COMBAT 17 septembre au 16 novembre 2014 Au Théâtre le Lucernaire

Théâtre le Lucernaire

COMBAT

TEXTE : GILLES GRANOUILLET

MISE EN SCÈNE ET SCÉNOGRAPHIE ; JACQUES DESCORDE

AVEC : ANNA ANDREOTTI, ASTRID CATHALA, ERWAN DAOUPHARS ET JACQUES DESCORDE

LUMIÈRES DAVID LAURIE, PASCAL LESAGE. MUSIQUE CHRISTOPHE PERRUCHI. COSTUMES MURIEL DANTARD. ASSISTANTE À LA MISE EN SCÈNE NADÈGE CATHELINEAU

PRODUCTION : LA COMPAGNIE DES DOCKS. COPRODUCTION : LA COMPAGNIE TRAVELLING THÉÂTRE

CORÉALISATION : LE THÉÂTRE LE LUCERNAIRE À PARIS ET LE GARAGE/THÉÂTRE DE L’OISEAU MOUCHE

Le texte est édité aux Editions Les quatre vents/L’avant-scène théâtre

Dirigée par Jacques Descorde, metteur en scène, comédien et auteur, la compagnie des Docks mène un travail de recherche, de création, de diffusion, de sensibilisation et de formation autour des écritures contemporaines. Elle est subventionnée par le Ministère de la Culture/DRAC Nord Pas de Calais, conventionnée avec la Région Nord Pas de Calais, le Conseil Général du Pas de Calais et soutenue pour ce projet par le Centre National du théâtre, le Centre National du Livre et l’association Beaumarchais.

Création

17 septembre au 16 novembre 2014

mardi au samedi à 21h30. Dimanche à 17h.

Au Théâtre le Lucernaire

53 Rue Notre-Dame des Champs – Paris 6e

M° Notre-Dame des Champs ou Vavin

 

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Combat, c’est l’histoire d’un homme qui a bien compris qu’on ne peut faire pousser deux pieds de tomates dans un petit pot et qu’il faut arracher le vilain (donc lui) pour sauver le beau (sa sœur). C’est une lutte à mort pour le sens de la vie. C’est le parcours d’un homme qui cherche un souffle en endossant une faute qui n’est pas la sienne. C’est un thriller qui nous parle d’un amour infini. C’est une chanson douce amère : Le temps des cerises.

Jacques Descorde

 

 

J’ai voulu écrire Combat comme un thriller, un drame contemporain où le cloisonnement social joue pleinement son rôle. J’en arrive au mot que je voulais écrire depuis le début : « prolétariat » ! Parce que c’est un plaisir de l’employer aujourd’hui : c’est un mot banni ! Ne plus nommer c’était faire disparaître ! Le prolétariat, qui existe aujourd’hui comme hier, comment on en sort, comment on y reste, c’est aussi ça, Combat.

Gilles Granouillet

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