Galerie Waltman

Galerie Waltman

La galerie est heureuse de présenter la troisième exposition consacrée à l’artiste français Toma Jankowski.

Photo Jean Paul ” Guerrier ” Bellanger

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Toma Jankowski, Autopsy, Technique mixte sur papier, Mixed media on paper, 30 x 42 cm, 12 x 16.5 in

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une Amie Nadine Cerdan img_7090

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Votre serviteur

Entre peinture et dessin, Toma Jankowski explore les possibilités d’une œuvre ouverte. Influencé par le jazz et les musiques improvisées, il joue de formes chaotiques et de compositions élaborées. Son travail tient du dessin pour son aspect direct de retranscription d’une intention et de la peinture pour ce qui est des matériaux et du format. Avec Autopsy, Toma Jankowski développe un langage plastique intuitif par la création d’œuvres où formes, couleurs et mots se mélangent et s’associent en compositions graphiques. Pour lui, la relation entre les éléments qui composent l’oeuvre est plus importante que les éléments eux-mêmes. L’artiste fonctionne par association d’idées, donnant naissance à de multiples narrations : il aime penser que le spectateur trace son propre chemin dans l’œuvre et que chacun cultive sa propre perception.

Toma Jankowski, Boa, Technique mixte sur toile, Mixed media on canvas, 54 x 65 cm, 21 x 25 in

Après des études de design, il décide de chercher par le dessin le moyen d’explorer des possibilités d’improvisation. Dès 2004, il collabore activement au collectif Zone d’Activité Musicale, réuni autour de l’improvisation, et explore un nouveau « protocole » créatif. En recherche d’accidents heureux, ses œuvres sont tendues entre la représentation d’un monde en mutation perpétuelle et une exigence propre à la peinture elle-même en temps qu’organisme sensible. Toma Jankowski est né en 1977 au Creusot (France).

Il vit et travaille à Lyon. Agrégé en Arts Appliqués de l’Université Paris 1 Panthéon – Sorbonne, il enseigne en classe préparatoire depuis 2008. Il est représenté par la galerie Olivier Waltman (Paris, Londres, Miami). Boa Technique mixte sur toile 54 x 65 cm War Head Technique mixte sur toile 54 x 65 cm

Toma Jankowski, War Head, Technique mixte sur toile, Mixed media on canvas, 54 x 65 cm, 21 x 25.5 in

 

 

 

 

 

 

 

 

Séquences
Lumières et cinétiques
Faisant suite à l’exposition collective “LIGHTS!” organisée en 2010 dans ses espaces de Paris et de Miami, la galerie réunit 7 artistes contemporains qui utilisent les procédés cinétiques ou lumineux.
L’ampoule traditionnelle à incandescence (Jean-Michel Othoniel), le néon (Laurent Perbos), le LED (Noart, Alain Le Boucher), l’ultra-violet (Jonathan Huxley), ou encore les manèges en rotation (Malachi Farrell) ou les palettes chromatiques (Julio Le Parc) permettent à ces artistes d’interroger la notion de séquence. Si leurs parcours sont singuliers, leurs vocabulaires n’entretiennent pas moins un rapport dialectique et plastique certain.

Malachi Farrell est né en Irlande en 1970. Il vit et travaille à Malakoff.
Il a participé à de nombreuses expositions organisées par des institutions comme le Mac Val, les Centres d’art Contemporain de Tour et d’Albi ou le Centre Culturel Irlandais de Paris. Il a créé une performance pour le Centre Pompidou en 2010 et en 2012 son travail a été dévoilé lors des Nuits Blanches de Paris. Entre installations et créations de mécanismes complexes – utilisant à la fois le son, la lumière et le mouvement de machines et d’objets articulés – Malachi Farrell est un artiste cinétique. Ses dispositifs propres à l’univers du jeu et de la parodie sont des oeuvres politiquement engagées qu’il manie avec humour et ironie.
Julio Le Parc est né en 1928 en Argentine. Il vit et travaille à Cachan.
Nous ne présentons plus Julio Le Parc, précurseur de l’art cinétique et de l’Op Art. Il axe son travail autour d’installations mettant en scène le mouvement et la lumière, mais il créé aussi des oeuvres interactives et ludiques ou encore des oeuvres cinétiques et optiques. Il est connu notamment pour avoir fondé le G.R.A.V. (Groupe de Recherche d’Art Visuel) et pour avoir été lauréat du grand prix international de peinture de la biennale de Venise en 1966. Il a été nommé en 1967 Chevalier des Arts et des Lettres et en 1972 il se voit organiser sa première rétrospective par La Kunsthalle de Düsseldorf. Plus récemment à Paris, le Palais de Tokyo a exposé sa monographie et certaines de ses oeuvres ont été montrées lors de l’exposition Dynamo au Grand palais. Son travail est présent dans toute les plus grandes collections muséales dont Le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, le Musée d’Art Moderne de New York et la Tate Gallery Londres.
Jean-Michel Othoniel est né en 1964. Il vit et travaille à Paris.
Pensionnaire de la villa Médicis en 1996, il a participé à de nombreuses expositions majeures telles que l’exposition “Féminin/Masculin” au Centre Pompidou l’exposition “Crystal Palace” à la Fondation Cartier pour l’art contemporain à Paris et au Musée d’art contemporain de North Miami, au musée d’art contemporain de Hara à Tokyo, au Macao Museum of Art à Macao et au Brooklyn Museum à New York.
My Way, la première rétrospective qui lui est consacrée, a été présentée en 2011 au Centre Pompidou. Jean-Michel Othoniel est notamment connu pour avoir transformé la station de métro parisienne, Palais Royal-Musée du Louvre, en Kiosque des noctambules et travaille à présent pour un projet dans les jardins du château de Versailles « les belles danses » qui sera ouvert au public en mai 2014.
Son travaille oscille entre sculpture et installation : il transfigure les lieux en installant sous diverses formes ses perles de verre. Souvent architectures, ces perles de verres sont ici détournées pour en faire des lampes de tailles et de couleurs inégales.

Jonathan Huxley est né en 1965 en Grande-Bretagne. Il vit et travaille à Londres.
En 1992 il est diplômé de la Royal Academy of Art.
Il reçoit en 1992 le RA Young Masters Prize et en 1997 il gagne le prix du peintre le plus populaire du Royal College of Art show. Il a depuis réalisé de nombreuses commandes publiques au Royaume Uni.
Sa peinture représente la figure humaine en mouvement perpétuel, tels ses patineurs sur la glace, il s’attache à peindre le mouvement. La vitesse et l’ombre sont en constante évolution et deviennent peu à peu un motif. Jonathan Huxley emploie des couleurs vives, et crée de forts contrastes, jusqu’à user de peintures UV pour interagir avec la lumière.
Alain Le Boucher est né en 1950 à Paimpol, il vit et travaille en Normandie. Il est exposé en partenariat avec la galerie Lélia Mordoch (Paris-Miami).
Alain Le Boucher a répondu à plusieurs commandes publiques, et a réalisé des oeuvres lumineuses monumentales notamment pour les villes de Reims et Bourges. Ses sculptures lumineuses ou « luchrones » sont légères et transparentes. La structure électrique composée de fils, de puces, de résistances est minutieusement assemblée, soudée et transformée en objet d’art, magnifiée par les leds qui s’éclairent, suivant un rythme prédéfini.
Ces rythmes lumineux sont conçus à partir de programmes informatiques, inspirés par les rythmes de symphonies musicales.

Noart est né en 1968 à Paris, il vit et travaille à Alfortville.
Noart est un designer « rétro-futuriste ». Il récupère les matériaux, reprend puis détourne les vieux objets. Il nous plonge dans l’univers de Jules Verne, et nous fait rire avec ses machines, mais c’est surtout avec les Leds qu’il nous hypnotise. Parfois interactives, les vortex ou installations lumineuses de Noart jouent tout autant avec la lumière qu’avec le spectateur. Noart s’est vu commander des oeuvres notamment pour les mairies du IVe et du XIIe arrondissement de Paris. Il est exposé en Europe et aux Etats Unis et son travail est présenté sur de nombreuses foires d’art contemporain.
Laurent Perbos est né en 1971, il vit et travaille à Marseille.
Son travail est surtout orienté vers des installations et des mises en scène. Il analyse l’environnement puis dénaturalise les objets du quotidien avant de les réinsérer, modifiés et absurdes, dans le réel. Il perturbe l’ordinaire : ces décalages sont des provocations qui poussent le spectateur à se questionner sur la nature des choses et à remettre en question ses perceptions.
Laurent Perbos est exposé à travers le monde et ses travaux ont été exposés lors d’exposition collectives entre autre au Palais de Tokyo à Paris, au Frac Basse-Normandie de Caen, à l’institut d’art Contemporain de Villeurbanne, au CAPC Musée d’art contemporain de Bordeaux, au Copenhagen Contemporary Art Center.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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