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Du 8 juillet au 8 octobre prochains, le centre d’art Campredon de l’Isle-sur-la-Sorgue présente Parvine Curie à travers une exposition monographique « SCULPTURES & THANGKAS »

 

 

Parvine Curie, sculptrice franco- iranienne possède un parcours singulier, et fait partie des rares femmes à s’être imposées dans le monde de la sculpture contemporaine.

L’exposition couvre une grande partie de son œuvre, de 1967 à aujourd’hui. Elle en révèle la cohérence en présentant plus de quatre-vingts sculptures, tentures, dessins, gaufrages et collages.

 

le Parcours Paris, du 20 avril au 1er mai en partenariat avec le Mois de la Photo-OFF! 

fotofever est la première plateforme de découvertes et de rencontres dédiée à la jeune création photographique qui s’adresse à la fois aux collectionneurs avertis et en devenir.

En 2017, fotofever renforce son programme START TO COLLECT et se décline sur 3 événements inscrits dans les grands rendez-vous de la photographie en France:

– Le Parcours Paris du 20 avril au 1er mai – en partenariat avec le Mois de la Photo-OFF
– Une exposition à Arles dans le cadre des Rencontres de la Photographie en partenariat avec la fondation Manuel Rivera-Oritz (3 juillet-24 septembre)
– La 6e édition de la foire du 10 au 12 novembre 2017 au Carrousel

Plus d’informations ci-dessous (en attendant le communiqué de presse sur le Parcours Paris):

 

Né en 1933, Eikoh Hosoe vit sa jeunesse dans un Japon anéanti par la guerre. Les photographes d’avant garde de sa génération, déchirés entre l’autoritarisme nationaliste et une ouverture sur un occident vainqueur et néanmoins tentateur, témoignent tous, d’une façon ou d’une autre, de l’effondrement des traditions et d’une suprématie japonaises millénaires. Leur émancipation passe par leur regroupement au sein de collectifs tels que Jūnin-no-Me en 1956-57, et VIVO au début des années 1960, mais également par de nombreux échanges interdisciplinaires. Suite à sa rencontre avec le charismatique créateur du théâtre Butoh Tatsumi Hijikata, Hosoe est remarqué dès 1961 pour son livre superbement réalisé – Man and Woman – qui transcende l’art de l’érotisme par sa théâtralisation graphique. Puis en 1963, Hosoe crée avec Yukio Mishima l’album Barakei – Killed by Roses, qui met en scène le sulfureux auteur, et élève le photographe à une notoriété internationale fulgurante. Dans Barakei, Mishima, toujours dénudé, est alternativement capturé au milieu des ors kitsch de sa maison de Tokyo, ou dans le studio de danse désert de Hijikata, quand d’autres prises de vue rendent hommage à son amour pour la peinture renaissante européenne, et particulièrement pour son iconographie très charnelle du martyr de Saint Sébastien. Barakei est une fable érotique et morbide, qui traduit par sa provocante allusion à l’homosexualité de Mishima, le désespoir d’un immense auteur érudit, qui refuse le déclin de son pays, et de son corps. Barakei est le chef d’œuvre incontesté de Eikoh Hosoe. Les photographies de Eikoh Hosoe est présenté à Arles dans l’exposition Pas de deux, Kazuo Ono par Eikoh Hosoe et William Klein, du 4 juillet au 28 août, Chapelle Saint-Martin du Méjan, Arles. L’exposition s’inscrit dans le parcours Photo Saint Germain – le parcours photo de la rive gauche, du 4 au 20 novembre 2016. galerie eric mouchet 45, rue Jacob – 75006 Paris Du mardi au samedi 11h à 13h et de 14h à 19h www.ericmouchet.com

la galerie eric mouchet, l’art contemporain au cœur de saint-germain-des-prés Collectionneur depuis toujours, Eric Mouchet exauce sa passion pour le partage de la connaissance en ouvrant à l’automne 2014 sa propre galerie consacrée à l’art contemporain. Expert en arts graphiques près la Cour d’Appel de Paris, et spécialiste de l’œuvre graphique et picturale de Le Corbusier, Eric Mouchet propose une programmation contemporaine variée, occasionnellement basée sur des artistes dont il collectionne lui-même les œuvres depuis des années. Sélectionnés pour la rigueur, la pertinence et la poésie de leur travail, ces artistes d’origines géographiques diverses, s’expriment à travers toutes les formes de mediums, des plus traditionnelles aux plus actuelles. Témoin du potentiel du quartier de Saint Germain-des-Prés – cœur historique de l’activité intellectuelle à Paris – Eric Mouchet a installé sa galerie au 45, rue Jacob en vue de contribuer à l’épanouissement de la culture contemporaine sur la Rive Gauche. expositionS et foireS À venir Machination(s) – 10 septembre au 8 octobre 2016 YIA Art Fair – 20 au 23 octobre 2016 – Carreau du Temple

 

 

 

 

 

 

Après le Brexit Le marché de l’art français bien placé pour en profiter ? Alors que les plus gros acteurs du marché soutenaient le maintien du Royaume-Uni dans l’Union Européenne, les britanniques ont voté pour sa sortie à 51,9 %.

Un voile d’incertitude a immédiatement été jeté sur l’industrie de l’art qui s’interroge sur les conséquences du Brexit à court et long terme. Barnebys, le plus puissant moteur de recherche spécialisé dans les objets d’art, basé à Londres et bien implanté au Royaume-Uni, a souhaité revenir sur ces conséquences. Chute de la livre sterling :

les oeuvres d’art plus attractives pour les acheteurs étrangers Depuis des décennies, la ville de Londres est considérée comme la capitale du marché de l’art européen. Au delà des questionnements et du choc liés à la sortie de l’Union Européenne, la chute de la livre sterling est la conséquence immédiate du Brexit. À court terme, cette baisse semble profiter au Royaume-Uni, dont les oeuvres d’art sont bien plus attractives aux yeux des acheteurs étrangers. Les ventes d’art contemporain de Phillips, Christie’s et Sotheby’s qui avaient lieu à Londres quelques jours seulement après les résultats du référendum, ont confirmé cette tendance. La maison Phillips a été la première à se jeter dans l’inconnu avec sa vente du soir qui a comptabilisé un résultat satisfaisant de 14 117 349 dollars pour 31 lots, avec entre autre une oeuvre d’Anselm Kiefer, For Velimir Khlebnikov; The doctrine of War; Battles, (2004-2010), qui s’est vendue pour 3,28 million de dollars. Malgré dix lots invendus et un résultat légèrement en baisse par rapport à leur vente de juin 2015, Phillips s’en tire plutôt bien dans l’ambiance incertaine du Brexit. «Cela a sans nul doute aidé la vente» a commenté le PDG de Phillips Edward Dolman. « La conversion de la livre en dollar profite à la vente, et les acheteurs américains et asiatiques ont gagné entre 10 et 15% sur leurs achats. Ce soir, la chute de la livre sterling a encouragé les acheteurs étrangers. » Mêmes résultats chez Sotheby’s et Christie’s, qui ont tous deux enregistré d’excellents résultats lors de leurs ventes d’art contemporain. Christie’s, dont la vacation du soir avait lieu le 29 juin, a atteint le beau résultat de 52 820 610 dollars. Les deux toiles de Jean-Michel Basquiat, stars de la vente et consignés par l’acteur Johnny Depp, se sont vendues pour 4 745 258 dollars (Self-portrait) et 6 838 538 dollars (Pork). Quant à Sotheby’s, leur belle vente totalisant 69 millions de dollars a nettement adouci les préoccupations au sujet de l’impact immédiat du Brexit sur le marché de l’art. Les enchères londoniennes de la semaine ont donc apaisé l’atmosphère et rassuré les maisons de vente et autres acteurs du marché de l’art. Quelles conséquences à long terme pour le marché de l’art ? Si l’impact immédiat semble positif sur le marché de l’art, il est plus difficile d’analyser ce qu’il se passera à long terme. Aujourd’hui, la principale angoisse qui entoure le Brexit concerne la baisse du nombre d’œuvres d’art proposées sur le marché britannique à cause de la dévaluation de la livre sterling. Une fois les enchères de juin et juillet passées, les vendeurs risquent de déserter le sol anglais et l’offre pourrait vite se tarir… « Personne ne va vouloir vendre au Royaume-Uni, avec la livre si faible » a commenté J. Tomilson Hill, collectionneur d’art et vice-président de Blackstone Group. « L’offre va s’essouffler, en particulier sur le marché de l’art ancien » analyse-t-il. Cela dépendra des conditions dans lesquelles la sortie de l’UE sera négociée et des nouvelles réglementations mises en place entre le Royaume-Uni et le reste de la zone. COMMUNIQUÉ DE PRESSE La toile de Jenny Saville, “Shift” (1966-67), vendue 9 millions de dollars le 28 juin chez Sotheby’s 2016 Barnebys.fr est le plus puissant moteur de recherche d’objets d’art et d’antiquités référencés par les maisons de ventes aux enchères et les marchands d’art. Avec plus d’un million de visiteurs par mois, provenant de 150 pays, Barnebys.fr s’est implanté sur le marché francophone au travers d’une plateforme spécifiquement adaptée à celui- ci. Barnebys.fr a déjà été rejoint par plus de 100 maisons de ventes francophones comme Artcurial, Tajan, Sotheby’s Paris ou Aguttes. Fort de son potentiel, Barnebys.fr enregistre chaque semaine de nouveaux partenaires. Disponible aujourd’hui en six langues (anglais, espagnol, suédois, allemand et français et chinois), Barnebys est devenu un site de référence pour le marché des ventes aux enchères. www.barnebys.fr Si les britanniques décident de soumettre les objets d’art dans la TVA à l’importation (établie à 5 %), cela pourrait avoir de fortes conséquences sur les ventes d’art. Aujourd’hui, de nombreuses oeuvres vendues au Royaume-Uni proviennent des pays européens, et souvent de la France. Ces changements de fiscalité pourraient bien pousser les vendeurs à relocaliser leurs ventes à Paris. L’art, une valeur refuge en période d’incertitude économique ? La galeriste londonienne Pilar Ordovas, fondatrice d’Ordovas Gallery, reste optimiste face à l’incertitude ambiante : « Le marché de l’art est international, et même s’il y aura une période d’incertitude, les collectionneurs continueront à collectionner… » Par exemple, en 1991 et 2008, avec la faillite de Lehman Brothers, le secteur de l’art est toujours sorti indemne des crises économiques. Quand le secteur financier est dans la tourmente, l’art s’est au contraire toujours révélé comme une valeur sûre et stable. Pontus Silfverstolpe, co-fondateur de Barnebys, est optimiste quant à la stabilité du secteur: « La plupart des grands collectionneurs d’art sont internationaux, ils ne viennent pas du Royaume-Uni. Avec le pound si faible, ils vont voir le sol anglais comme une terre attractive et soutenir le marché. » La place de Paris profitera t’elle du Brexit ? À terme, le Brexit pourrait même être bénéfique au marché de l’art français : « Le risque du Brexit est lié à l’offre. Je suppose que de plus en plus de gens voudront vendre à New York et peut-être même à Paris. Serait-ce pour la France une petite renaissance ? » s’interroge Pontus Silfverstolpe. Dans le domaine de l’art classique mais aussi moderne et contemporain, Paris occupe une place privilégiée. « En réalité, la France a tout à gagner du Brexit, et pas seulement pour retrouver sa place jadis prépondérante sur le marché de l’art européen. À condition qu’elle le fasse avec tact et sans triomphalisme. » cite l’économiste Michel Santi. Finalement, les changements résultant du Brexit ne se feront pas sentir avant plusieurs mois, voire plusieurs années pour les plus optimistes d’entre nous. « Une fois que le processus politique deviendra plus clair, nous alignerons nos activités et opérations avec le nouveau cadre législatif. Nous sommes habitués à nous adapter aux questions politiques, juridiques et culturelles qui changent constamment. Nos années d’expérience nous ont montré que les collectionneurs continueront à collectionner ». a commenté Catherine Mansons de chez Christie’s.


23 rue du Renard – 75004 Paris
www.communicart.fr

 

 

La galerie Eric Mouchet a fêté dimanche dernier son premier anniversaire et inaugure ce samedi 24 octobre sa nouvelle exposition consacrée à la PHOTOGRAPHIE DE PAYSAGE jusqu’au 28 novembre. Aurez vous l’occasion de passer ? 
 
Trois photographes, représentatifs de la scène contemporaine suisse et sous le commissariat de Matthieu Gafsou, développent respectivement des APPROCHES EXPÉRIMENTALES de la photographie de paysage : photo mise en scène par Benoît Jeannet, montage photographique de Benoît Vollmer et image numérique de Mathieu Bernard-Reymond. À quelques semaines de la conférence des Nations Unis sur les changements climatiques COP21, ces photographes célèbrent l’esthétique des éléments naturels tout en interrogeant la valeur accordée à ces représentation qui saturent le paysage iconographique.
 
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La série de Benoît Jeannet, A Geological Index of the Landscape, a fait l’objet d’un ouvrage autopublié par l’artiste et a été nominé pour le prix Paris Photo-Aperture Foundation PhotoBook dans la catégorie «  First photobook of the year ». Le résultat de ce concours sera annoncé pendant Paris Photo. 

 

Communic’Art | Agence de Communication Art et Culture

STUDIO JOB EST À L’HONNEUR SUR LE STAND DE CARPENTERS WORKSHOP GALLERY À DESIGN MIAMI/

Avec Landmark, le collectif Studio Job revisite les plus célèbres monuments du monde à l’occasion de Design Miami/ pour Carpenters Workshop Gallery. 

Le Taj Mahal, Big Ben, la Cathédrale de Chartres… Studio Job vous propose un tour du monde fantastique. Un show d’exception à découvrir sur le stand G12, à la mesure de l’attirance des amateurs pour le design de collection.

Studio Job est un collectif de deux artistes : Job Smeets et Nynke Tynagel, diplômés de la Eindhoven Design Academy. Leur collaboration a permis la réalisation de pièces uniques ainsi que des éditions de travaux  d’une grande expressivité.

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GALERIE BOULAKIA, THE SALON: ART + DESIGN,
CHAGALL, ERNST, LÉGER, MITCHELL À NEW YORK

À The Salon: Art + Design de New York du 13 au 17 novembre 2014, la Galerie Boulakia, galerie prestigieuse aux noms d’artiste chargés d’histoire, fera dialoguer les grands maîtres de la peinture et de la sculpture : Bonnard, Chagall, Dubuffet, Ernst, Léger, Mitchell…

Des pièces maîtresses et rares retiendront l’attention des visiteurs les plus exigeants, tel le “Juif à la Thora” de Marc Chagall, figure religieuse qui s’élève librement hors de toute contrainte architecturale. Un symbole d’une tradition…

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GASTON LA TOUCHE AU MUSÉE DES AVELINES
RÉTROSPECTIVE DU 16 OCTOBRE AU 1ER MARS 2015

Du 16 octobre 2014 au 1er mars 2015, le Musée des Avelines de Saint-Cloud présente la première rétrospective en France dédiée à l’artiste de la Belle Epoque Gaston la Touche.

L’exposition, qui regroupe 90 oeuvres de Gaston la Touche, provenant de collections publiques et privées françaises et européennes, propose un parcours raffiné dans la production de l’artiste. 

De la période réaliste des débuts aux scènes d’intimité joyeuses, en passant par les jardins ensoleillés de Versailles, l’exposition présente toutes les périodes du peintre clodoaldien. 

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Agence Communic’Art
11 rue Léopold Robert, 75014 Paris
+33 (0)1 43 20 10 49

PAD LONDON | CARPENTERS WORKSHOP GALLERY EXPOSE YINKA SHONIBARE MBE, RICK OWENS …

Du 15 au 19 octobre 2014 à Londres, Carpenters Workshop Gallery participe au Pavillon des Arts et du Design, et présente le travail de huit artistes dépassant les frontières entre art et design.

Les artistes présentés sont : Atelier Van Lieshout, Wendell Castle, Ingrid Donat, Vincent Dubourg, Random International, Rick Owens, Yinka Shonibare MBE et David Smith.

Les pièces exposées trouvent leur source d’inspiration dans l’exploration du mouvement au travers de la forme qu’il peut prendre : explosive, avec Bhanga Alu de Vincent Dubourg, ou encore organique, avec Light of Lights, de Wendell Castle…

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