THEATRE DU LUCERNAIRE, TERREUR-OLYMPE DE GOUGES du 23 octobre 2013 au 4 janvier 2014 – 18h30

Création

TERREUR-OLYMPE DE GOUGES

Texte Elsa Solal. Mise en scène  Sylvie Pascaud

Avec : Anne-Sophie Robin et en alternance : Alain Granier, Martial Jacques et Gilles Nicolas

Scénographie : Valérie Jung. Lumière : Patricia Godal

PRODUCTION : Compagnie du Théâtre du Tournesol en co-réalisation avec  le Théâtre du Lucernaire

Avec l’aide au projet de la Mairie de Paris, ARCADI pour les plateaux solidaires

Et le soutien de la Maison des Métallos et du TGP-CDN de Saint-Denis

THEATRE DU LUCERNAIRE,

53 Rue Notre-Dame des Champs  75006 Paris

Du 23 octobre 2013 au 4 janvier 2014 – 18h30

Relâche exceptionnelle le 29 novembre.

Théâtre Rouge – Durée 1h

Dans la mise en scène, tout part du tranchant sanglant de la guillotine si violemment coutumière à l’époque de la Terreur. Olympe de Gouges est en prison, seule, exposée dans l’antichambre de la mort qui devient lieu des réminiscences où les temps se superposent et les espaces se mêlent. Différents moments de vie intense surgissent de l’ombre. Elle se retrouve aux côtés de son confident Mercier ou de l’accusateur Fouquier-Tinville. Une sensation trouble, propre à plonger dans l’espace intime d’Olympe se crée. La voix de ses écrits s’entend avec fougue, violence et humour.  Elle ramasse tout à coup le temps pour rapprocher son siècle du notre. Elle est là, libre et bien vivante. Cette frénésie de paroles tient Olympe debout et la conduit à la fois inéluctablement vers la décapitation.  Sa “plume naturelle” s’offre au monde dans une course infernale au désir de reconnaissance.  Elsa Solal travaille sur la mémoire vive des femmes, son écriture donne chair et esprit à cette dame de cœur et d’audace.
Je commence la pièce par une vision d’Olympe à tête de Méduse, une gorgone qui effraiera son siècle et à qui on tranchera la tête. Sylvie Pascaud

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

facebooktwittergoogle_plusredditpinterestlinkedinmail

Vous pourriez aussi aimer...

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Translate »