Editions EDILIVRE

Editions EDILIVRE

Tombe, Victor !

 de Louis Arjaillès

en librairie

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Prix du roman Gay 2016

Coup de coeur du Jury

Jevendsmonlivre.com

Vous écrivez ? Eh bien vendez maintenant ! 

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L’auto-édition recèle quelquefois des pépites, souvent ignorées, souvent délaissées. Tombe, Victor est de celles-là, rare et brillante dans un écrin digne d’une maison d’édition classique.

Résumé

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  Issu d’un journal intime retrouvé, Tombe, Victor ! nous plonge au cœur de la fin des années 60 dans une petite ville du sud de la France. Toute une époque où l’on se presse encore au cinéma le samedi soir, où les vedettes de Salut les Copains font battre les cœurs adolescents, où, sur les plages, les postes à transistors déversent leurs tubes formatés. Un certain mois de mai a fait voler en éclat beaucoup de préjugés, mais la reprise en mains est à l’ordre du jour.

À 14 ans, Paul partage son temps entre sa scolarité et des études de piano qui le mèneront, espère-t-il, à une carrière de concertiste.

Né dans un milieu populaire, il croise la route de Victor, garçon volubile, volontiers bagarreur, archétype du fils de famille en rupture de ban avec lequel il découvre sa sexualité différente.

Si, pour Victor, ces épanchements ne sont qu’un jeu, ils augurent, pour Paul, d’une part essentielle de sa future vie d’homme.

Victor, ce gamin gouailleur, fils de notable, sera son premier amour. Mais un ange noir veille, qui sera à l’origine d’un drame aux funestes conséquences.

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L’âme de Darmstetter est du même noir que ses yeux. Il vous scrute d’un regard que certains, abusés, pourraient estimer bienveillant, car toujours égayé d’un sourire. Égarement ! Je sais, moi, qu’il ne faut s’y fier : s’il vous détaille ainsi, comme vous aimant, à travers la fente de ses paupières de reptile, c’est pour mieux vous anéantir ensuite. Par amour de soi, par coquetterie, Darmstetter se refuse à porter des lunettes pour corriger sa myopie. Ainsi, il semble s’intéresser à vous, mais ce n’est que ruse pour mieux vous abuser. C’est un adolescent longiligne à la démarche d’échassier qui traduit bien la démesure de son orgueil. Si d’aucuns, peu enclins à apprécier la beauté masculine comme je le suis, peuvent dire de lui qu’il est joli garçon, j’ai eu tout loisir, moi, de l’étudier de près et de faire la somme de ses imperfections. Il les estompe savamment par une certaine prestance, le soin tout particulier qu’il apporte à sa mise, à l’ordonnancement de sa brune chevelure, trop courte à mon goût, qu’il lustre à la brillantine comme un vieux-beau en peine de séduction. Mais à tout bien considérer, les lèvres sont fines, mesquines, le nez un peu trop fort, le front haut, et les oreilles, comme inachevées, sont presque dépourvues de lobes. Non, il n’est pas beau, mais quel charme il aurait si la bonté venait à faire son nid dans un coin forcément disponible de son cœur.

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Le vendeur du rayon disques, chez Philips, Place de Gaulle, est très efféminé. Lui, c’est vraiment une tapette selon Victor. Il porte des pantalons en velours à pattes d’éléphant, des tuniques chamarrées qu’il entoure d’une large ceinture ; une grosse médaille pend à son cou. C’est un vieux de quarante ans. Si on l’observe bien, on trouve très beau son visage émacié orné de favoris taillés au quart de poil. Il a plein de bagues aux doigts et fait des gestes de grande folle quand il parle. Victor dit que c’est une tantouse et que nous, on sera jamais comme ça ; surtout lui, qui aime à enfoncer le clou de sa préférence pour les femmes. Chez Philips, on peut écouter les disques dans une cabine insonorisée aux murs tendus de velours vert, dotée d’une banquette confortable. Nous y sommes allés, mercredi, avec Victor qui voulait acheter le dernier 33 tours de Johnny : aime-t-il la musique ? On s’est installés sur la banquette et le chef de rayon a joué le disque. Victor s’est mis à déconner et m’a fait des chatouilles, car il sait que je les crains. Le type m’a entendu crier et a regardé à travers les petits carreaux de la cabine ; au lieu de nous engueuler, il a rigolé et il est retourné derrière son petit comptoir. Après, Victor s’est calmé et m’a caressé tout doucement dans le cou. C’était très agréable. Je serais bien resté des heures avec lui dans cet endroit, et j’aurais même pu écouter tous les albums de Johnny.

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Il a fallu vaincre mille périls pour accéder à ce coin de paradis : on a dû emprunter un sombre passage sous la voie ferrée, puis, à droite d’un bunker, vestige de la guerre, dévaler un chemin sablonneux qui vous jetterait à la mer si l’on n’y prenait garde. Angelo avait raison : nulle âme qui vive à des centaines de mètres à la ronde. Sitôt arrivé, l’ange s’est entièrement dévêtu, m’enjoignant d’en faire autant.  D’ordinaire pudique, voire pudibond, je me suis débarrassé prestement de ma chemisette, de mon short et de mon slip. J’ai déroulé ma serviette sur le grand rocher plat que le maître de cérémonie m’avait désigné en arrivant et me suis offert avec délectation aux rayons du soleil. L’ange s’est aussitôt plongé dans son élément favori. L’espace d’un instant, je l’ai vu tel un aigle royal, prendre son envol et fendre l’air en piqué vers les abîmes sans fond, évoluant ensuite avec grâce, mi-homme, mi-dauphin, dans le scintillement des vagues, heureux, invincible, magnifique.L’eau était chaude où je l’ai rejoint peu après, avec des prudences de vieille fille. Angelo ne s’est pas moqué de ma gaucherie, comme Victor n’eût pas manqué de le faire. Il m’a attendu, et jamais l’expression « une patience d’ange » n’aura autant signifié. Jeux aquatiques, cris, jappements, baisers salés, peaux ruisselantes épousées, fluides échangés tout au bout du plaisir : bénis soient le chemin périlleux, la mousse traîtresse sur les rochers aux arêtes acérées, les buissons calcinés, et les angoisses fugitives d’être découverts, nus l’un contre l’autre, ivres d’un bonheur interdit ; béni sois-tu, ange-brugnon que chaque jour qui passe m’apprend à aimer davantage, qui, de chaque instant partagé fait une jouissance. – En plein été, ici, il y a plein de garçons, m’informe Angelo.- Et tu en sais quelque chose, ne puis-je m’empêcher de répondre avec une ironie mêlée d’un dépit rétrospectif.- Ce sont seulement des corps pour les jours où on a trop faim, sourit-il. Maintenant, tu es là, je n’en ai plus besoin.

Il a fallu vaincre mille périls pour accéder à ce coin de paradis : on a dû emprunter un sombre passage sous la voie ferrée, puis, à droite d’un bunker, vestige de la guerre, dévaler un chemin sablonneux qui vous jetterait à la mer si l’on n’y prenait garde. Angelo avait raison : nulle âme qui vive à des centaines de mètres à la ronde. Sitôt arrivé, l’ange s’est entièrement dévêtu, m’enjoignant d’en faire autant.  D’ordinaire pudique, voire pudibond, je me suis débarrassé prestement de ma chemisette, de mon short et de mon slip. J’ai déroulé ma serviette sur le grand rocher plat que le maître de cérémonie m’avait désigné en arrivant et me suis offert avec délectation aux rayons du soleil. L’ange s’est aussitôt plongé dans son élément favori. L’espace d’un instant, je l’ai vu tel un aigle royal, prendre son envol et fendre l’air en piqué vers les abîmes sans fond, évoluant ensuite avec grâce, mi-homme, mi-dauphin, dans le scintillement des vagues, heureux, invincible, magnifique.

L’eau était chaude où je l’ai rejoint peu après, avec des prudences de vieille fille. Angelo ne s’est pas moqué de ma gaucherie, comme Victor n’eût pas manqué de le faire. Il m’a attendu, et jamais l’expression « une patience d’ange » n’aura autant signifié. Jeux aquatiques, cris, jappements, baisers salés, peaux ruisselantes épousées, fluides échangés tout au bout du plaisir : bénis soient le chemin périlleux, la mousse traîtresse sur les rochers aux arêtes acérées, les buissons calcinés, et les angoisses fugitives d’être découverts, nus l’un contre l’autre, ivres d’un bonheur interdit ; béni sois-tu, ange-brugnon que chaque jour qui passe m’apprend à aimer davantage, qui, de chaque instant partagé fait une jouissance.

– En plein été, ici, il y a plein de garçons, m’informe Angelo.

– Et tu en sais quelque chose, ne puis-je m’empêcher de répondre avec une ironie mêlée d’un dépit rétrospectif.

– Ce sont seulement des corps pour les jours où on a trop faim, sourit-il. Maintenant, tu es là, je n’en ai plus besoin.

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 La littérature et l’homosexualité n’ont pas toujours fait bon ménage, loin s’en faut, au même titre que dans le cœur de la société d’ailleurs. Le début de notre ère et l’Antiquité avait pourtant ouvert la voie avec, notamment, Platon et sa Philosophie.

Pourtant, il faudra attendre le 19ème siècle pour croiser Vautrin, le premier personnage gay de la littérature française, dans Le Père Goriot de Balzac. Celui-ci en avait fait un mauvais garçon, à dessein ou non ? Et puis, viendra le temps de l’acceptation avec Proust qui livrera sa vision de l’homosexualité dans plusieurs ouvrages.

Tombe, Victor ! n’est pas de cette trempe car Louis Arjaillès met en avant autant la période décrite, les années 60, que les préférences sexuelles de ses héros. Et tout est simple car chacun y trouvera sa lecture.

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Très émue après la lecture de ce livre, retour à l’adolescence aux premiers émois et au premier amour. Merci d’avoir fait du remue-ménage dans mes émotions. Bravo
Chantal Lauby

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Je ressors de ma lecture vraiment satisfaite ! voici sans nul doute possible un petit bijou littéraire … Que se soit la plume de l’auteur ou son contenu, tout est là … j’ai refermé ce livre en me disant : « ça c’est un vrai écrivain » (j’ai été subjugué par cette plume qui joue à merveille avec les mots … ce style poétique d’une grande finesse parsemé de touches romantiques (pour mon plus grand plaisir) et qui nous fait voyager). Voici un court roman que j’ai dévoré, il a frôlé de peu la perfection, mais la romantique que je suis à juste trouvé la fin un peu trop abrupte pour totalement flancher…

J’ai été envoûtée par le style et la plume de l’auteur … Une plume qui est fluide, habile, pointilleuse, une de celle qui sait nous transporter tout simplement et nous faire oublier le temps d’un instant où nous sommes et nous envoyer avec brio au cœur d’une autre époque (les années 67-68), le tout vu à travers les yeux d’un jeune homme rencontrant son premier amour et découvrant son corps, sa sexualité … Les premiers émois d’une rencontre, les premiers plaisirs de la chair, la sensualité d’instants précieux qui définissent celui qu’il deviendra …

« Tombe, Victor » C’est un Journal intime romancé, retouché, affiné, afin de nous délivrer une histoire percutante, touchante … Un court récit qui allie avec justesse simplicité et finesse, servi avec des personnages criants de réalisme, le tout en parfaite cohérence avec les us et coutumes de cette époque et la langueur typique du sud …

Au travers ses yeux, Paul, nous dévoile page après page son ressenti de jeune adolescent, celui qui se découvre et se dévoile après sa rencontre avec Victor … De là, nous suivrons l’évolution de ses sentiments naissants et grandissants, l’éveil de ses premiers émois, son premier amour, sa première déception, les délices et les jouissances de ses plaisirs charnels, son ressenti face à diverses rencontres qui, au fil du temps, le façonneront… Un récit qui m’a fait ressentir de belles émotions : j’ai ri (face à certaines situations), j’ai souri, j’ai été attendri, j’ai eu un peu mal au cœur pour Paul face au comportement de Victor et d’autres … J’ai été émue et touchée par ce jeune homme découvrant sa sexualité et ses premiers sentiments amoureux.

Voici un roman à côté duquel il ne faut absolument pas passer. Un récit sensible et tellement bien écrit, un de ceux qui nous fait voyager au cœur du temps, un de ceux qui se déguste, se savoure en toute simplicité…

Ps : Puis-je caresser l’espoir d’avoir une suite à ce récit ? Le plaisir de retrouver Paul dans sa vie d’homme …

Plumkreole

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J’ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman d’une grande finesse et d’une grande richesse, d’un style fluide et très littéraire.

Ce roman, ce sont les émois et les questionnements d’un jeune garçon de 14 ans. Un jeune garçon qui se cherche, trouve sa route, sans se perdre, ou tout juste. Nous le suivons donc dans sa presque quinzième année, au fil de ses rencontres, de ses fantasmes, de ses interrogations qui le parasitent et ses constats qui le font grandir.

J’ai beaucoup aimé ce personnage, Paul, que l’auteur nous a façonné en totale cohérence avec son éducation et son époque. Je l’ai trouvé assez mature pour son âge mais tout concorde avec ce qu’il est, ce qui le définit. Cependant, quand l’amour vous prend, vous inonde, vous obsède et qu’il devient réalité, celui-ci vous pousse dans des chemins de traverses, où vous allez à tâtons, des chemins qui vous feront découvrir autant l’extase que le don de soi, le partage, la jalousie, la désillusion. Puis, un ange pointe le bout de son nez.

Le roman est écrit du point de vue de Paul, avec quelques surprises. A travers les yeux de celui-ci, nous découvrons un Victor ambiguë, drôle et cassant, enjoué et taciturne, intrigant et captivant. Victor et Paul, c’est une relation qui façonnera notre Paul pour sa vie future, lui ouvrira les yeux sur les sentiments réciproques, une relation qui lui apportera ses premiers interdits, l’excitation du danger, et surtout son premier amour, celui que l’on oubli jamais, si imparfait qu’il soit..

Page après page, nous découvrons aux côtés de Paul comment Victor marquera sa jeunesse et comment il sera toujours là, dans un coin, bien ancré. Un récit initiatique avec des personnages attachants, chacun à leur manière, qui sauront vous toucher, vous émouvoir. Un roman bien structuré qui vous révèle des surprises, dont même Paul est inconscient, ce qui nous offre, à nous lecteur, une sorte de privilège, de cadeau, de secret avec l’auteur.

Le phrasé de Louis Arjaillès est splendide, les descriptions parfaites, rêveuses, très imagées, parfois poétiques, voir romantiques. Tout est respecté au niveau de l’époque du roman, c’est-à-dire les années soixante, que ce soit les références mêmes, le style vestimentaire, les habitudes, l’ambiance, l’éducation…tout.

La plume de l’auteur est vraiment un point fort de ce texte. Elle est juste magistrale je trouve. Soutenue, agréable, fluide, riche de mots et de sensations, parfaite pour ce récit…elle correspond en tout point pour moi. Elle m’a procurée des émotions, des sourires, des surprises, de la peine, de la joie.

Un livre qui m’a subjuguée dès la première phrase par ses mots, percutants et accrocheurs, par son écriture, élégante, noble, par ses personnages presque réels, où chacun peut s’y retrouver, extraordinaires dans leur dualité, par son histoire, touchante, intelligente, rythmée, pleine de mystère et évocatrice d’un futur meilleur, d’une quête de soi, de l’amour tendre, vache…mais toujours au cœur du roman.

En bref, un très bon roman qui se déguste et se savoure, autant pour ses paysages que pour sa plume. Un roman presque chantant, qui évoque avec finesse, sensibilité et délicatesse l’éveil à la vie, à l’amour, à l’ivresse des corps qui se trouvent, ces corps identiques, si attirants, de Paul, jeune garçon attachant dont Victor, premier amour, restera en lui à jamais.

Tikimel

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Biographie

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Louis Arjaillès est un ‘jeune sexagénaire’ qui a pris pour nom d’auteur celui d’un oncle qui a vécu le rejet de ce qu’il était.
Un méridional optimiste, gai et angoissé à la fois, musicien professionnel, féru de littérature et de cinéma.

Il a toujours écrit, mais Tombe, Victor ! est son premier roman. Il nous invite d’ores et déjà à traverser une nouvelle période de notre histoire en suivant les aventures amoureuses de Paul dans sa vie d’adulte.

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Jevendsmonlivre.com, depuis juillet 2016, a pour vocation d’aider les auteurs auto-édités, édités alternativement (Edilivre ou BOD par exemple) ou édités par des maisons sans grands moyens financiers à promouvoir leurs ouvrages. Vous le voyez, il s’agit là du métier d’agent littéraire revisité pour proposer une offre parfaitement innovante et inédite.

Une bonne promotion littéraire s’appuyant sur une diffusion multi-canaux : les réseaux sociaux dont Facebook est le fer de lance, mais aussi un site internet, des séances de dédicaces, des articles dans la presse écrite, des passages en radios et à la télévision, des salons littéraires, etc.. Notre agence permet aux auteurs d’utiliser l’ensemble de ces supports même s’ils n’ont aucune idée de comment ça marche.

Nous prenons en charge tout ou partie de leur promotion en rédigeant et en publiant pour eux les publications Facebook ou Twitter, en rédigeant et en envoyant des communiqués et des dossiers de presse en leur nom, en obtenant des articles de la part de journalistes locaux ou nationaux, en sélectionnant les librairies qui les accueilleront pour leurs séances de dédicaces et bien d’autres choses encore.

Dirigé par Benoit Couzi, auteur lui-même, Jevendsmonlivre.comreprésente aujourd’hui plus de 200 auteurs qui lui ont confié leur promotion littéraire.

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Tombe, Victor !

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152 pages – format 13.4*20.4 – broché

Prix : 14.00 euros

ISBN : 978-2-3341-5956-2

Editions Edilivre

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À Paris, le 12 mai 2017
LES FRANÇAIS ONT DES CHOSES À DIRE (ET À ÉCRIRE!) !
Si l’actualité révèle l’envie des français de s’exprimer, de se positionner et d’être entendus, les nouveaux formats offerts par l’édition en sont la confirmation. Face au monde, à sa morosité et à ses avancées, l’écriture devient de plus en plus un exutoire. Un moyen unique de réinventer sa réalité. La preuve ?  

La preuve, c’est nous !

Nous avons aujourd’hui dépassé les 15 000 auteurs présents dans 114 pays et issus d’horizons variés. Médecin, chauffeur routier, infirmier, naturopathe, adolescents, grands-parents, hommes et femmes, tous ont des histoires à raconter.

Leur production est désormais de plus de 25 000 ouvrages, et plus d’1 million d’exemplaires papier de leurs témoignages de vie, de leurs romans, de leurs nouvelles ou de leurs poèmes ont été livrés dans le monde entier.

Ils sont désormais près de 100 000 à nous avoir rejoint sur Facebook et plus de 11 000 sur Twitter.

Pure player web de l’édition, nous sommes la preuve que le numérique n’a pas éloigné les français de l’écriture, de la lecture et du papier, et que lorsqu’on leur en offre la possibilité, ils ont des milliers de choses à partager ! C’est une bonne nouvelle !

À propos d’Edilivre
Edilivre, est une maison d’édition ouverte et collaborative qui favorise l’émergence de nouveaux talents. La maison rassemble une communauté de plus de 15 000 auteurs qu’elle anime grâce à des Clubs Auteurs en région mais aussi au travers des réseaux sociaux. Elle permet à ses auteurs d’éditer gratuitement leurs ouvrages aux formats papier et numérique, et leur offre une visibilité grâce à une présence sur plus de 50 salons et un référencement sur plus de 10 000 points de vente. www.edilivre.com
Facebook : Editions Edilivre
Twitter : @ed_Edilivre
Instagram : @editions_edilivre

TIMA URIELLE

Renaissance tu m’as fait revivre quand je descendais à la tombe
Un récit émouvant et tendre, sur la force de la foi et de l’amour. L’auteure, après dix années de longues maladie, c…
edilivre.com
À Paris, le 16 février 2017
DÉCOUVREZ LE LAURÉAT DU PRIX DE L’AUTEUR SANS PISTON 2017 !
“Le cauchemar débute à midi” …
L’ouvrage de Catherine Mottier remporte le Prix de l’Auteur Sans piston 2017. Ce thriller ficelé à la perfection a séduit le jury face à plus de 700 livres en compétition. Le Prix de l’Auteur Sans Piston est organisé depuis 4 ans par la maison d’édition Edilivre. Son but est de mettre en lumière les plumes talentueuses régionales publiées en dehors du circuit de l’édition “traditionnelle”.
Lors de cette nouvelle édition, plus de 700 auteurs se sont inscrits au Prix. Pour pouvoir participer, les auteurs devaient avoir publié leur ouvrage entre le 01.09.2015 et le 31.08.2016 et faire partie de l’un des 27 Clubs Auteurs régionaux Edilivre. Après une première sélection du comité de lecture de la maison, 350 ouvrages ont été lus et notés par le jury d’auteurs Edilivre. Chaque Club Auteurs a vu l’un de ses auteurs décrocher la meilleure moyenne et devenir ainsi le lauréat de sa région. Au niveau national, le Prix de l’Auteur Sans Piston 2017 a récompensé le lauréat régional ayant obtenu la moyenne la plus élevée.
Le Prix de l’Auteur Sans Piston Pays de La Loire 2017
et Le Prix de l’Auteur Sans Piston 2017 ont été attribués à
Catherine Mottier pour son ouvrage Le cauchemar débute à midi
Curieux ? En voici un peu plus sur cet ouvrage“Un maître d’œuvre séduisant, une voyante exubérante, d’affreux vieillards, un trésor caché, un énigmatique jardinier… Tout cela sort-il de l’imagination de Jeanne, mère de famille et architecte désoeuvrée, dont l’existence est alors bien monotone ?
Que va-t-elle trouver quand un riche client lui propose ce projet de rénovation ? Une stimulation professionnelle, la grande aventure, l’amour peut-être ?
Le mystère est opaque et cache des choses bien plus terribles. Ce qui est sûr, c’est que ce jour là, à midi, tout a basculé…”Et son auteur ?Catherine Mottier a la quarantaine. Originaire des Charentes, elle est architecte et vit avec ses deux enfants et son mari, bronzier d’Art, au Mans depuis une dizaine d’années. Passionnée par les belles pierres, la décoration et les romans policiers, elle dévore les livres de Serge Brussolo, Pierre Lemaître ou encore Karine Giebel.À propos d’Edilivre
Edilivre, est une maison d’édition ouverte et collaborative qui favorise l’émergence de nouveaux talents. La maison rassemble une communauté de plus de 14 000 auteurs qu’elle anime grâce à des Club Auteurs en région mais aussi au travers des réseaux sociaux. Elle permet à ses auteurs d’éditer gratuitement leurs ouvrages aux formats papier et numérique, et leur offre une visibilité grâce à une présence sur plus de 50 salons et un référencement sur plus de 10 000 points de vente. www.edilivre.com
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Contact presse
Marine Vinuesa : marine.vinuesa@edilivre.com

Ouest-France, le 07/02/2017

 

À Paris, le 07 février 2017
DÉCOUVREZ LE LAURÉAT DU PRIX DE L’AUTEUR SANS PISTON 2017 !
“Le cauchemar débute à midi” …
L’ouvrage de Catherine Mottier remporte le Prix de l’Auteur Sans piston 2017. Ce thriller ficelé à la perfection a séduit le jury face à plus de 700 livres en compétition. Le Prix de l’Auteur Sans Piston est organisé depuis 4 ans par la maison d’édition Edilivre. Son but est de mettre en lumière les plumes talentueuses régionales publiées en dehors du circuit de l’édition “traditionnelle”.
Lors de cette nouvelle édition, plus de 700 auteurs se sont inscrits au Prix. Pour pouvoir participer, les auteurs devaient avoir publié leur ouvrage entre le 01.09.2015 et le 31.08.2016 et faire partie de l’un des 27 Clubs Auteurs régionaux Edilivre. Après une première sélection du comité de lecture de la maison, 350 ouvrages ont été lus et notés par le jury d’auteurs Edilivre. Chaque Club Auteurs a vu l’un de ses auteurs décrocher la meilleure moyenne et devenir ainsi le lauréat de sa région. Au niveau national, le Prix de l’Auteur Sans Piston 2017 a récompensé le lauréat régional ayant obtenu la moyenne la plus élevée.
Le Prix de l’Auteur Sans Piston Pays de La Loire 2017
et Le Prix de l’Auteur Sans Piston 2017 ont été attribués à
Catherine Mottier pour son ouvrage Le cauchemar débute à midi
Curieux ? En voici un peu plus sur cet ouvrage“Un maître d’œuvre séduisant, une voyante exubérante, d’affreux vieillards, un trésor caché, un énigmatique jardinier… Tout cela sort-il de l’imagination de Jeanne, mère de famille et architecte désoeuvrée, dont l’existence est alors bien monotone ?
Que va-t-elle trouver quand un riche client lui propose ce projet de rénovation ? Une stimulation professionnelle, la grande aventure, l’amour peut-être ?
Le mystère est opaque et cache des choses bien plus terribles. Ce qui est sûr, c’est que ce jour là, à midi, tout a basculé…”Et son auteur ?Catherine Mottier a la quarantaine. Originaire des Charentes, elle est architecte et vit avec ses deux enfants et son mari, bronzier d’Art, au Mans depuis une dizaine d’années. Passionnée par les belles pierres, la décoration et les romans policiers, elle dévore les livres de Serge Brussolo, Pierre Lemaître ou encore Karine Giebel.À propos d’Edilivre
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La 4ème édition du concours de nouvelles “48h pour écrire” est lancée !

Sous le signe de cette année : La Nouveauté ! Nouvelle identité, nouveaux partenaires, nouvelles dates … Ce qui n’a pas changé ? Les participants ont toujours 48 heures pour rédiger une nouvelle sur un thème dévoilé en début de week-end.

À la rentrée, sortez les stylos et branchez les PC : “48H pour écrire” revient !
À partir du 23 septembre, Edilivre vous lance à nouveau le défi : écrire une nouvelle pendant 48H ! N’hésitez plus et préparez-vous pour un week-end intense en émotions et réflexions.
Quelques mots sur “48H pour écrire” 
Pour la quatrième année consécutive, Edilivre organise son concours de nouvelles gratuit et ouvert à tous : “48H pour écrire”. L’année dernière plus de 2 000 participants et un jury composé de 900 personnes ont fait de ce concours une réussite.
Plus d’excuses : une inscription en toute simplicité
Pour participer, c’est très simple ! Il suffit de se connecter sur le site www.edilivre.com le vendredi 23 septembre à 16h pour connaître le thème de cette quatrième édition. Les participants auront alors 48 heures pour rédiger et envoyer leur nouvelle via un formulaire en ligne.
En jeu ? Une gloire éternelle … Surtout un bon moment avec des lots orignaux à la clé !
Cette année, Edilivre s’est entouré de nouveaux partenaires : Tea – The Ebook Alternative, Idéecadeaux.fr, Kilti, Envouthé, Once Upon a Book et l’Étoile des Gourmets. Innovants, modernes et précurseurs, ils offrent des lots culturels et inédits qui permettront aux gagnants de s’évader au sens propre comme au figuré !
Pas prêt pour un marathon littéraire, mais amoureux de littérature ?

Edilivre propose à ceux qui le souhaitent de devenir juré de cette édition. Le jury a un mois pour découvrir, apprécier et noter quelques-unes des nouvelles écrites par les participants. L’inscription se fait en ligne en deux clics !

Petit plus : Edilivre et l’Étoile des Gourmets ont pensé à tout !
Les deux jours d’écriture seront intensifs pour les participants : pas le temps de sortir, de regarder le JT ou de cuisiner ! Pas de problème : L’Étoile des Gourmets offre à tous les challengers 15% de réduction sur la commande d’un bon repas livré à la maison partout en France.

À propos d’Edilivre
Edilivre, est une maison d’édition ouverte et collaborative qui favorise l’émergence de nouveaux talents. La maison rassemble une communauté de plus de 13 000 auteurs qu’elle anime grâce à des Club Auteurs en région mais aussi au travers des réseaux sociaux. Elle permet à ses auteurs d’éditer gratuitement leurs ouvrages aux formats papier et numérique, et leur offre une visibilité grâce à une présence sur plus de 50 salons et un référencement sur plus de 10 000 points de vente. www.edilivre.com
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AGENCE DE CONSULTING LITTERAIRE & CULTUREL
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Une histoire de la Libération
à travers quatre destinées

Un roman passionnant sur l’après-guerre
et les années de reconstruction

Au sortir de la Libération, Arlette Gravier se débat difficilement avec les séquelles de sa déportation. Arnaud Larribe rêve de fonder un cabinet d’architecte et de profiter des affaires qui reprennent. Damien Rubot, militant communiste, croit dur comme fer à une révolution sociale toute proche. Quant à Karim Djadel, ancien ouvrier et soldat de l’Armée française, il entre dans la clandestinité et rejoint le FLN.
Leurs vies baignent dans la France de la reconstruction : celle des Trente Glorieuses, de la télévision naissante, des nouvelles automobiles, de la consommation enfin accessible à tous, de la diffusion de la culture vers le grand public. C’est aussi la France des guerres coloniales. Le déclenchement de la guerre d’Algérie entraîne une crise morale limitée à un cercle réduit, celui de la presse d’opinion et des militants de l’extrême-gauche, sans vraiment ébranler le pays. Les espérances des personnages ne sont pas annihilées par ce conflit. Elles connaissent un sursis en cette année 1962, césure historique : la France n’est plus en guerre. Une nouvelle page de son histoire va s’écrire.

L’auteur
Stéphane Bret, 64 ans, réside à Boulogne-Billancourt. Il collabore régulièrement aux blogs littéraires : La Cause Littéraire, Babelio, Critiques Libres, Lecteurs Com .L’Espérance en sursis est son sixième  roman.

“L’espérance en sursis”
STÉPHANE BRET
114 pages
13,00 euros – Format Papier
1,99 euros – Format numérique
Editions Edilivre

 

Comme le disait David Foenkinos “Pire que de ne pas être publié, il y a de l’être dans l’indifférence générale. C’est le lot de la plupart des auteurs”. C’est pourquoi Edilivre, BoD, Publishroom, Société des Ecrivains et Publibook se sont associés pour créer un prix littéraire mettant en lumière le talent d’auteurs méconnus.

Pour cette première édition, le jury a récompensé, au cours d’une soirée réunissant plus d’une centaine de personnes du milieu de l’édition et de la culture,

Dawoud Saadoun,

Pour Un jour particulier, publié chez Edilivre.

Ce récit bluffant mêlant intrigue policière et romance nous embarque dans une aventure hors du commun qui nous fera voyager de Paris à NewYork en passant par Batna en Algérie.

Guy Birenbaum ne s’était pas trompé en tweetant : “Cher @Dawoud_Saadoun, je lis en ce moment votre livre, avec bien trop de retard. Je prends énormément de plaisir à sa lecture. À suivre…”

La suite est donc la victoire de ce Prix de l’Autre Édition.

Un livre haletant :

Toutes les télévisions du monde annoncent le décès de l’ennemi public numéro un des États-Unis. Ce même jour, David Goldman a rendez-vous avec son amour de jeunesse à l’aéroport de Newark Liberty, New Jersey. Une femme qu’il n’a jamais cessé d’aimer et qu’il n’a pas revue depuis plus de dix ans. Alors qu’elle se trouve encore à Paris, embarquée dans un vol Air France à destination de New York, Caroline lui envoie un message pour le prévenir du décollage imminent de l’avion. Ce dernier arrive bien à heure prévue, mais elle? n’arrivera jamais.

Dawoud Saadoun, un auteur toujours en mouvement :

Originaire de la Drôme, Dawoud Saadoun est diplômé d’une maîtrise en histoire contemporaine et d’un master en sciences de l’éducation. Grand admirateur d’Albert Camus, il se passionne pour la littérature à l’adolescence après avoir découvert L’Étranger et Noces. Après avoir travaillé pendant plusieurs années pour l’Éducation nationale, il décide de partir vivre le « Rêve américain » et s’envole pour les États-Unis. Attiré par New York depuis l’enfance, il y pose ses valises en 2010 et décide de se consacrer à l’écriture. La ville l’exalte et lui fournit l’intrigue de ce premier roman qui se déroule en grande partie dans « la ville qui ne dort jamais ». Amateur de cinéma et de mythologie, il y puise l’inspiration de son Jour particulier.

À propos de l’éditeur :

Edilivre est une maison d’édition ouverte et collaborative qui favorise l’émergence de nouveaux talents (www.edilivre.com)

Le récit bluffant mêlant intrigue policière et romance nous embarque dans une aventure hors du commun qui nous fera voyager de Paris à NewYork en passant par Batna en Algérie.

Guy Birenbaum ne s’était pas trompé en tweetant : “Cher @Dawoud_Saadoun, je lis en ce moment votre livre, avec bien trop de retard. Je prends énormément de plaisir à sa lecture. À suivre…”

La suite est donc la victoire de ce Prix de l’Autre Édition.

Un livre haletant :

Toutes les télévisions du monde annoncent le décès de l’ennemi public numéro un des États-Unis. Ce même jour, David Goldman a rendez-vous avec son amour de jeunesse à l’aéroport de Newark Liberty, New Jersey. Une femme qu’il n’a jamais cessé d’aimer et qu’il n’a pas revue depuis plus de dix ans. Alors qu’elle se trouve encore à Paris, embarquée dans un vol Air France à destination de New York, Caroline lui envoie un message pour le prévenir du décollage imminent de l’avion. Ce dernier arrive bien à heure prévue, mais elle? n’arrivera jamais.

Dawoud Saadoun, un auteur toujours en mouvement :

Originaire de la Drôme, Dawoud Saadoun est diplômé d’une maîtrise en histoire contemporaine et d’un master en sciences de l’éducation. Grand admirateur d’Albert Camus, il se passionne pour la littérature à l’adolescence après avoir découvert L’Étranger et Noces. Après avoir travaillé pendant plusieurs années pour l’Éducation nationale, il décide de partir vivre le « Rêve américain » et s’envole pour les États-Unis. Attiré par New York depuis l’enfance, il y pose ses valises en 2010 et décide de se consacrer à l’écriture. La ville l’exalte et lui fournit l’intrigue de ce premier roman qui se déroule en grande partie dans « la ville qui ne dort jamais ». Amateur de cinéma et de mythologie, il y puise l’inspiration de son Jour particulier.

Couv Saadoun

 

 

edilivre

 

 

 

 

 

 

 

 

DE LA RÉVOLUTION

À L’INVERSION

MARC ALBERT CHAIGNEAU
Essai – Editions EDILIVRE
Janvier 2014, format (134x204mm)
ISBN : 9782332569509
19.00€
Disponible en format numérique
http://www.edilivre.com/de-la-revolution-a-l-inversion-marc-albert-chaigneau.html

_1ère de couverture _De la révolution à l_'inversion%22%20

De la révolution à l’inversion propose un nouveau projet de réforme de la société à même d’ouvrir de nouvelles voies à nos sociétés en crise, de contrer la médiocratie et la déperdition du sens commun. Un modèle préférable à la révolution en ce qu’il ne nécessite ni violence, ni destruction, mais seulement l’inversion d’un certain nombre de nos comportements.
Inverser les comportements, pour cela inverser les raisonnements, les analyses, les rapports personnels et professionnels en se basant sur le principe de subsidiarité (un inversement hiérarchique et fonctionnel fondé sur la collaboration, l’entraide, comme seul dépassement possible au schéma primaire de la domination/soumission). L’objectif reste celui de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, en y ajoutant ce qui en est la contrepartie logique et nécessaire, les devoirs et les obligations.
Avec De la révolution à l’inversion, l’auteur expose diverses réformes (celle du système social, des services publiques…) tout en nous donnant les clefs pour la mise en œuvre d’une véritable démocratie : la démocratie directe, dont beaucoup avaient rêvé, mais à laquelle ils avaient renoncé, la croyant impossible à mettre en œuvre. Il nous montre comment elle serait accessible, mais nous prévient qu’elle ne le sera jamais qu’à des citoyens responsables.
Marc Albert CHAIGNEAU a été conseil de société, avocat d’affaires et responsable juridique de groupes pendant 35 ans. Dans sa spécialité, il a étudié, organisé et réformé des centaines de petites sociétés. Depuis 2006, il se consacre à l’écriture et trois de ses essais ont été publiés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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