La Fondation Giacometti
2022
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EN AVRIL, À L’INSTITUT GIACOMETTI |
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Alberto Giacometti / Douglas Gordon
the morning after
 Institut Giacometti
Douglas Gordon est le premier artiste en résidence à l’Institut Giacometti. À cette occasion, l’artiste a produit des œuvres nouvelles (sculptures, vidéos, textes) qui seront présentées en lien avec des œuvres d’Alberto Giacometti, parmi lesquelles de nombreux dessins inédits. Gordon découvre le travail de Giacometti lors de son premier voyage à Paris alors qu’il est encore étudiant à Glasgow. Dans la collection de la Fondation Giacometti, il a choisi les œuvres qui sont à la fois les plus spectaculaires et les moins monumentales. Des sculptures « de poche », qui tiennent dans la main et illustrent, plus que d’autres, cette fragilité de la condition d’artiste face à la création.
Commissaire : Christian Alandete
Du 20 avril au 12 juin 2022
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Avec le soutien de Fluxus
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| ATELIERS DES VACANCES DE PRINTEMPS |
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 Atelier « Enquête en stop motion » pour enfants
À partir de 7 ans
Giacometti Lab
À la suite d’une visite-enquête, les enfants retracent une histoire à travers un petit film en stop motion, dont les personnages seront créés en pâte à modeler.
Autour de l’exposition « Alberto Giacometti / Douglas Gordon. The morning after ».
Du 26 au 30 avril
De 15h à 17h
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 Atelier « Au creux de la main » pour enfants et familles
À partir de 5 ans
Giacometti Lab
Les participants réalisent un modelage de leurs propres mains, qui viendront enserrer une image.
Autour de l’exposition « Alberto Giacometti / Douglas Gordon. The morning after ».
Du 3 au 8 mai
De 15h à 17h
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Giacometti: From Life
National Gallery of Ireland, Dublin
« Giacometti: From Life » est la première exposition de l’œuvre de Giacometti organisée à la National Gallery of Ireland. Depuis les premiers portraits de ses proches réalisés dans sa Suisse natale, jusqu’aux travaux tardifs qu’il a exécutés à Paris, l’exposition met en lumière les relations étroites que l’artiste entretenait avec les amis et les membres de sa famille qui lui servaient de modèles. Parmi eux, son frère Diego, sa femme Annette, et des écrivains et artistes tels que Simone de Beauvoir, Isaku Yanaihara et Eli Lotar.
« Giacometti: From Life » est co-organisée par la National Gallery of Ireland et la Fondation Giacometti.
Commissaires : Catherine Grenier et Thierry Pautot (Fondation Giacometti) ; Sean Rainbird et Janet McLean (National Gallery of Ireland).
Jusqu’au 4 septembre 2022
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Alberto Giacometti: Toward the Ultimate Figure
Cleveland Museum of Art, USA
L’exposition « Alberto Giacometti: Toward the Ultimate Figure » réunit un ensemble de chefs-d’œuvre qui témoignent de l’inventivité de la création d’après-guerre d’Alberto Giacometti (1945-1966). Rassemblant tous les medias – sculptures, peintures, dessins – le parcours s’attache à une question centrale et majeure pour l’œuvre de Giacometti : son intérêt extraordinaire et singulier pour la représentation de la figure humaine. La recherche d’une silhouette essentielle, son placement dans l’espace et sa relation au socle, questions essentielles de la sculpture au XXe siècle, sont de celles auxquelles s’attaque Giacometti dans sa lutte continue avec la matière : elles occupent une place centrale dans l’exposition.
Co-organisée par la Fondation Giacometti et le Cleveland Museum of Art, conçue grâce à la collection de l’artiste conservée par la Fondation, l’exposition sera également présentée au Museum of Fine Arts de Houston, au Seattle Art Museum et au Nelson-Atkins Art Museum de Kansas City.
Commissaires : Émilie Bouvard, directrice scientifique et des collections (Fondation Giacometti) ; William Robinson, conservateur en chef (Cleveland Museum of Art).
Jusqu’au 12 juin 2022
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Image : vue d’exposition, Alberto Giacometti: Toward the Ultimate Figure, 2022 |
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 CONFÉRENCE
Fahrelnissa Zeid et la situation du cubisme dans la Turquie au milieu du XXe siècle
Par Wendy Shaw
Giacometti Lab
La carrière internationale de Fahrelnissa Zeid est exemplaire du développement de l’abstraction en Turquie et des échanges avec l’Europe au milieu du XXe siècle. Parmi les premières femmes inscrites à l’Académie des Beaux-Arts d’Istanbul, Zeid voyage en Europe dans les années 1920 et suit notamment les cours de Roger Bissière à l’Académie Ranson à Montparnasse. À son retour à Istanbul, elle est la seule femme turque à intégrer en 1941 le « Groupe D », premier groupe d’artistes indépendants marqué par le cubisme sans pour autant s’y limiter. Largement montré, son travail abstrait est présenté dès 1949 au Salon des Réalités Nouvelles, et à Paris où elle revient, son œuvre est remarqué par des personnalités comme André Breton et Alain Gheerbrant.
Conférence par l’historienne de l’art Wendy Shaw, spécialiste des modernités turques.
Conférence en anglais
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» PROGRAMME DES CONFÉRENCES
Image : Fahrelnissa Zeid, Abstract Composition, 1950s, techniques mixtes sur papier;
Fahrelnissa Zeid dans son atelier, Paris, années 1950 |
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2021
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Institut Giacometti
5, rue Victor-Schoelcher
75014 Pariswww.institut-giacometti.fr
Présidente
Catherine Grenier
Directeur artistique
Christian Alandete |
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MYTH OF A COLORBLIND FRANCE
La France rêvée des noirs américains
un documentaire d’Alan Govenar (60′)AVANT-PREMIERE EN FRANCE
Jeudi 9 décembre 2021 à 18h30
Au Giacometti Lab de l’Institut Giacometti
En présence du réalisateur et des protagonistes du filmDepuis plus d’un siècle, des artistes, auteurs, musiciens Afro-américains se sont rendus à Paris pour se libérer du racisme des États-Unis. Qu’est-ce qui a poussé ces artistes à choisir la France ? Pourquoi les Français ont-ils été fascinés par les nouveaux arrivants ? Et dans quelle mesure la France était-elle et est-elle réellement sans préjugé racial ?
Le documentaire étudie ces questions et examine les façons dont le racisme a frappé non seulement les Noirs fuyant les États-Unis, mais aussi les Africains et les personnes de couleur en France aujourd’hui.
Le film explore la vie et la carrière des Afro-Américains de renom qui ont émigré à Paris, notamment Josephine Baker, James Baldwin, Richard Wright, Beauford Delaney, Augusta Savage et Lois Mailou Jones et Barbara Chase-Riboud et comprend des images rares de Henry Ossawa Tanner à Paris.
Soirée organisée dans le cadre de l’exposition ALBERTO GIACOMETTI – BARBARA CHASE-RIBOUD présentée à l’Institut Giacometti jusqu’au 9 janvier 2022.
Une version longue (90’) sera accessible du 10.12.2021 au 9.01.2022 gratuitement sur le site de la Fondation Giacometti : www.fondation-giacometti.fr
À l’issue de la projection le public pourra échanger avec le réalisateur Alan Govenar et plusieurs protagonistes du film : Barbara Chase-Riboud, Monique Wells et Francis Hofstein.
Plus d’informations sur le film
https://www.mythofacolorblindfrance.com/ |
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À vos agendas ! L’Institut Giacometti vous présente sa nouvelle offre de cours et ateliers créatifs pour tous les âges. Inscrivez-vous pour un cycle semestriel ou pour une séance ponctuelle, et profitez à chaque cours d’un accès libre aux expositions.
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Alberto Giacometti, «Têtes», 1960
© Fondation Giacometti |
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Chaque semaine, apprenez les techniques du dessin avec Maryline Genest. Artiste plasticienne, professeure pour les cours amateurs des Beaux-Arts de Paris, elle porte une attention toute particulière à la progression et au développement du trait personnel et unique à chacune et chacun en conjuguant les notions de plaisir, d’expérience et de rigueur.
Adultes, à partir de 16 ans.
Débutants ou confirmés.
Cours hebdomadaires, tous les jeudis de 16h à 18h ou de 18h30 à 20h30.
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Alberto Giacometti dans son atelier, 1963
© Wolfgang Kuehn |
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Le temps d’un week-end, découvrez l’art du portrait par le modelage de la terre, dans l’esprit des œuvres d’Alberto Giacometti. Les ateliers seront animés par Kevin Ducrot, artisan d’art depuis 15 ans, diplômé et professeur Greta à l’école Boulle en sculpture sur bois, praticien pour de nombreux artistes et décors de films.
Adultes, à partir de 16 ans, débutants ou confirmés.
2 week-ends par an : 6 et 7 novembre 2021 et 5 et 6 mars 2022 de 14h à 17h.
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Les participants plongent dans l’univers de la bande-dessinée et apprennent à saisir l’essentiel d’un personnage ou d’une histoire, pour dessiner des planches selon différentes techniques, avec pour guide Manon Delarue, artiste, autrice et médiatrice culturelle.
12 – 16 ans.
Ateliers hebdomadaires, tous les samedis de 17h à 18h30.
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Tous les mercredis, les enfants s’imprègnent de l’art de Giacometti et expérimentent ses techniques de prédilection : le dessin, la peinture, le modelage et la gravure. Chaque séance, conçue de manière ludique et adaptée aux âges et niveaux des participants, permet de progresser de semaine en semaine, jusqu’à la réalisation d’une exposition.
6-11 ans.
Ateliers hebdomadaires, tous les mercredis de 15h à 17h.
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Les groupes scolaires, de la maternelle au lycée, sont les bienvenus à l’Institut Giacometti ! Des visites guidées et des ateliers créatifs sont proposés et adaptés à chaque groupe par notre équipe de médiation. Des projets sur mesure peuvent également être élaborés dans le cadre d’un partenariat.
›› VISITES ET ATELIERS |
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Giacometti LAB
9, rue Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
or Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti, lieu d’exposition de la Fondation Giacometti, est ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Billetterie en ligne ou sur place par carte bancaire
www.fondation-giacometti.fr |
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Il reste encore quelques semaines pour découvrir l’exposition « Giacometti et l’Égypte antique » à l’Institut Giacometti.
Que ce soit à travers le dessin, la sculpture ou la peinture, l’art égyptien constitue pour Alberto Giacometti à la fois un répertoire de formes et une inspiration essentielle pour sa conception esthétique. L’exposition met en dialogue des œuvres emblématiques de Giacometti et des prêts exceptionnels d’œuvres du musée du Louvre. À cette occasion sont également montrés de nombreux dessins inédits de l’artiste, réalisés d’après des sculptures égyptiennes.
Le week-end du 18 et 19 septembre, l’Institut Giacometti participera aux Journées européennes du patrimoine en proposant l’entrée gratuite de l’exposition.Commissaires : Thierry Pautot, attaché de conservation, responsable des archives et de la recherche, Fondation Giacometti. Romain Perrin, attaché de conservation, Fondation Giacometti. Marc Étienne, conservateur en chef, département des Antiquités égyptiennes, musée du Louvre. |
| Avec la collaboration exceptionnelle du musée du Louvre |
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 Farrah El Dibany à l’InstitutLa mezzo soprano égyptienne Farrah El Dibany de l’Académie de l’Opéra national de Paris sera l’invitée exceptionnelle de l’Institut Giacometti. Au cœur de l’exposition, elle proposera un récital original associant des airs d’opéra à ceux des grandes divas du monde arabe.
Évènement public retransmis sur les réseaux sociaux.
En partenariat avec l’Académie de l’Opéra national de Paris.
Mardi 5 octobre à 18h30
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Pour la première fois à Paris, une exposition réunit un ensemble de portraits dessinés et sculptés d’Henri Rol-Tanguy, héros de la Libération de Paris, réalisés par Alberto Giacometti juste après la guerre. Une douzaine de dessins, esquisses préparatoires et 17 sculptures de petit format illustrent la recherche esthétique et conceptuelle d’Alberto Giacometti, le rapport de l’artiste à la représentation de la tête de son modèle, le passage de l’homme public à l’homme « monument ».
Commissaires : Sylvie Zaidman, conservatrice en chef et directrice du musée de la Libération de Paris, et Michèle Kieffer, attachée de conservation à la Fondation Giacometti.
Du 1er octobre 2021 au 30 janvier 2022
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Il reste encore quelques semaines pour découvrir cette exposition issue d’une collaboration entre le musée Misericordia, la Fondation Giacometti et la Peter Lindbergh Foundation, rassemblant plus de cent-dix œuvres des deux artistes, entre photographies, bronzes et dessins. Le face-à-face entre leurs œuvres témoigne du dialogue très intime qui s’est établi entre Lindbergh et Giacometti, tout en révélant de nombreux points communs dans leurs manières d’appréhender la représentation du réel.
Commissaires : Serena Bucalo-Mussely, conservatrice à la Fondation Giacometti, et Peter Lindbergh Foundation.
Jusqu’au 24 septembre 2021
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 « Nancy Cunard, la passeuse », par Sarah Frioux SalgasÀ son arrivée à Paris dans les années 1920, Nancy Cunard fréquente les avant-gardes et trouve un environnement libérateur pour sa sexualité et ses activités intellectuelles et créatrices. À la fois poétesse, collectionneuse d’art non occidental, modèle, éditrice et journaliste, Nancy Cunard est une passeuse essentielle dans la modernité anglo-saxonne et française. Cette conférence permettra de découvrir le milieu intellectuel et artistique au sein duquel Cunard a conçu son impressionnante et célèbre Negro Anthology (1931-1934), somme de plus de 800 pages sur la culture de l’Atlantique noir.
Sarah Frioux Salgas est responsable des archives et de la documentation des collections à la médiathèque du musée du quai Branly – Jacques Chirac. Elle a été commissaire de l’exposition « L’Atlantique noir de Nancy Cunard. Negro Anthology (1931-1934) » (2013).
21 septembre 2021 à 18h30
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 Cours et ateliersLa saison 2021-2022 est placée sous le signe de la créativité. L’Institut Giacometti vous présente sa nouvelle offre pédagogique avec de cours et ateliers créatifs originaux à destination de tous publics, pour découvrir de manière ludique et créative l’œuvre et l’époque de Giacometti.
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La Fondation Giacometti lance une nouvelle collection d’ouvrages sur la correspondance inédite d’Alberto Giacometti (1901-1966) aux éditions Chauveau. Les trois premiers volumes sont consacrés à la correspondance foisonnante que Giacometti a entretenue avec ses parents. Cette sélection de lettres permet d’entrer dans l’intimité de l’artiste et de suivre son parcours artistique, de ses débuts à sa consécration.
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Lieu d’exposition à Paris
5, rue Victor-Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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| Dans la lignée des grandes monographies d’artistes présentées au Grimaldi Forum, – Salvador Dalí, Francis Bacon, Pablo Picasso ou encore Andy Warhol – La Fondation Giacometti présente cet été pour la première fois à Monaco, une rétrospective exceptionnelle de l’œuvre d’Alberto Giacometti. Le prêt de 230 œuvres en fait la plus importante de ces dernières années couvrant toutes les périodes et tous les médiums (sculptures, peintures, dessins, gravures). Ce voyage au cœur de l’intimité de l’artiste est placé sous le signe du « réel merveilleux », ce regard émerveillé que Giacometti porte sur les êtres proches et les choses qui l’entourent.Commissaires : Émilie Bouvard, directrice scientifique et des collections de la Fondation Giacometti, en collaboration avec Christian Alandete, directeur artistique de l’Institut Giacometti |
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Tout au long de l’été, venez découvrir à l’Institut Giacometti un dialogue fascinant entre des œuvres d’Alberto Giacometti et de l’Égypte antique. Réalisée en collaboration avec le musée du Louvre, cette exposition confronte des sculptures, des peintures ainsi que de nombreux dessins inédits à une sélection d’œuvres issues des collections du musée du Louvre. Elle permet une relecture des œuvres de Giacometti à travers le prisme de l’Antiquité égyptienne, source de modernité pour nombre d’artistes au XXe siècle.
Commissaires : Thierry Pautot, attaché de conservation, responsable des archives et de la recherche, et Romain Perrin, attaché de conservation, Fondation Giacometti
Marc Étienne, conservateur en chef, département des Antiquités égyptiennes, musée du Louvre
Jusqu’au 10 octobre 2021
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Vue d’exposition, musée Misericordia de Porto |
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L’exposition « Giacometti – Lindbergh. Saisir l’invisible » se poursuit au Museu da Misericórdia, à Porto (Portugal). Cette confrontation offre l’opportunité de montrer le dialogue très intime qui s’est instauré entre le photographe et les œuvres du sculpteur, tout en révélant d’innombrables similitudes dans leurs manières d’appréhender le réel. Fasciné depuis son plus jeune âge par l’œuvre et la personnalité d’Alberto Giacometti, Peter Lindbergh a été invité en 2017 à photographier les œuvres de celui-ci à la Fondation Giacometti, à Paris. En privilégiant les gros plans et les grands tirages, Lindbergh nous fait découvrir, par la photographie, des aspects des sculptures de Giacometti impossibles à percevoir à l’œil nu.
Commissaires : Serena Bucalo-Mussely, conservatrice à la Fondation Giacometti, et la Peter Lindbergh Foundation
Jusqu’au 24 septembre 2021
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Les participants parcourent l’exposition « Giacometti et l’Égypte antique » et copient les œuvres qu’ils voient, comme le faisait Alberto Giacometti. Ils expérimentent différents outils (crayon, stylo-bille, plume) et sont même autorisés à dessiner sur les pages de livres !
Pour les enfants de 7 à 12 ans
10, 11, 17, 18, 24 et 25 juillet de 15h à 17h
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  Atelier modelage : « Tête de chat, tête de chien »Par Osiris et par Apis, vous êtes maintenant un chat… ou un chien ! Dans l’Égypte antique, ces deux animaux incarnaient des divinités et étaient souvent représentés dans l’art. Par la technique du modelage sur fil de fer, réalisez votre propre autoportrait en empruntant au chat ou au chien leurs caractéristiques physiques.
Pour les enfants de 7 à 12 ans
Du mardi 24 au dimanche 29 août de 15h à 17h
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⏱️ Atelier bande dessinée : « La machine à remonter le temps »Après votre visite à l’institut Giacometti, vous vous baladez dans la rue quand, soudain, une machine à remonter le temps se pose sur le trottoir et vous permet d’embarquer pour l’Égypte antique… que faites-vous ?! Partez à l’aventure et découvrez les différentes techniques de la bande dessinée à travers ce voyage dans le temps. Réalisez une planche par séance et un petit livre à la fin de la semaine. Possibilité de s’inscrire pour une ou plusieurs séances.
Pour tous publics à partir de 7 ans.
Du mardi 17 au dimanche 22 août de 15h à 17h
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L’Institut Giacometti fête l’été avec les habitants et associations du XIVe arrondissement, en programmant un week-end exceptionnel d’animations gratuites : ateliers créatifs autour de Giacometti, yoga, danse orientale…
Vendredi 9, samedi 10 et dimanche 11 juillet 2021
›› DÉCOUVRIR LE PROGRAMME DE L’INSTITUT GIACOMETTI
›› TOUT LE PROGRAMME « AIMER L’ÉTÉ » DU 14E ARRONDISSEMENT |
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Au mois de juillet, l’Institut Giacometti participe pour la première fois à l’opération nationale « C’est mon patrimoine ! », qui permet aux jeunes des centres de loisirs ou socioculturels de découvrir le patrimoine local de manière ludique et créative. Les enfants et adolescents de 6 à 18 ans plongeront dans l’univers de Giacometti pendant une journée, grâce à une balade dans le quartier Montparnasse, une visite des expositions et un atelier de sculpture au Giacometti Lab. Chaque vendredi, les participants présenteront leurs réalisations à leurs proches et pourront réinviter ces derniers à l’Institut au cours de l’année.
›› EN SAVOIR PLUS SUR « C’EST MON PATRIMOINE » |
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Lieu d’exposition à Paris
5, rue Victor-Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti présente du 22 juin au 10 octobre 2021, une exposition consacrée à la relation qu’Alberto Giacometti a entretenue, toute sa vie, avec l’art de l’Égypte antique. Réalisée en collaboration avec le musée du Louvre, cette exposition propose un dialogue original entre des sculptures emblématiques de Giacometti et des œuvres millénaires issues des collections égyptiennes du musée du Louvre.
Que ce soit à travers le dessin, la sculpture ou la peinture, l’art égyptien constitue pour l’artiste à la fois un répertoire de formes et une inspiration essentielle pour sa conception esthétique. À cette occasion seront également montrés de nombreux dessins inédits de Giacometti, réalisés d’après des sculptures égyptiennes.Commissaires : Thierry Pautot, attaché de conservation, responsable des archives et de la recherche et Romain Perrin, attaché de conservation, Fondation Giacometti
Marc Étienne, conservateur en chef, département des Antiquités égyptiennes, musée du Louvre |
| Avec la collaboration exceptionnelle du musée du Louvre |
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Cette exposition, née d’une collaboration entre le musée Misericordia, la Fondation Giacometti et la Peter Lindbergh Foundation, rassemble plus de cent-dix œuvres des deux artistes, entre photographies, bronzes et dessins. Le face-à-face entre les œuvres des deux artistes témoigne du dialogue très intime qui s’est établi entre Lindbergh et Giacometti, tout en révélant de nombreux points communs dans leurs manières d’appréhender la représentation du réel.
Commissaires : Serena Bucalo-Mussely, conservatrice à la Fondation Giacometti, et Peter Lindbergh Foundation
Jusqu’au 24 septembre 2021
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Cet été, le Grimaldi Forum, à Monaco, en collaboration avec la Fondation Giacometti, dédiera pour la première fois une grande rétrospective à Alberto Giacometti, la plus importante de ces dernières années. Sur près de 2 500 m², cette exposition, placée sous l’angle de l’émerveillement du quotidien, offrira une vue complète de la création du sculpteur et peintre. Elle couvrira toutes les époques et toutes les techniques, des œuvres de jeunesse à la période surréaliste, du retour à la figuration à l’invention des icônes de l’après-guerre.
Commissaire : Émilie Bouvard, directrice scientifique et des collections de la Fondation Giacometti, en collaboration avec Christian Alandete, directeur artistique de l’Institut Giacometti
Du 3 juillet au 29 août 2021
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Artiste voyageuse, Leonora Carrington (1917-2011), née en Angleterre, a passé la plus grande partie de sa vie au Mexique, après avoir séjourné brièvement en France, puis aux États-Unis. Son imaginaire se développe au contact du surréalisme, en France, auprès de Max Ernst, avec lequel elle vit pendant trois années avant la guerre. Son œuvre multiple se déploie tant dans l’écriture que la peinture. Cette conférence permettra de pénétrer cette œuvre d’une diversité fascinante, qui est malheureusement peu conservée et exposée en France.
Jacqueline Chénieux-Gendron est directrice de recherche émérite au CNRS, membre du Centre de recherches sur les arts et le langage (EHESS-CNRS). Éminente spécialiste du surréalisme, elle a publié Surréalismes. L’esprit et l’histoire (Honoré Champion, 2014) et prépare Surréalismes et résistance à l’esthétique : vers une pensée morale (Éditions Hermann, à paraître en 2021) ainsi que la publication de la correspondance de Leonora Carrington.
Conférence en français sur Zoom
Mardi 8 juin 2021 à 18h30
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L’Institut Giacometti, en collaboration avec Les Gobelins, l’école de l’image, présente le résultat d’un projet pédagogique réalisé dans le cadre de la résidence de Douglas Gordon à l’Institut Giacometti. Imaginant la rencontre entre l’art d’Alberto Giacometti et celui de Douglas Gordon, les élèves de la formation de « motion design » vous embarquent dans leurs univers.
Coordination : Laure Chapalain, Gobelins, et Christian Alandete, Fondation Giacometti. Les courts-métrages seront diffusés chaque jour sur notre site Internet et nos réseaux sociaux.
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Dessiner sur les livres, c’est permis !
Les participants découvrent l’exposition « Giacometti et l’Égypte antique » et copient les œuvres qu’ils voient, comme le faisait Alberto Giacometti. Ils expérimentent différents outils (crayon, stylo-bille, plume…) et sont même autorisés à dessiner sur les pages de livres !
Rendez-vous : 10, 11, 17, 18, 24 et 25 juillet 2021 à 15h
Pour les enfants de 7 à 12 ans
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Lieu d’exposition à Paris
5, rue Victor-Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’institut Giacometti a le plaisir de rouvrir ses portes à partir du 19 mai dans le respect du nouveau protocole sanitaire. Vous avez quelques semaines pour découvrir l’exposition « Giacometti / Beckett. Rater encore. Rater mieux. » avant sa fermeture le 8 juin.Pour l’occasion, l’Institut Giacometti reste ouvert 7 jours sur 7 de 10h à 18h avec deux nocturnes les jeudis et vendredis jusqu’à 20h. L’entrée est gratuite les 19, 20 et 21 mai sur réservation et dans la limite des places disponibles.
›› La jauge étant très réduite, les réservations en ligne sont obligatoires.
›› Les visites guidées en ligne sont toujours accessibles, du mardi au samedi à 12 h.
›› Retrouvez les détails des règles sanitaires« Giacometti / Beckett. Rater encore. Rater mieux. » présente la longue amitié entre l’artiste et l’écrivain qui remonte à 1937 et perdure jusqu’à la mort de l’artiste en 1966. Cette exposition met en lumière de profondes parentés entre les deux œuvres, à travers une sélection de sculptures, d’œuvres audiovisuelles et d’archives inédites. L’exposition bénéficie du soutien de l’ambassade d’Irlande en France et de Culture Ireland.
Commissaire : Hugo Daniel, chargé de mission curatoriale à la Fondation Giacometti |
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Plus qu’un mois pour visiter notre exposition « Giacometti – Face to Face » au Moderna Museet de Stockholm. Le parcours retrace l’évolution de son œuvre, du postcubisme au réalisme d’après-guerre en passant par le surréalisme, à travers une sélection d’une centaine de sculptures, peintures et dessins. Chaque grande période est présentée dans un face à face avec l’œuvre de trois écrivains contemporains de l’artiste : Georges Bataille, Jean Genet et Samuel Beckett.
Jusqu’au 30 mai 2021
Commissaires : Jo Widoff, Curator au Moderna Museet, et Christian Alandete, Directeur artistique de l’Institut Giacometti, Fondation Giacometti
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Vue de l’exposition « Alberto Giacometti – Peter Lindbergh. Capturer l’invisible ».
Museu da Misericordia de Porto |
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Cette exposition, née de la collaboration entre le Museu da Misericordia, la Fondation Giacometti et la Peter Lindbergh Foundation, rassemble plus de 110 œuvres des deux artistes. Les photographies prises par Lindbergh dans les réserves de la Fondation Giacometti et exposées à l’Institut en 2019, mais aussi ses images iconiques inspirées du monde de la mode, sont confrontées aux bronzes et dessins de Giacometti. Ce dialogue intime révèle le regard incisif d’un photographe sur l’œuvre du sculpteur, dévoilant des points de vue et des détails surprenants, ainsi qu’une commune passion pour la représentation du corps dans toute sa réalité.
Du 15 avril au 24 septembre 2021
Commissaire : Serena Bucalo-Mussely, Conservatrice à la Fondation Giacometti, et Peter Lindbergh Foundation
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Giacometti quitte sa Suisse natale dès les années 1920, pour étudier à Paris et s’y installer définitivement. Éloigné de ses parents, il entretient avec eux une correspondance régulière dans laquelle le jeune artiste raconte ses débuts, ses déboires, ses espoirs et ses premières réussites.
À l’occasion de la fête des Mères, retrouvez des extraits de la correspondance d’Alberto avec sa mère Annetta lus par Joana Preiss et Olivier Martinaud.
Cette lecture sera à revoir à partir du Dimanche 30 mai 2021 depuis les réseaux sociaux de la Fondation Giacometti et sur notre site internet
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 ️ « James Europe, Albert Alexander Smith et Horace Pippin : trois artistes Africains-Américains de la Grande Guerre à la modernité » par Daniel Soutif |
Quoique fortement soumis à la discrimination, les Africains-Américains s’enrôlèrent en masse dans l’armée américaine pendant la Première Guerre mondiale pour combattre en Europe. Ainsi, grâce notamment à l’orchestre militaire du lieutenant Jim Europe (1880-1919), le jazz y fit ses premiers pas. Tels Albert Alexander Smith (1896-1940) et Horace Pippin (1888-1946), des peintres ou futurs peintres traversèrent également l’Atlantique. Et de cette traversée résulta un bon nombre d’œuvres d’art, réalisées sur place ou après coup. Cette conférence retracera le parcours de ces artistes, qui ont autant contribué à l’essor de la modernité en France qu’aux États-Unis.
Daniel Soutif est historien et critique d’art et commissaire d’exposition. Il a été rédacteur en chef des Cahiers du Musée national d’art moderne (1990-1994) et directeur du département du développement culturel au Centre Pompidou (1993-2001). Il a été commissaire de nombreuses expositions marquantes dont Le Temps, vite ! (Centre Pompidou, 2000) et The Color Line. Les artistes Africains-Américains et la ségrégation (musée du quai Branly – Jacques-Chirac, 2016-2017).
Conférence en français sur place et sur Zoom.
Le mercredi 26 mai à 18h30
(CET – Paris Time)
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Nous vous donnons rendez-vous en ligne pour continuer à être créatif en famille en vous inspirant de l’œuvre et de la vie d’Alberto Giacometti !
Tous les mercredis, nous vous proposons d’explorer le thème de la Figure en cage en vous initiant à la technique du modelage d’argile sur fil de fer. Les samedis, c’est la bande dessinée qui est mise à l’honneur pour raconter de manière illustrée l’amitié qui lia Alberto Giacometti et Samuel Beckett.
Ateliers en direct sur Zoom de 15 h à 17 h, pour tous publics : enfants à partir de 7 ans, adolescents et adultes.
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« Si j’avais un conseil à donner à un jeune peintre, je lui dirais de commencer par copier une pomme. »
Avec ce nouveau tuto, essayez de peindre les objets qui vous entourent : des pommes, les meubles de votre chambre… Comme Giacometti, observez bien ce que vous voyez et apprenez à manier les couleurs et les contrastes. À vos pinceaux !
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L’Institut Giacometti a délocalisé ses ateliers dans le cadre de son projet pédagogique avec l’école élémentaire Arago à Paris. Sculpture sur fil de fer, modelage… Les artistes en herbe ont été initiés aux techniques de Giacometti à partir d’une sélection d’œuvres de la Fondation. Du CP au CM2, toutes les classes ont mis la main à la pâte. Les créations des enfants sont à retrouver sur notre site Internet.
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Institut Giacometti
5, rue Victor Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti, lieu d’exposition de la Fondation Giacometti, ouvrira le 19 mai selon les directives gouvernementales.
Informations et programmation en ligne sur notre site
www.fondation-giacometti.fr |
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Connectez-vous depuis chez vous et retrouvez l’équipe de médiation de l’Institut Giacometti pour découvrir notre nouvelle exposition « Giacometti/Beckett. Rater encore. Rater mieux. », dont les salles et les œuvres ont été filmées !
Cette visite guidée interactive d’une demi-heure vous présentera la longue amitié entre Alberto Giacometti et Samuel Beckett qui remonte à 1937 et perdure jusqu’à la mort de l’artiste en 1966. Cette exposition met en lumière de profondes parentés entre les deux œuvres, à travers une sélection de sculptures, d’œuvres audiovisuelles et d’archives inédites. L’exposition bénéficie du soutien de l’ambassade d’Irlande en France et de Culture Ireland.
Commissaire : Hugo Daniel, chargé de mission curatoriale à la Fondation Giacometti
Visite en ligne en français sur Zoom du mardi au samedi à 12 h.
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Après plusieurs mois de fermeture, le Moderna Museet rouvre les portes de l’exposition « Giacometti – Face to Face » et la prolonge jusqu’au 30 mai. C’est la première grande rétrospective du travail d’Alberto Giacometti en Suède depuis plus de vingt ans.
Le parcours retrace l’évolution de son œuvre, du postcubisme au réalisme d’après-guerre en passant par le surréalisme, à travers une sélection d’une centaine de sculptures, peintures et dessins. Chaque grande période est présentée dans un face à face avec l’œuvre de trois écrivains contemporains de l’artiste : Georges Bataille, Jean Genet et Samuel Beckett.
Jusqu’au 30 mai 2021
Commissaires : Jo Widoff, Curator au Moderna Museet, et Christian Alandete, Directeur artistique de l’Institut Giacometti, Fondation Giacometti
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Cette exposition, née de la collaboration entre le Museu da Misericordia, la Fondation Giacometti et la Peter Lindbergh Foundation, rassemble plus de 110 œuvres des deux artistes.
Les photographies prises par Lindbergh dans les réserves de la Fondation Giacometti et exposées à l’Institut en 2019, mais aussi ses images iconiques inspirées du monde de la mode, sont confrontées aux bronzes et dessins de Giacometti. Ce dialogue intime révèle le regard incisif d’un photographe sur l’œuvre du sculpteur, dévoilant des points de vue et des détails surprenants, ainsi qu’une commune passion pour la représentation du corps dans toute sa réalité.
Du 15 avril au 24 septembre 2021
Commissaires : Serena Bucalo-Mussely, Conservatrice à la Fondation Giacometti, et Peter Lindbergh Foundation
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L’œuvre de la sculptrice argentine Alicia Rosario Pérez Penalba(1913-1982) prend son essor à Paris dans les années 1950. Le parcours de l’artiste dans ces années-là et les amitiés qu’elle a nouées dans les milieux artistique et intellectuel (avec entre autres Wilfredo Lam, Henri Matisse ou Alberto Giacometti) ont été décisifs dans sa construction d’une voie singulière au sein de la sculpture abstraite d’après-guerre. Retracer son parcours à Paris permet de rappeler aujourd’hui l’importance de cette œuvre. Les archives de l’artiste, rendues publiques récemment, ont nourri cette étude. Victoria Giraudo est conservatrice en chef au Malba (Museo de Arte Latinoamericano à Buenos Aires). Elle a été commissaire d’expositions majeures sur l’art latino-américain, dont Alicia Penalba, escultora (2016) et Remedios Varo : Constelaciones (2020). Elle publiera cette année dans la collection de l’École des modernités l’ouvrage Alicia Penalba, Paris Années 1950, premier essai monographique sur l’artiste depuis de nombreuses années.
Conférence en anglais sur Zoom.
Le mercredi 7 avril à 18h
(CET – Paris Time)
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Figures majeures du surréalisme tchèque, Marie Čermínová dite « Toyen » (1902-1980) et son mari l’artiste Jindřich Štyrský (1899-1942) s’installent à Paris, où ils nouent, à partir des années 1930, des amitiés profondes avec plusieurs surréalistes. Ils y développent leur propre mouvement, l’« artificalisme », qui recherche une sensorialité en empruntant notamment les chemins de l’inconscient. Cette conférence rappellera l’importance de la communauté d’artistes tchèques à Paris entre les deux guerres. Anna Pravdová est historienne d’art et conservatrice de la collection d’art moderne de la Galerie nationale de Prague. Spécialiste des relations artistiques franco-tchèques, elle a coordonné plusieurs expositions sur ce sujet dont Rattrapés par la nuit. Les artistes tchèques en France 1938-1945 (musée des Beaux-Arts, Cheb, 2015) et Kupka. Pionnier de l’abstraction (Grand Palais, Paris, 2018). Elle prépare actuellement une exposition sur Toyen coorganisée par la Galerie nationale de Prague, la Kunsthalle de Hambourg et le musée d’Art moderne de Paris.
Conférence en français sur Zoom.
Le mercredi 28 avril à 18h30
(CET – Paris Time)
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Nous vous donnons rendez-vous en ligne pour continuer à être créatif en famille en vous inspirant de l’œuvre et de la vie d’Alberto Giacometti !
Tous les mercredis, nous vous proposons d’explorer le thème de la Figure en cage en vous initiant à la technique du modelage d’argile sur fil de fer. Les samedis, c’est la bande dessinée qui est mise à l’honneur pour raconter de manière illustrée l’amitié qui lia Alberto Giacometti et Samuel Beckett. Pendant les vacances scolaires, les ateliers deviennent quotidiens.
Ateliers en direct sur Zoom de 15 h à 17 h, pour tous publics : enfants à partir de 7 ans, adolescents et adultes.
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Avec ce nouveau tuto, lancez-vous dans l’exploration du hasard, des rêves et de l’absurde, en expérimentant les procédés de dessin et d’écriture des surréalistes dont Giacometti a fait partie ! Saurez-vous maîtriser la technique du frottage pour dessiner une créature ou un objet fantastiques ? À moins que vous ne préfériez le collage surréaliste ou bien le cadavre exquis dessiné ? Les surréalistes jouaient à ces jeux pour écrire notamment des poèmes à plusieurs. À vos crayons !
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Après la guerre, Alberto Giacometti retrouve avec joie son atelier et ses camarades. Annette Arm, rencontrée en Suisse, vient vivre avec lui à Paris. Les sollicitations affluent de toutes parts et un déjeuner avec Pierre Matisse débouche sur un projet d’exposition à New York. Après 10 années sans exposer de nouvelles œuvres, Giacometti signe son grand retour sur la scène artistique.
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Institut Giacometti
5, rue Victor Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti, lieu d’exposition de la Fondation Giacometti, est actuellement fermé.
Informations et programmation en ligne sur notre site
www.fondation-giacometti.fr |
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Lors d’une conférence suivie d’un entretien avec Hugo Daniel, commissaire de l’exposition « Giacometti / Beckett. Rater encore. Rater mieux. », l’artiste irlandais Gerard Byrne reviendra sur son intérêt pour les mises en scène de Beckett, et plus particulièrement sur les représentations du décor d’En attendant Godot par Giacometti.
Ce travail aboutit en 2005 à une installation intégrant une réinterprétation de l’arbre réalisé par Giacometti pour Beckett. L’œuvre de Gerard Byrne a été exposée dans les plus grandes institutions internationales, représentant notamment l’Irlande à la Biennale de Venise en 2007.
Entretien en anglais sur Zoom, avec le soutien de Culture Ireland
Le mercredi 24 février à 18 h
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L’actrice Lisa Dwan, primée au théâtre, au cinéma et à la télévision, est reconnue pour ses performances dans les adaptations des œuvres de Samuel Beckett. Entraînée par Billie Whitelaw, la muse de Beckett, elle est considérée comme son héritière artistique.
Avec ce rendez-vous en ligne, Lisa Dwan présentera dans une performance immersive le rôle de la danse dans l’œuvre de Beckett. Cette conférence, A Body of Beckett, est à la fois une exploration de l’œuvre de Beckett et de ses interrogations métaphysiques. Une performance en ligne à découvrir sur Zoom.
Le samedi 13 février à 18 h
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Comme beaucoup d’autres, les artistes de la Harlem Renaissance sont venus nombreux à Paris, attirés par la vitalité artistique, et un accueil sans préjugés raciaux au sein de la communauté artistique. Voyageuse à l’esprit curieux, la peintre afro-américaine Loïs Mailou Jones a ainsi choisi de venir à Paris où elle passa en 1937-1938 par l’Academie Julian.
À partir de l’œuvre et des expériences réalisées par la peintre pendant son passage à Paris, cette conférence de Rebecca VanDiver professeure en études afro-américaines à la Vanderbilt University (Nashville, Tennessee), et autrice de l’ouvrage de référence récemment publié Designing a New Tradition : Loïs Mailou Jones and the Aesthetics of Blackness, permettra de ressaisir une œuvre injustement oubliée.
Conférence en anglais sur Zoom.
Le mardi 16 février à 18 h
(CET – Paris Time)
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Nous vous donnons rendez-vous en ligne pour continuer à être créatif en famille en vous inspirant de l’œuvre et de la vie d’Alberto Giacometti !
Tous les mercredis, nous vous proposons d’explorer le thème de la Figure en cage en vous initiant à la technique du modelage d’argile sur fil de fer. Les samedis, c’est la bande dessinée qui est mise à l’honneur pour raconter de manière illustrée l’amitié qui lia Alberto Giacometti et Samuel Beckett. Pendant les vacances scolaires, les ateliers deviennent quotidiens.
Ateliers en direct sur Zoom de 15 h à 17 h, pour tous publics : enfants à partir de 7 ans, adolescents et adultes.
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La Fondation Giacometti s’engage auprès des Apprentis d’Auteuil et plus particulièrement avec le lycée Saint-Jean, à Sannois. Les élèves des sections Marchandisage visuel, Menuiserie et Ébénisterie rencontrent les différents métiers de la Fondation Giacometti et sont initiés aux conditions spécifiques de l’emballage des œuvres d’art.
Une opportunité pour eux de découvrir des perspectives professionnelles en lien avec leur formation, mais aussi d’entreprendre un parcours pédagogique original : la création de caisses de transport.
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L’Institut Giacometti délocalise ses ateliers dans le cadre de son projet pédagogique annuel avec le lycée Rodin. Cette année, les élèves de la spécialité histoire des arts sont invités à imaginer leur propre médiation d’une sélection d’œuvres de la Fondation.
Des ateliers d’initiation aux techniques de Giacometti, de recherches sur l’artiste et d’écriture sont organisés tout au long de l’année. Résultat à retrouver en fin d’année scolaire sur notre site Internet.
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Quelle peinture d’Alberto Giacometti serez-vous ? Le 16 février prochain, nous vous donnons rendez-vous sur notre compte Instagram pour expérimenter notre filtre inspiré des portraits de l’artiste.
N’hésitez pas à mentionner la Fondation Giacometti pour que nous partagieons vos plus belles stories !
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En partenariat avec l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet et dans le cadre de la programmation de Words and Music, initialement prévue du 29 au 31 janvier 2021, revivez la performance musicale de Pedro García-Velásquez.
Le compositeur, installé au cœur de l’Institut Giacometti, nous offre un dialogue entre ses robots et le texte de Beckett lu par Johan Leysen. Découvrez l’exposition « Giacometti/Beckett. Rater encore. Rater mieux. » en musique !
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Institut Giacometti
5, rue Victor Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti, lieu d’exposition de la Fondation Giacometti, est actuellement fermé.
Informations et programmation en ligne sur notre site
www.fondation-giacometti.fr |
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| D’ici la prochaine autorisation de réouverture des musées, l’équipe de la Fondation Giacometti se mobilise pour vous proposer de nouveaux rendez-vous en ligne, en attendant l’expo. |
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L’Institut Giacometti présente une toute nouvelle exposition dédiée à la relation entre Alberto Giacometti et Samuel Beckett. Parmi les amitiés littéraires de Giacometti, celle qui le lie à Beckett n’est pas la plus connue, mais c’est l’une des plus durables et des plus essentielles.
Cette amitié remonte à 1937 et se développe dans l’après-guerre. Cette exposition met en lumière de profondes parentés entre les deux œuvres à travers une sélection de sculptures, d’œuvres audiovisuelles et d’archives inédites.
Exposition « Giacometti / Beckett. Rater mieux. Rater encore »
Commissaire : Hugo Daniel, chargé de mission curatoriale à la Fondation Giacometti
Jusqu’au 28 mars 2021.
L’Institut Giacometti proposera prochainement des visites en ligne de l’exposition.
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La musique aura-t-elle le dernier mot ? Les mots réussiront-ils à couper le sifflet de la musique ? De cet affrontement, Samuel Beckett a tiré une pièce radiophonique, aujourd’hui mis en notes par le compositeur Pedro Garcia-Velasquez. Le musicien propose un dialogue entre ses robots et le texte de Beckett lu par Johan Leysen. Avec cette performance sonore, découvrez l’exposition « Giacometti / Beckett » autrement !
Vendredi 15 janvier sur nos réseaux sociaux.
En partenariat avec l’Athénée Théatre Louis-Jouvet
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Avec cette édition digitale, les Nuits de la lecture s’invitent chez vous le week-end du 23 janvier prochain. Pour l’occasion, retrouvez les lectures de La recherche de l’absolu de Jean-Paul Sartre par Wajdi Mouawad et Marcher jusqu’au soir de et par Lydie Salvayre aux côtés de L’Homme qui marche.
Laissez-vous également porter par le son des podcasts de France Culture avec la lecture des écrits de Giacometti par Valérie Lang et les réflexions de l’artiste dans son texte Le Rêve, le Sphinx et la mort de T. lu par Gérard Cherqui.
Diffusées à partir du samedi 23 janvier sur nos réseaux sociaux et site internet.
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En attendant de pouvoir visiter l’exposition, découvrez notre nouveau filtre Instagram ! Grâce à la réalité virtuelle, il nous permet d’installer chez vous le décor conçu par Giacometti pour la pièce de Beckett. Comédiennes, comédiens, amateurs ou passionnés, n’hésitez pas à poster et partager vos plus belles interprétations de Beckett !
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Pour la première fois à Paris, cette exposition, co-organisée par le musée de la Libération – musée du général Leclerc – musée Jean Moulin et la Fondation Giacometti, réunit des portraits dessinés et sculptés du résistant Henri Rol-Tanguy réalisés par Alberto Giacometti juste après la guerre.
L’exposition « Rol-Tanguy par Giacometti » dévoile une quarantaine d’œuvres, fruits de la rencontre des deux hommes lors de cette période particulière que fut l’année 1946, un an et demi après la Libération de Paris.
Exposition « Rol-Tanguy et Alberto Giacometti »
Commissaires : Sylvie Zaidman, historienne, conservatrice en chef, directrice du musée de la Libération de Paris – musée du Général Leclerc – musée Jean Moulin et Michèle Kieffer, attachée de conservation à la Fondation Giacometti.
Du 4 février au 6 juin 2021
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Vue de l’exposition « Alberto Giacometti, l’humanité absolue »,
Cité Miroir de Liège, 2020 |
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Cette exposition monographique, qui a pu rouvrir ses portes en décembre dernier, est une première à Liège. Elle propose une lecture de l’œuvre d’après-guerre de l’artiste à travers le contexte historique et la vision existentialiste de Jean-Paul Sartre qu’Alberto Giacometti rencontre vers 1940.
Exposition «Alberto Giacometti, l’humanité absolue »
Commissaire : Émilie Bouvard, directrice scientifique et des collections à la Fondation Giacometti.
Prolongations jusqu’au 14 février 2021
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Pour découvrir l’exposition « Alberto Giacometti, l’humanité absolue » et aborder le dialogue passionnant entre Jean-Paul Sartre, l’artiste et ses œuvres, la Fondation Giacometti vous invite à une conférence croisée entre Émilie Bouvard, commissaire de l’exposition, et Thomas Franck, chargé de recherche à la Cité Miroir et collaborateur scientifique à l’université de Liège. Un rendez-vous qui vous plongera au cœur de l’exposition actuellement présentée en Belgique.
Conférence en français, en ligne sur Zoom
Jeudi 14 janvier à 18h30
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Amedeo Modigliani, Femme aux yeux bleus, huile sur toile, vers 1918.
Musée d’art moderne de Paris |
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Que peut-on encore apprendre sur Amedeo Modigliani, longtemps cantonné à la figure de « l’artiste maudit » ? Quelle place occupe-t-il, à l’instar d’Alberto Giacometti, dans le cosmopolitanisme parisien ?
Cette conférence de Thierry Dufrêne, historien de l’art, Professeur à l’Université Paris Nanterre et spécialiste de l’oeuvre de Giacometti nous invite à nous plonger dans l’univers artistique du Paris bohème. Il interrogera ainsi l’œuvre de Modigliani, sa contribution aux avant-gardes parisiennes avant d’envisager les rapprochements possibles avec Giacometti.
Conférence en français, en ligne sur Zoom
Mardi 19 janvier à 18h
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Atelier de modelage au Giacometti LAB
© Fondation Giacometti |
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Les participants découvrent les univers d’Alberto Giacometti et de Samuel Beckett où les corps des personnages sont souvent contraints par des formes ou installés dans un espace délimité, comme sur une scène de théâtre. Ils explorent ensuite ce thème à travers la technique du modelage d’argile sur fil de fer et réalisent leur propre figure en cage.
Tous les mercredis de 15 à 17 heures
Atelier en ligne sur Zoom, à partir de 7 ans
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Cours de dessin pour enfants au Giacometti LAB
© Fondation Giacometti |
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Alberto Giacometti et Samuel Beckett ont partagé une grande amitié et ont même travaillé ensemble. Avec cet atelier créatif, les participants découvriront leurs liens, leurs affinités et seront invités à raconter en bande-dessinée leurs propres relations amicales. Qu’est-ce qu’un ami ? Comment se sent-on en sa présence ? Que partage-t-on avec lui ?
Tous les samedi de 15 à 17 heures
Atelier en ligne sur Zoom, à partir de 7 ans
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Institut Giacometti
5, rue Victor Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti, lieu d’exposition de la Fondation Giacometti, est actuellement fermé.
Informations et programmation en ligne sur notre site
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2020
« Et comment avez-vous passé Noël ?
Nous, nous avons marché jusqu’à Montparnasse où, après avoir cherché longtemps, nous avons trouvé un petit café tranquille où nous sommes restés, avons mangé un peu et parlé un peu. Puis un à un, après avoir tourné un peu, nous sommes allés à la maison sous la pluie, et dans chaque maison on voyait des gens qui dansaient avec des chapeaux de papier coloré.
C’est ça Noël à Paris, et on pense tous à d’autres Noëls, dans d’autres lieux, et c’est cela qui donne encore une fois à cette fête un je ne sais pas quoi de spécial. »
Lettre d’Alberto Giacometti à ses parents, le 29 décembre 1925Pour cette période de fêtes, la Fondation Giacometti vous propose des contenus poétiques et ludiques à regarder, à écouter ou à partager avec vos proches. Profitez bien de ces moments et nous vous donnons rendez-vous en 2021 ! |
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En 1948, Jean-Paul Sartre écrit « La recherche de l’absolu », à l’occasion de la première exposition monographique de Giacometti à New York qui marque le grand retour du sculpteur sur la scène artistique, après plus de dix ans d’absence.
Installé au cœur de l’exposition « L’Homme qui marche » à l’Institut Giacometti, l’auteur, metteur en scène et comédien Wajdi Mouawad lit ce très beau texte philosophique et poétique, dans lequel Sartre applique à l’œuvre de Giacometti sa pensée existentialiste. Un partenariat inédit avec La Colline – théâtre national, dirigé par Wajdi Mouawad.
Réalisation : Tuong-Vi Nguyen et Aurélien Hamon
Retrouvez cette performance filmée en diffusion intégrale sur nos réseaux sociaux le 27 décembre.
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Plongez au cœur de l’exposition « L’Homme qui marche » à l’Institut Giacometti depuis chez vous. Cette visite, accompagnée de podcasts pour chaque salle, vous fera (re)découvrir l’histoire du motif iconique d’Alberto Giacometti : la figure en mouvement. Cette exposition retrace sa généalogie, depuis la Femme qui marche de la période surréaliste jusqu’aux icônes créées en 1959-1960.
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Installez-vous confortablement pour écouter nos podcasts, qui vous racontent quelques histoires marquantes de la vie d’Alberto Giacometti. Après avoir passé une journée avec Giacometti à Montparnasse en décembre 1926 dans un premier épisode, Manon Delarue, médiatrice à l’Institut Giacometti, nous raconte le séjour du sculpteur à Genève pendant la Seconde Guerre mondiale.
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Que diriez-vous de retrouver chez vous une œuvre inspirée des célèbres sculptures du Chien et du Chat qu’Alberto Giacometti a créées en 1951 ? C’est désormais possible grâce à la réalité augmentée ! Nous vous donnons rendez-vous sur notre compte Instagram pour découvrir nos filtres et intégrer dans vos prochaines stories ces deux œuvres iconiques de Giacometti.
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Qui étaient les amis de Giacometti ? Grâce à cette grille de mots mêlés imaginée par Théodore Parizet, médiateur à l’Institut Giacometti, vous découvrirez les noms de quelques personnalités qui ont croisé la route du sculpteur, à différents moments de sa carrière. Certaines vous surprendront peut-être !
›› TÉLÉCHARGER LA GRILLE DE JEU |
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Depuis le mois de novembre, le programme #GiacomettiChezVous vous propose chaque semaine des conférences en ligne ou des ateliers créatifs autour d’une thématique. Retrouvez le replay et l’ensemble de ces rendez-vous sur notre site Internet.
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Institut Giacometti
5, rue Victor Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti, lieu d’exposition de la Fondation Giacometti, est actuellement fermé.
Informations et programmation en ligne sur notre site
www.fondation-giacometti.fr |
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Pour ces deux prochaines semaines, la Fondation Giacometti vous propose de nouvelles thématiques pour continuer de découvrir l’œuvre d’Alberto Giacometti. Avec, au programme, des conférences en ligne, des ateliers créatifs et des contenus inédits sur nos réseaux sociaux !
En attendant de nous retrouver, vous pouvez voir ou revoir les précédents évènements #GiacomettiChezVous sur notre site Internet.
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« Pour vivre, je faisais des vases, des lampes, des objets décoratifs… », expliquait Alberto Giacometti en 1952. Parallèlement à son travail de sculpteur, Alberto Giacometti conçoit, à partir de 1929, de nombreuses créations très originales dans le domaine des arts décoratifs.
Appliques, lampadaires, lampes, vases, ce sont près d’une centaine « d’objets utilitaires », comme il se plaît à les nommer, que Giacometti réalisera tout au long des années 1930. Après-guerre, il prolongera cette activité de manière plus sporadique et dans un tout nouveau style.
Thierry Pautot, responsable de la recherche à la Fondation Giacometti, évoquera cette production d’objets, peut-être moins connue, mais faisant partie intégrante de l’œuvre de l’artiste.
Conférence en français sur zoom.
Mardi 8 décembre à 18 heures
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Fabriquez une broche dorée en forme d’oiseau, pour vous-même ou pour offrir ! Découvrez les objets décoratifs créés par Giacometti et suivez pas à pas les conseils de Laura Partin, médiatrice de l’Institut Giacometti pour apprendre à créer votre propre bijou, inspiré par les modèles de l’artiste.
›› VOIR LE TUTO EN LIGNE |
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En octobre 1955, Giacometti fait la connaissance d’un jeune professeur de philosophie japonais, Isaku Yanaihara (1918-1989). Celui-ci s’intéresse à l’existentialisme. Une entente profonde se noue entre les deux hommes au fil des mois, au point que Giacometti lui propose de poser pour lui en octobre 1956. Le philosophe qui introduira l’œuvre de l’artiste au Japon, reviendra chaque été, en 1957, 1959, 1960 et 1961.
De ces séances, et d’autres d’après mémoire, il demeure 21 peintures et deux bustes ainsi que quelques dessins. Cette expérience, extraordinaire et marquante, est relatée dans plusieurs livres de Yanaihara, qui sont une source précieuse quant à la connaissance du rapport particulier que Giacometti entretenait avec ses modèles.
Émilie Bouvard, directrice scientifique et directrice des collections de la Fondation Giacometti, présentera cette rencontre singulière.
Conférence en français sur Zoom
Lundi 14 décembre à 18 heures
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Le groupe Gutai est un mouvement d’avant-garde japonais proche des pratiques de l’art action qui allie le corps, le temps et l’espace. Diffusé à Paris, son influence sur l’art outre Atlantique et européen reste cependant sous-estimé.
La conférence de Ming Tiampo, professeure d’histoire de l’art et membre fondatrice du Centre for Transnational Cultural Analysis à l’université de Carleton, à Ottawa, interroge la définition de Gutai dans le champ du modernisme global et les raisons de son succès ces dernières années.
Conférence en anglais sur Zoom
Mardi 15 décembre à 18 heures 30
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En 1948 Jean-Paul Sartre écrit La recherche de l’absolu, à l’occasion de la première exposition monographique de Giacometti à New York en 1948, qui marque le grand retour du sculpteur sur la scène artistique, après plus de dix ans d’absence.
Installé au cœur de l’exposition « L’Homme qui marche », à l’Institut Giacometti, l’auteur, metteur en scène et comédien Wajdi Mouawad lit ce très beau texte philosophique et poétique, dans lequel Sartre applique à l’œuvre de Giacometti sa pensée existentialiste.
Cette performance filmée, en partenariat avec La Colline – théâtre national, sera diffusée prochainement sur nos réseaux sociaux.
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Institut Giacometti
5, rue Victor Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti, lieu d’exposition de la Fondation Giacometti, est actuellement fermé.
Informations et programmation en ligne sur notre site
www.fondation-giacometti.fr |
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Pour ces deux prochaines semaines, la Fondation Giacometti vous propose de nouvelles thématiques pour continuer de découvrir l’œuvre d’Alberto Giacometti. Avec, au programme, des conférences en ligne, des ateliers créatifs et des contenus inédits sur nos réseaux sociaux !
En attendant de nous retrouver, vous pouvez voir ou revoir les précédents évènements #GiacomettiChezVous sur notre site Internet.
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« Pour vivre, je faisais des vases, des lampes, des objets décoratifs… », expliquait Alberto Giacometti en 1952. Parallèlement à son travail de sculpteur, Alberto Giacometti conçoit, à partir de 1929, de nombreuses créations très originales dans le domaine des arts décoratifs.
Appliques, lampadaires, lampes, vases, ce sont près d’une centaine « d’objets utilitaires », comme il se plaît à les nommer, que Giacometti réalisera tout au long des années 1930. Après-guerre, il prolongera cette activité de manière plus sporadique et dans un tout nouveau style.
Thierry Pautot, responsable de la recherche à la Fondation Giacometti, évoquera cette production d’objets, peut-être moins connue, mais faisant partie intégrante de l’œuvre de l’artiste.
Conférence en français sur zoom.
Mardi 8 décembre à 18 heures
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Fabriquez une broche dorée en forme d’oiseau, pour vous-même ou pour offrir ! Découvrez les objets décoratifs créés par Giacometti et suivez pas à pas les conseils de Laura Partin, médiatrice de l’Institut Giacometti pour apprendre à créer votre propre bijou, inspiré par les modèles de l’artiste.
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En octobre 1955, Giacometti fait la connaissance d’un jeune professeur de philosophie japonais, Isaku Yanaihara (1918-1989). Celui-ci s’intéresse à l’existentialisme. Une entente profonde se noue entre les deux hommes au fil des mois, au point que Giacometti lui propose de poser pour lui en octobre 1956. Le philosophe qui introduira l’œuvre de l’artiste au Japon, reviendra chaque été, en 1957, 1959, 1960 et 1961.
De ces séances, et d’autres d’après mémoire, il demeure 21 peintures et deux bustes ainsi que quelques dessins. Cette expérience, extraordinaire et marquante, est relatée dans plusieurs livres de Yanaihara, qui sont une source précieuse quant à la connaissance du rapport particulier que Giacometti entretenait avec ses modèles.
Émilie Bouvard, directrice scientifique et directrice des collections de la Fondation Giacometti, présentera cette rencontre singulière.
Conférence en français sur Zoom
Lundi 14 décembre à 18 heures
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Le groupe Gutai est un mouvement d’avant-garde japonais proche des pratiques de l’art action qui allie le corps, le temps et l’espace. Diffusé à Paris, son influence sur l’art outre Atlantique et européen reste cependant sous-estimé.
La conférence de Ming Tiampo, professeure d’histoire de l’art et membre fondatrice du Centre for Transnational Cultural Analysis à l’université de Carleton, à Ottawa, interroge la définition de Gutai dans le champ du modernisme global et les raisons de son succès ces dernières années.
Conférence en anglais sur Zoom
Mardi 15 décembre à 18 heures 30
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En 1948 Jean-Paul Sartre écrit La recherche de l’absolu, à l’occasion de la première exposition monographique de Giacometti à New York en 1948, qui marque le grand retour du sculpteur sur la scène artistique, après plus de dix ans d’absence.
Installé au cœur de l’exposition « L’Homme qui marche », à l’Institut Giacometti, l’auteur, metteur en scène et comédien Wajdi Mouawad lit ce très beau texte philosophique et poétique, dans lequel Sartre applique à l’œuvre de Giacometti sa pensée existentialiste.
Cette performance filmée, en partenariat avec La Colline – théâtre national, sera diffusée prochainement sur nos réseaux sociaux.
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Institut Giacometti
5, rue Victor Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti, lieu d’exposition de la Fondation Giacometti, est actuellement fermé.
Informations et programmation en ligne sur notre site
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Pour ces deux prochaines semaines, la Fondation Giacometti vous propose de nouvelles thématiques pour continuer de découvrir l’œuvre d’Alberto Giacometti.
Avec, au programme, des conférences en ligne, des ateliers créatifs, une visite virtuelle et des contenus inédits sur nos réseaux sociaux ! Restez également informés en consultant régulièrement notre page dédiée à cette nouvelle édition de #GiacomettiChezVous.
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Centrales dans l’imaginaire surréaliste, les figures féminines sont plus rares dans les histoires du mouvement telles qu’elles sont écrites.
Au-delà des figures reconnues que sont Leonor Fini, Dorothea Tanning et Meret Oppenheim, cette conférence d’Ingrid Pfeiffer, historienne d’art et conservatrice à la Schirn Kunsthalle à Francfort, permettra d’appréhender l’œuvre d’artistes moins connues.
La redécouverte d’Emmy Bridgwater, de Bridget Tichenor, de Jane Graverol ou encore de Rachel Baes retisse les liens internationaux au sein du surréalisme et révèle des œuvres trop souvent délaissées.
Conférence en anglais sur zoom.
Mercredi 25 novembre
À 18 heures 30
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Cette visite virtuelle vous invite sur les traces d’œuvres disparues de la période surréaliste de Giacometti. Disparues ? Pas totalement, car Alberto Giacometti a laissé des indices derrière lui, de précieux témoignages documentés qui nous aident à présenter aujourd’hui des œuvres méconnues et inédites. Menez l’enquête au cœur de l’exposition, visible au printemps dernier à l’Institut Giacometti.
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Rêves, hasard, automatismes, collages, cadavres exquis ! Pour ce nouveau rendez-vous avec Laura Partin, médiatrice à l’Institut Giacometti, nous vous proposons d’expérimenter en famille les jeux et la créativité des artistes surréalistes.
Cet atelier, en live sur Zoom, est conseillé aux enfants de 7 à 12 ans.
Samedi 28 à novembre à 15 heures
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Parmi les amitiés littéraires d’Alberto Giacometti, celle qui le lie à Samuel Beckett n’est pas la plus connue, mais c’est l’une des plus durables.
Les deux artistes aiment se retrouver lors de soirées sans fin dans les cafés de Montparnasse, puis arpenter Paris la nuit. De profondes parentés rapprochent leurs œuvres plastiques et théâtrales qui se concrétisent par une collaboration en 1961 : la réalisation par Giacometti d’un décor pour une mise en scène de la pièce En attendant Godot.
Hugo Daniel, responsable de l’École des modernités et commissaire de cette future exposition à l’Institut Giacometti, vous présentera cette amitié singulière.
Conférence en français sur Zoom
Lundi 30 novembre à 18 heures
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Si les amateurs de l’œuvre de Giacometti connaissent le frontispice qu’il réalisa pour le livre de son ami René Crevel, Les Pieds dans le plat, il ne s’agit là que de la partie la plus visible des liens qui les unissent. Alors que leur correspondance semble avoir disparu, Crevel mentionne à de nombreuses reprises son ami « Pac », dans les lettres envoyées à leurs amis communs, notamment Jean-Michel Frank ou les mécènes Charles et Marie-Laure de Noailles.
Cette conférence d’Alexandre Mare, commissaire d’exposition à la villa Noailles, à Hyères, et historien d’art, permettra de poser quelques bases pour mieux cerner cette relation particulièrement fructueuse.
Conférence en français sur Zoom
Jeudi 3 décembre à 18 heures
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Alberto Giacometti s’est formé au dessin d’après modèle à l’Académie de la Grande Chaumière, au début des années 1920. Plus tard, de nombreux amis intellectuels prennent réuglièrement la pose pour lui. Avec cet atelier en ligne sur Zoom, dessinateurs amateurs ou confirmés, vivez vous aussi une séance de dessin libre d’après modèle !
Samedi 5 décembre à 15 heures
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Institut Giacometti
5, rue Victor Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti, lieu d’exposition de la Fondation Giacometti, est actuellement fermé.
Informations et programmation en ligne sur notre site
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Alberto Giacometti a tracé une voie singulière dans l’histoire du modernisme européen, cherchant sans relâche un nouveau langage pour la sculpture comme « double de la réalité ».
Cette exposition met en lumière le dialogue étroit entre Giacometti et trois écrivains influents du XXe siècle : Georges Bataille, Jean Genet et Samuel Beckett. Tout au long de sa vie, ces amitiés ont eu un impact fort sur Giacometti et son travail. Présentant une centaine de sculptures et de peintures, cette rétrospective éclaire ces liens et retrace l’évolution de l’œuvre de Giacometti du post-cubisme au surréalisme en passant par le réalisme d’après-guerre.
Commissaires : Jo Widoff, Moderna Museet et Christian Alandete, Fondation Giacometti
Exposition coorganisée par le Moderna Museet et la Fondation Giacometti
Du 10 octobre 2020 au 17 janvier 2021
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« Alberto Giacometti – L’Humanité absolue » est la première exposition monographique d’ampleur dédiée à Giacometti en Belgique. Elle propose une lecture de l’œuvre d’après- guerre de l’artiste à travers le contexte historique et la vision existentialiste de Jean-Paul Sartre, qu’il rencontre en 1941.
Au cœur de la Cité Miroir, ancienne piscine des années 1930 à l’architecture atypique, l’exposition rassemble 35 chefs-d’œuvre en bronze de la collection de la Fondation Giacometti et une sélection de 52 lithographies issues de l’ouvrage de Giacometti, Paris sans fin.
Commissaire : Émilie Bouvard, Fondation Giacometti
Exposition coorganisée par l’asbl MNEMA-La Cité Miroir et la Fondation Giacometti
Du 17 octobre 2020 au 17 janvier 2021
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À l’Institut Giacometti, l’exposition « L’Homme qui marche » réunit pour la première fois toutes les variations de l’Homme qui marche d’Alberto Giacometti et invite à découvrir l’histoire d’une des plus célèbres sculptures du XXe siècle.
De la Femme qui marche de 1932 au plâtre de l’Homme qui marche III de 1960, l’exposition analyse la récurrence du motif de la figure en mouvement dans l’œuvre de l’artiste. Aux sculptures iconiques sont associés de nombreux documents d’archives, des photographies et des dessins inédits.
Commissaire : Catherine Grenier, Fondation Giacometti
Commissaire associé : Thierry Pautot, Fondation Giacometti
Exposition jusqu’au 29 novembre 2020
Préparer sa visite avec l’audioguide de l’exposition, disponible gratuitement en ligne.
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Connaissez-vous Isabel Rawsthorne ? Artiste anglaise, modèle et femme engagée, elle est l’une des muses et l’un des amours d’Alberto Giacometti qu’elle rencontre en 1935 à Paris.
Cette conférence de Carol Jacobi, conservatrice au département d’art britannique à la Tate Britain, à Londres, dépassera cet épisode pour illustrer tout le parcours de cette peintre méconnue du grand public. Aujourd’hui enfin redécouverte, l’œuvre singulière d’Isabel Rawsthorne marque l’influence qu’elle a eue sur l’art moderne et la redéfinition de la peinture figurative.
Conférence en anglais
Mardi 13 octobre à 18h30
En visioconférence sur Zoom
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En direct depuis Mexico, Karen Cordero Reiman, historienne d’art, commissaire et auteure, évoquera les différentes conceptions du modernisme dans l’œuvre du peintre Diego Rivera.
Elle présentera notamment les changements stylistiques, iconographiques et conceptuels dans son travail, depuis ses débuts à Mexico jusqu’à son séjour prolongé en Europe, entre 1907 et 1921. Cette évolution met en lumière le développement d’une proposition personnelle et l’incarnation d’une modernité plurielle, du symbolisme au muralisme mexicain.
Conférence en anglais
Lundi 2 novembre à 18h30
En visioconférence sur Zoom
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Centrales dans l’imaginaire surréaliste, les figures féminines sont plus rares dans les histoires du mouvement telles qu’elles sont écrites.
Au-delà des figures reconnues que sont Léonore Fini, Dorothea Tanning et Meret Oppenheim, cette conférence d’Ingrid Pfeiffer, historienne d’art et conservatrice à la Schirn Kunsthalle à Francfort, permettra d’appréhender l’œuvre d’artistes moins connues. La redécouverte d’Emmy Bridgwater, de Bridget Tichenor, de Jane Graverol ou encore de Rachel Baes retisse les liens internationaux au sein du surréalisme et révèle des œuvres trop souvent délaissées.
Conférence en anglais
Mercredi 25 novembre à 18h30
Au Giacometti LAB et en visioconférence sur Zoom
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Cours de dessin pour enfants au Giacometti LAB
© Fondation Giacometti |
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Tout au long de l’année, l’Institut Giacometti propose des cours d’histoire de l’art et des ateliers créatifs conçus pour tous les publics. Les adultes, les ados, les enfants ou les familles se retrouvent pour des expériences uniques de découverte et d’initiation. Chaque atelier ou cours donne ensuite un accès gratuit aux espaces de visite de l’Institut pour découvrir l’atelier de Giacometti et l’exposition en cours.
À vos agendas !
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ET ATELIERS |
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Institut Giacometti
5, rue Victor Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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L’Institut Giacometti, lieu d’exposition de la Fondation Giacometti, est ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.
Billetterie en ligne ou achat sur place par carte bancaire
www.fondation-giacometti.fr |
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L’œuvre la plus célèbre de Giacometti, l’Homme qui marche, plus qu’un chef- d’œuvre, est une icône de l’art du XXe siècle. Cette exposition réunit pour la première fois les différents modèles grandeur nature, ainsi que la plupart des variations sculptées et dessinées. Accompagnée de nombreux documents et dessins inédits, elle retrace la généalogie du motif, depuis la Femme qui marche de la période surréaliste, jusqu’aux icônes créées en 1959-1960.
Ces œuvres, à mi-chemin entre l’image et le signe, entre la figuration et l’abstraction, témoignent de la quête inlassable de l’artiste pour représenter l’essentiel de l’être humain. Leur dimension intemporelle et universelle leur confère une puissance symbolique, aux résonnances particulièrement fortes en ce moment de redémarrage de notre vie sociale.
Commissaire : Catherine Grenier
Commissaire associé : Thierry Pautot
Exposition jusqu’au 29 novembre 2020
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A l’occasion de la fête des Pères, les comédiens Joana Preiss et Olivier Martinaud lisent des extraits de la correspondance d’Alberto avec son père, l’artiste Giovanni Giacometti. Alberto Giacometti quitte sa Suisse natale au début des années 1920, pour étudier à Paris et s’y installer définitivement. Éloigné de ses parents, il entretient avec eux une correspondance régulière dans laquelle le jeune artiste raconte ses débuts, ses déboires, ses espoirs et ses premières réussites.
Cette lecture a été diffusée le dimanche 21 juin 2020 sur les réseaux sociaux de la Fondation Giacometti. Le premier épisode, la lecture des lettres entre Alberto et sa mère, Annetta Giacometti, est toujours en ligne !
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Le 23 juin prochain, l’École des Modernités accueille Deepak Ananth, historien de l’art et commissaire d’exposition. Passé par le St Xavier’s College de l’université de Bombay et par le Courtauld Institute à Londres, il enseigne à l’École supérieure d’arts et médias, à Caen. Spécialiste de l’art indien, il nous présente l’œuvre d’Amrita Sher-Gil (1913 – 1941), l’une des femmes artistes les plus importantes de la modernité indienne, devenue une figure mythique.
Après des études aux Beaux-arts de Paris, elle décide à l’âge de 21 ans de s’installer dans le pays d’origine de son père. Son intérêt pour l’art indien ancien réoriente de manière radicale la direction de son œuvre. « L’Europe appartient à Picasso, Matisse, Braque et bien d’autres ; l’Inde n’appartient qu’à moi » affirme Amrita Sher-Gil en 1938. Elle déclare ainsi, avec franchise et audace, son ambition de devenir la première peintre moderne de l’Inde. Décédée à 28 ans, en seulement sept ans de carrière, elle produit une œuvre unique conjuguant son héritage européen et ses origines indiennes. Conférence en ligne depuis Bangalore
En collaboration avec DAG
Mardi 23 juin 2020
17 h – Paris Time
 3:00 p.m. GMT-UTC
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Le 26 juin, Albert Dichy, directeur littéraire de l’IMEC et spécialiste de l’œuvre de Genet, nous raconte l’amitié entre Alberto Giacometti et Jean Genet.
La rencontre entre les deux hommes demeure un mystère. A priori, rien ne rapproche l’artiste et l’écrivain : ni leur art, ni leur histoire, ni leur tempérament, ni leur style. Pourtant, de tous les écrivains qu’il a connus et fréquentés, Giacometti distingue Genet comme une « exception ». Du sculpteur, Genet déclarera qu’il était non seulement « l’homme qu’il a le plus admiré », mais également « le seul ». Entre eux, il y eut plus qu’une amitié, un chassé-croisé d’artistes. On dénombre dans l’œuvre de Giacometti neuf portraits de Genet, et celui-ci consacra à son portraitiste un mince livre de 40 pages, L’Atelier d’Alberto Giacometti, dont Picasso dira qu’il est le plus beau livre dédié à un artiste. Que s’est-il donc passé entre eux ?Conférence en français
Vendredi 26 juin 2020
17 h – Paris Time
GMT-UTC : 3:00 p.m.
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La Place, bronze posé sur un bateau à Venise, Photo : Patricia Matisse
© Archives Fondation Giacometti, Paris |
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Mais où va donc l’Homme qui marche ? Traverse-t-il la ville, la campagne, ou une contrée exotique ? Imaginez un décor de promenade pour cette figure universelle, sous la forme de maquettes – dioramas, à l’aide de peinture, de collage et de pop-up.
Rendez-vous : 11, 12, 25 et 26 juillet
De 15h à 16h30 au Giacometti LAB
Pour parents et enfants dès 5 ans
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Lieu d’exposition à Paris
5, rue Victor-Schœlcher
75014 ParisMétro Raspail
ou Denfert-Rochereau |
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2019
2017
La Fondation Giacometti vous souhaite un très bel été, et vous invite
à voir ou revoir les expositions
“Giacometti”, Tate Modern, Londres.
“L’œuvre ultime”, Galerie Lympia, Nice.
The Fondation Giacometti wishes you a delightful summer, and invite you to visit its current exhibitions
“Giacometti”, Tate Modern, Londres.
“The Last Works”, Galerie Lympia, Nice.
GIACOMETTI.
Londres, Tate Modern.
Jusqu’au 10 septembre / Until September 10th.
“L’une des meilleures rétrospectives qu’on ait vu” – Le Monde
“A one-off “- The Times
“A must see for this summer” – Forbes
“Superbe” – Le Figaro
Première grande rétrospective au Royaume-Uni d’Alberto Giacometti depuis 20 ans, l’exposition rassemble plus de 250 œuvres, complétées par des dessins, livres et documents d’archives, et retrace l’évolution de l’artiste, de son arrivée à Paris jusqu’aux derniers portraits. Elle comprend des œuvres spécialement restaurées, inédites depuis plus de 60 ans.
La rétrospective montre la diversité du travail d’Alberto Giacometti, sculpteur, peintre et dessinateur, et révèle des aspects moins connus de son œuvre, notamment ses liens avec les arts décoratifs.
UK’s first major retrospective in 20 years, the exhibition gathers more than 250 works, mostly from the Foundation’s collection completed by exceptional loans to which are added books, drawings and archives documents that help retracing the artist’s evolution, from his arrival in Paris to the last portraits. The exhibition displays some works specially restored for the occasion that have not been seen for 60 years. The retrospective shows Giacometti as a painter as much as a sculptor, and aims to explore less-known aspect of his work, especially his creations of decorative arts.
GIACOMETTI,
L’ŒUVRE ULTIME.
Nice, Galerie Lympia,
Port Lympia,
Ancien bagne.
Jusqu’au 15 octobre / Until October 15th.
“Un éclairage inédit” – Le Figaro
“Une période prolifique” – France Info
“L’événement culturel” – Nice Matin
La Fondation Giacometti présente la première exposition consacrée à l’œuvre ultime d’Alberto Giacometti. Réunissant une cinquantaine d’œuvres majeures de ses dernières années (1960-1965) cette exposition permet de mesurer l’importance d’une période intense et relativement méconnue. Dans cette nouvelle phase de recherche sur la figure humaine, de nouveaux modèles Caroline et Lotar viennent rejoindre les modèles historiques Annette et Diego.
L’exposition inaugure un nouveau centre d’art, aménagé dans l’ancien bagne du port de Nice.
The Fondation Giacometti presents the first exhibition dedicated to the ultimate works by Alberto Giacometti in Nice. Bringing together fifty major artworks from the artist’s final years (1960-1965), this unprecedented exhibition allows us to measure the importance of this intense and relatively unknown period. Entering a new phase of research on the human figure, the artist introduces new models, Caroline and Eli Lotar, who rejoin the historical models, Annette and Diego. The exhibition inaugurates a new art center, housed in the former prison of Nice harbour.
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