JEAN-HENRY MEUNIER

JEAN-HENRY MEUNIER

jean henri meunier


SORTIE NATIONALE LE 10 FÉVRIER 2016


SYNOPSIS

La révolution, c’est pas de la tarte, même pour Noël, agitateur anarcho-burlesque
et impérial trublion de l’internationale pâtissière.
Et comme le chemin est long du grand soir à l’aube radieuse, autant le faire en Cadillac.
À condition bien sûr d’en dénicher une, parce que les Cadillacs c’est comme les indignés, plus on en parle, moins on en trouve.

Mais question tôle, c’est quand même plus classe qu’une cellule à la Santé.
C’est pas Jean-Marc qui dira le contraire. Un persévérant, Jean-Marc. Pas le genre à se résigner. Avec lui, faut savoir se contenter de beaucoup. Longtemps porté sur l’action directe, il découvre avec Noël les charmes de la révolution buissonnière.
Et tous deux nous entraînent sur les chemins de traverse, par delà les barrages, au gré des Muses et des rencontres complices, irrésistiblement aspirés par la quête d’un monde meilleur.

Avec : Jean-Marc Rouillan, Noël Godin, Sergi Lopez, Miss Ming, Bernardo Sandoval, Jan Bucquoy

LES FILMS DE JEAN-HENRI MEUNIER

Le site de J-H. Meunier : www.jeanhenrimeunier.com

Photographe autodidacte, Jean-Henri Meunier réalise son premier film en 1975, L’Adieu nu avec Maria Casarès et Michael Lonsdale, grâce à l’amitié d’Henri Langlois, fondateur de la Cinémathèque française.

En 1976, il enchaîne avec Aurais dû faire gaffe… le choc est terrible. Serge Gainsbourg en compose la musique originale.

La Bande du Rex avec Jacques Higelin sort en 1980.

Ensuite, il produit Pochette surprise, le premier album de Charlélie Couture, pour Chris Blackwell et Island Records.

À la fin des années 1980, la rencontre avec l’outil vidéo et Maurice Cullaz, délicieux octogénaire ami de toute la planète jazz, lui permet de concilier ses deux passions, le cinéma et la musique, en réalisant des documentaires musicaux : Smoothy, pour et avec Maurice Cullaz, tourné de 1988 à 1992.

Tout partout partager avec Ray Lema en 1997.

Un violon au coeur avec L. Subramaniam en 1998.

Une voix nomade avec Mina Agossi en 2008 et Solo sino pa que avec Bernardo Sandoval en 2010.

Son long métrage documentaire La Vie comme elle va, diffusée sur Arte en mai 2003, est sorti en salles en mars 2004 et s’est vu décerné le Grand Prix Scam du documentaire de création 2004. Il a également été nominé par l’International Documentary Association (IDA) et le National Film Board Documentary Award (Canada).

Ici Najac, à vous la terre est en sélection officielle, hors compétition, au Festival de Cannes 2006. Il est nominé au César du meilleur film documentaire ainsi que par la Directors Guild of America (DGA) et par l’International Documentary Association (IDA).

Loin des projecteurs, Jean-Henri Meunier se replonge dans le brut. Il suit pendant plus de deux ans un groupe de SDF dont un vagabond clown « aux semelles de vent ». Fakir, fils rouge de Rien à perdre (2009), qui relate le combat des Enfants de Don Quichotte toulousains pour avoir un toit. Le film est présenté en avant-première au Festival international du Film Documentaire de Thessalonique.

En 2011, il présente Y a pire ailleurs, libre suite désordonnée de La Vie comme elle va et de Ici Najac, à vous la terre au Festival du Nouveau Cinéma (Montréal). La trilogie najacoise est présentée en avant-première mondiale en mai 2010 à Documenta Madrid.

En 2012 sort Tout à gagner. Fakir, Roman et Patrick, trois SDF du campement des Enfants de Don Quichotte de Toulouse ont réussi leur pari. Après avoir démonté leur tente pour intégrer un appartement, ils ont décidé d’avancer grâce au travail, aux études, à l’amour… Tout à gagner est la suite de Rien à perdre. Il peut être vu de façon totalement autonome puisqu’il fait état du passé de ces hommes pour finalement restituer leur présent.

Meunier revient à la photographie et les éditions Au fil du temps présentent en automne 2012 Empreintes, un travail photographique entièrement réalisé avec un I Phone entre 2008 et 2012. « Son objectif quitte les visages de la chair humaine pour jeter ses filets sur de simples traces de bitumes, de murs écorchés, de trottoirs torturés, de façades condamnées… » (Extrait de la préface de Serge Regourd, auteur notamment de L’Exception culturelle, PUF 2004).

www.fautsavoirsecontenterdebeaucoup.com

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