GALERIE OLIVIER WALTMAN
Photos Jean Paul ” Guerrier ” Bellanger votre serviteur





l’exposition Dramaturgie de l’artiste norvégien Rune Guneriussen qui aura lieu du 3 mars au 3 avril 2016.
En tirant pleinement parti de la nature pittoresque et intacte de son pays d’origine en Norvège, où il place des objets fabriqués par l’homme, l’artiste explore la relation entre l’installation et la photographie.
Ses œuvres éthérées invitent le spectateur à contempler les résultats de l’interaction entre l’homme et la nature , comme un moyen métaphorique pour refléter notre place dans le passage du temps .
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Ceci n’est pas un Picasso, Technique mixte, 136 x 260 cm
La galerie est heureuse de présenter sa première exposition consacrée à l’artiste français Éric Liot. Avec la série Ceci n’est pas un…, l’artiste s’intéresse aux icônes, aux chefs d’œuvres de la peinture occidentale qu’il détourne par le jeu de ses constructions en bois.
“Il y a un grand amour du bois dans le travail d’Éric Liot, et c’est peu de le dire. Il y a un bâtisseur en lui, un goût de l’artisanat couplé à un sens de la perfection, de la satisfaction du bel ouvrage. Il le « bosse » son bois avec une attention de toutes les secondes quitte à en être maniaque, bien sûr il y a le sujet, regard qu’il porte sur chaque pièce du puzzle. Non pas un puzzle autobiographique, mais plutôt un sommaire de tout ce qu’il peut récupérer lors de ses voyages au bout du monde : sensations, couleurs, logos, jouets en plastique, magazine, personnages de bandes dessinées, odeurs de bois épicées, tendres, rugueux… De ce patchwork planétaire ramené au cœur de son atelier se crée un melting pot artisanal, un apprentissage du plaisir de la découpe, de l’assemblage, du polissage et du tactile… et là on parle de la caresse et du respect de la matière. Éric Liot se voit avant tout comme un catalyseur d’images contemporaines. La référence pop n’est jamais loin. Tout est affaire de construction chez Liot, de juxtaposition de différents bois, d’orchestration de vis, de boulons et de patines. Ballet qui ne peut se passer de la troisième dimension tant est que chacun de ses tableaux/reliefs donne lieu à une étonnante profondeur de champ et de perspective.
Et puis il y a ce passage à la peinture, travaillée comme un embellissement, c’est-à-dire avec une facture classique liée à des références picturales modernes et contemporaines. Comment ne pas y voir un clin d’œil à Matisse dans ses collages/assemblages où se fondent parfois des aplats de couleurs vives ; un autre Cézanne avec ses découpes de fruit ou Warhol pour ses emprunts aux produits de consommation et logos référencés comme symboles de nos sociétés occidentales. L’esprit pop art réside dans le choix de chacune de ses compositions même si le sujet reste en position d’arrière plan.
Éric Liot est au carrefour de plusieurs influences, le chevalet fixé à grand angle ouvrant à 360°. On peut même penser que se référer à d’autres peintures ne le gêne pas puisqu’à dire vrai tout artiste en accord avec lui-même reconnaît volontiers l’influence de ses pairs à tout moment de sa carrière. Son amour pour les emballages d’autrefois, sa voracité pour le pop art américain et son attirance pour l’esthétique citadine battent également la mesure dans ce concert visuel où circule sans se cacher un quota de références, de lieux et d’époques.”
Harry Kampianne |
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J’ai le plaisir de vous envoyer le communiqué de presse de l’exposition Ceci n’est pas un... de l’artiste français Éric Liot qui aura lieu du 17 décembre 2015 au 24 janvier 2016.
Sur ce thème l’artiste propose des interprétations pop et décalées de grandes oeuvres de l’histoire de l’art comme Guernica, Le Déjeuner sur l’Herbe qui, de cette manière, sont réactivées.
Son travail de pièces de bois, récupérées, découpées, sérigraphiées ou peintes puis vissées, entre art brut et construction contemporaine, rencontre un vif succès.
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Theatre of the untold VI, impression aux pigments sur papier baryté, 60 x 80 cm
La galerie est heureuse de présenter la troisième exposition personnelle de Cédric Arnold en France. L’artiste franco-britannique, basé depuis quatorze ans à Bangkok, présente un projet photographique mêlant danse et performance dans l’espace urbain.
Bangkok aujourd’hui est une ville où le non-dit est manifeste. Les histoires sont tues et les dilemmes non résolus. Il y reste encore de nombreuses choses à régler, les idées anciennes sont en perpétuelle confrontation avec les nouvelles, majoritairement de manière cachée. Cependant, la ville invite à l’expression, s’offre elle-même comme une scène sur les toits, les terrains abandonnés, les rues… Le danseur chorégraphe thaïlandais Jitti Chompee et l’artiste Cédric Arnold ont collaboré ensemble afin de capturer ce qui, en fin de compte, peut être une légende urbaine non dite pour l’instant. Utilisant des masques blancs inachevés, habituellement extrêmement décorés pour les spectacles de danse traditionnelle Khon, ainsi que le mélange entre le classicisme Khon inspiré des gestes de la main avec la danse contemporaine du théâtre urbain de Bangkok, Jitti et Cédric ont initié une conversation, et finalement, un clash d’idées entre des générations qu’il est encore trop tôt pour appréhender. |
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Eye XVII (Shaun Ross), huile sur toile, 178 x 178 cm
La galerie est heureuse d’annoncer la nouvelle exposition d’œuvres de Jérôme Lagarrigue, sous forme d’une carte blanche.
L’artiste continue d’explorer la thématique du portrait, comme une investigation dialectique entre intimité et monumentalité. Deux des pièces exposées sont issues de sa série « Invisible man » présentée en début d’année à la galerie new-yorkaise Driscoll Babcock.
Au plus proche des êtres et de leur chair, ces toiles nous donnent à voir un corps démembré, sur-détaillé comme pour lui faire perdre sa propre réalité. La démarche de l’artiste, procédant à une déconstruction du sujet parfois brutale, n’en est pas moins une expérience poétique comme si le corps à l’épreuve du temps et du regard prenait une autre réalité, au-delà de l’espace-temps et donc de la mort… comme si chaque œuvre était un aphorisme corporel et pictural.
“On est sans cesse pénétré par sa passion intense, presque violente, par les traits des visages et des épaules, par sa touche et sa facture et par le choix de ses couleurs ainsi que par la façon si singulière qu’il a de « cadrer » ses sujets, extrêmement directe, souvent crue et brutale. Et en même temps, on voit jaillir de ses peintures tendresse et bonté, sentiments qui lui ressemblent.”
Richard Peduzzi, octobre 2007, in Boxing Jérôme Lagarrigue, éditions Dilecta
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Ô douleur ! ô douleur ! Le Temps mange la vie.
« L’ennemi », Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire« Ainsi soient-ils » : c’est l’acceptation, l’amen aux autres. Il existe en chacun de nous une singularité que François Bard s’attache à révéler dans ses portraits: il gratte et ponce en profondeur la matière peinte des âmes qu’il perçoit.Un homme en kilt, un type en sweat à capuche, une bourgeoise en robe du soir ou un golden boy qui se frotte les mains, tous ont un côté sombre qu’ils s’efforcent de cacher au monde. Un curieux spectacle est en train d’avoir lieu : ces personnages, tels des icônes de notre monde moderne, sont mis en scène dans des cadrages quasi-cinématographiques. Des césures nettes au milieu des jambes, en plein visage ou en haut du buste, des jeux de lumières qui traduisent la fascination du peintre pour le Grand Siècle espagnol, François Bard fouille les recoins de la vanité humaine.L’utilisation des empâtements et des dégoulinures installe une atmosphère lourde qui transpire par les pores du tableau. « Ainsi soient-ils » : il n’y a pas d’échappatoire à notre destin commun. Ne restent que ces tableaux où l’on retrouve une part de nous, placée bien au centre.
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Vernissage en présence de l’artiste le 28 mai 2015 de 18h00 à 21h00
Exposition du 28 mai au 28 juin 2015
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La galerie Olivier Waltman est heureuse d’annoncer la cinquième exposition personnelle de l’artiste cubain-américain Jorge Enrique en France.« Par le passé, je me suis souvent référé à des matériaux industriels qui sont devenus une partie de mon vocabulaire visuel : l’acier, l’aluminium, le bitume et le béton sont les fondamentaux de mon environnement artistique. Dans un cadre urbain, ils font partie de notre quotidien, un nouvel espace naturel pour certains d’entre nous. J’incorporais des traces de notre environnement dans ma peinture, que je recouvrais de vernis ou de résine Epoxy, pour mieux composer avec la lumière et les reflets.
Plus récemment, j’ai commencé à utiliser directement le métal dans mon travail.
La surface de l’aluminium brille et produit ses propres reflets. La capacité de ce matériau à intégrer, tel un miroir, une image provenant de l’extérieur m’intéresse immensément.
L’aluminium me permet de continuer à expérimenter cette voie avec une différence majeure, au plan plastique : dorénavant le reflet est à la fois le fond et la surface de l’image. »Jorge Enrique, mars 2015 |
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Jorge Enrique est né à la Havane en 1960. Il vit et travaille à Miami.
Il a participe à de nombreuses expositions personnelles et collectives en Floride comme à l’étranger. Il est représenté par la galerie Olivier Waltman à Paris et à Miami. |
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La galerie Olivier Waltman est heureuse d’annoncer la troisième exposition personnelle de la photographe Tali Amitai-Tabib en France.
Avec Trudl, l’artiste israélienne aborde non seulement des thèmes personnels, tels que son histoire, sa vie familiale et privée, mais elle questionne également le lien complexe et étroit existant entre mémoire et fiction. Ce projet, fruit de cinq années de recherches, prend la forme d’une installation photographique et littéraire.
Trudl était une cousine de l’artiste, qu’elle n’a jamais connue et dont la famille fut forcée de quitter l’Allemagne au début de la seconde guerre mondiale. Elle trouva refuge en Angleterre, où elle rêva de devenir photographe.
L’artiste, intriguée par le destin particulier de cette parente, rencontra la descendante directe de Trudl, Patricia R, qui vit actuellement dans le Surrey. Cette dernière l’aida dans ses recherches et, ensemble, elles découvrirent qui était Trudl. Tali Amitai-Tabib entreprit alors un voyage en Grande Bretagne et se rendit sur les lieux où Trudl avait vécu, travaillé et élevé sa famille. Cette série photographique retrace soixante ans de la vie de cette femme.
En réalité, Trudl n’a jamais réalisé son rêve de devenir photographe. De ce fait, cette série photographique est une fiction : elle montre ce qu’auraient pu être les photos prises par Trudl, et, par extension, ce à quoi aurait pu ressembler sa vie.
Tali Amitai-Tabib – la descendante – entraîne le spectateur dans une introspection, où réalité et fantasme se mêlent et où l’imagination dessine une potentielle réalité. |
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Tali Amitai-Tabib est née en 1953 à Kvutzat Kinneret (Israël). Elle vit et travaille à Tel Aviv. Elle a participé à de nombreuses expositions personnelles et collectives dans des galeries et des musées en Israël et à l’étranger.
En 2011 l’artiste a vu naître une exposition personnelle au Musée des Arts de Tel-Aviv, et la publication d’un livre par l’éditeur Am-Oved.
Elle est représentée par la galerie Zemack à Tel-Aviv et par la galerie Olivier Waltman à Paris et Miami.
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Vernissage en présence de l’artiste le 26 février de 18h00 à 21h00
Exposition du 26 février au 29 mars 2015
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La galerie Olivier Waltman est heureuse d’annoncer la deuxième exposition personnelle du jeune plasticien Toma Jankowski.
Le travail de Toma Jankowski est un assemblage intuitif d’idées jetées sur un brouillon avec des annotations, tel un gigantesque brainstorming dans lequel jailliraient mots, formes et couleurs. L’artiste fonctionne par associations d’idées qui donnent naissance à de multiples narrations : plusieurs petites histoires se dessinent aux yeux du spectateur lorsque la connexion se fait entre les différents éléments contigus.
Dans cette nouvelle exposition intitulée « Echo », Toma Jankowski nous dévoile des œuvres sérielles qui tournent autour d’un sentiment de nostalgie. Il nous plonge dans un monde intime où ses dessins, ses mots font « écho » à son passé, à ses souvenirs d’enfance. Il met également en scène l’intime du corps humain où nus, visages et masques apparaissent à demi. L’artiste nous laisse déambuler dans un certain mystère dont la clé n’est jamais très loin.
« Echo » fait aussi référence à la passion qu’a Toma Jankowski pour la musique et notamment pour le Jazz. Il aime la sonorité, la résonance du mot. Travaillant, comme les jazzmen, dans l’improvisation, ses tableaux nous ouvrent une correspondance entre art plastique et perception sensorielle. |
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Toma Jankowski est né en 1977 au Creusot (France). Il vit et travaille à Paris. Agrégé en Arts Appliqués de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, il enseigne en classe préparatoire depuis 2008. Il est représenté par la galerie Olivier Waltman à Paris et Miami.
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