GALERIE 127 exposition

GALERIE 127

LA GALERIE 127 DE MONTREUIL
© Carolle Benitah/galerie127                                        © Diana Lui/galerie127

LA GALERIE 127 DE MONTREUIL

Il est des histoires d’amitié indéfectibles.
Le Maroc et la France à plein d’égards cheminent côte à côte, deux pays « amis » avec des histoires heureuses et tumultueuses.
Depuis quinze ans, la galerie 127, fondée et dirigée par Nathalie Locatelli, élabore une histoire de la photographie du Maghreb depuis Marrakech.
Unique galerie spécialisée en photographie au Maroc, elle se consacre à mettre en avant des artistes vivants mais aussi à recenser le patrimoine photographique marocain. Afin de poursuivre cette mission, Selma Bella Zarhloul rejoint la galerie en qualité de co-directrice, après une vingtaine d’années d’expérience dans le monde de la photographie.

Héritage de ce lien ami franco-marocain, les artistes de la galerie 127 vivent et travaillent, pour certains, à cheval sur deux mondes. Telle est de fait également l’identité de la galerie : une double culture, franco-marocaine ainsi enrichie d’histoires, d’humanités et de créations.

La situation actuelle a fait poindre la crainte de voir disparaître ce lien fondamental avec chacun.e. des artistes isolé.e.s d’un côté de la rive méditerranéenne. La grande bleue, auparavant liant nourricier des deux cultures, s’est transformée en frontière infranchissable.

Que faire?

La galerie 127 à Montreuil est née. Après ces quelques mois d’isolement, l’enthousiame de pouvoir se retrouver de ce côté de la méditerrannée l’emporte.

Montreuil comme une évidence, terreau parfait pour la transplantation de la galerie 127 où les cultures maghrébines, africaines et françaises se mélangent allègrement. Une galerie c’est avant tout des artistes mais c’est aussi un lieu, un point sur la carte.
Que ce soit dans le quartier de Guéliz à Marrakech ou celui de Robespierre à Montreuil, l’environnement de la galerie contribue à l’ADN de la galerie. Et plus que jamais, nous nous sommes souvenus récemment, quand le déplacement est (devenu) impossible, à quel point l’endroit où l’on vit – compte.

Faisons de cette adresse un appel vivant, un appel aux échanges, aux rêves, aux folies communes. Et saisissons l’opportunité d’ouvrir à d’autres horizons, d’autres cultures et pratiques.

En ces temps incertains, il est plus que nécessaire de continuer à oser et à croire.

Le défi est là malgré tout, cependant quoi de mieux aujourd’hui que la photographie comme vecteur et passeur de rêves collectifs ?

La galerie 127 à Montreuil est une modeste tentative pour « ramasser le monde » (emprunté à Rita Alaoui).

 

RITA ALAOUI

DEMAIN SERA BEAU

UN LIVRE D’AUTEUR – UNE EXPOSITION

SAMEDI 12 SEPTEMBRE – SAMEDI 3 OCTOBRE 2020

Vernissage samedi 12 septembre  de 18h à 21h

(ouverture exceptionnelle le dimanche 13 septembre 2020)

© Rita Alaoui/galerie127, Demain sera beau, 2020

Détail – Livre d’auteur “Demain sera Beau” – Ed. Al Manar
Tirage en Piezographie Warm Neutral sur papier Kozo  d’Awagami  – réhaussé d’une intervention manuelle sur le passe-partout.  Edition limitée À 7 exemplaires.

L’exposition intitulée “Demain sera beau” inaugure la galerie 127 à Montreuil.
La proposition de Rita Alaoui est un voyage au centre de la terre, dans l’archéologie de notre existence humaine et bien au-delà encore.
Avant de livrer sa création, Rita Alaoui se métamorphose et se glisse dans plusieurs peaux. D’abord, la chasseuse-cueilleuse qui prélève des spécimens dans la nature.
Puis rassasiée de sa récolte de pierres et de végétaux, elle organise sa cueillette et entame telle une naturaliste, la sénescence joyeuse des objets.
Enfin, l’alchimiste entame la métamorphose en livre-objet, photographie, dessin, collage… Chacune des ces réalisations est un manifeste du vivant, de notre essence humaine mais pas que et comme l’écrivait Jacques Derrida, de l’animal que donc je (nous) sommes.
Rita Alaoui convoque notre primitive nature et notre aptitude à s’émerveiller jour après jour du magique ordinaire, du vivant.

L’exposition présente des oeuvres inédites : un livre d’artiste avec des réhauts réalisés à la main, ainsi chaque exemplaire est un tirage unique.
Des photographies avec intervention de l’artiste sur les passe-partouts, deux oeuvres peintes au brou de noix et des collages mêlant photographies, dessins, peintures et objets.

Oh les beaux jours car Demain sera beau !

BIOGRAPHIE
SAVE YOUR DATE

9 octobre 2020

TINA MERANDON
© Tina Merandon/galerie127, 1-2-3 Soleil, 2020
 … La découverte du chromatisme moderne par un peintre d’avant-garde en Afrique du nord fait écho au travail photographique de Tina Merandon.  Dans ce quartier Griffeuille où vibre une culture du Maghreb, les éléments plastiques d’une tradition semblent recomposer le réel. Mais l’enjeu n’est plus seulement de nourrir une quête artistique : la question sociale est ici posée en termes esthétiques pour changer les regards.

Extrait d’un texte de Michel Poivert – Un quartier chromatique

VOIR PLUS
SEIF KOUSMATE
© Seif Kousmate/galerie127, Haratin, Born to serve, 2018

En raison de l’état d’urgence en vigueur au Maroc, la Galerie 127 est ouverte uniquement sur rendez-vous et reprendra le cycle de ses expositions ultérieurement.
Le premier solo show de Seif Kousmate est reporté ultérieurement.

VOIR PLUS
Nous sommes impatients de vous retrouver  !
Facebook
Instagram
Website
Galerie 127 
127, avenue Mohammed V
2 ème étage
40.000 MARRAKECH

T : +212 661 33 99 53
ONLY ON APPOINTMENT
From 3 pm to 7 pm
From Tuesday to Saturday

Galerie 127
7, rue Arsène Chéreau

93.100 MONTREUIL

T: +33 6 77 71 00 23

From 3 pm to 7 pm
From Wednesday to Saturday

PARIS PHOTO
GRAND PALAIS
NOV 7th to 10th
BOOTH A7
Nous sommes ravis de vous acueillir du 7 au 10 Novembre sous la voûte du Grand Palais pour vous présenter les oeuvres des artistes :

CAROLLE BENITAH
FLORE,Prix de La Photographie 2018 de l’Académie des Beaux Arts de Paris
SARA IMLOUL, Prix Levallois 2019 en duo avec  NICOLAS LEFEBVRE
FATIMA MAZMOUZ
SAFAA MAZIRH

FATIMA MAZMOUZ
Série  “des Monts et des Mères veillent”
Statement and Biography
“Des Monts et Mères Veillent”, Esoter, Poulet 4 –
Tirage numérique avec trame
100×100 cm – 2019 – Edition 1/ 3
CAROLLE BENITAH
Série “Jamais je ne t’oublierai”
Statement and Biography
“Watteau” – Série “Jamais je t’oublierai“, 2019
Tirage numérique issu d’une photographie vintage, réhaussé à la feuille d’or 22 carats
Edition de 5 exemplaires –  N°5/5
FLORE
“Maroc, un temps suspendu”
Statement and Biography
Maroc, un temps suspendu“, Les grands soleils d’or, 2019
Archival pigment print on japanese paper with mixed media – 100 x 100 cm –  Edition 1/3
SARA IMLOUL & NICOLAS LEFEBVRE
Série “A Quatre Mains”
Statement and biography
A Quatre Mains” – “la Madone” – Calotype 13×18 tiré à l’agrandisseur 20×25 – viré au sépia, 2019
190 x150 cm (encadré)  –  version 1/3
SAFAA MAZIRH
Série “Sans titre”
Statement and biography
Série “Sans titre” – Sans titre #8 ” – Tirage numérique – 160 x160 cm – encadré – Edition 3/5
      BOOK SIGNING /SIGNATURE DE LIVRE

CAROLLE BENITAH
VENDREDI 8 NOVEMBRE à 17 heures
STAND A7

FLORE
SAMEDI 9 NOVEMBRE à 15 heures
STAND A7

A Marrakech (La Galerie est exceptionnellement fermée du 3 au 13 Novembre)

Prolongé jusqu’au 20 décembre

DEPUIS IFKERN
Photographies de Joseph Marando

BIOGRAPHIE

Joseph Marando, français, né en 1956 à Agadir au Maroc, habite dans le Sud-Est de la France, en Haute -Provence. Dès l’adolescence la photographie s’impose comme une évidence et lui donne une place. Après un bac littéraire, il devient l’assistant d’Étienne Sved, photographe-graphiste et éditeur venu s’installer de Paris dans le Luberon.
C’est ainsi qu’il  apprend les métiers de  l’image, du livre et surtout les secrets de la chambre noire.
En parallèle, il affinera sa perception des Arts à la faculté d’Aix en Provence où il fera autre une rencontre décisive, celle de Willy Ronis qui enseigne l’histoire de la photographie. Il sera plus tard le parrain  du jeune photographe pour le prix Léonard de Vinci du Ministère des Affaires étrangères. Lauréat en 1991, il est doté d’une bourse qui lui permettra de parcourir le Maroc dans le cadre d’une résidence artistique de plusieurs mois. Depuis et jusqu’à aujourd’hui , il ne cesse de photographier son pays natal.
Joseph Marando a toujours eu la volonté d’orienter sa photographie dans les domaines du reportage social et documentaire.
Son parti pris est de recueillir des images liées au quotidien, destinées à enrichir la future mémoire collective ,voire patrimoniale, comme on peut le constater en feuilletant les pages  de son livre  « Maroc Ordinaire » paru en 2005.
Très attaché au Maroc et à ses origines maternelles, il y vient aussi régulièrement animer des ateliers autour de la photographie  dans diverses facultés du Royaume.
Il expose, entre autres lieux, ses photographies et notamment  dans le réseau des Institut français au Maroc.
Habité par le même engagement Joseph Marando réalise des films documentaires,  dont l’un d’eux  «Ya Oulidi ! Le prix de la douleur»  traite des trajectoires des jeunes issus de l’immigration dans les quartiers Nord de Marseille.
Par ailleurs, tout en menant son travail de reporter-photographe il poursuit l’un de ses projets, sur la médina de Fès, ville originaire de son grand-père.
PRESSE

SPECIAL THANKS TO RIAD MENA AND NEW YORK TIMES MAGAZINE
https://www.nytimes.com/2019/09/18/t-magazine/pope-l-crawl-mens-skin-care.html

https://www.lexpress.fr/tendances/voyage/voyage-marrakech-l-hedoniste_2095109.html

FOLLOW US ON INSTAGRAM AND FACEBOOK
Galerie 127
127, avenue Mohammed V
2e étage
40000 MARRAKECH
T: +212 661 33 99 53
T: +33 6 77 71 00 23 (during the Paris Photo Art Fair)
T: +212 524 43 26 67 
galerie127@gmail.com
www.galerie127.comExceptionnellement fermée du 4 au 13 Novembre
OPEN FROM 3 TO 7PM
FROM TUESDAY TO SATURDAY

A Marrakech

05.10.19
16.11.19

DEPUIS IFKERN
Photographies de Joseph Marando

Vernissage le Vendredi 4 Octobre à 18 heures
Le photographe n’est pas seulement quelqu’un qui porte un appareil et qui cherche à composer sa photo, il est comme un proche de ceux qu’il photographie. Prendre un visage en photo, c’est fraterniser avec celui qui porte ce visage. Cela relève d’une création qui ressemble à la genèse. C’est comme si l’on venait d’être créé à l’instant même. C’est pourquoi la photo est ici « une chose grave ».

Abdallah Zrika – extrait du texte “Le thé du photographe” – (Maroc Ordinaire, 2005)

Depuis bientôt 15 ans, il tient à cœur à la galerie 127 d’accompagner la photographie marocaine contemporaine dans  toute sa diversité.
Du samedi 5 octobre au samedi 16 novembre 2019, elle met en lumière le travail de Joseph Marando, photographe né à Agadir, au Maroc.
Celui-ci s’inscrit dans la lignée des photographes auteurs, entre photographie documentaire et récit autobiographique.Les images de Joseph Marando, en noir et blanc, sont issues du livre « Maroc ordinaire»,  paru en 2005.
Ses cahiers de voyages, qu’il débute en 1991, après trente ans d’absence, témoignent des nombreux allers et retours entre la France et le Maroc, de Forcalquier en Haute-Provence à Ifkern, douar du Moyen Atlas. En résulte une traversée du pays doublée d’une traversée du temps … de l’ extime à l’intime, de soi vers l’Autre.
Cette quête identitaire n’en constitue pas moins un arrêt sur images du Maroc de l’avant-numérique …
BIOGRAPHIE
Joseph Marando, français, né en 1956 à Agadir au Maroc, habite dans le Sud-Est de la France, en Haute -Provence. Dès l’adolescence la photographie s’impose comme une évidence et lui donne une place. Après un bac littéraire, il devient l’assistant d’Étienne Sved, photographe-graphiste et éditeur venu s’installer de Paris dans le Luberon.  C’est ainsi qu’il  apprend les métiers de  l’image, du livre et surtout les secrets de la chambre noire.
En parallèle,  il affinera sa perception des Arts à la faculté d’Aix en Provence où il fera autre ren-contre décisive, celle de Willy Ronis qui  enseigne l’histoire de la photographie. Il sera plus tard le parrain  du jeune photographe pour le  prix Léonard de Vinci du Ministère des Affaires étrangères.  Lauréat en 1991, il est  doté d’une bourse qui lui permettra de parcourir le Maroc dans le cadre d’une résidence artistique de plusieurs mois. Depuis et jusqu’à aujourd’hui il ne cesse de photographier son pays natal.
Joseph Marando a toujours eu la volonté d’orienter sa photographie dans les domaines du reportage social et documentaire.
Son parti pris est de recueillir des images liées au quotidien, destinées à enrichir la future mémoire collective , voire patrimoniale, comme on peut le constater en feuilletant les pages  de son livre  « Maroc Ordinaire » paru en 2005.
Très attaché au Maroc et à ses origines maternelles, il y vient aussi régulièrement animer des ateliers autour de la photographie  dans diverses facultés du Royaume.
Il expose, entre autres lieux, ses photographies  et notamment  dans le réseau des Institut français au Maroc.
Habité par le même engagement  Joseph Marando réalise des films documentaires,  dont l’un d’eux  «Ya Oulidi ! Le prix de la douleur»  traite des trajectoires des jeunes issus de l’immigration dans les quartiers Nord de Marseille.
Par ailleurs, tout en menant son travail de reporter-photographe il poursuit l’un de ses projets, sur la médina de Fès, ville originaire de son grand-père.
Catalogue des oeuvres
PARIS PHOTO
GRAND PALAIS
7 au 10 novembre 2019
PRESSE

SPECIAL THANKS TO RIAD MENA AND NEW YORK TIMES MAGAZINE
https://www.nytimes.com/2019/09/18/t-magazine/pope-l-crawl-mens-skin-care.html

https://www.lexpress.fr/tendances/voyage/voyage-marrakech-l-hedoniste_2095109.html

FOLLOW US ON INSTAGRAM AND FACEBOOK
Galerie 127
127, avenue Mohammed V
2e étage
40000 MARRAKECH
T: +212 661 33 99 53
T: +33 6 77 71 00 23
T: +212 524 43 26 67
galerie127@gmail.com
www.galerie127.comOPEN FROM 3 TO 7PM
FROM TUESDAY TO SATURDAY

 

à MARRAKECH
                                           LES VIES SILENCIEUSES

exposition collective

          CAROLLE BENITAH . TONI CATANY . NATHALIE COHEN  . NICOLAS COMMENT  DENIS DAILLEUX . FLORE .  SARA IMLOUL .  SANDRINE ROUSSEAU

L’exposition est prolongée jusqu’au 15 septembre 2019

@Sara Imloul, série Passages, 2018, calotype.

Sara Imloul, avec la série “Passages” et ses remarquables calotypes , actuellement présentés à la galerie est une des 5 finalistes du                  Prix Levallois 2019  qui sera annoncé le 4 juillet à Arles 
Sera t’elle la nouvelle photographe primée représentée par la galerie 127 ?Rendez-vous à Arles !
                                              HORS LES MURS

à MARSEILLE
SALON POLYPTIQUE
76 rue de la Joliette

du 30 août au 1er septembre 2019
                                                            exposition collective

à  TANGER

         “Nouvelles Ecritures –
jeune photographie marocaine”

du 17 août au 30 septembre 2019

            Fondation pour la photographie de Tanger

Exposition collective avec Zakaria Ait Wakrim, Céline Croze, Hicham Gardaf, M’hammed Kilito, Seif Kousmate,                      Mehdy Mariouch, Fatimzohra Serri.
Commissariat d’expostion : Marie Moignard

Galerie 127
127, avenue Mohammed V
40000 MARRAKECH
T: +212 661 33 99 53
T : +212 524 43 26 67 (15/19h)
galerie127@gmail.com
www.galerie127.comOPEN FROM 3 TO 5PM
FROM TUESDAY TO SATURDAYFERMETURE DU 1er AOUT AU 3 SEPTEMBRE 2019
Share
Tweet
Forward

 

LA CHAMBRE INTERDITE
Carolle Bénitah
21.02.19/21.03.19
Marrakech
©carolle Benitah, La barre,- Série “Jamais je ne t’oublierai”, 2019
Alors que la galerie 127 fête les 14 ans de son « aventure photographique »  au Maroc c’est à     Carolle Bénitah, après 10 ans de complicité artistique, qu’elle dédie à nouveau son lieu pour une exposition personnelle.
L’artiste marocaine y racontera ce qu’elle décrit comme étant son espace mental :La chambre interdite, une installation, photographies et objets d’artsEn 2009, la Galerie 127 présente à Paris Photo la première partie de l’album « Photo Souvenirs »  consacrée à son Enfance Marocaine, puis en 2013 celui de l’Adolescence à Paris-Photo Los Angeles, et « l’Age adulte » dans le cadre du Mois de la Photo en 2015. Les premières éditions de l’album sont alors acquises par le collectionneur Marin Karmitz, ainsi que par la Bibliothèque Nationale de France.Suivront les séries « Ce qu’on ne peut pas dire », « Ce qu’on ne peut pas voir », « la Mère » puis dernièrement, « Jamais je ne t’oublierai… » présentée à Paris Photo 2018.Dans l’univers de Carolle Bénitah, l’écriture et l’image sont indissociables. L’image pour dire, les mots pour montrer.
Elle pratique l’introspection, sans détours, comme ses contemporaines écrivains que sont Annie Ernaux ou encore Elena Ferrante.L’artiste marocaine coud, et en découd avec ses questionnements et sa quête du bonheur. Elle utilise le fil de soie, ou de soi. Tantôt le fil rouge des émotions violentes, tantôt le fil noir des angoisses ou encore le fil or pour la fidélité. Ils symbolisent, dans le corpus, le lien familial ou amoureux.

Il n’est pas non plus sans nous rappeler qu’avant de se consacrer à la photographie plasticienne, Carolle Bénitah, en d’autre temps, bardée de son diplôme de la Chambre Syndicale de la Haute Couture, officiait comme styliste dans son atelier à Marseille où elle est venue s’installer à l’âge de 18 ans.

A Marrakech, dans cette « chambre interdite », il sera question de rêves et cauchemars, plaisirs et désirs, tabous, interdits et paroles libérées, conjugués au féminin voir au féminisme.

C’est en parallèle de la 1:54 African art fair qui se tiendra dans la ville ocre, que Carolle Bénitah et moi-même vous attendons dans « La chambre interdite », du  jeudi 21 février au 25 février de 15h à 19h, et lors de La nuit des galeries le samedi  23 février jusqu’à 22 heures.
L’exposition durera jusqu’au 21 Mars 2019.

The  galerie 127 celebrates the 14th year of its « photographic adventure » in Morocco by dedicating its space to Carolle Bénitah, after 10 years of artistic collaboration.

The moroccan artist will be talking about what she describes as her inner space :

La chambre interdite, installaton, photography and pieces of Art

In 2009, the galerie 127 presented in Paris Photo the first part of the album « Photos-Souvenirs » dedicated to her Moroccan childhood, then in 2013 the one about her Adolescence at Paris-Photo Los Angeles, and the Adulthood during Le Mois de la Photo 2015  in Paris.

After that will follow the series « Ce qu’on ne peut pas dire », « Ce qu’on ne peut pas voir », « la Mère » and recently, « Jamais je ne t’oublierai… » at Paris Photo 2018.

In Carolle Bénitah’s univers, the writing and the image are inseparable. Images to say, words to show. She uses introspection, without detours, just like her contemporary writers Annie Ernaux or Elena Ferrante.

The moroccan artist sew and struggle with her self-questioning and her quest of happiness. She uses silk thread, or self thread. Sometimes the red thread for violent emotions, sometimes black thread fo fears, or the golden thread for fidelity. They all symbolize the love or family bond.

It also reminds us that before being a photograph and a plasticien artist, she had a diploma from the Chambre Syndicale de la Haute Couture, and was a stylist in Marseille, where she lives since she’s 18.

In Marrakech, in this « chambre interdite », we will deal with dreams and nightmares, pleasures and desires, taboos, bans, and free speech, through the prism of the feminine and the feminism.

During the 1:54  African Art Fair in the ochre city, Carolle Bénitah and myself will be waiting for you in «  la chambre interdite », from Tuesday the 21st to Monday the 25th of February, from 5pm to 7pm, and during the Night of  Gueliz galerie vernissages theSaturday 23rd of February until 10pm.

The show will be on until the 21st of March 2019.
Public and private collections

– Bibliothèque Nationale de France, Paris, France

– Museum of Fine Arts, Houston, États-Unis

– Museum of Marrakech for Photography and Visual Arts, Marrakech, Maroc

– Peabody Essex Museum of Salem, Massachussetts, États-Unis

– Centre Manuel Alvarez Bravo, Oaxaca, Mexique

– Sunnhordland Museum, Bergen, Norvège

– Leica, Solms, Allemagne

– Collection Marin Karmitz, Paris, France

– Collection Pierre Borhan, Paris, France

– Collection Prince and Princess of the Netherlands

– Collection Galila Hollander, Bruxelles, Belgique

– Collection Sir Mark Haukhol, Houston, États-Unis

– Collection Jan De Bont, Los Angeles, États-Unis

– Collection Elaine Goldman, New York, États-Unis

– Collection Professor Cees Dam

 

To see more
Hors les murs/ Outdoor
DAOUD AOULAD-SYAD
©Daoud Aoulad-Syad,

Dans le cadre de la Saison Culturelle 2018-2019 des Instituts du Maroc
l’exposition des photographies de Daoud Aoulad-Syad fait une dernière escale à L’institut Français de Rabat à partir du 18 février 2019.

As part of the Cultural Season 2018-2019 of the Institut du Maroc the exhibition of Daoud Aoulad-Syad's photographs makes a last stop at the French Institute of Rabat from February 18, 2019.

https://if-maroc.org/rabat/evenements/exposition-photographique-le-maroc-de-daoud-aoulad-syad/

FATIMA MAZMOUZ
©Fatima Mazmouz, serie Bouzbir, 2018

L’artiste marocaine Fatima Mazmouz prendra part au Festival culturel et littéraire des Cinq Continents organisé par le département de Français de l’Université de New York du 4 au 6 avril prochain ainsi qu’à la Cinquième édition des Rendez-Vous de l’Histoire organisée par l’Institut du Monde arabe -IMA- le 13 avril 2019

………………………………………………………………………………………………………………………………………..

Moroccan artist Fatima Mazmouz will take part at the Cultural and Literary Festival of the Five Continents organized by the Department of French at New York University from April 4th to 6th after the Fifth edition of the Rendez-vous of History organized by the Institut du Monde arabe -IMA- April 13, 2019
To see the whole serie “Bouzbir”
SAFAA MAZIRH
© Safaa Mazirh’s serie is part of the exhibition

Looking Out, Looking In : Contemporary Artists from Morocco

Boston University
February 8th, 2019 – March 31st, 2019

To see the whole serie “Amazigh”
Galerie 127
127, avenue Mohammed V
40000 MARRAKECH
T: +212 661 33 99 53
T : +212 524 43 26 67 (15/19h)
galerie127@gmail.com
www.galerie127.com

Galerie 127 wishes you a 2019 year full of dreams coming true …

©carolle Benitah, Le rêve des amants – la Femme /l’homme – Série “Jamais je ne t’oublierai” , 2018
du 4 au 30 janvier 2019

PORTRAIT(s) DE FEMME(s)

EXPOSITION COLLECTIVE

AASSMAA AKHANNOUCH – CAROLLE BENITAH FLORE – FATIMA MAZMOUZ –
SANDRINE ROUSSEAU – SAFAA MAZIRH

©Fatima Mazmouz
The artist  Fatima Mazmouz will present her serie “Bouzbir” at galerie 127 on January,Friday 4th at 6PM.
This serie has been presented at the last edition of Paris Photo and had the support of the New York times Magazine, TV5 monde, Liberation, Fisheyes, Il Manifesto and many other one.
Fatima Mazmouz will take part of a conference at the French department of the New York University next April.
©Flore, le temps retrouvé, tirage fresson.

Winner of the 2018 photography price of Academie des Beaux Arts de Paris

© Sandrine Rousseau, Série ‘Abstractions bleues’, Essaouira, 2018 
©carolle benitah, la Pinup, Série “Jamais je ne t’oublierai”, 2018
©Aassmaa Akhannouch

Student of Flore, Aassmaa Akhannouch is joining the artists of the galerie 127 with a serie of cyanotype named “Boulevard de l’Ocean” realised in Casablanca.

© Safaa Mazirh will also take part of an exhibition in The United States

Looking Out, Looking In : Contemporary Artists from Morocco

Boston University
February 8th, 2019 – March 31st, 2019

Galerie 127
127, avenue Mohammed V
40000 MARRAKECH
T: +212 661 33 99 53
T : +212 524 43 26 67 (15/19h)
galerie127@gmail.com
www.galerie127.com
Share
Tweet
Forward
La galerie 127 ferme ses portes du 1 er Aout au 18 septembre
Galery 127 will be closed from August 1st until september 18th
Les artistes de la galerie et moi même sommes heureux de vous annoncer
The artists of the gallery and myself are happy to announce youNotre prochain Grand Rendez-vous 
Our next important Rendez-vousdu 8 au 11 novembre prochain
au Grand Palais 
pour la prochaine édition de
Paris Photo

from November 8 to 11
at the Grand Palais
for the next edition of
Paris Photo

La Galerie 127 est une des 3 galeries africaines
dont la candidature a été retenue
Galery 127 is one of the 3 African galleries whose candidacy has been retained.

Pour en savoir plus dans les semaines à venir,
Vous pouvez nous suivre sur

To find out more in the coming weeks,
You can follow us on

Facebook,
Instagram,
Twitter

durant tout l’été
all this summer

And some of our best sales and … last editions to be purchased 

prices on request

©Denis dailleux, Hicham Gardaf, Flore, Carolle Benitah,
Safaa Mazirh, Daoud Aoulad-Syad …
Galerie 127
127, avenue Mohammed V
40000 MARRAKECH
T: +212 661 33 99 53
T:  +33 6 77 71 00 23
T : +212 524 43 26 67 (15/19h)
galerie127@gmail.com
galerie127.com

 

This email was sent to bellanger7@yahoo.fr
why did I get this?    unsubscribe from this list    update subscription preferences
Galerie 127 · 127 Avenue Mohammed V, Marrakech, Marrakech-Tensift-Al Haouz, Maroc · Marrakech 40000 · Morocco

LE MAROC DE
DAOUD AOULAD-SYAD
En partenariat avec l’Institut Français du Maroc et dans le cadre de la saison culturelle 2018-2019, la Galerie 127 a le plaisir de présenter 3 expositions issues du corpus photographique de l’artiste marocain Daoud Aoulad-Syad.
C’est à Marrakech que la primeur de ces événements est donnée : Marrakech, ville de naissance de la photographie « marocaine » à travers la production expérimentale du Sultan Abdel Aziz au début du siècle dernier d’une part, et ville de naissance du photographe, d’autre part, qui constitue un de ses sujets de prédilection.
Ces expositions feront l’objet d’une « tournée » à travers les principales villes du Maroc  ainsi que une programmation de l’œuvre cinématographique.In partnership with the French Institute of Morocco and as part of the 2018-2019 Cultural Season, Galerie 127 is pleased to present 3 exhibitions from the photographic corpus of the Moroccan artist Daoud Aoulad-Syad. It is in Marrakesh that the first step of these events is given: Marrakesh, birthplace of Moroccan photography, namely through the experimental productions of Sultan Abdel Aziz at the beginning of the last century on the one hand, and the birthplace of Aoulad-Syad on the other, as Marrakesh became one of his favorite subjects. These exhibitions will constitute a tour through the main cities of Morocco, alongside screenings of Daoud Aoulad-Syad’s cinematographic works.
ETHNOFOLK
23.02—28.04.2018
Dans le cadre de la foire d’art contemporain 1—54
Galerie 127, Marrakech
Vernissage le jeudi 22.04.2018, de 18h à 21hETHNOFOLK est un ensemble inédit de portraits en noir et blanc des troupes folkloriques issues de l’ensemble du royaume marocain. De Tanger à Dakhla, d’Essaouira à Zagora, Beni Mellal ou encore Boujaad , Chaouen et Oujda… Venus de toutes les régions du royaume, tous les ans pendant presque 60 ans, ces artistes, musiciens, chanteurs, chanteuses, danseurs et danseuses ont accepté, pour Daoud Aoulad Syad de « prendre la pose ». C’est bien de folklore qu’il s’agit là – dans le sens noble du terme, et sans intention première, cet étonnant corpus prend une dimension indéniablement ethnographique. Par son choix de dénuement – fond blanc et petits cailloux – le « portraitiste » fait surgir, de ce « presque rien »,  des personnages – seul, à deux ou trois ou encore en groupe – d’une grande dignité, souverains et souveraines en leur royaume : la scène. Si le « portrait » n’est pas « naturel » dans la démarche photographique de Daoud Aoulad-Syad, il réussit avec ce dispositif – à ré-inventer le portait de studio, genre cher à l’Afrique dont il prend le contrepied : On ne s’invente pas un rôle, on ne se déguise pas, on ne joue pas. On est.ETHNOFOLK is an unprecedented set of black and white portraits of folk troupes from across Morocco, from Tangiers to Dakhla, from Essaouira to Zagora, Beni Mellal or Boujaad, Chaouen and Oujda. These artists, musicians, singers, and dancers originating from all parts of the Kingdom have accepted to pose for Daoud Aoulad-Syad. It is, of course, about folklore—in the most noble sense of the term. Yet, without any  first intention, this surprising corpus is undeniably charged with an ethnographic dimension. By the means of a minimalist set—white background and small pebbles—the portraitist brings figures out of almost nothing, as groups or as individuals. He unleashes the greatness of their dignity and celebrates their undisputed kingdom: the scene. Although these portraits are not in accordance with Daoud Aoulad-Syad’s most know photographic humanistic style, he achieves in this series, a reinvention of the studio portrait, which is precious to Africa. In fact, he argues the very opposite of the African portrait photography statement: you shall not invent a role, not even disguise yourself. You shall not play. You just ought to be.
LE MAROC, D’OMBRE ET DE LUMIÈRE
21.02—28.04.2018
Dar Moulay Ali, 1 Rue Ibn Khaldoun Marrakech
Près de la Koutoubia
Mardi au samedi, 10h—18h
Entrée payanteLE MAROC, D’OMBRE ET DE LUMIÈRE présente un ensemble de photographies inédites en couleur réalisées au fil de son œuvre par Daoud Aoulad-Syad. Sorte d’éloge de l’ombre, Daoud joue de ce que la nature offre de plus précieux pour un photographe – la lumière – lors de ses errances sur les territoires qu’il est amené à parcourir, scènes de vies principalement rurales où fêtes de villages et marchés hebdomadaires. On y retrouve ses sujets de prédilection: le forain, la marge, le maroc ancestral, la campagne et le grand sud.
Ces images sont les premières photographies issues d’un corpus de diapositives de plus de 400 – à découvrir dans le futur.LE MAROC, D’OMBRE ET DE LUMIÈRE, (litt. ON MOROCCO’s SHADOW AND LIGHT) presents a set of unseen color photographs made in the course of his career by Daoud Aoulad-Syad. The photographer plays with nature’s most precious gift—light—to foster a sense of shadow alongside his wanders, as he collects  scenes of rural lives, carnivals and weekly markets. The exhibition highlights Daoud favorite subjects: the fairground, the margin, the ancient Morocco, the countryside and the Great South.These photographs are a part of a larger body of more than 400 images — to be released in the future.
MAROC 1980—2000
21.02—28.04.2018
Bank Al Maghrib, Place Jemaa El Fna
jeudi—lundi, 11h—20h
Entrée libreLa Place Jemaa El Fna, lieu fondateur de l’œuvre, accueille dans l’enceinte du bâtiment de l’ancienne Banque du Maghreb, une exposition de plus de 50 photographies argentiques – pour la plupart mises à l’honneur durant la première Biennale de la photographie arabe en 2015, à  la prestigieuse Maison Européenne de la Photographie à Paris. Ces photographies choisies parmi les premiers travaux de l’auteur ont été réalisées dans les années 80 et 90. Elles marquent l’avènement de la photographie d’auteur dans l’histoire de la photographie marocaine. Grâce au soutien de la Mairie de Marrakech, l’exposition DAOUD AOULAD-SYAD, MAROC 1980—2000 est libre d’accès et ouverte au grand public, local et international de la ville.Jemaa El Fna Square, from where originated Daoud Aoulad-Syad’s  photographic work will be hosting, in the former Bank Al Maghrib, an exhibition of more than 50 silver-plated photographs, most of which were honored during the first Biennal of Arab photography in 2015 in Paris, at the prestigious Maison Européenne de la Photographie. These photographs chosen among Aoulad-Syad’s first works were made in the 80s and 90s. They mark the advent of author photography in the history of Moroccan photography. With the support of the Marrakesh’s City Council, the exhibition DAOUD AOULAD-SYAD, MAROC 1980-2000 is access-free and open to the city’s local and international public
Galerie 127
127, avenue Mohammed V
40000 MARRAKECH
T: +212 661 33 99 53
T:  +33 6 77 71 00 23
T : +212 524 43 26 67 (15/19h)
galerie127@gmail.com
galerie127.com
“AMAZIGH”*
Photographie et dessin
exposition collective autour des oeuvres de
Safaa Mazirh, Mo Baala, Hicham Gardaf et Flore
Vendredi 8 décembre 2017
Rencontre avec Safaa Mazirh :
de 18h à 21h
“Amazigh* est le nom que porte la nouvelle série de la photographe Safaa Mazirh réalisée au cours de l’été 2017, durant sa résidence à la Friche La belle de Mai, à Marseille.”Ici on retrouve des autoportraits, dans des décors dessinés, dessins inspirés par les symboles des tatouages et signes berbères amazighs féminins qu’un oeil averti pourra déceler . Mais pas seulement, et pourtant, attardons-nous sur eux :

En dehors de la dimension esthétique et ornementale qu’ils revêtent, ils sont aussi des signes sociaux indiquant un statut, informatifs même, des signes et symboles utilisés par les femmes berbères amazighs pour exprimer un sentiment. Plus tard la religion islamique interdira les tatouages, considérés alors comme des mutilations de «l’oeuvre divine» , en contradiction avec les écrits du coran . Rituel païen : graver dans sa chair des prières afin de ramener à soi ce que l’on souhaite, une protection.

Dans le travail de Safaa Mazirh, ces encres à l’échelle démesurée deviennent des décors, des architectures, elle se multiplient et forment des infrastructures où loge son image.” (extrait d’un texte de Bernard Millet)

 

“Every one says the other one”, dessin sur papier Canson à l’encre de chine de sa dernière série de  “Colours to hide the violence”  dans laquelle MoBaala, artiste plasticien,  figure à l’envi ses mythologies personnelles … et d’autres histoires encore !
“Provisional structures”, nouvelle série du photographe Hicham Gardaf
Tirage pigmentaire issu de prise de vue argentique en edition limitée
“Le temps suspendu” est la nouvelle série de photographies réalisées au Maroc par la photographe française Flore en 2017. Les tirages sont réalisés par l’auteur au platine paladium avec un encadrement de bronze.
Edition limitée à 7 exemplaires.
et bien sur, … par ailleurs,  les oeuvres de Denis Dailleux, Daoud Aoulad-Syad, Carolle Benitah, Jean-Marc Tingaud, Diana Lui, Soo, le Studio Douamna, de la photographie vernaculaire et des livres …

INFORMATIONS PRATIQUES 

Vendredi 8 décembre 2017
Rencontre avec Safaa Mazirh :
de 18h à 21h

Exposition du Vendredi 8 décembre 2017 au samedi 10 février 2018

Horaires :
du mardi au Vendredi de 15h à 19h
le samedi de 11 à 19h
Ferme le dimanche et lundi

atSOMMERSET HOUSE
LONDON
BOOTH : G33 EW

5.6.7.8 OCTOBRE 2017
with

MO BAALA . CAROLLE BENITAH . DENIS DAILLEUX .                    HICHAM GARDAF . SAFAA MAZIRH

to see more about this Safaa Mazirh’s new serie, click on the image
to see more about Mohammed Baala, click on the image
to see more about carolle bénitah’s artworks, click on the image
to know more about Hicham Gardaf click here
To see more images of Denis Dailleux click here
C’est une première, tant pour la Galerie 127 que pour les artistes qu’elle représente, que d’exposer en Angleterre,  et dans le cadre de 1:54,  la foire consacrée à l’art contemporain Africain qui se tiendra les 5, 6, 7 octobre prochain à Londres, en parallèle de Frieze.
La Galerie 127 propose les travaux des artistes marocains tel que  carolle bénitah  qui présentera sa trilogie « Photos-souvenirs » composée de photographies d’archives personnelles brodées à la main, Safaa Mazirh, une nouvelle série dans laquelle, comme précédemment,  elle use de son propre corps pour cette fois-ci mettre en scène des symboles – dessinés à la craie blanche- de son identité berbère,  Hicham Gardaf propose un travail récent en noir et blanc d’architectures abandonnées, réalisé au Maroc et Mohammed Baala, notamment
, une valise en croco remplie de petits cadres formant un ensemble à la palette poétique tant par ses couleurs que par ses mots
et le français Denis Dailleux pour son travail sur le Ghana et sa série « Mère et Fils » réalisée en Egypte.This is a first , for both Galerie 127 and its artists to exhibit in England, and within the framework of 1:54, the African Contemporary Art Fair which will be held on October 5,6,7 in London in parallel with Frieze.
Galerie 127 proposes the works of Moroccan artists, carolle bénitah will present its trilogy “Photo-Souvenirs” composed of photographs of personal archives embroidered by hand, Safaa Mazirh, a new series in which, as before, she uses her own body for this time, to showcase the symbols -designed with white chalk- of her Berber identity, Hicham Gardaf proposes a recent black and white work of abandoned architectures,  made in Morocco and the recently discovered artist Mohammed Baala, a crocodile suitcase filled with small frames forming an ensemble to the poetic palette as much by its colors as by its words
and the French Denis Dailleux for his work on Ghana and his series “Mother and Son” carried out in Egypt.
Please share with your english friends ..; we will be happy to meet them in our space !!!!catalogues sur demande/catalogues on request
Galerie 127
127, Avenue Mohammed V
40.000 Marrakech
T: + 212 661 33 99 53
T: (Fair) +33 6 77 71 00 23
galerie127@gmail.com
galerie127.com
Share
Tweet
Forward
Share
                                           
HORS LES MURS  

26/27/28 Aout 2017

Paréidolie
International Contemporary Drawing Art fair
Marseille

MO BAALA

C’est dans le cadre de PAREIDOLIE 4, Salon International du dessin contemporain, organisé par le Chateau de Servières, que la galerie 127 présente, les 26,27,28 Aout prochain, dans l’espace d’art le Pangolin, les oeuvres de l’artiste marocain Mohammed Baala.

Il y a de cela quelques semaines Mo Baala fut un des deux lauréat des Nuits de l’Instant, organisé par le centre photographique de Marseille.

A l’occasion de la Biennale de Marrakech en Février 2016, l’artiste autodidacte, né en 1986, alors inconnu sur la scène artistique, y fait une entrée remarquée.
C’est principalement sur des pages imprimées, pour la plupart découpées dans des magazines ou des livres que Mohammed Baaladeploie à coups de feutre, souvent noir, de découpage, de collage, un univers d’une grande singularité.
Il met en scène une multitude de personnages, mi-hommes mi-animaux, parfois infiniment petits dont la posture dessinée avec une rare précision donne à penser que l’artiste a beaucoup et depuis lontemps observé le monde qui l’entoure.
Tantôt introspectifs, ce qu’il définit lui même comme “my strange kingdom“,(https://vimeo.com/163802933 ) ou encore inspirés par la “vie de l’information“, les mondes de Mohammed Baala, au vocabulaire foisonnant, parfois indéchiffrable, souvent ponctués de mots – voire de phrases – en anglais, ne nous en sont pas moins étrangement familiers…
Depuis, l’oeuvre s’enrichit de nouveaux matériaux. Les encres de chine font leur apparition et donne lieu à de nouvelles “conversations” sur papier ..,

Rendez-vous au “PANGOLIN”,

Thé marocain, le samedi 26 août à 17 heures.
Performance de l’artiste.
Exposition les dimanche 27 et lundi 28 août 2017 de 11heures à 20 heures.
contact : Nathalie Locatelli
T : 00 33 6 77 71 00 23 – 00 212 661 33 99 53

Catalogue sur demande
galerie127@gmail.com

LE PANGOLIN
131, Corniche John Fitzgerald Kennedy
13007 MARSEILLE

Share
Tweet
Forward
Share
                                           
la galerie 127 nomadise  et réouvrira ses portes le 6 septembre …
 HORS LES MURS                            26/27/28 Aout 2017

Paréidolie – Chateau de Servières
International Contemporary Drawing Art fair      Marseille

MOHAMED BAALA

C’est dans le cadre du salon PAREIDOLIE, Salon International du Dessin Contemporain, organisé par le Chateau de Servières, que la galerie 127 présentera pour la première fois à Marseille les 26,27,28 Aout prochain, les oeuvres de l’artiste marocain Mohamed Baala.

A l’occasion de la Biennale de Marrakech en Février 2016, l’artiste marocain, autodidacte,  né en 1986,  alors inconnu sur la scène artistique, y fait une entrée on ne peut plus remarquée.
C’est principalement sur des pages imprimées, généralement découpées dans des magazines ou des livres que Mohamed Baala, à coups de feutre,  souvent noir,découpage, collage,  un univers d’une grande singularité.
Il met en scène une multitude de personnages , mi-hommes mi-animaux, parfois infiniment petits mais dont la posture dessinée avec une rare précision donne à penser que l’artiste a beaucoup observé le monde qui l’entoure.
Tantôt introspectif, ce qu’il définit lui même comme “my strange kingdom“, tantôt inspiré par la “vie de l’information“, les mondes de Mohamed Baala, au vocabulaire foisonnant,  parfois indéchiffrable, souvent ponctué de mots – voir de phrases – en anglais, ne nous en est pas moins étrangement familier…
Depuis, l’oeuvre s’enrichie de nouveaux matériaux, les encres de chine font leur apparition et donne lieu à de nouvelles “conversations” sur papier …

Rendez-vous au “PANGOLIN”, espace d’art, 131 Corniche JF Kennedy, Marseille.

Tea party le samedi 26 août à 17 heures.
Performance de l’artiste.
Exposition les dimanche 27 et lundi 28 août 2017 de 11heures à 20 heures.

T : 00 33 6 77 71 00 23

Catalogue sur demande

LE PANGOLIN – 131 corniche JF Kennedy – Marseille
HICHAM GARDAF
jusqu’au 13 août 2017 à la Friche La Belle de Mai
du 26 septembre au 28 octobre 2017 à Lyon
Les photographies d’Hicham Gardaf sont présentées jusqu’au 13 Août à la Friche la Belle de Mai à Marseille dans le cadre du Festival Photomed .
Puis, en résonnance à la Biennale de Lyon, les séries Red Square et Intersections, à partir du 26 septembre à la Galerie Regard Sud, 1/3 rue des Pierres Plantées 69100 Lyoncatalogue sur demande
Galerie 127
127 avenue Mohammed V 
2nd Floor
40.000 Marrakech Gueliz
Maroc

+212661339953
galerie127.com

To find us, ask for La pharmacie centrale du Gueliz, and cross the street ….
Share
Tweet
Forward
Share
facebooktwittergoogle_plusredditpinterestlinkedinmail

Vous pourriez aussi aimer...

Translate »