BURT REYNOLDS
A Tribute to Burt Reynolds
Burt Reynolds, né le à Lansing au Michiganet mort le , est un acteur, producteur de cinéma, cascadeur et réalisateur américain.
Il est principalement connu dans les rôles importants comme Lewis Medlock dans Délivrance, Paul Crewe dans Plein la gueule, Bo « Bandit » Darville dans Cours après moi shérif, J.J. McClure dans L’Équipée du Cannonball et Jack Horner dans Boogie Nights : il était le numéro un du box-office entre 1978 et 1982.
Sommaire
Biographie[modifier | modifier le code]
Fils de Douglas Burton Reynolds, d’ascendance cherokee et irlandaise, et de Fern Miller, Burt Reynolds a passé une partie de son enfance à Lansing dans le Michigan jusqu’à l’incorporation de son père dans l’U.S. Army. Reynolds a souvent prétendu être né à Waycross en Géorgie, mais il confirme en 2015 qu’il est né à Lansing, au Michigan1. Il est né le 2.
Accompagné de sa mère et de sa sœur, il part vivre à Fort Leonard Wood, où il resta deux ans jusqu’au départ du père vers l’Europe. En 1946, après un bref retour à Lansing, la famille s’installe à Riviera Beach en Floride où son père deviendra chef de la police.
Passionné de football américain, lors de sa deuxième année au Collège à Palm Beach High School, il intègre l’équipe junior de Floride et reçoit de nombreuses offres de bourses. Son diplôme en poche, il rentre à l’université d’État de Floride grâce à une bourse d’étude dédiée au sport. Espérant devenir footballeur professionnel, il se blesse lors du premier match de la saison. Blessure qui sera aggravée un an plus tard par un accident de voiture. Il décide alors de devenir policier mais son père lui suggère plutôt de finir ses études afin de devenir agent de probation.
Il s’inscrit au Collège de Palm Beach où il suit notamment les cours de Watson B.Duncan III qui lui décèle un talent d’acteur. Il lui donne à jouer un rôle dans Outward Bound, pièce dans laquelle son interprétation lui vaut une récompense en 1956.
Quelques années plus tard, il déclarera que Duncan a été la personne la plus influente de sa vie.
Burt Reynolds est également membre de la fraternité Phi Delta Theta de Floride.
Carrière[modifier | modifier le code]
Débuts[modifier | modifier le code]
Le prix d’interprétation reçu pour Outward Bound inclut également une bourse afin d’intégrer une troupe de théâtre, « Le Parc Hyde Playhouse » à New York, pour l’été. Bien qu’on lui propose des rôles plus mûrs, Burt Reynolds n’envisage pas une carrière artistique, et ce malgré de bonnes critiques dans la pièce Thé et Sympathie de Robert Anderson au Neighborhood Playhouse à New York. Il part cependant en tournée où ses talents de conducteur de bus sont autant appréciés que ses talents d’acteur.
Après la tournée, Burt Reynolds revient à New York où il intègre une école de théâtre en compagnie de Franck Gifford, Carol Lawrence, Red Buttons et Jan Murray. Après une prestation médiocre et bâclée, il envisage brièvement un retour en Floride. Cependant il réussit à obtenir un rôle dans Mister Roberts avec Charlton Heston. Malgré les conseils de Joshua Logan qui lui soumet l’idée de se rendre à Hollywood, il refuse, ne se sentant pas assez prêt et en confiance.
En attendant une opportunité, Burt Reynolds accepte des petits boulots (serveur, chauffeur/livreur, videur au Roseland Ballroom). Alors qu’il est docker, on lui propose 150 $ pour se jeter dans une fenêtre en verre en direct dans une émission de télévision.
Il fait ses débuts à Broadway dans Look, We’ve Come Through. En 1959/1961, il apparaît dans la série Riverboatsur NBC avec Darren McGavin. En 1960/1961, il participe également dans la série The Blue Angels. Cette même année, il est invité en guest star dans un épisode des Frères Brannagan. Il continue à apparaître dans de nombreux autres shows à la télévision dont un rôle d’indien dans Gunsmoke de 1962 à 1965.
Succès[modifier | modifier le code]
En 1961, il tourne son premier film, Angel Baby (en). Sur les conseils de Clint Eastwood, il quitte le système hollywoodien et se dirige vers des premiers rôles dans des films à petits budgets communément appelés Western spaghettis dont Navajo Joe (1966) et Les 100 Fusils (1969). Il doit à ces prestations de devenir rentable, ce qui lui vaut des rôles principaux dans des films à gros budgets. Mais c’est à Delivrance de John Boorman en 1972 qu’il doit sa notoriété et ce film préfigure la suite de sa carrière. Il se spécialise dès lors dans des rôles d’homme fort, renouant avec ses premières amours, le football américain, dans Plein la gueule (1974) de Robert Aldrich, le sport automobile dont il interprète deux personnages récurrents dans Cours après moi Shériff (1977) et L’Équipée du Cannonball (1981).
Il affirme à la presse qu’Albert Broccoli lui a proposé le rôle de James Bond après le départ de Sean Connery, mais il refusa déclarant « qu’un Américain ne peut pas jouer James Bond ». De même, il refuse le rôle de Han Solo pour le premier Star Wars, dont il trouvait le scénario trop « enfantin ».
En 1973, il sort l’album Ask Me What I Am (en). Il a aussi chanté en duo avec Dolly Parton dans The Best Little Whorehouse in Texas.
En 1975, il fonde la Roburt Company et se lance dans la réalisation de Gator (1976). La même année, il pose nu dans le magazine Cosmopolitan du mois d’avril (vol. 172, no 4).
Burt Reynolds est également apparu dans une émission consacrée à la pêche et à la chasse, The American Sporstman, présentée par Grits Gresham dont le concept est d’emmener des célébrités autour du monde.
Le 15 mars 1978, il obtient son étoile sur le Hollywood Walk of Fame et dans la même année il fait construire un café théâtre à Jupiter en Floride. Sa notoriété lui permet de faire venir des célébrités et ses shows se jouent à guichet fermé. Il le vend en 1990 et le lieu devint un musée consacré à sa carrière.
Superstar[modifier | modifier le code]
Si la carrière de Reynolds ne s’est pas maintenue aux mêmes hauteurs que celle de Clint Eastwood, dont l’image était proche de la sienne à leurs débuts, ce n’est pas forcément de la faute de ses choix commerciaux, qui lui font préférer les films d’action virile mâtinés de comédie, dirigés par Robert Aldrich, Hal Needham ou lui-même, qui lui permettent de collectionner les partenaires les plus séduisantes : Angie Dickinson, Raquel Welch, Dyan Cannon, Catherine Deneuve, Lauren Hutton, Sally Field, Jill Clayburgh, Lesley-Anne Down, Farrah Fawcett, Rachel Ward, Candice Bergen, Liza Minnelli, Theresa Russell, Kathleen Turner…
Il aborde en effet fréquemment la comédie, un autre de ses genres d’élection, romantique ou burlesque (Nickelodeon, Merci d’avoir été ma femme (Starting Over), La Cage aux poules avec Dolly Parton, Best Friends avec Goldie Hawn), revient au western (Le Fantôme de Cat Dancing sur le tournage duquel sa liaison avec Sarah Milesoccasionne un fait divers), voire s’essaie à la comédie musicale (Enfin l’amour avec Cybill Shepherd), mais malgré Peter Bogdanovich, Alan J. Pakula, Colin Higgins et Norman Jewison, malgré Woody Allen et Mel Brooks, l’image de dur lui colle à la peau et la star essuie des échecs retentissants lorsqu’il ôte cette étiquette. Cette carrière de séducteur trouve une sorte de couronnement avec L’Homme à femmes de Blake Edwards, où il a pour partenaires Julie Andrews et Kim Basinger.
Régulièrement aussi, Reynolds se confronte à d’autres “durs” et à des légendes de l’écran : Kris Kristofferson dans Les Faux-durs, Gene Hackman, Clint Eastwood dans Haut les flingues !, Vittorio Gassman, David Niven… Malgré Samuel Fuller, John Boorman, Stanley Donen, Don Siegel, Michael Crichton et ses propres réussites, il n’aura manqué à Burt Reynolds que le film de sa vie (autre que Cours après moi shérif et L’Équipée du Cannonball).
Télévision[modifier | modifier le code]
Dans les années 1980, les critiques et le public lui reprochent des rôles de plus en plus similaires et ses films font de moins en moins d’entrées. Avec son ami Bert Convy, il coproduit Win, Lose or Draw, une émission de télévision sur le concept du Pictionnary, à laquelle il participe également.
Pendant la première moitié des années 1990, il est la star de la série comique Evening Shade sur Columbia Broadcasting System. Burt Reynolds star de cinéma n’abandonnera jamais la télévision où il est apparu dans Alfred Hitchcock présente, Perry Mason, La Quatrième Dimension, Sur la piste du crime, avant d’incarner dans deux séries le policier Dan August et le détective privé Stryker, cette dernière alors même qu’il prête encore sa voix à une autre série, la comédie familiale Loin de ce monde. Plus tard, il participe à Beverly Hills, Cybill avec sa partenaire de Enfin l’amour vingt ans plus tôt, X-Files et Earl.
Malgré le succès, les finances de Burt Reynolds sont dans le rouge, à cause d’un style de vie extravagant et de mauvais placements, notamment dans une chaîne de restaurants en Floride. Il dépose le bilan en 1996.
Retour au cinéma[modifier | modifier le code]
La même année, Burt Reynolds entame un comeback au cinéma dans Striptease face à Demi Moore ; sa prestation est saluée par la critique en dépit de l’échec du film au box office. Il tient de même parfaitement sa partie dans Mad Dogs à la brillante distribution (Jeff Goldblum, Richard Dreyfuss, Gabriel Byrne, Diane Lane…). Sa carrière trouve un nouveau souffle en 1997 avec Boogie nights, et la critique internationale salue sa performance en réalisateur de films X dans ce long métrage de Paul Thomas Anderson inspiré de la vie de l’acteur porno John C. Holmes. Pour cette incarnation, il est nommé à l’Oscar du meilleur acteur dans un second rôle à la 70e cérémonie des Oscars. La même année, il apparaît en général Newton dans Bean, le film le plus catastrophe.
Mais ses films suivants ne remportant pas le succès escompté, l’acteur doit se contenter de rôles secondaires sous forme de clins d’œil comme dans Mi-temps au mitard (2005) avec Adam Sandler, un remake de Plein la gueule dont il était la vedette en 1974. L’ironie veut que l’original de 1974 lui valut un Grammy Award et qu’un Razzie Award lui soit décerné pour le remake. Reynolds, icône vivante quoique contestée, incarne de nouveau, la même année, sa gloire passée dans Shérif, fais-moi peur, qui évoque irrésistiblement le Cours après moi shérif réalisé trente ans plus tôt.
Dans cette carrière tardive, Burt côtoie encore des durs : Russell Crowe, Sylvester Stallone (un de ses héritiers), Tom Berenger, Rod Steiger, Jason Statham (un autre de ses héritiers), mais également Elie Semoun ; fidèle à sa réputation d’homme à femmes, il séduit Julie Christie, Marthe Keller, Mary Tyler Moore, et retrouve à l’occasion Rachel Ward ou Raquel Welch. Il tourne aussi dans un film signé Mike Figgis.
Le 20 mai 2007, il reçoit un prix récompensant l’ensemble de sa carrière au 7e Taurus World Stunt Awards.
Vie privée[modifier | modifier le code]
Au cours de sa vie, Burt Reynolds a eu des relations amoureuses avec Tammy Wynette, Lucie Arnaz, Adrienne Barbeau, Susan Clark, Sally Field, Lorna Luft, Tawny Little, Pam Sceaux, Dinah Shore et Chris Evert. Sa relation avec Dinah Shore a attiré l’attention compte tenu du fait qu’elle était de 20 ans son aînée. Reynolds a été marié à l’actrice Judy Carne de 1963 à 1965 et à l’actrice Loni Anderson de 1988 à 1993 avec qui il a adopté un fils, Quinton Anderson Reynolds (né le 31 août 1988).
Business[modifier | modifier le code]
En 1982, Burt Reynolds est devenu copropriétaire des Tampa Bay Bandits, une équipe professionnelle de football américain dans la USFL, dont le surnom est inspiré du personnage du film Cours après moi shérif. Il est également copropriétaire d’une écurie de NASCAR.
Mort[modifier | modifier le code]
Burt Reynolds meurt le dans un hôpital en Floride3. Il participait au tournage d’un film du réalisateur Quentin Tarantino3.
Filmographie[modifier | modifier le code]
Années 1950[modifier | modifier le code]
Télévision[modifier | modifier le code]
- 1958 : Flight (en), de Jean Yarbrough (série télévisée), saison 1, épisode 21 : Master Sergeant
- 1958 : Flight (en), de Jean Yarbrough (série télévisée), saison 1, épisode 29 : Eye for Victory
- 1959 : M Squad (en), de Frank L. Moss (série télévisée), saison 2, épisode 15 : The Teacher
- 1959 : Schlitz Playhouse of Stars (en) (série télévisée), saison 8, épisode 9 : You Can’t Win ‘Em All
- 1959 : The Lawless Years (en) (série télévisée), saison 1, épisode 8 : The Payoff
- 1959 : Pony Express (série télévisée), saison 1, épisode 10 : The Good Samaritan
- 1959 : Riverboat (en), de Tay Garnett, Sidney Lanfield et John Rich (série télévisée), 20 épisodes dans le rôle de Ben Frazer
- 1959 : Playhouse 90 (série télévisée), de Franklin J. Schaffner, saison 3, épisode 16 : The Velvet Alley
Années 1960[modifier | modifier le code]
Cinéma[modifier | modifier le code]
- 1961 : Angel Baby (en), de Paul Wendkos, avec George Hamilton, Mercedes McCambridge et Joan Blondell
- 1961 : L’Espionne des Ardennes (Armored Command) de Byron Haskin, avec Howard Keel, Tina Louise et Warner Anderson
- 1965 : Operation C.I.A. (en), de Christian Nyby, scénario de Bill S. Ballinger (Mark Andrews, agent secret de la CIA, est le premier rôle principal au cinéma de Burt Reynolds)
- 1966 : Navajo Joe, de Sergio Corbucci
- 1966 : Blade Rider, Revenge of the Indian Nations, de Harry Harris (en), Vincent McEveety et Allen Reisner
- 1969 : Les 100 Fusils (100 Rifles), de Tom Gries, avec Raquel Welch
- 1969 : Sam Whiskey le dur (Sam Whiskey), d’Arnold Laven, avec Angie Dickinson, Clint Walker et Ossie Davis
- 1969 : Impasse, de Richard Benedict, avec Anne Francis
- 1969 : Caine (Shark!), de Samuel Fuller, avec Arthur Kennedy, Silvia Pinal et Barry Sullivan
Télévision[modifier | modifier le code]
- 1960 : Playhouse 90 (série télévisée), de Robert Stevens, saison 4, épisode 14 : Alas, Babylon
- 1960 : Alfred Hitchcock présente (Alfred Hitchcock Presents) (série télévisée), saison 5, épisode 37 : Escape to Sonoita
- 1961 : Les Hommes volants (Ripcord) (série télévisée), saison 1, épisode 8 : Crime Jump
- 1962 : Perry Mason, de Jerry Hopper (série télévisée), saison 5, épisode 27 : The Case of the Counterfeit Crank
- 1962-1965 : Gunsmoke, de John Meston (en) (série télévisée), 50 épisodes dans le rôle de Quint Asper
- 1963 : La Quatrième Dimension, de David Butler (série télévisée), saison 4, épisode 18 : Le Chantre (The Bard)
- 1965 : Le Proscrit (Branded), de Harry Harris (série télévisée), saison 2, épisode 2 : Now Join the Human Race
- 1965 : Flipper le dauphin (Flipper) (1 épisode double de la série télévisée), saison 2, épisode 2 et 3 : Dauphin en poursuite, première et deuxième parties (Dolphin in Pursuit, Part 1 and Part 2)
- 1965 : Twelve O’Clock High, de Richard Donner (série télévisée), saison 2, épisode 7 : Show Me a Hero, I’ll Show You a Bum
- 1965 : Sur la piste du crime (The F.B.I.), de William A. Graham (série télévisée), saison 1, épisode 11 : All the Streets Are Silent
- 1965 : Twelve O’Clock High, de Robert Douglas (série télévisée), saison 2, épisode 13 : The Jones Boys
- 1966 : Hawk, l’oiseau de nuit (en) (Hawk), de Richard Benedict, Tom Donovan, Paul Henreid et Leonard Horn(série télévisée, rôle-titre dans 17 épisodes)
- 1968 : Fade-In, de Jud Taylor et Alan Smithee (téléfilm)
- 1968 : Sur la piste du crime (The F.B.I.), de Gene Nelson (série télévisée), saison 3, épisode 15 : Act of Violence
Années 1970[modifier | modifier le code]
Cinéma[modifier | modifier le code]
- 1970 : Skullduggery (en), de Gordon Douglas avec Susan Clark
- 1972 : Les Poulets (Fuzz), de Richard A. Colla
- 1972 : Délivrance (Deliverance), de John Boorman
- 1972 : Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe sans jamais oser le demander (Everything You Always Wanted to Know About Sex * But Were Afraid to Ask), de Woody Allen
- 1973 : Le Fauve (Shamus), de Buzz Kulik
- 1973 : Les Bootleggers (White Lightning), de Joseph Sargent
- 1973 : Le Fantôme de Cat Dancing (The Man Who Loved Cat Dancing), de Richard C. Sarafian
- 1974 : Plein la gueule (The Longest Yard), de Robert Aldrich
- 1975 : Enfin l’amour (At Long Last Love), de Peter Bogdanovich avec Cybill Shepherd et Madeline Kahn
- 1975 : W.W. and the Dixie Dancekings (en), de John G. Avildsen
- 1975 : La Cité des dangers (Hustle), de Robert Aldrich
- 1975 : Les Aventuriers du Lucky Lady (Lucky Lady), de Stanley Donen : Walker Ellis
- 1976 : La Dernière Folie de Mel Brooks (Silent Movie), de Mel Brooks
- 1976 : Gator, de Burt Reynolds avec Lauren Hutton
- 1976 : Nickelodeon, de Peter Bogdanovich
- 1977 : Cours après moi shérif (Smokey and the Bandit), de Hal Needham
- 1977 : Les Faux-durs (en) (Semi-Tough), de Michael Ritchie avec Kris Kristofferson et Jill Clayburgh
- 1978 : Suicidez-moi docteur (The End), de Burt Reynolds avec Dom DeLuise, Sally Field, Joanne Woodward, Myrna Loy
- 1978 : La Fureur du danger (Hooper), de Hal Needham avec Jan-Michael Vincent, Sally Field, Brian Keith
- 1979 : Merci d’avoir été ma femme (Starting Over), d’Alan J. Pakula
Télévision[modifier | modifier le code]
- 1970 : Double Jeopardy de Ralph Senensky et Virgil W. Vogel (téléfilm)
- 1970 : La Chasse infernale (Hunters Are for Killing), de Bernard Girard (téléfilm) avec Melvyn Douglas, Suzanne Pleshette
- 1970 : Run, Simon, Run, de George McCowan (téléfilm) avec Inger Stevens
- 1970-1971 : Dan August (série télévisée, rôle-titre)
- 1979 : The Orson Welles Show (en), d’Orson Welles (série télévisée)
Années 1980[modifier | modifier le code]
Cinéma[modifier | modifier le code]
- 1980 : Le lion sort ses griffes (Rough Cut), de Don Siegel avec Lesley-Anne Down, David Niven
- 1980 : Tu fais pas le poids, shérif! (Smokey and the Bandit II), de Hal Needham
- 1981 : L’Équipée du Cannonball (The Cannonball Run), de Hal Needham
- 1981 : Paternity (en), de David Steinberg avec Beverly D’Angelo
- 1981 : L’Anti-gang (Sharky’s Machine), de Burt Reynolds
- 1982 : La Cage aux poules (The Best Little Whorehouse in Texas), de Colin Higgins
- 1982 : Best Friends, de Norman Jewison : Richard Babson
- 1983 : Stroker Ace (en), de Hal Needham avec Ned Beatty, Parker Stevenson, Loni Anderson
- 1983 : Smokey and the Bandit Part 3, de Dick Lowry
- 1983 : L’Homme à femmes (The Man Who Loved Women), de Blake Edwards
- 1984 : Cannon Ball 2 (Cannonball Run II), de Hal Needham
- 1984 : Haut les flingues ! (City Heat), de Richard Benjamin
- 1985 : Le Justicier de Miami (Stick), de Burt Reynolds
- 1986 : Uphill All the Way (en), de Frank Q. Dobbs (en) (non crédité)
- 1986 : Banco (Heat), de Richard Richards avec Karen Young (en), Peter MacNicol
- 1987 : Malone, un tueur en enfer (Malone), d’Harley Cokeliss avec Cliff Robertson, Lauren Hutton
- 1987 : Assistance à femme en danger (Rent-a-Cop), de Jerry London avec Liza Minnelli
- 1988 : Scoop (Switching Channels), de Ted Kotcheff
- 1989 : Preuve à l’appui (en) (Physical Evidence), de Michael Crichton avec Theresa Russell
- 1989 : Breaking In, de Bill Forsyth
- 1989 : Charlie (All Dogs Go to Heaven), de Don Bluth et Gary Goldman (animation)
Télévision[modifier | modifier le code]
- 1980 : Dan August (deux films TV)
- 1986 : Shattered If Your Kid’s On Drugs, de Burr Smidt (téléfilm)
- 1987–1991 : Loin de ce monde (Out of This World) (série télévisée)
- 1989–1990 : Un privé nommé Stryker, de William A. Fraker (TV, rôle-titre)
Années 1990[modifier | modifier le code]
Cinéma[modifier | modifier le code]
- 1990 : Modern Love (film, 1990), de et avec Robby Benson
- 1993 : Un flic et demi (Cop and ½), d’Henry Winkler
- 1995 : The Maddening (en), de Danny Huston avec Angie Dickinson
- 1996 : Frankenstein and Me, de Robert Tinnell (en) avec Louise Fletcher, Ryan Gosling
- 1996 : Un sujet capital (Citizen Ruth), d’Alexander Payne
- 1996 : Striptease, d’Andrew Bergman
- 1996 : Mad Dogs (Mad Dog Time), de Larry Bishop
- 1997 : Voici Wally Sparks (en) (Meet Wally Sparks), de Peter Baldwin
- 1997 : Bean, le film le plus catastrophe (Bean), de Mel Smith
- 1997 : Boogie Nights, de Paul Thomas Anderson
- 1999 : Waterproof, de Barry Berman
- 1999 : The Hunter’s Moon, de Richard Weinman avec Keith Carradine
- 1999 : Pups (en), de Ash (en)
- 1999 : Big City Blues (en), de Clive Fleury
- 1999 : Stringer, de Klaus Biedermann
- 1999 : Mystery, Alaska, de Jay Roach
Télévision[modifier | modifier le code]
- 1990 : King of Jazz, de Walter Klenhard (en) (téléfilm)
- 1990 : Die Laughing, de Burt Reynolds (téléfilm)
- 1990-1994 : Evening Shade (en) (série télévisée) avec Marilu Henner et Charles Durning
- 1992 : Burt Reynolds’ Conversations with… (téléfilm)
- 1993 : Wind in the Wire (téléfilm)
- 1993 : Beverly Hills (série télévisée)
- 1993 : La Gloire oubliée (en) (The Man from Left Field), de Burt Reynolds (téléfilm)
- 1995 : Cybill (série télévisée) avec Cybill Sheperd
- 1996 : The Cherokee Kid (en), de Paris Barclay (en) (téléfilm)
- 1997 : Raven, de Russell Solberg (téléfilm)
- 1998 : Universal soldier 2: Frères d’armes (en) (Universal Soldier II: Brothers in Arms), de Jeff Woolnough
- 1998 : Universal soldier 3: Ultime vengeance (en) (Universal Soldier III: Unfinished Business), de Jeff Woolnough (en)
- 1998 : Hard Time, de Burt Reynolds (téléfilm)
- 1999 : Hard Time: The Premonition, de David S. Cass Sr. (téléfilm)
- 1999 : Hard Time: Hostage Hotel, de Hal Needham (téléfilm)
Années 2000[modifier | modifier le code]
Cinéma[modifier | modifier le code]
- 2000 : The Crew, de Michael Dinner
- 2000 : The Last Producer, de Burt Reynolds avec Sean Astin, Benjamin Bratt, Lauren Holly
- 2001 : Driven, de Renny Harlin
- 2001 : Séduction fatale (Tempted), de Bill Bennett
- 2001 : Hotel, de Mike Figgis
- 2001 : The Hollywood Sign, de Sönke Wortmann avec Tom Berenger et Rod Steiger
- 2001 : Auf Herz und Nieren, de Thomas Jahn
- 2002 : Snapshots, de Rudolf van den Berg avec Julie Christie
- 2002 : L’Enfant et le Loup (Time of the Wolf), de Rod Pridy avec Marthe Keller, Jason Priestley
- 2003 : The Librarians, de Mike Kirton (non crédité)
- 2004 : Jusqu’au cou (Without a Paddle), de Steven Brill
- 2005 : Grilled, de Jason Ensler
- 2005 : Mi-temps au mitard (The Longest Yard), de Peter Segal
- 2005 : Shérif, fais-moi peur (The Dukes of Hazzard), de Jay Chandrasekhar
- 2005 : Forget About It, de BJ Davis avec Robert Loggia, Charles Durning, Raquel Welch
- 2005 : Legend of Frosty the Snowman (vidéo)
- 2006 : Cloud 9, d’Harry Basil avec Angie Everhart
- 2007 : King Rising, Au nom du roi (In the Name of the King : A Dungeon Siege Tale), d’Uwe Boll
- 2008 : Deal, de Gil Cates Jr
- 2009 : A Bunch of Amateurs, d’Andy Cadiff
Télévision[modifier | modifier le code]
- 2002 : Johnson County War, de David S. Cass Sr. (téléfilm) avec Tom Berenger, Luke Perry, Rachel Ward
- 2002 : Miss Lettie and Me, de Ian Barry (téléfilm) avec Mary Tyler Moore
- 2002 : X-Files (série télévisée), saison 9, épisode Improbable
- 2003 : Hard Ground, de Frank Q. Dobbs (téléfilm) avec Bruce Dern
- 2003 : Ed (série télévisée)
- 2006 : Complot à la Maison Blanche (End Game), d’Andy Cheng (téléfilm)
- 2006 : Earl (My name is Earl) – (série télévisée), saison 2, épisode 2
Années 2010[modifier | modifier le code]
Cinéma[modifier | modifier le code]
- 2015 : Pocket Listing de Conor Allyn : Ron Glass
- 2015 : Hamlet & Hutch de Jared Young, Matthew Young : Papa Hutch
- 2017 : Apple of My Eye de Castille Landon : Charlie
- 2017 : The Last Movie Star (anciennement : Dog Years) d’Adam Rifkin : Vic Edwards
- 2019 : Once Upon a Time in Hollywood de Quentin Tarantino : George Spahn
Télévision[modifier | modifier le code]
- 2010 : Burn Notice (série télévisée), saison 4, épisode 7
- 2011 : Not Another Not Another Movie, de David Murphy
- 2011 : Un cœur à l’hameçon (Reel Love) (téléfilm) de Brian K. Roberts
- 2011 : American Dad! (série télévisée, voix)
- 2011 : Archer (série télévisée, voix), saison 3, épisode 4
- 2014 : Au cœur de la tempête (Category 5) (téléfilm) de Rob King : Pops
Jeux vidéo[modifier | modifier le code]
- 2002 : Grand Theft Auto : Vice City : la voix de Avery Carrington
- 2008 : Publicité pour You’re in the Movies
- 2011 : Saints Row: The Third : Son propre rôle (en tant que Maire de Steelport)
- 2018 : Family Guy: Quest for Stuff
Voix françaises[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) Eric Lacy, « Burt Reynolds finally reveals he was born in Lansing », Detroit Free Press, (lire en ligne [archive])
- (en) James Russell, « Burton Reynolds, Father Of Actor », tribunedigital-sunsentinel, (lire en ligne [archive])
- « Mort de l’acteur américain Burt Reynolds, à l’âge de 82 ans », Le Monde, (lire en ligne [archive])
- « Comédiens ayant doublé Burt Reynolds en France » [archive], sur RS Doublage.
Sources[modifier | modifier le code]
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Burt Reynolds » (voir la liste des auteurs).
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Notices d’autorité : Fichier d’autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • Bibliothèque nationale d’Espagne • Bibliothèque royale des Pays-Bas • Bibliothèque nationale de Suède • Bibliothèque nationale tchèque • WorldCat
- Ressource relative aux beaux-arts : Artnet
- (en) Burt Reynolds [archive] sur l’Internet Movie Database
- Burt Reynolds [archive] sur Allociné
- Burt Reynolds France [1] [archive]
- Mort récente
- Acteur américain
- Naissance en février 1936
- Naissance à Lansing (Michigan)
- Décès en septembre 2018
- Personnalité américaine d’origine irlandaise
- Personnalité américaine d’origine écossaise
- Personnalité américaine d’origine cherokee
- Golden Globe du meilleur acteur dans une série télévisée
- Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle
- Satellite Award du meilleur acteur dans un second rôle
- Primetime Emmy Award du meilleur acteur
- Joueur de football américain des Seminoles de Florida State
- Étudiant de l’université d’État de Floride
- Hollywood Walk of Fame
- Décès en Floride
- Décès à 82 ans
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