THEATRE – CREATION

THEATRE CREATION

JEU 8 FEV – 19H30
VEN 9 FEV – 20H30

PEER GYNT
MISE EN SCENE DAVID BOBEE
TEXTE HENRIK IBSEN
GRANDE SALLE – TARIFS DE 8 euros à 18 euros

En 2015, David Bobée nous présentait Lucrèce Borgia avec Béatrice Dalle : le succès fut unanime. Trois ans plus tard, il met en scène Peer Gynt d’Henrik Ibsen, l’histoire d’un anti-héros prétentieux et raté qui rêve sa vie au lieu de la vivre. Une critique sociale incisive à la mesure de son talent.

« Monter Peer Gynt, c’est se lever contre une réalité brutale, sombre, silencieuse et convenue. Peer Gynt est un anti-héros. Il rêve de hauteurs, il ne lutte pas pour des idées mais contre toute contrainte, il est dans la quête éperdue de ses rêves.

Hâbleur, menteur, il fuit son village, sa vie de paysan, ses responsabilités, décidé à trouver ce «soi» qu’il veut être, décidé à ne réaliser que de «grandes choses». Il part pour l’Orient des mirages et l’Afrique des déserts, tour à tour marchand d’esclaves, empereur des fous, naufragé… Peer Gynt n’est pas un personnage de théâtre, il est le théâtre à lui tout seul, celui qui pose la question essentielle : qu’est-ce que « être au monde » ? La scénographie sera constituée d’une structure qui sera manipulée à vue par les acteurs, à la fois montagnes, forêts, navire et équipage, hauteurs aspirées et métaphore de la structure humaine, déconstruite et manipulable. » David Bobée

Après Lucrèce Borgia avec Béatrice Dalle, David Bobée imagine « son » Peer Gynt dans un incroyable décor forain.
Entouré d’une très belle distribution, Peer Gynt est joué par Radouan Leflahi, 28 ans, formé au Conservatoire de Rouen, et c’est une véritable découverte ! Propulsé sur le devant de la scène, le jeune comédien porte la pièce de bout en bout avec gourmandise et fraîcheur. » d’après scèneweb.fr

photos:Arnaud Bertereau

MUSIQUE
LUN 12 FEV – 20H30

CLASSICAL & JAZZ MADNESS
YARON HERMAN, PIANO JAZZ
DAVID GREILSAMMER, PIANO & DIRECTION
GENEVA CAMERATA

GRANDE SALLE – DUREE 1H10 – TARIFS DE 15 euros à 30 euros

Extrait vidéo:
https://www.youtube.com/watch?v=jestmJPMjEI

C’est la rencontre explosive du classique et du jazz ! Le chef et pianiste David Greilsammer, reconnu pour ses programmes éclectiques, sera accompagné de son orchestre de 36 musiciens, le Geneva Camerata, et de Yaron Herman, pianiste prodige du jazz. Une invitation à un étonnant voyage musical, féerique et riche en surprises!

Ovationné à la Philharmonie de Berlin la saison dernière, ce programme fascinant présente de subtiles et imaginatives passerelles entre pièces baroques, classiques et jazz.
Les musiciens du Geneva Camerata, dirigés par David Greilsammer, explorent en effet différents répertoires en compagnie de l’un des plus grands pianistes jazz d’aujourd’hui, Yaron Herman.

Au cours de la soirée, le chef d’orchestre joue et dirige le lumineux Concerto en sol de Ravel, avant de reprendre la direction de chefs-d’oeuvre de Lully et Purcell, suivis d’improvisations ingénieuses de Yaron Herman et de son batteur Ziv Ravitz. Ce programme singulier fait l’objet du premier album de l’orchestre qui paraît chez Sony Classical en février 2018.

David-Greilsammer
Yaron-Herman

DANSE
VEN 23 FEV – 20H30

MONSTRES
ON NE DANSE PAS POUR RIEN

CHORÉGRAPHIE DELAVALLET BIDIEFONO

GRANDE SALLE – DUREE 1H TARIFS DE 8 euros à 18 euros

Extrait vidéo:
https://www.youtube.com/watch?v=sAojRbRparE

DeLaVallet Bidiefono est aujourd’hui l’une de figures de la danse contemporaine du continent africain. Cet artiste engagé nourrit chacune de ses créations de la vie de son pays, le Congo. Cette création en sera une nouvelle fois la démonstration : construire pour vivre, créer et espérer. DeLaVallet Bidiefono sera également notre « artiste invité » tout au long de cette saison.

« J’ai inauguré fin 2015 un centre chorégraphique à Brazzaville, l’Espace Baning’Art. Au Congo, là où il n’existe aucune politique culturelle et où les artistes doivent seuls se prendre en main. Voilà pourquoi j’ai voulu cet espace, conçu comme un endroit de liberté et de possibles ouverts à tous.
Monstres / On ne danse pas pour rien évoquera l’idée de la construction : construire un lieu donc, mais aussi construire un parcours, une politique, une esthétique, des hommes et des femmes, l’espoir enfin. Sur scène, nous serons 10 danseurs et 3 musiciens pour mieux faire resurgir la transe collective dans laquelle nous trouvons la force et l’espoir. »
DeLaVallet Bidiefono.

THEATRE
MAR 27 MARS – 20H30

L’ABATTAGE RITUEL DE GORGE MASTROMAS
TEXTE DENNIS KELLY
MISE EN SCÈNE CHLOÉ DABERT

GRANDE SALLE – DUREE 2H10  TARIFS DE 8 euros à 18 euros

«Chaque morceau de vie de Gorge Mastromas est une énigme. L’âpreté du propos n’excluant pas d’en rire, Chloé Dabert et ses comédiens multiplient les apartés. C’est en jouant sur l’ironie et la force comique des provocations distillées par Dennis Kelly que la troupe révèle la misère sans lendemain de devenir un Howard Hughes contemporain.» Les InrocksGorge est un type bien, simple, moral. Dans le doute, il fait ce qui lui semble juste. Il n’en tire aucun avantage. Jusqu’au jour où il se trouve devant une occasion unique : son employeur est au bord de la faillite et c’est à Gorge de choisir, le sauver ou le sacrifier. Mais il faut en passer par le mensonge. Gorge découvre alors l’envers du décor, puis l’exploite jusqu’à devenir l’une des plus grandes fortunes du monde. À quel prix et jusqu’où ? Envers et contre quoi ? L’épopée de Dennis Kelly, langue acérée, crue, urbaine, dresse le portrait du cynisme en marche, de la soif de pouvoir et de puissance débarrassée de tout principe éthique. Gorge éprouve la liberté, sans conscience d’agir dans la dévastation, au mépris du monde.

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