YellowKorner

YELLOWKORNER

YellowKorner a le plaisir de présenter le livre New York de Serge Ramellico-édition YellowKorner TeNeues, second ouvrage après Paris

L’Exposition “Lumière sur Paris New-York” du 8 juin au 5 juillet
, sera l’occasion de présenter l’ensemble des photos de Serge Ramelli dans les galeries YellowKoner.

Identifiable par ses larges vues très cinématographiques de Paris, Serge Ramelli a également rapporté ce sens du cadrage et ces clairs-obscurs de New York. Son attirance pour le cinéma hollywoodien prend tout son sens et fait naître des images fortes, contrastées et nuancées.

Une approche qui donne à ces villes mythiques un charme intemporel.

Loin de la dimension documentaire traditionnellement associée à la street photography, Serge Ramelli rend le quotidien surréaliste, grâce à un cadrage resserré et des éclairages spectaculaires.

Un diptyque sur la métropole contemporaine que vient clore cet ouvrage sur New York.

 

Par ailleurs, YellowKorner participe pour la première fois aux Rencontres de la Photographie d’Arles, du 6 juillet au 20 septembre 2015 avec pour objectid de révéler et valoriser de nouveaux talents.

 

YellowKorner s’associe tout particulièrement au Photo Folio Review d’Arles, qui met en lumière le travail de photographes inconnus et les accompagne dans leurs projets futurs.

 

L’occasion pour le lauréat primé de voir son travail exposé dans toutes les galeries YellowKorner, et d’être publié dans un beau livre co-édité par YellowKorner et les Rencontres d’Arles.

 

Le fondateur de l’enseigne, Alexandre de Metz, sera présent du 7 au 9 juillet à Arles, si vous souhaitez la rencontrez à cette occasion, n’hésitez pas à revenir vers moi.

 

 

YellowKorner participe pour la première fois aux Rencontres de la Photographie d’Arles, rendez-vous incontournable qui se déroule du 6 juillet au 20 septembre 2015 (semaine d’ouverture du 6 au 12 juillet). 

 

Une implication plus que légitime pour YellowKorner, dont la double vocation est de révéler et valoriser de nouveaux talents, et de mettre la photographie à la portée du plus grand nombre.

 

YellowKorner s’associe tout particulièrement au Photo Folio Review d’Arles, qui révèle des artistes inconnus, met en lumière leur travail et les accompagne dans leurs projets futurs.

 

L’occasion pour le lauréat primé de voir son travail exposé dans toutes les galeries YellowKorner, et d’être publié dans un beau livre coédité par YellowKorner et les Rencontres d’Arles.

 

Aurélien Villette

Cover

 

 

à l’occasion de la sortie de son livre Spirit of Place chez YellowKorner, Aurélien Villette rencontre son public lors d’une tournée/dédicace en France et à l’étranger.

Les 500 premiers exemplaires seront signés par l’artiste :

le 19/2 à Toulouse, 17h30-21h

le 21/2 à Berlin,

le 23/2 à Munich,

le 24/2 à Cologne,

le 26/2 à Barcelone,

le 27/2 à Madrid.

de 18h à 21h

 

Aurélien Villette est né en 1982 au Chesnay près de Paris. Depuis 2008, il parcourt le monde à la rencontre de sociétés et d’histoires qu’il saisit au travers de constructions architecturales qui se succèdent au fil des époques. Primé au concours SFR Jeunes Talents 2012 avec sa série Structures et Déstructures, il construit ses recherches autour de ce qu’il appelle l’« Esprit du Lieu ». En 2014 il présente sa série Dogma, qui lui fait remporter le premier prix d’architecture historique à l’International Photography Awards.

À travers Dogma, Topophilia, Réminiscence, Matiérisme, Structure / Déstructure et Verticalité, plusieurs questions sont posées ; la plus évidente, d’abord, notre réaction face à la ruine et au délabrement. Quel passé, mais aussi quelle destinée prêtons-nous à ces édifices ? Devons-nous les voir comme desabandons, des échecs, ou bien comme de simples états transitoires dans la grande entreprise humaine ? Pouvons-nous réellement calquer le schéma de vie organique (jeunesse, maturité, décadence) à l’architecture ? Lorsque nous rencontrons ces intérieurs vides, en ruine, pensons-nous à leur pérennité ou, au contraire, à leur caractère éphémère, changeant ? Enfin, et surtout sommes-nous réellement capables d’y voir un simple présent ?

 

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