bonne nouvelle : Boule est incontournable et son Appareil Volant Imitant L’Oiseau Naturel vaut le détour.
Chez Boule, on aime le verbe irrévérencieux et les mots aiguisés, la galerie de portraits décapants et d’observations lucides. Une chanson de Boule, ce sont des personnages à la marge, les décalages qui s’en dégagent.
Ce nouvel album au titre acronyme, Appareil Volant Imitant l’Oiseau Naturel, ouvre vers l’extérieur. Il installe le chanteur dans un écrin classieux et minimaliste, offre de discrètes percées électroniques et fait preuve d’une précision adéquate pour servir au premier plan cette voix si singulière.
Avec L’ours polaire, premier extrait du nouvel album, Boule incarne le bienveillant conscient de la méchanceté gratuite. A découvrir en vidéo.
Pour regarder et diffuser le clip de L’Ours Polaire :
 
Boule est le diminutif de patronyme Cédrik Boulard. Même s’il est coutumier d’échappées, tout le ramène à Rouen. Une ville dont les souvenirs jaillissent à chaque coin de rue et qui reste son point de chute en toutes circonstances.
L’enfance, d’abord. Sa grand-mère lui offre sa première guitare achetée au supermarché. Il a huit ans et ne sait pas encore que l’instrument deviendra son plus fidèle allié. Au collège, il découvre Les copains d’abord et ne sait pas, là encore, qu’il décrochera bien plus tard le Grand Prix Georges Brassens.
C’est alors qu’intervient Sanseverino. Au cours d’une édition du feu festival Le rock dans tous ses états à Évreux, Boule lui remet une maquette. Sanseverino le rappelle, le prend sous sa coupe, l’invite à effectuer ses premières parties. Parrainage artistique doublé d’une amitié solide. Cette rencontre fait sauter les verrous, l’encourage à autoproduire son premier album (Chansons vaches, 2006), et d’arpenter les routes hexagonales sans autre souci que d’être livré à lui-même.
Au même titre que Thomas Fersen, avec qui il partage un goût prononcé pour le bestiaire, Boule a l’art de raconter des histoires. Ancrées dans la tradition réaliste, ses chansons n’en oublient pas pour autant d’être de leur temps. Il y a aussi ses références à des personnages illustres comme Fantômas et Landru. Concernant le second, il lui a même consacré un spectacle pour lequel il a tourné pendant plus d’un an et demi.
Ce nouvel album au titre acronyme, Appareil Volant Imitant L’oiseau Naturel, s’ouvre vers l’extérieur. Un acte artistique prégnant pour quelqu’un contraint jusqu’alors de devoir gérer toutes les étapes de la création. Aux manettes, on retrouve le duo Robin Leduc – Cyrus Hordé (Gauvain Sers, Revolver) qui installent le chanteur dans un écrin classieux et minimaliste, offrent de discrètes percées électroniques et font preuve de la précision adéquate pour servir cette voix si singulière.
Boule, lui, s’envole en duo avec Jeanne Rochette pour « abandonner là les hommes indolents et le désordre structurel » (Avion), joue de l’ironie du macabre (Tout le monde), assume sans complexe ses retards à répétition (Je prends le temps), incarne l’homme bipolaire (Bicéphale) et le bienveillant conscient de la méchanceté gratuite (L’ours polaire), se cogne à un indifférent de la beauté du monde (Les pizzas), invente un territoire pour les puissants qui se gavent à outrance (Welcome in Hippopotamie, avec Lucrèce Sassella). Et quand il se remémore son ami d’enfance, le traitement impulsé devient universel. Parce qu’on a tous connu un Franckie. Un disque que l’on savoure sur la durée et qui tient. Définitivement, Boule de tendresse.
En concert :
06/05 PARIS (75) L’Auguste Théâtre
13/05 PARIS (75) L’Auguste Théâtre

17/05 HANGEST SUR SOMME (80) Les 2 L Restaurant canard
18/05 DOUE LA FONTAINE (49) Théâtre Philippe Noiret
+ Les Fouteurs de Joie
20/05 PARIS (75) L’Auguste Théâtre
22/05 LEMPDES (63) La 2deuche
23/05 GRENOBLE (38) Trankilou
24/05 SAINT MARCELLIN (38) Festival Barbara + Hurlements d’Leo
01/06 CHAUVIGNY (86) Théâtre de la Grange aux Loups
03/06 PARIS (75) L’Auguste Théâtre
07/06 PORT SAINT PERE (44) Festival Hors tension
14/06 NOGENT LE ROTROU (28) Festival À Portée de Voix
06/07 DOIGNIES (59) Les Scènes du Haut Escaut
08/07 PARIS (75) L’Auguste Théâtre
09/07 SAINT PAIR SUR MER (50) Les Renk’arts
12/07 LE BLANC (36)
25/07 au 02/08 ROUEN (76) Un soir au Jardin, l’Orangerie du Jardin des Plantes

Boule
Nouvel album Appareil Volant Imitant L’Oiseau Naturel
Sortie le 24/05 chez Cholbiz / L’Autre Distribution
Boule nous revient le 24 mai avec son second album Appareil Volant Imitant l’Oiseau Naturel et une vaste tournée. Aux manettes, on retrouve le duo Robin Leduc – Cyrus Hordé (Gauvain Sers, Revolver). À travers des anecdotes autobiographiques, Boulepropose un récit décalé entre humour et émotion. Comme à son habitude, il pose un regard amusé et tendre à la fois sur les humains. Des chansons poétiques, parfois surréalistes, un jeu de guitare précis et riche en influences (Brésil, Grèce, Irlande…) porté par un ton original et réjouissant. De quoi colporter la bonne nouvelle : Boule est incontournable et son Appareil Volant Imitant L’Oiseau Naturel vaut le détour.
Chez Boule, on aime le verbe irrévérencieux et les mots aiguisés, la galerie de portraits décapants et d’observations lucides. Une chanson de Boule, ce sont des personnages à la marge, les décalages qui s’en dégagent.
Ce nouvel album au titre acronyme, Appareil Volant Imitant l’Oiseau Naturel, ouvre vers l’extérieur. Il installe le chanteur dans un écrin classieux et minimaliste, offre de discrètes percées électroniques et fait preuve d’une précision adéquate pour servir au premier plan cette voix si singulière.
Avec L’ours polaire, premier extrait du nouvel album, Boule incarne le bienveillant conscient de la méchanceté gratuite. A découvrir en vidéo.
Pour regarder et diffuser le clip de L’Ours Polaire :
 
Boule est le diminutif de patronyme Cédrik Boulard. Même s’il est coutumier d’échappées, tout le ramène à Rouen. Une ville dont les souvenirs jaillissent à chaque coin de rue et qui reste son point de chute en toutes circonstances.
L’enfance, d’abord. Sa grand-mère lui offre sa première guitare achetée au supermarché. Il a huit ans et ne sait pas encore que l’instrument deviendra son plus fidèle allié. Au collège, il découvre Les copains d’abord et ne sait pas, là encore, qu’il décrochera bien plus tard le Grand Prix Georges Brassens.
C’est alors qu’intervient Sanseverino. Au cours d’une édition du feu festival Le rock dans tous ses états à Évreux, Boule lui remet une maquette. Sanseverino le rappelle, le prend sous sa coupe, l’invite à effectuer ses premières parties. Parrainage artistique doublé d’une amitié solide. Cette rencontre fait sauter les verrous, l’encourage à autoproduire son premier album (Chansons vaches, 2006), et d’arpenter les routes hexagonales sans autre souci que d’être livré à lui-même.
Au même titre que Thomas Fersen, avec qui il partage un goût prononcé pour le bestiaire, Boule a l’art de raconter des histoires. Ancrées dans la tradition réaliste, ses chansons n’en oublient pas pour autant d’être de leur temps. Il y a aussi ses références à des personnages illustres comme Fantômas et Landru. Concernant le second, il lui a même consacré un spectacle pour lequel il a tourné pendant plus d’un an et demi.
Ce nouvel album au titre acronyme, Appareil Volant Imitant L’oiseau Naturel, s’ouvre vers l’extérieur. Un acte artistique prégnant pour quelqu’un contraint jusqu’alors de devoir gérer toutes les étapes de la création. Aux manettes, on retrouve le duo Robin Leduc – Cyrus Hordé (Gauvain Sers, Revolver) qui installent le chanteur dans un écrin classieux et minimaliste, offrent de discrètes percées électroniques et font preuve de la précision adéquate pour servir cette voix si singulière.
Boule, lui, s’envole en duo avec Jeanne Rochette pour « abandonner là les hommes indolents et le désordre structurel » (Avion), joue de l’ironie du macabre (Tout le monde), assume sans complexe ses retards à répétition (Je prends le temps), incarne l’homme bipolaire (Bicéphale) et le bienveillant conscient de la méchanceté gratuite (L’ours polaire), se cogne à un indifférent de la beauté du monde (Les pizzas), invente un territoire pour les puissants qui se gavent à outrance (Welcome in Hippopotamie, avec Lucrèce Sassella). Et quand il se remémore son ami d’enfance, le traitement impulsé devient universel. Parce qu’on a tous connu un Franckie. Un disque que l’on savoure sur la durée et qui tient. Définitivement, Boule de tendresse.
En concert :
06/05 PARIS (75) L’Auguste Théâtre
13/05 PARIS (75) L’Auguste Théâtre

17/05 HANGEST SUR SOMME (80) Les 2 L Restaurant canard
18/05 DOUE LA FONTAINE (49) Théâtre Philippe Noiret
+ Les Fouteurs de Joie
20/05 PARIS (75) L’Auguste Théâtre
22/05 LEMPDES (63) La 2deuche
23/05 GRENOBLE (38) Trankilou
24/05 SAINT MARCELLIN (38) Festival Barbara + Hurlements d’Leo
01/06 CHAUVIGNY (86) Théâtre de la Grange aux Loups
03/06 PARIS (75) L’Auguste Théâtre
07/06 PORT SAINT PERE (44) Festival Hors tension
14/06 NOGENT LE ROTROU (28) Festival À Portée de Voix
06/07 DOIGNIES (59) Les Scènes du Haut Escaut
08/07 PARIS (75) L’Auguste Théâtre
09/07 SAINT PAIR SUR MER (50) Les Renk’arts
12/07 LE BLANC (36)
25/07 au 02/08 ROUEN (76) Un soir au Jardin, l’Orangerie du Jardin des Plantes
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