LA FELINE

LA FELINE

La Féline
Nouvel album Triomphe
Sortie le 27 janvier 2017 chez  Kwaidan /!K7
En concert le 16/03/2017 à la Maroquinerie
Après Senga et le Royaume, La Féline dévoile Séparés (Si nous étions jamais), un titre phare de son nouvel album Triomphe. Un plan séquence fixe pour une chanson qui va droit au cœur, il n’en faut pas plus pour Séparés (si nous étions jamais), le nouveau single de la Féline. Voici un tube poignant et immédiat comme seule peut-être la chanteuse et guitariste Agnès Gayraud sait en faire aujourd’hui.
Le clip a été réalisé par le collectif As Human Pattern (Oiseaux Tempête, Mondkopf). Direct et mystérieux, il est une porte d’entrée idéale au nouvel album luxuriant, à la fois pop et complètement atypique dans le paysage français que vient de sortir la musicienne : le bien nommé Triomphe (Kwaidan Records).
Exit la new wave intimiste d’Adieu l’enfance, place à un son plus chaud et plus ample, mais toujours aussi puissant et émouvant. Avec la batterie chamanique de Franck Garcia, le saxophone de Yoann Durant, la flûte et l’octobasse de Michael Schmid, et bien sûr la voix et les textes d’Agnès, ses riffs de guitare, on se sent étrangement initié, comme si chaque chanson enveloppait un secret. Et c’est bien le cas de Séparés, nouveau single sensible et foudroyant de La Féline.
Pour regarder et diffuser le clip de Séparés (si nous étions jamais)
Quand elle conçoit Triomphe, son deuxième album, sous le signe d’un dieu d’ivresse et de pulsions, Dionysos — alors qu’Adieu l’enfance, si pop et minimal avait quelque chose d’apollinien — La Féline commence par se rêver guerrière impitoyable ou sauvageonne à la Miyazaki. «Senga», premier single placé en ouverture, signe un passage de relais : dans le miroir des eaux, Agnès la féline devient Senga qui parle aux loups, Senga qui grimpe aux arbres et connaît les secrets de la forêt. Et l’on sourit en découvrant la clé cachée dans l’envers de ce titre, subtil jeu de double et de reflets : qui n’a jamais rêvé de cet autre soi capable d’accomplir tout ce qui nous échappe ?
Triomphe devient alors un ambitieux terrain de jeu où La Féline transforme la forêt en refuge, la mer en bain primordial où renaître, se projette dans un Tokyo où la nature aurait repris ses droits. On y croise des dieux grecs et des animaux totems («Senga»), on y parle de renaissances («Samsara», «Le Plongeur» — attirés dans les profondeurs du son d’une flûte octobasse), on y questionne la place de l’homme dans la communauté («Le Royaume», «Comité rouge»). Autrefois tournées vers l’intime, ses chansons s’ouvrent désormais sur les autres et le monde, suggèrent tout un monde inexploré derrière le voile des apparences, en arrière plan, qu’on oserait à peine soulever, de peur d’en devenir fou, comme dans la nouvelle d’Arthur Machen, le Grand Dieu Pan. N’est-ce pas ce qui se joue dans l’inquiétant final de «Gianni» aux allures de descente aux enfers, ou encore dans le crescendo libérateur du «Royaume» où flûtes et saxophones mêlent leurs voix stridentes dans leur célébration extatique ?
Derrière ce titre ambigu et cette pochette où le regard nous défie, les ambiances sont profondes et sensuelles, les couleurs chaudes et les grooves sinueux. Entre les lignes perce un imaginaire nourri de cinéma comme de mangas, de mythes anciens comme d’archétypes populaires. Dans les yeux de La Féline, le monde se peint de clair-obscur et de couleurs fantasmatiques, les contraires se cherchent et s’équilibrent. Ici, la candeur est intense. Ici, la sauvagerie est douce.
En concert :
16/03/2017 – PARIS @ La Maroquinerie – Release Party
La Féline
Nouvel album Triomphe
Sortie le 27 janvier 2017 chez  Kwaidan /!K7
En concert le 16/03/2017 à la Maroquinerie
Le 27 Janvier, La Féline sort son nouvel album Triomphe. Exit la new wave intimiste d’Adieu l’enfance, place à un son plus chaud et plus ample, mais toujours aussi puissant et émouvant. Avec la batterie chamanique de Franck Garcia, le saxophone de Yoann Durant, la flûte et l’octobasse de Michael Schmid, et bien sûr la voix et les textes d’Agnès, ses riffs de guitare, on se sent étrangement initié, comme si chaque chanson enveloppait un secret.
C’est que la création de ce nouvel album est intimement liée à la rencontre avec un lieu étrange : le Performing Art Forum de Saint Erme, immense bâtisse hantée et vibrante. Dans cet ancien refuge pour soldats en déroute, autrefois école de jeunes filles, devenu repaire d’artistes cosmopolites, Agnès a puisé son étrange inspiration. Réalisé avec le talentueux Xavier Thiry, l’album Triomphe y a été enregistré par Guillaume de La Villéon qui s’est chargé d’y installer un studio de fortune.
Un après-midi de décembre, Boris Barthes et Stéphanie Rouget (réalisateurs du court métrage “Band de Filles”) sont venus capter quelques images de ces moments de création. L’occasion d’écouter Le Royaume, nouvel extrait de l’album de La Féline !
Pour regarder et diffuser la vidéo du Royaume
Quand elle conçoit Triomphe, son deuxième album, sous le signe d’un dieu d’ivresse et de pulsions, Dionysos — alors qu’Adieu l’enfance, si pop et minimal avait quelque chose d’apollinien — La Féline commence par se rêver guerrière impitoyable ou sauvageonne à la Miyazaki. «Senga», premier single placé en ouverture, signe un passage de relais : dans le miroir des eaux, Agnès la féline devient Senga qui parle aux loups, Senga qui grimpe aux arbres et connaît les secrets de la forêt. Et l’on sourit en découvrant la clé cachée dans l’envers de ce titre, subtil jeu de double et de reflets : qui n’a jamais rêvé de cet autre soi capable d’accomplir tout ce qui nous échappe ?
Triomphe devient alors un ambitieux terrain de jeu où La Féline transforme la forêt en refuge, la mer en bain primordial où renaître, se projette dans un Tokyo où la nature aurait repris ses droits. On y croise des dieux grecs et des animaux totems («Senga»), on y parle de renaissances («Samsara», «Le Plongeur» — attirés dans les profondeurs du son d’une flûte octobasse), on y questionne la place de l’homme dans la communauté («Le Royaume», «Comité rouge»). Autrefois tournées vers l’intime, ses chansons s’ouvrent désormais sur les autres et le monde, suggèrent tout un monde inexploré derrière le voile des apparences, en arrière plan, qu’on oserait à peine soulever, de peur d’en devenir fou, comme dans la nouvelle d’Arthur Machen, le Grand Dieu Pan. N’est-ce pas ce qui se joue dans l’inquiétant final de «Gianni» aux allures de descente aux enfers, ou encore dans le crescendo libérateur du «Royaume» où flûtes et saxophones mêlent leurs voix stridentes dans leur célébration extatique ?
Derrière ce titre ambigu et cette pochette où le regard nous défie, les ambiances sont profondes et sensuelles, les couleurs chaudes et les grooves sinueux. Entre les lignes perce un imaginaire nourri de cinéma comme de mangas, de mythes anciens comme d’archétypes populaires. Dans les yeux de La Féline, le monde se peint de clair-obscur et de couleurs fantasmatiques, les contraires se cherchent et s’équilibrent. Ici, la candeur est intense. Ici, la sauvagerie est douce.
En concert :
16/03/2017 – PARIS @ La Maroquinerie – Release Party
La Féline
Nouvel album Triomphe
Sortie le 27 janvier 2017 chez  Kwaidan /!K7
En concert le 16/03/2017 à la Maroquinerie
Après le poignant Adieu l’enfance, La Féline annonce la sortie de son nouvel album Triomphe, à la fois pop, lyrique et aventureux pour le 27 janvier 2017. Depuis ses débuts sur la scène pop française, Agnès Gayraud s’est tracée un chemin bien à elle, entre deux mondes, celui de la musique, celui des textes. Ici et là, le secret devient de moins en moins gardé et le bouche à oreille s’installe : on salue son écriture, sa personnalité, sa présence, son jeu de guitare, son chant. Depuis bientôt sept ans et plusieurs vies, La Féline construit une œuvre riche et profonde, sans équivalent dans la nouvelle scène française : zébrures de guitares, mélodies atemporelles et écriture littéraire se combinent pour provoquer l’une des plus belles charges émotionnelles qui soit.
La Féline s’est associée, pour le clip de Senga, premier single extrait de l’album Triomphe, au collectif As Human Pattern pour concevoir un clip sombre et fascinant, qui met en scène une traque : une armée de villageois obscurs contre une créature fantasmatique et nue.
Avec Senga, La Féline révèle sa face obscure et nous transporte dans la profondeur d’une forêt brumeuse où résonnent encore des flûtes d’un autre temps, entre mythologie païenne et violence.
Pour regarder et diffuser le clip de Senga :
Dans une vie précédente, La Féline était trois. Trois voix fondues en une qui, sur une poignée de EPs aux influences multiples, se cherchaient entre les genres musicaux, les langues, les expériences, avec pour fil d’Ariane l’écriture et le timbre lumineux d’Agnès Gayraud, chanteuse et guitariste. Puis vint Adieu l’enfance en 2014, premier album remarqué sur lequel elle endossait désormais seule le pelage de La Féline. Une voix unique y émergeait, laissant libre cours à des obsessions qui apparaissaient jusque-là en filigrane. Album cathartique annoncé comme tel dès son titre, entièrement chanté en français, Adieu l’enfance était aussi un acte de renaissance. Hypnotique dans ses sonorités new wave, urbain dans ses climats, introspectif dans ses textes où le monde extérieur faisait parfois irruption dans un éclat de vitres brisées.
Docteur en philosophie et chroniqueuse qui réfléchit sur la musique des autres, Agnès Gayraud aurait pu choisir d’intellectualiser sa démarche ; au lieu de quoi elle fait voeu de candeur et de sincérité dans ses propres chansons, comme pour mieux contrer la dureté du monde. Qu’elle ait choisi pour terrain de jeu la pop, naïve et spontanée par essence, n’est sans doute pas un hasard. Malgré cet adieu revendiqué, une part d’enfance continue d’habiter sa voix et son regard. Un regard qui, au fil des écoutes, finit par imprégner le nôtre ou se confondre avec lui. Peut-être cette part d’enfance résonne-t-elle avec la nôtre. Derrière leur simplicité de surface, les chansons de La Féline réveillent des échos surprenants dans notre quotidien comme dans notre perception du monde.
Quand elle conçoit Triomphe, son deuxième album, sous le signe d’un dieu d’ivresse et de pulsions, Dionysos — alors qu’Adieu l’enfance, si pop et minimal avait quelque chose d’apollinien — elle commence par se rêver guerrière impitoyable ou sauvageonne à la Miyazaki. «Senga», premier single placé en ouverture, signe un passage de relais : dans le miroir des eaux, Agnès la féline devient Senga qui parle aux loups, Senga qui grimpe aux arbres et connaît les secrets de la forêt. Et l’on sourit en découvrant la clé cachée dans l’envers de ce titre, subtil jeu de double et de reflets : qui n’a jamais rêvé de cet autre soi capable d’accomplir tout ce qui nous échappe ?
Triomphe devient alors un ambitieux terrain de jeu où La Féline transforme la forêt en refuge, la mer en bain primordial où renaître, se projette dans un Tokyo où la nature aurait repris ses droits. On y croise des dieux grecs et des animaux totems («Senga»), on y parle de renaissances («Samsara», «Le Plongeur» — attirés dans les profondeurs du son d’une flûte octobasse), on y questionne la place de l’homme dans la communauté («Le Royaume», «Comité rouge»). Autrefois tournées vers l’intime, ses chansons s’ouvrent désormais sur les autres et le monde, suggèrent tout un monde inexploré derrière le voile des apparences, en arrière plan, qu’on oserait à peine soulever, de peur d’en devenir fou, comme dans la nouvelle d’Arthur Machen, le Grand Dieu Pan. N’est-ce pas ce qui se joue dans l’inquiétant final de «Gianni» aux allures de descente aux enfers, ou encore dans le crescendo libérateur du «Royaume» où flûtes et saxophones mêlent leurs voix stridentes dans leur célébration extatique ?
Derrière ce titre ambigu et cette pochette où le regard nous défie, les ambiances sont profondes et sensuelles, les couleurs chaudes et les grooves sinueux. Entre les lignes perce un imaginaire nourri de cinéma comme de mangas, de mythes anciens comme d’archétypes populaires. Dans les yeux de La Féline, le monde se peint de clair-obscur et de couleurs fantasmatiques, les contraires se cherchent et s’équilibrent. Ici, la candeur est intense. Ici, la sauvagerie est douce.
En concert :
01/12/2016 – RENNES @ Bars en Trans
16/03/2017 – PARIS @ La Maroquinerie – Release Party

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La Féline
Nouvel Ep Senga
Disponible chez Kwaidan /!K7
En concert au Mama Festival le 14/10
Deux ans après Adieu L’enfance, son premier album, La Féline alias Agnès Gayraud revient avec Senga, nouveau single qui annonce un nouveau disque en début d’année 2017. Depuis bientôt sept ans et plusieurs vies, La Féline construit une œuvre riche et profonde, sans équivalent dans la pop francophone actuelle : électronique minimale, zébrures de guitares, comptines atemporelles et écriture littéraire. Avec Senga, Agnès la féline devient Senga qui parle aux loups, Senga qui grimpe aux arbres et connaît les secrets de la forêt. Le second extrait s’appelle Trophée, et il a été composé avec Mondkopf qui apporte au morceau sa subtilité électronique. Ces deux titres, Senga et Trophée sont portés par la voix de La Féline si puissante dans sa douceur et qui fait frissonner le cœur.
Pour écouter et diffuser Senga :
Pour écouter et diffuser Trophée :
Découvrir la musique de la Féline, c’est découvrir celle qui l’incarne : une personnalité à part dans le monde de la pop « à la française », une personnalité hybride.
Incarnation brune et graphique de La Féline, voix suave et guitare électrique, Agnès Gayraud écrit et réfléchit, aussi, sur la musique des autres. Qu’elle ait choisi pour terrain de jeu la pop, spontanée par essence, n’est sans doute pas un hasard. Loin de toute fausse lucidité, Agnès fait vœu de candeur dans ses propres chansons, nourries d’un imaginaire de cinéma, de mangas et de mythes anciens comme d’archétypes populaires.
En 2014, elle a sorti Adieu l’enfance un premier album remarqué de chansons pudiques et poignantes. Son deuxième album, à paraître chez Kwaidan Records en début d’année 2017, poursuit son compagnonnage avec l’arrangeur et réalisateur Xavier Thiry. Elle l’a conçu dans une grande bâtisse en Picardie, au milieu d’autres artistes et de quelques paons, et quelque chose s’est libéré en elle. Elle s’y rêve guerrière impitoyable (dans le morceau « Trophée », co-composé avec Mondkopf) ou sauvageonne à la Miyazaki.
Dans ce premier avant-goût d’un album qui devrait compter, « Senga », nouveau single disponible depuis la rentrée, signe un passage de relais : dans le miroir des eaux, Agnès la féline devient Senga qui parle aux loups, Senga qui grimpe aux arbres et connaît les secrets de la forêt.
On suit ce chant hymnique et ce saxophone percussif se frayer un chemin entre les hautes herbes, vers une révélation supérieure. Car l’aura d’Agnès inspire une totale confiance. A mesure qu’elle mûrit et affirme sa voie de plus en plus singulière, il y a, dans sa douceur, la puissance d’un don de divination. Et aux divinations de La Féline, n’en déplaise à la raison, on n’a qu’une envie, c’est de s’abandonner.
Prochains concerts :
08/10/16        MERY SUR OISE   95      La Luciole  – En Solo
14/10/16        PARIS   75      MaMa Festival – 3 Baudets
15/10/16        BORDEAUX        33      Iboat  – En Solo

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