VICHY

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INAUGURATION DU FESTIVAL PORTRAIT(S) VENDREDI 16 JUIN à VICHY

Vendredi 16 juin à 18H : Vernissage des expositions dans les Galeries du  Centre Culturel Valery-Larbaud : Catherine Balet, Claudia Imbert, Stephen Shames, Christer Strömholm, Pierre Gonnord, agence Modds

Vendredi 16 juin à 19H : Vernissage de l’exposition de Sandra Rocha place Saint-Louis

Vendredi 16 juin à 19H30 : Vernissage de l’exposition de Liu Bolin sur l’esplanade du lac d’Allier

Samedi 17 juin à 11H : Rencontre publique menée par Natacha Wolinski autour de l’exposition de Catherine Balet, Looking for the masters in Ricardo’s golden shoes 

PORTRAIT(S)

Vichy 16 juin-10 septembre 2017

Chaque été, Vichy se met à l’heure de la photographie avec le festival “Portrait(s)” qui fête cette année son cinquième anniversaire.

Le festival rend hommage à tous les types de portraits, qu’ils soient issus de la tradition documentaire ou bien qu’ils relèvent de la fiction, de l’intime ou encore de dispositifs plus conceptuels.

“Portrait(s)” présente dix expositions se tenant simultanément en centre-ville et à l’extérieur, à ciel ouvert. Dans l’espace des galeries du Centre Culturel Valery-Larbaud sont réunis Stephen ShamesChrister StrömholmCatherine Balet, Pierre GonnordClaudia Imbert et les portraitistes de l’agence Modds.

Portrait(s) présente la première rétrospective à ciel ouvert de Liu Bolin, sur l’Esplanade du Lac de l’Allier.

Place Saint-Louis, ce sont des images rêveuses et bucoliques, fruits d’une commande passée à la jeune photographe portugaise Sandra Rocha, qui sont exposées.

https://www.ville-vichy.fr/expositions/festival-portrait

portrait

Chaque été, Vichy se met à l’heure de la photographie avec le festival “Portrait(s)” qui fête cette année son cinquième anniversaire.

Le festival rend hommage à tous les types de portraits, qu’ils soient issus de la tradition documentaire ou bien qu’ils relèvent de la fiction, de l’intime ou encore de dispositifs plus conceptuels.

“Portrait(s)” présente dix expositions se tenant simultanément en centre-ville et à l’extérieur, à ciel ouvert. Dans l’espace des galeries du Centre Culturel Valery-Larbaud sont réunis Stephen Shames, Christer Strömholm, Catherine Balet, Pierre Gonnord, Claudia Imbert et les portraitistes de l’agence Modds.

Portrait(s) présente la première rétrospective à ciel ouvert de Liu Bolin, sur l’Esplanade du Lac de l’Allier.

Place Saint-Louis, ce sont des images rêveuses et bucoliques, fruits d’une commande passée à la jeune photographe portugaise Sandra Rocha, qui sont exposées.

https://www.ville-vichy.fr/expositions/festival-portrait

vichy

Chaque été, Vichy se met à l’heure de la photographie avec le festival “Portrait(s)” qui se déploie dans la ville. La quatrième édition de cette manifestation se tient cette année du 10 juin au 4 septembre. Vichy redevient le temps d’une saison un avant poste de la photographie d’aujourd’hui et présente au public des expositions à la fois marquantes et accessibles, centrées exclusivement sur l’art du portrait. Le festival rend hommage à tous les types de portraits, qu’ils soient issus de la tradition documentaire ou bien qu’ils relèvent de la fiction, de l’intime ou encore de dispositifs plus conceptuels. Il réunit des portraits de célébrités comme des visages anonymes, et s’appuie sur les oeuvres de photographes confirmés comme d’artistes plus jeunes. Il propose un voyage dans une pluralité de visions et de regards afin de permettre au public de découvrir ou redécouvrir le portrait dans ses formes les plus classiques comme les plus déroutantes. Depuis trois ans, la ville confirme également son engagement auprès de la photographie contemporaine en offrant une résidence à un photographe. Cette année, le Suédois Anton Renborg a arpenté de jour comme de nuit, à la belle saison comme à la mauvaise, les rues de Vichy, et s’est laissé fasciner par l’atmosphère singulière des lieux.

La quatrième édition de “Portrait(s)” présente neuf artistes, dont les expositions se tiennent simultanément en centre-ville et à l’extérieur, à ciel ouvert. Dans l’espace des galeries du Centre Culturel Valery-Larbaud, construit au début du siècle dernier, sont réunis Jean Depara, Nicolas Comment, Hellen van Meene, Nicola Lo Calzo, Maï Lucas, Ruud van Empel, Jean-Christian Bourcart et Paola De Pietri. Jean Depara a été dans les années 50 l’un des photographes les plus en vue de Kinshasa. Quand il ne tirait pas le portrait des jolies Kinoises dans son studio baptisé le “Jean Whisky Depara”, il faisait la sortie des bars ou des boîtes de nuit. La jeunesse noctambule offrait un profil flambeur et séducteur qui donne tout son charme à ses photographies. Nicolas Comment dresse depuis six ans un “blason photographique” du corps de Milo, l’amante et muse qui apparaît et disparaît dans les replis d’un désir toujours renouvelé. Hellen van Meene produit depuis de nombreuses années des portraits d’adolescentes dont elle chorégraphie avec grâce la gestuelle et les regards teintés à la fois d’appréhension et de mélancolie. Nicola Lo Calzo a entrepris d’explorer depuis cinq ans les mémoires post-coloniales de plusieurs continents. Après l’Afrique, les Caraïbes et la Louisiane aux Etats-Unis, c’est le versant cubain de son travail qu’il expose à Vichy. Depuis plus de vingt ans, Maï Lucas documente la “street culture” américaine. Fine observatrice des styles et des parades vestimentaires, elle accroche son regard à ces détails de mode qui singularisent une silhouette – une coupe afro, une perruque violette, un bustier zébré… Ruud van Empel recrée des images d’Eden verdoyant, peuplées de personnages au regard fixe de totems qui sont le plus souvent des enfants. Fruit d’un long travail de retouche numérique, ses photos sont composées comme des tableaux intemporels. Jean-Christian Bourcart a réalisé, en collaboration avec le graphiste Ben Salesse, un travail étonnant à partir des photos de la Farm Security Administration, réalisées pendant la Grande dépression aux EtatsUnis. S’emparant des clichés refusés, que l’on reconnaît aux poinçons qui les mutilent, il les a associés à des citations issues des “Raisins de la colère” de John Steinbeck. Paola de Pietri fait le portrait de mères portant leur nourrisson dans des décors vides auxquels elles redonnent existence par la seule grâce de leur entêtement à vivre et à donner vie. Elles reconduisent la dynamique des générations dans un environnement qui, lui, semble gelé. Place Saint-Louis, ce sont les photos de Vichy et des Vichyssois, fruits d’une commande passée à Anton Renborg qui sont exposées. En arpentant jour et nuit les rues de Vichy, Anton Renborg s’est laissé séduire par l’atmosphère singulière des lieux. A travers ses images calmes et équivoques, il fait le portrait d’une ville d’eau infusée d’histoire, une cité mondaine, un lieu de parade qui est aussi un théâtre d’ombres où se jouent des destins chabroliens. Sur l’esplanade du lac de l’Allier et Parc des ailes, les promeneurs peuvent découvrir les portraits de Jean-Marie Périer, l’œil proverbial des années 60 et 70 qui voit naître toute une nouvelle génération de chanteurs pop et yéyé. Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Eddy Mitchell, Françoise Hardy, les Beatles, Mick Jagger, Bob Dylan font un come back retentissant et revivifient, tout au long de la rivière, une époque mythique.

LE PROGRAMME EST SÉLECTIONNÉ PAR : FANY DUPÉCHEZ, DIRECTRICE ARTISTIQUE KARIM BOULHAYA, DIRECTEUR DU CENTRE CULTUREL VALERY-LARBAUD & CO-COMMISSAIRE PASCAL MICHAUT, CHARGÉ DE PROJET CHARLOTTE BENOIT, ADJOINTE AU MAIRE, DÉLÉGUÉE AUX AFFAIRES CULTURELLES

L’Italien Nicola Lo Calzo a entrepris d’explorer depuis cinq ans les mémoires post-coloniales de plusieurs continents. Après l’Afrique, après les Caraïbes, après la Louisiane aux Etats-Unis, il s’est intéressé à Cuba et plus particulièrement aux communautés africaines de l’île, descendantes des anciens esclaves. Explorant des corporations singulières telles que les loges de francs-maçons, les sociétés secrètes masculines, les associations de carnaval ou encore les jeunes tribus du mouvement hip-hop, il démontre comment ces différents “espaces sociaux” constituent de véritables îlots de résistance et de contre-pouvoir. Ses images portées par une chromie exubérante nous emmènent dans une Cuba libérée des clichés patriotiques et révolutionnaires. Nicola Lo Calzo est représenté par l’agence à paris

“Here again” est une série de portraits de mères avec leurs bébés de dix mois dans les bras. Ces mères sont photographiées dans la rue, parfois sur une route, dans la campagne, à proximité de leur maison. […] On y retrouve deux des thèmes qui habitent l’œuvre de Paola de Pietri, l’individualité et l’expérience momentanée du lieu et du paysage, auxquels s’ajoute celui de la filiation, de l’axe vertical du temps (les générations qui se succèdent), qui croise celui, horizontal, de l’espace du paysage. […] Le choix des arrièreplans n’est pas un hasard : ces femmes sont photographiées à l’extérieur du périmètre protégé de la maison, elles posent dans la rue, au cœur de l’espace public – qui aujourd’hui fait partie de l’espace social. L’importance de l’espace qui entoure ces femmes donne le sentiment qu’elles sont vulnérables, que leur corps est exposé. De leur solitude apparente ressort une forte conscience d’elle-même. Les lieux où elles posent participent à la construction de l’identité et de l’individualité, encore fragiles, de leurs enfants. Extrait du texte de Frits Gierstberg, publié dans Images au Centre, 03, Edition du patrimoine. Paola De Pietri est représentée par la galerie Les Filles du calvaire, Paris.

Angolais d’origine, Jean Depara a émigré à Kinshasa dans les années 50 et s’est imposé très vite comme l’un des opérateurs les plus en vue de la capitale congolaise. Quand il ne tirait pas le portrait des jolies Kinoises dans son studio baptisé le “Jean Whisky Depara”, il faisait la sortie des bars ou des night clubs. Son flash en bandoulière, il éclairait les belles de nuit, fleurs de soie juchées sur le capot des voitures, flirtant avec l’amoureux d’un soir en chemisette cintrée. Toute l’énergie et l’insouciance de cette jeunesse noctambule transparaissent dans les images effervescentes de Jean Depara. Elles sont le reflet des grandes heures de Kinshasa, baptisée en son temps “Kin-la-joie, Kin-la-folie” par le romancier Achille Ngoye. L’oeuvre de Jean Depara est représentée par Revue Noire et diffusée par la galerie Magnin-A, à Paris.

Entre les dernières fantaisies de l’enfance et les premières inquiétudes du monde adulte, la puberté signe une période délicate de transformations physiques et psychiques. La Néerlandaise Hellen van Meene produit depuis de nombreuses années des portraits d’adolescentes dont elle chorégraphie avec grâce la gestuelle et les regards teintés à la fois d’appréhension et de mélancolie. A mi-chemin du document et de la mise en scène, elle élabore avec chaque modèle une forme de fiction qui est au plus près de leurs émotions. Dans une lumière radieuse de portraits pré-raphaélites, elle cadre avec une grande justesse un âge délicat où l’on rêve de sortir du cadre justement. Hellen van Meene est représentée par la galerie Yancey Richardson à New York.

Jean-Christian Bourcart a réalisé, en collaboration avec le graphiste Ben Salesse un travail étonnant à partir des photos de la Farm Security Administration. Réalisées pendant la Grande dépression aux Etats-Unis, ces images font partie du patrimoine américain. Tournant le dos aux photos cultes, il s’est emparé des clichés refusés par Roy Stryker, le directeur du projet photo de la FSA, qui faisait des trous dans les négatifs lorsqu’il ne les jugeait pas dignes d’être exploités. Jean-Christian Bourcart a associé ces photos mutilées à des citations issus des “Raisins de la colère” de John Steinbeck. Il révèle ainsi d’étranges coïncidences entre la crise de 1929 qui a suscité de grandes migrations dans les années 30 aux Etats-Unis, et les convulsions de notre période contemporaine. La dimension plastique du travail est ainsi prolongée par un propos ouvertement politique et engagé. Avec le soutien du Musée Nicéphore Niépce. Jean-Christian Bourcart est représenté par la galerie In Camera à Paris.

Photographe et auteur-compositeur français, Nicolas Comment dresse depuis six ans un “blason photographique” du corps de Milo, l’amante et muse qui apparaît et disparaît dans les replis d’un désir toujours renouvelé. Au miroir de Tanger, Berlin, Barcelone, Bruxelles ou Paris, le couple rejoue le huis clos amoureux. D’hôtels en hôtels, de chambres en ruelles obscures, de jardins en patios, Milo se cache et se dénude, s’engouffre dans la chambre noire pour mieux se diaprer d’une chromie chaude et sensuelle. Mais dans ces photos chargées en érotisme, il s’agit moins d’un effeuillage que d’une double mise à nu, celle du modèle comme celle du photographe qui libère sous nos yeux ses vertiges et ses obsessions. www.nicolascomment.com

Ruud van Empel utilise le medium photographique comme une forme indépendante d’imagination. Chaque image résulte d’un assemblage sur ordinateur de photos qu’il réalise. Son travail d’inspiration conceptuelle a créé un nouveau genre dans la photographie. Dans sa série Untitled (2004), il explore le thème de l’innocence, et utilise dans la série suivante World (2005), un enfant de couleur pour la première fois comme un symbole de ce thème. Ces photos lui ont été inspirées par des photos prises durant sa propre enfance par son père. Un des traits caractéristiques du travail de Ruud van Empel est le soin extrême apporté à la composition d’une représentation parfaite et idéalisée, jusque dans les moindres détails. Mais le côté sombre de ces représentations, loin d’être toujours évident, est toujours présent. Ruud van Empel est représenté par la galerie Flatland à Amsterdam.

C’était le temps des pantalons pattes d’eph de Cloclo et celui des lunettes géantes de Polnareff. C’était le temps de l’émission “Salut les copains” animée par Daniel Filipacchi sur Europe 1. Jean-Marie Périer a été le témoin privilégié de cette époque mythique qui a vu naître toute une nouvelle génération de chanteurs pop et yéyé. Devant son objectif défilent des stars déjà confirmées et des petites vedettes appelées à rentrer dans la légende. Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Eddy Mitchell, Françoise Hardy, les Beatles, Mick Jagger, Bob Dylan, sont tous là, échappés des pages de Elle, Jazz magazine ou Paris-Match, éternellement jeunes sous la patine du temps.

Directrice Artistique

FANY DUPECHEZ fdupechez@wanadoo.fr KARIM BOULHAYA boulhaya@yahoo.fr PASCAL MICHAUT fdpmprod@orange.fr CONCEPTION GRAPHIQUE ELEMENT-S / JÉRÔME WITZ witz@free.fr REGIE TECHNIQUE JEAN-MICHEL FIORI & JE RO ME SCHIRTZINGER fiori@scenographe.eu service-expositions@ville-vichy.fr / 04 70 30 55 73

 

Portrait(s)-2016_Page_01 copie

Chaque été, Vichy se met à l’heure de la photographie avec le festival “Portrait(s)” qui se déploie dans la ville. La quatrième édition de cette manifestation se tient cette

année du 10 juin au 4 septembre.

Le festival rend hommage à tous les types de portraits, qu’ils soient issus de la tradition documentaire ou bien qu’ils relèvent de la fiction, de l’intime ou encore de dispositifs plus conceptuels.

La quatrième édition de “Portrait(s)” présente neuf artistes, dont les expositions se tiennent simultanément en centre-ville et à l’extérieur, à ciel ouvert.

Dans l’espace des galeries du Centre Culturel Valery-Larbaud, sont réunis Jean Depara, Nicolas Comment, Hellen van Meene, Nicola Lo Calzo, Maï LucasRuud van Empel et Jean-Christian Bourcart. Sur l’esplanade du lac de l’Allier, les promeneurs peuvent découvrir les portraits de Jean-Marie Périer, l’oeil proverbial des années 60 et 70 et en extérieur également ceux réalisés par Anton Renborg lors de son séjour à Vichy.

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