Mélie Fraisse infos

Mélie Fraisse

Mélie Fraisse
Nouveau single PARIS
Sortie le 04/11/2020
Mélie Fraisse est de retour le 04 novembre 2020 avec son nouveau single de pop électronique intitulé PARIS. Ce titre est une déclaration d’amour à cette ville qui prend une résonnance toute particulière dans les circonstances actuelles.
Après un 1er EP en anglais, sorti en 2017, réalisé par Frédéric Soulard (MAESTRO / Tigersushi), et deux ans de tournée à la basse, violon et chant avec les Cats On Trees, Mélie Fraisse revient avec un second EP en français, précédé par son nouveau single PARIS.
Originaire de Sète, Mélie Fraisse livre beaucoup d’elle même dans ce titre. “PARIS est aussi une chanson sur le départ, sur tous les départs, et par cela, tous les recommencements. Quitter une énergie pour en retrouver une autre, en continuant d’aimer sans renier les choses que l’on a aimé. PARIS c’est enfin une chanson qui dit « Je t’aime ». Et ce n’est pas peu dire…
Mélie Fraisse est violoniste, musicienne et chanteuse, mais pas que. Mélie Fraisse est aussi l’arrangeuse de paysages électroniques fugaces, qu’elle peaufine de sa voix précieuse. Voici PARIS, son nouveau clip.
Pour regarder et diffuser le clip de Paris :
Mélie Fraisse est de retour avec PARIS, un nouveau single en forme de déclaration à sa ville d’adoption. C’est à Sète, les pieds dans la mer, sous le regard de Brassens et Paul Valéry que Mélie Fraisse a forgé ses racines, celles d’une artisan musicienne.
Premier Prix de violon, elle entre au CNSM dans la classe de Formation Supérieure aux Métiers du Son, et marque sa bifurcation de la musique classique vers les musiques dites actuelles, vers le son, sa forme, sa couleur, vers l’énergie des infrabasses, vers les scènes au public expressif.
D’abord, Mélie écrit ses premières musiques pour le théâtre et l’image. Faiseuse de paysage sonore descriptifs, sa fascination pour les synthétiseurs, plus qu’un outil, un instrument polymorphe, qui à chaque nouveau son, se meut dans un autre instrument. Le violon, toujours présents depuis ses débuts, la suit dans ce nouvel EP sous forme d’arrangements très écrits. Elle en est l’arrangeuse et l’interprète, tout comme l’ensemble de ce qui figure dans ses titres à venir et dans ce titre PARIS, le premier de cet opus en français.
C’est dans son studio, seule aux manettes, que l’artiste, compositrice, arrangeuse, a façonné au fil du temps, d’abord pour les autres, ensuite pour elle, une esthétique qui lui est propre : des mélodies emplies de sensations intenses, des descriptions en dentelle de sentiments enfouis, une couleur née de sa position de femme orchestre.
Une voix, un fil, posé sur un coussin d’air, sensible et à fleur de peau. Des chansons intimes, parfois impudiques, une femme, un féminin, un féminisme, l’histoire d’une femme. C’est une pop et ses mélodies entêtantes d’impressions soutenues par la force d’une matière électronique intense et ses mélodies incisives.
Avec ce nouveau single PARIS, Mélie Fraisse annonce la sortie de son second EP dans les prochains mois.
Mélie Fraisse
1er Ep
Disponible en digital le 7 juillet
 
Avec le premier EP de Mélie Fraisse, on découvre la chair rugueuse d’une électro organique parfois saturée, une voix fragile pour une pop immersive en dentelle.
Premier Prix de violon puis Ingénieur du son diplômée du CNSM de Paris, Mélie Fraisse aborde la musique par le son, son traitement, ses signaux électriques. Nourrie par l’écoute de Beth Gibbons, J.S. Bach, Pink Floyd, Prokofiev, Metronomy, Kraftwerk, ou The Doors, Mélie Fraisse séduit par la sensibilité qui imprègne sa musique tout au long d’un Ep qu’elle a conçu avec une patience d’artisan, et qui a été produit par Frédéric Soulard (MAESTRO/Tigersushi).
Premier extrait, A Walk, et son joli clip en animation, est un titre sur la transition, le passage, l’étape, le tiraillement qu’il peut il y avoir entre la difficulté du « lâcher prise » pour pouvoir enfin avancer.
Pour regarder et diffuser le clip d’A Walk :
Mélie Fraisse est tout d’abord le nom de l’artisan ; musicienne, violoniste et chanteuse.
Elle découvre la scène et le studio puis l’écriture en collaboration avec d’autres artistes. L’entrée au CNSM dans la classe de Formation Supérieure aux Métiers du Son, marque sa bifurcation de la musique classique vers les musiques dites ‘actuelles’, vers le son, sa forme, sa couleur, vers l’énergie des infrabasses et des parties de batterie. Sa fascination pour les synthétiseurs, plus qu’un outil, un instrument polymorphe, qui à chaque nouveau son, se meut dans un autre instrument qu’il va falloir jouer avec un autre geste, lui permet de façonner au fil du temps, d’abord pour les autres puis ensuite pour elle, une esthétique qui lui est propre.
Son projet qualifié d’électro melodic orchestra reflète son amour pour la chanson pop, populaire, accessible, que l’on aime fredonner, sa passion pour les couleurs électroniques denses et parfois saturées, l’amour de l’écriture orchestrale et ses arrangements en ramifications et profondeur, le violon, sa connaissance technique et sa forte connotation, le tout dans un descriptif puissant d’ambiances cinématographiques.
Premier Prix de violon puis Ingénieur du son diplômée du CNSM de Paris, Mélie Fraisse
aborde la musique par le son, son traitement, ses signaux électriques. Les huitres, l’art modeste, les origines italiennes de la cuisine et des gens, l’exubérance et l’impudeur sonore, les spectacles de musique et de danse chaque été avec les cousins : c’est à Sète, les pieds dans la mer, sous le regard de Brassens et Paul Valéry qu’elle nourrit un respect pour le mot populaire. Ses passages dans les conservatoires et autres grandes maisons finissent de bâtir la colonne vertébrale de ce qui sera son esthétiques musicale, pour les autres et aujourd’hui pour elle.
Beth Gibbons, J.S. Bach, Pink Floyd, Prokofiev, Metronomy, Kraftwerk, The Doors, elle
nourrit ses influences dans la sensualité, les profondeurs de la matière sonore et de l’écriture musicale, la transe et l’envoutement.
Une poésie dans un cynisme doux, des chansons sur la vie, traitées par des atmosphères, des couleurs, des ambiances. Un mot souvent revient : mélancolie, celle que l’on refuse parfois mais que l’on aime doucement.

Mélie Fraisse

Mélie Fraisse
1er Ep
Disponible en digital le 7 juillet
Avec le premier EP de Mélie Fraisse, on découvre la chair rugueuse d’une électro organique parfois saturée, une voix fragile pour une pop immersive en dentelle.
Premier Prix de violon puis Ingénieur du son diplômée du CNSM de Paris, Mélie Fraisse aborde la musique par le son, son traitement, ses signaux électriques. Nourrie par l’écoute de Beth Gibbons, J.S. Bach, Pink Floyd, Prokofiev, Metronomy, Kraftwerk, ou The Doors, Mélie Fraisse séduit par la sensibilité qui imprègne sa musique tout au long d’un Ep qu’elle a conçu avec une patience d’artisan, et qui a été produit par Frédéric Soulard (MAESTRO/Tigersushi).
Premier extrait, A Walk, et son joli clip en animation, est un titre sur la transition, le passage, l’étape, le tiraillement qu’il peut il y avoir entre la difficulté du « lâcher prise » pour pouvoir enfin avancer.
Pour regarder et diffuser le clip d’A Walk :
Mélie Fraisse est tout d’abord le nom de l’artisan ; musicienne, violoniste et chanteuse.
Elle découvre la scène et le studio puis l’écriture en collaboration avec d’autres artistes. L’entrée au CNSM dans la classe de Formation Supérieure aux Métiers du Son, marque sa bifurcation de la musique classique vers les musiques dites ‘actuelles’, vers le son, sa forme, sa couleur, vers l’énergie des infrabasses et des parties de batterie. Sa fascination pour les synthétiseurs, plus qu’un outil, un instrument polymorphe, qui à chaque nouveau son, se meut dans un autre instrument qu’il va falloir jouer avec un autre geste, lui permet de façonner au fil du temps, d’abord pour les autres puis ensuite pour elle, une esthétique qui lui est propre.
Son projet qualifié d’électro melodic orchestra reflète son amour pour la chanson pop, populaire, accessible, que l’on aime fredonner, sa passion pour les couleurs électroniques denses et parfois saturées, l’amour de l’écriture orchestrale et ses arrangements en ramifications et profondeur, le violon, sa connaissance technique et sa forte connotation, le tout dans un descriptif puissant d’ambiances cinématographiques.
Premier Prix de violon puis Ingénieur du son diplômée du CNSM de Paris, Mélie Fraisse
aborde la musique par le son, son traitement, ses signaux électriques. Les huitres, l’art modeste, les origines italiennes de la cuisine et des gens, l’exubérance et l’impudeur sonore, les spectacles de musique et de danse chaque été avec les cousins : c’est à Sète, les pieds dans la mer, sous le regard de Brassens et Paul Valéry qu’elle nourrit un respect pour le mot populaire. Ses passages dans les conservatoires et autres grandes maisons finissent de bâtir la colonne vertébrale de ce qui sera son esthétiques musicale, pour les autres et aujourd’hui pour elle.
Beth Gibbons, J.S. Bach, Pink Floyd, Prokofiev, Metronomy, Kraftwerk, The Doors, elle
nourrit ses influences dans la sensualité, les profondeurs de la matière sonore et de l’écriture musicale, la transe et l’envoutement.
Une poésie dans un cynisme doux, des chansons sur la vie, traitées par des atmosphères, des couleurs, des ambiances. Un mot souvent revient : mélancolie, celle que l’on refuse parfois mais que l’on aime doucement.
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