Valentin Vander Nouvel album Mon Etrangère

Valentin Vander

Valentin Vander
Nouvel album Mon Etrangère
Disponible chez Hé Ouais Mec Productions
Après 4 ans de tournée avec ses camarades des « Goguettes (en trio mais à quatre) », Valentin Vander revient en solo avec un second album pop et romantique : Mon étrangère. Au programme : des chansons d’amour pleines de tendresse et de dérision, enrobées de guitare jazzy, de machines qui envoient de la pop électronisante, des nuages colorés qui pendent du ciel, des invités extraordinaires…
Entre espièglerie, profondeur et constat éclairé sur les relations sentimentales qui lient les êtres, Valentin Vander insuffle une couleur mélodique très personnelle aux dix compositions.
Avec son deuxième album Mon étrangère, Valentin Vander creuse le sillon d’une chanson pop racée à l’élégance discrète. Il use d’armes de séduction massive, naviguant entre espièglerie et profondeur et insufflant à ses chansons une couleur mélodique qui capte dès la première écoute. Après L’écho du Bonheur et Elle Passe, il dévoile le nouveau titre La Femme de Ma Vie.
Pour regarder et diffuser la vidéo de La Femme de Ma Vie :
Quand Va­lentin Vander ne s’amuse pas dans ses spectacles humoristiques « Les Goguettes en trio (mais à quatre) », il creuse le sillon d’une chanson pop racée à l’élégance discrète. Ce nouvel album, Mon Etrangère, l’atteste sur chacune des dix plages qui racontent les atermoiements de l’amour, subtilement éclairés du halo des enjeux de notre temps.
Encore plus que sur son premier album, L’audace ou la timidité, paru en 2015, la palette du chanteur se teinte ici d’humour et d’une lucidité malicieuse, quand il évoque les rencontres qui marquent : « La femme de ma vie vient de passer devant moi / je ne lui ai pas dit / on ne dérange pas les gens pour ça », peut-on entendre sur « La femme de ma vie », ritournelle douce-amère portée par des arrange­ments élégants d’une pop gracile. Valentin Vander convoque aussi un groove qui confine au funk sur « Elle passe », où la basse sautillante slalome entre des claviers vintage et colorés.
Sur « Les vieux qui s’aiment encore », il touche en plein cœur. Il évoque le temps qui file inexorablement. Il triture ce sentiment obscur tapi en chacun de nous : celui qui sait en secret que tout finira. Sans néanmoins jamais céder au pathos ni au pessimisme, Valentin Vander dodeline autour de nos émotions les plus enfouies, et transforme ses mélodies crève cœurs en joie pure sur des chansons qui semblent avoir toujours existé, comme « Mon étrangère » et ses motifs de piano aux allures de classique.

Valentin Vander
Nouvel album Mon Etrangère
Sortie le 14/02/2020 chez Hé Ouais Mec Productions
En concert au Café de la Danse le 28/02/2020
L’auteur compositeur interprète Valentin Vander revient le 14 février 2020 avec la sortie de son second album Mon Etrangère.

Entre espièglerie, profondeur et constat éclairé sur les relations sentimentales qui lient les êtres, Valentin Vander insuffle une couleur mélodique très personnelle aux dix compositions. Enfonçant encore plus le clou que sur son premier album, L’audace ou la timidité, paru en 2015, le musicien joue la carte de la poésie et de la dérision tout en peaufinant les qualités instrumentales de ses morceaux. « La femme de ma vie vient de passer devant moi / je ne lui ai pas dit / on ne dérange pas les gens pour ça. »

Réalisé par Nicolas Gueguen, l’album Mon Étrangère s’est fabriqué au studio 129H dans le quartier de Ménilmontant. Comme en témoigne le premier extrait l’Echo du BonheurValentin Vander est un artiste hors-tempsqui se joue des codes de la chanson française traditionnelle en l’habillant de mille tissus pop et d’ornements électroniques. Au final, cette étrangère devient très vite familière. Et c’est bien ce que l’on espère d’un recueil de chansons.
Pour regarder et diffuser le clip de L’Echo du Bonheur :
L’univers de Valentin Vander est un véritable champ d’expérimentations entre introspection mélancolique et panache pop.
« So frenchy ! », pourraient instantanément s’exclamer les anglo-saxons, à l’écoute de ce deuxième album chatoyant. Mais le cahier des charges musical de Mon Étrangère s’avère plus complexe que cela…
L’auteur compositeur interprète, élevé dans une famille de musiciens, use d’armes de séduction massive tout au long de ce nouveau chapitre. Entre espièglerie, profondeur et constat éclairé sur les relations sentimentales qui lient les êtres, il insuffle une couleur mélodique qui capte dès la première écoute. On trouve alors, au gré des chansons qui jalonnent l’album, ce petit quelque chose d’unique dans sa personnalité joliment désabusée qui n’oublie jamais d’opter pour la dérision. Ici, les émotions priment et semblent inédites, comme si la mélancolie avait embrassé une forme de légèreté. Quand Va­lentin Vander ne s’amuse pas dans ses spectacles humoristiques « Les Goguettes en trio (mais à quatre) », il creuse le sillon d’une chanson pop racée à l’élégance discrète. Cet opus l’atteste sur chacune des dix plages qui racontent les atermoiements de l’amour, subtilement éclairés du halo des enjeux de notre temps. La fidélité, l’exclusivité, le caractère aléatoire des désirs : il caresse à chaque mesure l’espoir de trouver une réponse. Bien sûr, elle ne pointe jamais le bout de son nez. Alors Valentin Vander émet ses hypothèses avec douceur souvent, avec ironie parfois.
Encore plus que sur son premier album, L’audace ou la timidité, paru en 2015, la palette du chanteur se teinte ici d’humour et d’une lucidité malicieuse, quand il évoque les rencontres qui marquent : « La femme de ma vie vient de passer devant moi / je ne lui ai pas dit / on ne dérange pas les gens pour ça », peut-on entendre sur « La femme de ma vie », ritournelle douce-amère portée par des arrange­ments élégants d’une pop gracile. Valentin Vander convoque aussi un groove qui confine au funk sur « Elle passe », où la basse sautillante slalome entre des claviers vintage et colorés.
Sur « Les vieux qui s’aiment encore », il touche en plein cœur. Il évoque le temps qui file inexorablement. Il triture ce sentiment obscur tapi en chacun de nous : celui qui sait en secret que tout finira. Sans néanmoins jamais céder au pathos ni au pessimisme, Valentin Vander dodeline autour de nos émotions les plus enfouies, et transforme ses mélodies crève cœurs en joie pure sur des chansons qui semblent avoir toujours existé, comme « Mon étrangère » et ses motifs de piano aux allures de classique.
En concert au Café de la Danse le 28/02/2020
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