L’acteur Christopher Lee, “Le Seigneur des anneaux”, est mort à 93 ans RIP

Christopher Lee

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Sir Christopher Frank Carandini Lee, dit Christopher Lee, est un acteur britannique, né le dans le quartier de Belgravia à Londres et mort le à Londres au Chelsea and Westminster Hospital dans le quartier de Chelsea.

C’est l’un des acteurs britanniques les plus prolifiques avec plus de 225 films à son actif. Il est également célèbre pour sa polyvalence artistique : acteur, producteur, orateur, musicien, chanteur, et même photographe.

En 1958, Lee a été révélé au cinéma grâce à son interprétation légendaire du comte Dracula dans une série de films produits par les studios britanniques Hammer Film Productions. Depuis, sa haute stature et sa voix de basse lui ont valu d’interpréter principalement des personnages inquiétants : il est apparu dans de nombreux films d’épouvante, sans se limiter au genre. En 1974, il incarne le méchant Scaramanga dans le James Bond,L’Homme au pistolet d’or.

Il fut aussi familier de l’univers de Sherlock Holmes. Après avoir été sir Henry Baskerville dans Le Chien des Baskerville, il interpréta trois fois le célèbre détective, ainsi que son frère Mycroft dans La Vie privée de Sherlock Holmes.

Les dernières années de sa vie, il est apparu dans de grandes productions hollywoodiennes telles que Sleepy Hollow, ou bien, à plus de 80 ans, des films tels que Star Wars ou Le Seigneur des anneaux. Il a été anobli en 2001, devenant Sir Christopher Lee.

Biographie

Christopher Lee naît à Belgravia, un quartier de Londres, le . Fils de Geoffrey Trollope Lee, lieutenant-colonel dans le 60e régiment d’infanterie royal (60th King’s Royal Rifle Corps) et de la comtesse Estelle Marie Carandini di Sarzano. Il a une sœur de cinq ans son ainée, Xandra (future mère de l’actrice Harriet Walter). Il est le cousin par alliance de Ian Fleming, auteur de James Bond. Espérant intégrer la très prestigieuse Eton College, le jeune Christopher est d’abord admis à la très sélective école préparatoire Summer Fields School (en) dans la région d’Oxford où il étudie la littérature classique, le grec et le latin. Suite à quelques revers de fortune liés à la grande crise économique, sa famille le contraint néanmoins à concourir à une bourse scolaire qui lui échappe de très peu à Eton mais qu’il obtient en seconde tentative à Wellington College (en), une institution plus ouvertement militaire. Désargentée et séparée de son beau-père ruiné, sa mère l’enjoint plus tard à abandonner ses études pour gagner sa vie un an avant d’aborder le second cycle. Enchaînant de petits emplois de coursier à la City, il se porte d’abord volontaire pour combattre l’Union soviétique aux côtés de la Finlande lors de la guerre d’Hiver. En 1941, l’année même du décès de son père, militaire en retraite, il s’engage enfin dans la Royal Air Force en espérant devenir pilote. Comme une défaillance du nerf optique l’en empêche, on l’affecte alors au service des renseignements dans l’encadrement de pilotes lors de la reconquête de l’Afrique du Nord durant toute la Seconde Guerre mondiale avec le Long Range Desert Group et le Special Operations Executive. Il se hissera au grade de flight lieutenant (capitaine) au moment de contribuer à la dénazification de l’Allemagne, ce qui l’amène à croiser quelques grands criminels de guerre et à témoigner de l’horreur des camps de concentration.

Les premiers rôles (1946-1956)

Après la démobilisation de 1946, Lee ignore encore quelle tournure prendra son avenir professionnel. Sur une suggestion de son cousin, le diplomate italien Nicolò Carandini, il opte enfin pour le métier d’acteur et décroche un contrat de sept ans avec la firme cinématographique Rank. Il débute au cinéma en 1948 dans la romance fantastique L’Étrange Rendez-vous de Terence Young. La même année, il joue aux côtés de Sir Laurence Olivier dans une adaptation cinématographique d’une pièce de Shakespeare, Hamlet qui a la particularité de l’associer pour la première fois à l’écran à son futur compagnon de route Peter Cushing. Lee peine dix ans à s’imposer dans le métier, sa trop grande taille (1,92 m) et son physique latin l’écartant de tout rôle significatif. Le plus souvent en effet, les vedettes préfèrent s’entourer de partenaires au physique “standard” et d’une taille inférieure ou égale à la leur pour ne pas « détourner l’attention du public » durant leurs scènes2.

Au cours des années 1950, Lee tourne dans une trentaine de films, le plus souvent dans des rôles épisodiques (voire coupés au montage). La plupart sont des titres de seconde zone destinés à une diffusion purement locale, mais quelques grands classiques du film d’aventure se détachent du lot : Capitaine sans peur de Raoul Walsh en 1951, Le Corsaire rouge de Robert Siodmak en 1952, Les Quatre Plumes blanches de Zoltan Korda en 1955 ou encore Au sud de Mombasa de George Marshall en 1956. De nombreux engagements à la télévision le sauveront d’ailleurs souvent du chômage. S’il ne parvient pas encore à se hisser au rang de vedette, Lee se forge progressivement une solide réputation d’acteur de second plan. Signe d’une certaine reconnaissance, son nom est même de plus en plus souvent mentionné au générique du début.

Dracula

Christopher Lee dans Le Cauchemar de Dracula (1958).

En 1957, il est repéré pour sa grande taille, qui, de défaut, devient un atout majeur. Il est alors appelé pour jouer le rôle de la créature du baron Frankenstein, incarné par Peter Cushing dans le film d’horreur Frankenstein s’est échappé de Terence Fisher. Les droits sur le masque de la créature de Frankenstein étant détenus par Universal Pictures, Lee propose qu’on appose sur son visage un patchwork de visages pour se rapprocher de l’aspect du monstre de Frankenstein décrit par Mary Shelley dans son roman2. Ce film, produit par la firme cinématographique Hammer Film Productions, remporte un vif succès auprès du public britannique.

C’est véritablement en 1958 avec le film Le Cauchemar de Dracula, toujours produit par la même compagnie, réalisé par le même réalisateur et mettant en scène les mêmes acteurs, que le succès devient mondial. Autrefois interprété par l’acteur américain Bela Lugosi, l’interprétation presque légendaire du comte Dracula par Christopher Lee permet à celui-ci d’être reconnu en tant qu’acteur et de jouir d’une popularité planétaire dans le monde du cinéma.

Encore aujourd’hui, son nom est indissociable de celui du fameux vampire de Transylvanie. D’ailleurs, Christopher Lee reprendra ce rôle à dix reprises dans des films tels que Dracula, prince des ténèbres de Terence Fisher en 1966, Dracula et les femmes de Freddie Francis en 1968 ou encore Les Cicatrices de Dracula de Roy Ward Baker en 1970.

Suite au succès du premier opus, les studios de la Hammer entreprennent une série de films d’horreur réunissant le même tandem tels que La Malédiction des pharaons ou Le Chien des Baskerville en 1959 réalisés par Terence Fisher.

Au total, les deux acteurs partageront l’affiche de plus de vingt productions, pour la plupart produites par les studios de la Hammer qui devient l’initiateur du renouveau du film fantastique.

Dans les années 1960, habitué aux rôles machiavéliques, Lee tourne dans de nombreux films d’horreur tels que Hurler de peur de Seth Holt en 1961, La Gorgone deTerence Fisher en 1964, Circus of Fear de John Llewellyn Moxey en 1966 ou encore Les Vierges de Satan de Terence Fisher en 1968.

Très polyglotte (il parle anglais, allemand, italien, français, russe, espagnol, suédois, hébreu et grec), il tourne également dans des productions étrangères tels que Le Corps et le Fouet de Mario Bava en 1963, La Crypte du vampire de Camillo Mastrocinque en 1964 ou encore Le Vampire et le Sang des vierges de Harald Reinl en1967.

Ses rôles de méchants tels que Fu Manchu (qu’il incarnera cinq fois au cinéma) ou Raspoutine dans Raspoutine, le moine fou de Don Sharp en 1966 sont de véritables succès et accentuent son image d’homme inquiétant et effrayant.

Des rôles plus variés (1970-1995)

Christopher Lee et Peter Cushing dans Terreur dans le Shanghaï express en 1973.

Dans les années 1970, Christopher Lee continue d’incarner le rôle du comte Dracula et de tourner dans des films d’horreur. Pourtant, trouvant que ce genre de films nuit trop à son image et à son talent d’acteur, il décide d’interpréter des rôles plus variés. Il multiplie les tournages en Europe, est appelé parfois pour un jour seulement et ne sait pas toujours quel est le scénario du film. Il joue des rôles tels qu’Artemidorus dans Jules César de Stuart Burge en 1970, le frère de Sherlock Holmesdans La Vie privée de Sherlock Holmes de Billy Wilder en 1970, le comte de Rochefort dans Les Trois Mousquetaires en 1973 puis une suite l’année suivante On l’appelait Milady signé par Richard Lester ou encore le méchant, Francisco Scaramangadans un James Bond, L’Homme au pistolet d’or de Guy Hamilton en 1974.

En 1976, il interprète encore une fois le comte Dracula mais cette fois-ci sous le signe de la comédie burlesque dans un filmfrançais d’Édouard Molinaro Dracula père et fils. La même année, il quitte définitivement les studios de la Hammer pour laCalifornie.

En 1977, son premier film américain, Les Naufragés du 747 de Jerry Jameson, lui vaut la sympathie du syndicat descascadeurs, Lee ayant participé aux séances d’apnée durant le tournage du film. Il devient d’ailleurs membre à vie et porte-parole de plusieurs associations de cascadeurs. En 1979, il joue le rôle d’un commandant allemand dans le film “1941” de Spielberg.

Dans les années 1980, loin de s’estomper, la carrière cinématographique de Christopher Lee devient très prolifique, celui-ci accumulant les apparitions autant surgrand écran que sur le petit écran télévisuel. Il joue dans des films télévisés comme La Salamandre de Peter Zinner en 1981, où il côtoie des acteurs tels que Franco Nero, Anthony Quinn et Claudia Cardinale ou encore Le Tour du monde en 80 jours de Buzz Kulik en 1989 où il retrouve ses compatriotes Eric Idle, Peter Ustinov etRobert Morley. En 1989, il interprète le rôle de Charles-Henri Sanson, le bourreau de Louis XVI et Marie-Antoinette – entre autres – dans le film La révolution française, les années terribles de Richard t. Heffron 3. Ces films redonnent à Lee quelques succès quoique succincts et passagers, mais sa notoriété diminue.

Il s’essaie également au doublage à l’occasion du long métrage d’animation La Dernière Licorne où il interprétera le rôle du Roi Haggard tant dans la version originale anglaise que dans la version allemande.

La carrière de Lee semble stagner jusque vers la fin des années 1990 malgré des petites apparitions notables dans des films tels que Gremlins 2, la nouvelle génération de Joe Dante en 1990 ou Le Bouffon de l’horreur de Simon Sprackling en 1994.

Le Seigneur des Anneaux, Star Wars : un retour éclatant (1995 à 2015)

Christopher Lee à Westminster, pour le film The Heavy.

C’est à la fin des années 1990 que deux nostalgiques des frayeurs hammeriennes convient Lee à leur table.

En 1999, Tim Burton réalise Sleepy Hollow avec Johnny Depp dans lequel Christopher Lee fait une brève mais mémorable apparition. Cette dernière redonne à la carrière de l’acteur britannique un second souffle.

Il est alors approché par Peter Jackson pour incarner Saroumane dans la trilogie du Seigneur des anneaux aux côtés de Ian McKellen, Elijah Wood et Viggo Mortensen. Coïncidence, Lee avait déjà remis quelques années plus tôt le Grand Prix duFestival d’Avoriaz au même cinéaste pour son film Braindead en 1993. Cette trilogie, adaptée du roman de Tolkien — on notera également qu’il est la seule personne de l’équipe du film à avoir rencontré un jour ce dernier —, remporte un véritable succès international.

Marchant sur les traces de son ami Cushing, qui avait interprété auparavant le Grand Moff Wilhuff Tarkin dans le premier opus de Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir de George Lucas en 1977, Christopher Lee signe à son tour pour la saga homérique du même réalisateur dans le rôle du comte Dooku alias Dark Tyrannus dans les deuxième (L’Attaque des clones) et troisième opus (La Revanche des Sith).

Ce fut un retour sur scène éclatant. De nos jours, Christopher Lee croule sous les récompenses honorifiques (il a été anobli par la reine en et décoré Chevalier des Arts et des Lettres en France) et artistiques (étoiles sur les « boulevards de la célébrité » à Hollywood et à Londres, plusieurs nominations aux Oscars et de nombreuses récompenses spéciales pour l’ensemble de sa carrière).

En 2002, à la suite du décès de Richard Harris, il fut un temps pressenti avec Ian McKellen, son collègue du Seigneur des anneaux, pour reprendre le rôle d’Albus Dumbledore dans la saga Harry Potter, mais on leur préféra finalement Michael Gambon.

Sous la direction de Tim Burton, Lee est retourné au grand écran, en 2005, pour deux métrages fantastiques : Charlie et la Chocolaterie où il interprète un dentiste inquiétant, et le film d’animation Les Noces funèbres dans lequel Lee prête sa voix à un pasteur loufoque. Il retrouve le cinéaste américain, en 2012, pour incarner le pêcheur Silas Clarney, dans Dark Shadows.

Il double également la voix de DiZ et d’Ansem le sage dans Kingdom Hearts 2.

Christopher Lee en conférence de Presse à Aubagne pour le Festival des Passions en 2013.

Depuis 2004, Christopher Lee a ajouté une nouvelle corde à son arc en prêtant sa voix comme narrateur du groupe de metal symphonique italien Rhapsody of Fire pour l’album Symphony of Enchanted Lands II: The Dark Secret, pour lequel sa voix profonde a un excellent rendu dans la logique musicale du groupe. Il a également participé au single The Magic Of The Wizard’s Dream, sorti en 2005, en y chantant en duo avec Fabio Lione sur quatre versions de la chanson éponyme, chacune dans une langue différente : anglais, italien, français, et allemand. Il a aussi prêté sa voix au groupe de Heavy Metal américainManowar toujours en tant que narrateur pour trois titres de leur nouvel album Gods of War (sorti en mars 2007), ainsi que sur le titre Dark Avenger sur leur remake de leur propre album Battle Hymns, « Battle Hymns MMXI », en remplacement d’Orson Welles qui assurait la narration pour leurs albums au début des années 1980.

En 2008, de retour dans l’univers de Tolkien, il est le narrateur de la version audio du livre Les Enfants de Húrin deJ. R. R. Tolkien et Christopher Tolkien (HarperCollins AudioBooks). En 2008 toujours, l’acteur a enregistré le doublage duComte Dooku pour la série animée The Clone Wars, reprenant ainsi un rôle qu’il a incarné au cinéma dans les épisodes II et III de la saga Star Wars.

En 2010, Christopher Lee sort un album solo By the Sword and the Cross sous le nom de Charlemagne dans un style opéra metal symphonique.

En janvier 2011, il est le narrateur vedette lors du concert du Seigneur des anneaux au Grand Rex à Paris. Sa narration est en français, langue qu’il maîtrise parfaitement tout comme l’italien, l’espagnol, l’allemand, le suédois, le russe et le grec4.

Le 13 février 2011, il reçoit de la BAFTA, académie britannique des arts audiovisuels, l’Academy Fellowship, récompense pour sa carrière exceptionnelle.

Après une parenthèse en 2012 avec The Wicker Tree, il reprend le rôle de Saroumane dans la trilogie Le Hobbit de Peter Jackson.

Il meurt le 7 juin 2015, après avoir été admis au London’s Chelsea and Westminster Hospital pour des problèmes pulmonaires et une insuffisance cardiaque5,6.

Filmographie sélective

Article détaillé : Filmographie de Christopher Lee.

Interprétations du comte Dracula

Films produits par la Hammer Film Productions

Films co-interprétés avec Peter Cushing

Interprétations dans Le Seigneur des anneaux et Star Wars

Doublage

Discographie

Christopher Lee recevant le Spirit of Metal award pour son albumCharlemagne: By the Sword and the Cross à la cérémonie des Metal Hammer Golden Gods 2010.

Narration pour le groupe Rhapsody of Fire

Narration pour le groupe Christopher Lee « Charlemagne »

Voix françaises

En France, Christopher Lee n’a pas de voix française régulière. Bon nombre de comédiens se sont succedé pour doubler l’acteur. Citons entre autres Marc Cassot, Jacques Thébault, Bernard Dhéran et Michel Le Royer. Dans le film 1941, Christopher Lee, interprétant un colonel nazi, s’exprimait en allemand. Il n’a donc pas été nécessaire de le faire doubler en français pour être bien en accord avec son personnage.

Au Québec, Lee n’a pas davantage de voix spécifique.

Jeux vidéo

Jeux vidéo
Année Titre Rôle Notes
1994 Ghosts Dr Marcus Grimalkin / Lui-même
1999 The Rocky Interactive Horror Show Narrateur
2001 Conquest: Frontier Wars Anvil / Headquarters
2002 Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours Saroumane
2003 Freelancer
Le Seigneur des anneaux : Le Retour du roi Saroumane
2004 EverQuest II Lucan D’Lere
Les Rivières pourpres 2 : les Anges de l’Apocalypse Heinrich von Garten
GoldenEye : Au service du Mal Francisco Scaramanga
Le Seigneur des Anneaux : Le Tiers-Âge Saroumane
Le Seigneur des Anneaux : La Bataille pour la Terre du Milieu Saroumane
2005 Lego Star Wars : Le Jeu vidéo Comte Dooku
Star Wars, épisode III : La Revanche des Sith Comte Dooku
Kingdom Hearts 2 DiZ / Ansem the Wise
2006 Le Seigneur des Anneaux : La Bataille pour la Terre du Milieu II – L’Avènement du Roi-Sorcier Saroumane
2009 Kingdom Hearts: 358/2 Days DiZ / Ansem the Wise
Star Wars: Battlefront – Elite Squadron Comte Dooku
2011 Lego Star Wars III: The Clone Wars Comte Dooku

Distinctions

Récompenses

Notes et références

  1. (en) Benjamin Lee, « Christopher Lee dies at the age of 93 », The Guardian,‎ (lire en ligne [archive])
  2. a et b Christopher Lee, l’élégance des ténèbres, Oliver Schwehm, 2010.
  3. La Révolution francaise, full cast and crew [archive]
  4. Biographie de Christopher Lee sur notrecinema.com [archive]
  5. (en) « Sir Christopher Lee dies at 93 – latest reaction and tributes » [archive], surThe Telegraph,‎
  6. (en) « Sir Christopher Lee dies at 93 » [archive], sur The Guardian,‎
  7. Fiche du film [archive] sur Objectif Cinéma
  8. a, b, c, d, e, f et g « Comédiens ayant doublé Christopher Lee au Québec » [archive] surDoublage.qc.ca, consulté le 28 novembre 2014.

Voir aussi

Bibliographie

  • Dans les griffes de la Hammer, Nicolas Stanzick, Le Bord de l’eau Éditions (2eédition enrichie et augmentée), Paris, 2010, 490 p.
  • Sir Christopher Lee, Laurent Aknin, Nouveau Monde Éditions, 2011, 298 p.
  • Le Seigneur du désordre (traduction française de Lord of Misrule: The Autobiography of Christopher Lee), Christopher Lee (traduit de l’anglais par Nicholas Dubreuil), Camion Blanc (Coll. « Camion Noir »), 2013.
  • (en) Lord of Misrule: The Autobiography of Christopher Lee, Christopher Lee,Orion Publishing Group, Londres, 2004.
  • (en) The Christopher Lee Filmography: All Theatrical Releases, 1948-2003, Tom Johnson et Mark A. Miller, McFarland & Company, Jefferson, 2004.
  • (en) English Gothic: A Century of Horror Cinema, Jonathan Rigby, Reynolds & Hearn, Richmond, 2000.
  • (en) Christopher Lee and Peter Cushing and Horror Cinema: A Filmography of Their 22 Collaborations, Mark A. Miller, McFarland & Company, Jefferson, 1994.
  • (en) The Films of Christopher Lee, Robert Hart et Douglas C. Pohle, Scarecrow Press, Lanham, 1983.
  • (en) The Great villains: An omnibus of evil, Christopher Lee, W. H. Allen & Company, Londres, 1978.
  • (en) Tall, dark, and gruesome: An autobiography, Christopher Lee, W. H. Allen & Company, Londres, 1977.
  • (en) From the Archives of Evil, Christopher Lee, Warner Books, Clayton South, 1976.
  • (en) The Dracula Book, Donald F. Glut, William Marshall et Christopher Lee, Scarecrow Press, Lanham, 1975.
  • (en) Christopher Lee’s “X” certificate, Christopher Lee et Michel Parry, W. H. Allen & Company, Londres, 1975.
  • (en) Christopher Lee’s New Chamber of Horrors, Christopher Lee et Peter Haining, Souvenir Press, Londres, 1974.

Grand ami de Robert Bloch, Christopher Lee préfacera une des nouvelles du recueil-hommage Appreciations of the Master publié par Richard Matheson en 1995 chez TOR.

Documentaire

  • (fr) (de) Christopher Lee, l’élégance des ténèbres, Oliver Schwehm, 2010.

Liens externes

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