Édith Piaf, de son vrai nom Édith Giovanna Gassion, née le 19 décembre 1915 à Paris et morte le 10 octobre 1963 à Grasse, est une chanteuse françaisede music-hall et de variétés. Considérée comme l’archétype de la chanteuse française, elle reste cinquante ans après sa mort la plus célèbre chanteuse francophone, tant en France qu’à l’étranger.
Surnommée à ses débuts « la Môme Piaf », elle est à l’origine de nombreux succès devenus des classiques du répertoire, comme La Vie en rose ; Non, je ne regrette rien ; Hymne à l’amour ; Mon légionnaire ; La Foule ; Milord ; Mon Dieu ou encore L’Accordéoniste.
Chanteuse à voix, elle a inspiré de nombreux compositeurs, fut le mentor de nombreux jeunes artistes et a connu une renommée internationale, malgré une fin de carrière rendue difficile par de graves problèmes de santé et la mort à l’âge de 47 ans.
Édith Piaf fut aussi comédienne tant au théâtre qu’au cinéma.
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Biographie[modifier | modifier le code]
Famille[modifier | modifier le code]
La plaque apposée au 72 rue de Belleville.
La légende issue de l’imagination d’un journaliste et secrètement entretenue par Piaf, la fait naître le 19 décembre 1915 à Paris, au 72 rue de Belleville, dans le 20earrondissement, d’après la plaque apposée sur la maison sise à cette adresse1 — certaines sources précisent même qu’elle serait née sur les marches de la porte d’entrée de l’immeuble. Toutefois, selon son acte d’état civil, Édith Giovanna Gassion est née 4, rue de la Chine, adresse de l’hôpital Tenon2, qui est effectivement l’un des établissements de santé les plus proches de la rue de Belleville. Née dans la misère, Édith Piaf est une enfant de la balle dont les ascendants appartenaient au monde du spectacle depuis deux générations3.
Édith Piaf est la fille de Louis Alphonse Gassion, artiste de cirque contorsionniste (né à Castillon dans le Calvados le 10 mai 1881, mort le 3 mars 1944 à Paris) et d’Annetta Maillard (4 août 1895–6 février 1945), Line Marsa de son nom d’artiste, chanteuse de rue, née à Livourne (Italie). Louis Alphonse Gassion est le fils de Victor Alphonse Gassion, Normand de Falaise, écuyer de cirque et de Léontine Louise Descamps, dite Maman Tine, patronne d’une maison close à Bernay en Normandie. Annetta Maillard, est la fille d’Auguste Eugène Maillard (1866-1912) et d’Emma Saïd Ben Mohamed, artiste de cirque, née à Soissons en 18764, décédée à Paris en 1930, fille de Said Ben Mohammed, artiste de cirque marocain, né à Mogador en 1827, mort en 1890 à Montluçon5, et de Marguerite Bracco, d’origine italienne, née à Murazzano en 1830, décédée à Paris en 18986,7. Selon Arletty8, sur La Danse mauresque9, l’un des panneaux du Décor de la baraque de la Goulue de Toulouse-Lautrec, Emma Saïd pourrait être la danseuse mauresque assise à droite, derrière La Goulue.
Après Édith, Louis Gassion et Annetta Maillard ont eu un second enfant, Herbert Gassion, né le 31 août 1918 à Marseille. À propos de sa mère, Herbert a dit : « Une grande artiste, mais qui n’a pas su forcer sa chance… Elle a chanté au Chat noir, au Mikado, au Monocle… », puis part à la dérive « la dérive, le mot est gentil… »10, et Arletty raconte : « c’était pas la mère qui avait la voix de la fille, c’était la fille qui avait la voix de la mère »11.
Enfance[modifier | modifier le code]
Sa mère, Line Marsa, trop pauvre pour l’élever, la confie très petite à sa grand-mère maternelle, Emma Said Ben Mohammed qui habite rue Rébeval dans le XIXe arrondissement. Sa grand-mère ne se serait pas occupée d’elle, laissant la petite fille dans la saleté, ignorant l’eau et l’hygiène. Ses biberons, selon la légende, se seraient faits au vin rouge. Elle reste 18 mois dans cette pauvre demeure avant que son père en permission de retour du front, ou peut-être sa tante Zéphora, la confie à sa grand-mère paternelle, patronne d’unemaison close à Bernay en Normandie. Édith est choyée par les prostituées de la maison, mangeant pour la première fois à sa faim, portant de jolies robes et buvant du lait de Normandie. Vers l’âge de 7 ou 8 ans, elle perd momentanément la vue en raison d’une kératite. La grand-mère, ayant appris la guérison d’une gamine atteinte de la même maladie après qu’on avait prié pour elle sur la tombe de Thérèse Martin à Lisieux, décide d’aller avec ses « filles » y demander la guérison de la petite. On prend le train, on prie sur la tombe de Thérèse, on ramène de la terre qu’on lui applique en bandeau sur les yeux tous les soirs. Après huit jours environ, Édith est guérie. Elle conservera toute sa vie une dévotion particulière à la « petite » Thérèse, dont elle gardera la médaille autour du cou sa vie durant12. Il se trouve que Édith et Thérèse Martin sont cousines au 14edegré13.
En 1922, son père la reprend avec lui, pour vivre la vie d’artiste de petits cirques itinérants, puis la vie d’artiste de rue indépendant et misérable. C’est, à l’image de sa mère, en chantant des airs populaires dans la rue avec son père qu’Édith révèle son talent et sa voix d’exception. Ils séjourneront à plusieurs reprises dans la petite ville de garnison deMourmelon-le-Grand où se tenait le music-hall « l’Alcazar ».
En 1930, elle quitte son père et chante en duo dans la rue avec Simone Berteaut, qui deviendra son amie, son alter ego. En 1932, elle rencontre son premier grand amour, Louis Dupont. Tous les deux s’installent à Montmartre. Le 11 février 1933, âgée de seulement 17 ans, elle a une fille, Marcelle, de Louis Dupont devenu son amant. Deux ans plus tard, l’enfant meurt, sans doute d’une méningite, le 7 juillet 1935.
Chanteuse de cabaret[modifier | modifier le code]
À l’automne 1935, elle est découverte dans la rue par Louis Leplée, gérant du cabaret Le Gerny’s, sur les Champs-Élysées. À cette époque, Piaf fredonne principalement des chansons du répertoire de Fréhel. Leplée lui choisit comme nom d’artiste « la môme Piaf » (un « piaf », familièrement, est un moineau, et « la môme Moineau » existait déjà). Le succès arrive. Son talent et sa voix hors normes sont remarqués entre autres par le compositeur Raymond Asso, et par Marguerite Monnot, compositrice et pianiste virtuose, sa future, et fidèle, grande amie, qui l’accompagnera tout au long de sa carrière et composera les musiques de Mon légionnaire, Hymne à l’amour, Milord, Les Amants d’un jour.
En 1936, elle enregistre son premier disque, Les Mômes de la cloche, chez Polydor, et connaît un succès public et critique immédiat. Mais en avril, on retrouve Leplée assassiné à son domicile parisien. On découvre qu’il fréquentait les milieux du banditisme de Pigalle, ce qui précipite Édith dans le scandale. Elle est mise en cause par la presse et risque de retourner d’où elle est venue : la rue et les petits cabarets de misère. Elle passe cependant à Bobino et à L’Européen à la fin du printemps.
Mais, quelques disques et un peu de scène ne peuvent nourrir une artiste débutante. À la fin de l’été, elle reprend contact avec Raymond Asso, auquel elle avait refusé Mon légionnaire (créé par celle à qui elle devait tant14, Marie Dubas en 1935, titre que Piaf reprend début 1937, avec le Fanion de la légion). Après Leplée, Asso devient son nouveau mentor. Il la prend en main et la fait travailler pour en faire une chanteuse professionnelle de music-hall. À l’automne 1936, elle décroche l’Alhambra. Au printemps 1937, elle est à nouveau à Bobino. Mais, Édith veut plus : l’A.B.C., le plus prestigieux music-hall parisien.
Vedette de music-hall[modifier | modifier le code]
En mars 1937, Édith Piaf entame sa carrière de music-hall à l’A.B.C. à Paris, où elle devient immédiatement une immense vedette de la chanson française, aimée du public et ses chansons sont diffusées à la radio. C’est à cette époque qu’elle rencontre Danielle Bonel, cette dernière deviendra sa secrétaire et confidente tout au long de sa carrière15.
Star de la fin des années 1930, Piaf triomphe à Bobino, ainsi qu’au théâtre en 1940, dans Le Bel Indifférent, une pièce spécialement écrite pour elle par Jean Cocteau et qu’elle interprète avec succès en compagnie de son compagnon du moment, l’acteur Paul Meurisse (rôle muet). Toujours avec Paul comme partenaire, elle joue dans le film Montmartre-sur-Seine de Georges Lacombe (1941). C’est lors du tournage de ce long métrage qu’elle fait la connaissance d’Henri Contet, qui deviendra, à l’instar de Marguerite Monnot, l’un de ses paroliers fétiches.
Pendant l’occupation allemande, Édith, qui a définitivement troqué « La Môme Piaf » contre « Édith Piaf », continue de donner des concerts. Elle se rend à Berlin en août 1943 avec quelques artistes français dont Loulou Gasté, Raymond Souplex, Viviane Romance, Albert Préjean où elle pose devant la porte de Brandebourg à l’occasion d’un voyage censé promouvoir la chanson française16. Elle cède cependant peu face à l’occupant nazi : elle interprète des chansons à double sens, évoquant la résistance sous les traits d’un amant (Tu es partout) et protège les artistes juifs menacés par la milice et les Allemands.
Au printemps 1944, elle se produit au Moulin Rouge où le tout jeune chanteur de music-hall Yves Montand passe en première partie de son spectacle. C’est le coup de foudre et Édith Piaf, déjà célèbre et adulée, entreprend de l’initier aux ficelles du métier et à la vie d’artiste. Elle va propulser sa carrière en lui présentant des gens importants à cette époque dans le monde du spectacle : Joseph Kosma, Henri Crolla, Loulou Gasté, Jean Guigo, Henri Contet, Louiguy, Marguerite Monnot,Philippe-Gérard, Bob Castella, Francis Lemarque…
C’est également cette année-là que le père d’Édith meurt. Elle perdra sa mère l’année suivante.
En 1945, Piaf écrit l’un de ses premiers titres : La Vie en rose (qu’elle n’enregistrera qu’en 1946), sa chanson la plus célèbre, désormais devenue un classique. Elle joue également à la Comédie-Française.
Yves Montand devient à son tour une vedette du music-hall. Il débute au cinéma aux côtés de Piaf dans Étoile sans lumière, puis obtient son grand premier rôle dans Les Portes de la nuit, de Marcel Carné. Ils partent en tournée jusqu’en 1946, l’année où ils se séparent.
C’est en 1946 que la chanteuse rencontre Les Compagnons de la chanson, avec lesquels elle interprétera le célèbre morceau Les Trois Cloches de Jean Villard (dit Gilles). Elle part ensuite avec ses protégés donner des concerts en Europe du Nord pendant l’année 1947.
Gloire professionnelle et désastres personnels[modifier | modifier le code]
De 1946 à 1948, Piaf est la compagne de Jean-Louis Jaubert, le directeur des Compagnons. Mais en 1948, alors qu’elle est en tournée triomphale à New York, elle vit la grande histoire d’amour de sa vie avec le boxeur français, de Sidi Bel Abbès, Marcel Cerdan, qui devient champion du monde de boxe des poids moyens le21 septembre 1948. Au début de l’année suivante, elle fait avec lui l’acquisition de sa première maison, un hôtel particulier à Boulogne-Billancourt acheté dix-neuf millions de francs à un milliardaire ruiné, Gilbert des Crances17. Là, installée avec Simone Berteaut18, elle y compose l’Hymne à l’amour qui est donné pour la première fois en septembre.
Le 28 octobre 1949, Cerdan meurt dans un accident d’avion sur le vol Paris–New York, aux Açores, alors qu’il venait la rejoindre. Parce qu’il n’y avait plus de place dans cet avion, un couple avait cédé, avec gentillesse, ses places au boxeur. Anéantie par la souffrance morale (et la culpabilité) et par une polyarthrite aiguë, Édith Piaf prend, pour calmer sa douleur, de fortes doses de morphine. Elle chantera son grand succès, Hymne à l’amour et également Mon Dieu, en sa mémoire. Elle installe dans son hôtel particulier les trois enfants de Marcel Cerdan et leur mère, Marinette18. Son état reste cependant si délabré qu’elle se voit refuser des rôles19.
En 1951, le jeune auteur-compositeur-interprète Charles Aznavour devient son « homme à tout faire », secrétaire, chauffeur et confident. Il lui écrit certaines chansons particulièrement notables comme Plus bleu que tes yeux, ou encore Jezebel dans cet hôtel particulier au sortir du Bois de Boulogne où elle tient table ouverte19 mais qu’elle revend, avec ses tristes souvenirs, pour s’installer à Paris même, 67 boulevard Lannes18. En septembre, elle entame avec, le cycliste Louis (Toto) Gérardin, qui est marié et habite également au Parc des Princes, à mille mètres de chez elle, une nouvelle relation amoureuse qui tourne court dès février1952. Passionnément éprise, elle continue une correspondance enfiévrée, qui sera vendue aux enchères en 2009, jusqu’au 18 septembre 195220. Deux jours plus tard, elle épouse le chanteur français Jacques Pills. Son témoin est l’actrice Marlène Dietrich, qui a choisi la robe de mariée. L’événement est couvert par plus de soixante-quatre magazines.
Carrière internationale[modifier | modifier le code]
En 1953, elle entame une cure de désintoxication puis devient une immense vedette de music-hall en Occident et en particulier aux États-Unis, où elle fait un triomphe en 1956 au Carnegie Hall de New York, dont elle devient une habituée. Cette même année, elle divorce.
Elle connaît une histoire d’amour avec Georges Moustaki, qu’elle lance dans la chanson et avec qui elle a un grave accident de voiture en 1958, ce qui fait empirer son mauvais état de santé et sa dépendance à la morphine. Elle enregistre la chanson Milord (sur une musique de Marguerite Monnot), dont il est l’auteur, l’un de ses plus grands succès.
En 1959, Édith s’effondre sur scène durant une tournée à New York. Elle subit de nombreuses opérations chirurgicales et revient à Paris en piteux état et sans Moustaki. Ils se sont séparés. Elle est cependant récompensée pour la chanson Milord au cours d’une émission de télévision du nom de TV Award ; dans le studio d’enregistrement se trouvent Georges Moustaki et Édith Piaf en compagnie de Marguerite Monnot, les auteurs de la chanson.
En 1960, l’auteur-compositeur-interprète québécois Claude Léveillée vient travailler avec elle à Paris. Édith interprétera quatre de ses chansons : Le Vieux Piano (nouvelle version de sa chanson Les Vieux Pianos), Boulevard du Crime, Ouragan et La Voix (ballet)21.
En 1961, à la demande de Bruno Coquatrix, Édith Piaf donne à l’Olympia de Paris, menacé de disparition à cause de problèmes financiers, une série de concerts parmi les plus mémorables et émouvants de sa carrière. C’est dans sa salle de spectacle de prédilection qu’elle interprète Non, je ne regrette rien, une chanson qui lui colle à la peau et que Charles Dumont et Michel Vaucaire viennent d’écrire pour elle. Édith sauve l’Olympia de la faillite, mais a du mal à se tenir debout et à bouger du fait de sa polyarthrite très invalidante, et ne réussit à chanter que grâce à une importante perfusion de morphine.
Le 9 octobre 1962, âgée de 46 ans, épuisée et malade, elle épouse Théo Sarapo, un jeune chanteur âgé de 26 ans. Ils chantent en duo À quoi ça sert l’amour ? écrit parMichel Emer, un de ses fidèles compositeurs.
Début 1963, elle enregistre sa dernière chanson, L’Homme de Berlin, écrite par Francis Lai (un des compositeurs de la fin de sa carrière, la moitié du récital de Nimègue en 1962, par exemple, est composée de ses chansons) et Michèle Vendôme.
Décès[modifier | modifier le code]
Édith Piaf meurt le 10 octobre 1963 à 13 h 10 à Plascassier (un quartier excentré de Grasse dans les Alpes-Maritimes) à l’âge de 47 ans d’une hémorragie interne (rupture d’anévrisme) due à une insuffisance hépatique2, usée par les excès, l’alcool, la morphine, la polyarthrite rhumatoïde et les souffrances de toute une vie22. Elle est morte dans les bras de Danielle Bonel, sa secrétaire et confidente tout au long de sa carrière15. Le transport de sa dépouille vers Paris est organisé clandestinement et dans l’illégalité ; sa mort est annoncée officiellement le 11 octobre 1963 à Paris, le même jour que celle de son ami Jean Cocteau. Cocteau, avec lequel Édith entretenait une correspondance suivie, apprenant la nouvelle de sa mort, a dit : « C’est le bateau qui achève de couler. C’est ma dernière journée sur cette terre »23. Il a ajouté : « Je n’ai jamais connu d’être moins économe de son âme. Elle ne la dépensait pas, elle la prodiguait, elle en jetait l’or par les fenêtres »24, avant de mourir lui-même.
Les obsèques de Piaf ont lieu au cimetière du Père-Lachaise (division 97). Comme l’artiste a vécu en contradiction avec les valeurs morales du catholicisme, divorcé et mené une vie sexuelle « tumultueuse », l’Église catholique refuse de lui accorder des obsèques religieuses ; L’Osservatore Romano, journal du Vatican, écrit qu’elle a vécu « en état de péché public » et qu’elle était une « idole du bonheur préfabriqué ». Cependant, à titre personnel, l’aumônier du théâtre et de la musique, le père Thouvenin de Villaret, lui accorde une dernière bénédiction au moment de l’enterrement. Une immense foule de dizaines de milliers d’admirateurs est venue lui rendre un dernier hommage tout au long du parcours du cortège à travers Paris, du boulevard Lannes jusqu’au Père-Lachaise25.
Édith Piaf a été embaumée avant d’être enterrée. Elle se trouve dans un caveau où reposent également son père, Louis-Alphonse Gassion, mort en 1944, son second mari, Théo Sarapo, tué dans un accident de voiture en 1970, et sa fille Marcelle, morte en 1935, à l’âge de 2 ans.
Discographie[modifier | modifier le code]
- 1935 : Les Mômes de la cloche, label Polydor premier 78 tours enregistré par Piaf. Directeur Artistique : Jacques Cannetti.
- Édith Piaf : Simple comme bonjour/Le vagabond- Polydor 524.780 (78 tours)
- Édith Piaf : Browning/C’est toi le plus fort-Polydor 524.356 (78 tours)
- Édith Piaf : J’ai dansé avec l’amour/C’est un jour de fête- Polydor 524.706 (78 tours)
- Édith Piaf : Correqu’ et reguyer/Entre Saint-Ouen et Billancourt-Polydor 524.323 (78 tours)
- Les compagnons de la chanson et Édith Piaf : C’est pour ça/Les yeux de ma mère-Columbia DFX247 (1947)
- Les compagnons de la chanson et Édith Piaf : Dans les prisons de Nantes/Céline-Columbia DF3053 (78 tours)
- 1954 : De l’accordéoniste à Milord
- 1961 : Olympia 1961
Principales chansons[modifier | modifier le code]
- 1936 : Mon légionnaire, paroles de Raymond Asso et musique de Marguerite Monnot.
- 1940 : L’Accordéoniste, paroles et musique de Michel Emer.
- 1946 : Les Trois Cloches avec Les Compagnons de la chanson, paroles et musique de Jean Villard, dit Gilles.
- 1946 : La Vie en rose, paroles d’Édith Piaf, musique de Louiguy et Marguerite Monnot (non créditée).
- 1947 : Une chanson à trois temps, paroles et musique d’Anna Marly.
- 1950 : Hymne à l’amour, paroles d’Édith Piaf et musique de Marguerite Monnot.
- 1951 : La P’tite Lili, comédie musicale en 2 actes et 8 tableaux, livret Marcel Achard, musique Marguerite Monnot, A.B.C.
- 1951 : Padam… Padam, paroles d’Henri Contet et musique de Norbert Glanzberg.
- 1954 : Sous le ciel de Paris, paroles de Jean Dréjac et musique d’Hubert Giraud, du film Sous le ciel de Paris de Julien Duvivier.
- 1956 : L’Homme à la moto, adaptation par Jean Dréjac du rock américain Black Denim Trousers And Motorcycle Boots de Jerry Leiber & Mike Stoller (voir récit dédié section « Bibliographie »).
- 1956 : Les Amants d’un jour, paroles de Claude Delécluse et Michelle Senlis, musique de Marguerite Monnot.
- 1957 : La Foule, paroles françaises de Michel Rivgauche. Pendant sa tournée en Argentine, Édith Piaf avait écouté Que nadie sepa mi sufrir (et qui porte aujourd’hui le titre Amor de mis amores dans sesreprises), paroles originales de Enrique Dizeo et musique de Ángel Cabral, et qui a donné naissance à La Foule .
- 1958 : Mon manège à moi, paroles de Jean Constantin et musique de Norbert Glanzberg, reprise par Etienne Daho en 1993.
- 1959 : Milord, paroles de Georges Moustaki et musique de Marguerite Monnot.
- 1960 : Non, je ne regrette rien, paroles de Michel Vaucaire et musique de Charles Dumont (reprise par Panik Ltdc en 1984, puis par Johnny Hallyday en 2000. Reprises encore pour le film Sueurs, etremixée en 1995 par Cut Killer dans le film la Haine, on entend aussi la mélodie de la chanson dans le film Inception).
- 1960 : Mon Dieu, paroles de Michel Vaucaire et musique de Charles Dumont.
- 1962 : À quoi ça sert l’amour, paroles et musique de Michel Emer.
Liste intégrale de ses chansons[modifier | modifier le code]
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Filmographie[modifier | modifier le code]
- 1936 : La Garçonne de Jean de Limur : La chanteuse
- 1941 : Montmartre-sur-Seine de Georges Lacombe : Lily
- 1946 : Étoile sans lumière de Marcel Blistène : Madeleine
- 1948 : Neuf garçons, un cœur de Georges Friedland : Christine
- 1952 : Paris chante toujours de Pierre Montazel : Elle-même
- 1954 : Boum sur Paris de Maurice de Canonge : Elle-même
- 1954 : Si Versailles m’était conté de Sacha Guitry : Une fille du peuple qui chante Ah ! ça ira
- 1954 : French Cancan de Jean Renoir : Eugénie Buffet
- 1959 : Les Amants de demain de Marcel Blistène : Simone
Postérité[modifier | modifier le code]
Influence[modifier | modifier le code]
Personnalité et voix de la chanson française hors du commun, elle reste l’une des chanteuses françaises les plus célèbres au monde et a lancé avec succès la carrière de nombreux chanteurs, comme Yves Montand, Charles Aznavour, Gilbert Bécaud ou Georges Moustaki. Son image est associée à son inséparable petite robe noire.
Hommages[modifier | modifier le code]
Places, rues, monuments[modifier | modifier le code]
- Le musée Édith-Piaf lui est consacré, rue Crespin-du-Gast dans le 11e arrondissement de Paris.
- Une statue de Piaf est érigée place Édith-Piaf, dans le XXe arrondissement de Paris.
- Une plaque commémorative marque son prétendu lieu de naissance rue de Belleville, dans le XXe arrondissement de Paris.
- Le théâtre de Bernay, dans l’Eure, porte son nom.
- Piaf est évoquée dans un des 480 souvenirs cités par Georges Perec dans Je me souviens.
Musique[modifier | modifier le code]
- La quinzième Improvisation pour piano du compositeur français Francis Poulenc, a été écrite en 1960 en « Hommage à Édith Piaf ».
- Des les années 1960, de nombreux interprètes, masculins comme féminins, francophones comme anglophones, ont repris La vie en rose.
- En 1961 à l’écoute du disque Hommage à Édith Piaf par Jean Leccia, la chanteuse engage ce dernier pour écrire ses arrangements et diriger l’orchestre lors de son dernier passage à l’Olympia.
- En 1984, le groupe français Cyclope (groupe)Cyclope reprend Hymne à l’amour sur son premier album.
- Dans son premier album, Mec (1986), Allain Leprest lui consacre une chanson intitulée Édith – notamment reprise par Enzo Enzo en 2007 – qui relate une visite au cimetière du Père Lachaise. Elle figure aussi sur son album live Je viens vous voir (2002).
- La chanteuse québécoise Marie Carmen lui dédie sa chanson Piaf chanterait du rock, écrite par Luc Plamondon (single en 1987, album Dans la peau de 1989 et album live de 1996, Déshabillez-moi). Le titre est repris en 1991 par Céline Dion, sur son album Chante Plamondon
- Mireille Mathieu lui consacre un album Chante Piaf, paru en 1993, en français et allemand, réédité en 2003 et, avec deux nouvelles chansons, en 2012, pour les 50 ans de sa mort.
- Les titres Je n’en connais pas la fin et L’hymne à l’amour ont été repris en concert par le chanteur et guitariste américain Jeff Buckley, notamment en France en septembre 1994 et pendant sa tournée de 1995.
- En 1997, Jacqueline Danno lui consacre son album Il était une fois… Édith Piaf
- Sa chanson La Vie en rose est la chanson du film Jeux d’enfants, interprétée notamment par Marion Cotillard (qui joue le rôle d’Édith Piaf dans La Môme).
- Sa chanson l’Hymne à l’amour est à la base du film Toutes ces belles promesses (2003), de Jean-Paul Civeyrac.
- Hélène Fasan a repris Hymne à l’amour sur son album Crie en 2004
- Le groupe de rock allemand Rammstein reprend certaines paroles de Non je ne regrette rien, dans sa chanson Frühling in Paris, dans l’album Liebe ist für alle da (2009)
- Le groupe français de reggae Danakil interprète Non, je ne regrette rien à l’Olympia, en 2009.
- L’album Kaas chante Piaf de Patricia Kaas, en 2012 , suivi d’une tournée en 2013, lui rend hommage en fêtant les 50 ans de sa disparition.
- Le rappeur Youssoupha a écrit une chanson en hommage à Édith Piaf, La foule – Partie 2, sur son album En noir & blanc (En attendant Noir désir) (2011).
- En février 2013, la compagnie du Confluent Art music (sous la direction musicale de Jean-Claude Dufaut) créée un spectacle musical intitulé Piaf le temps d’illuminer, véritable florilège des grandes chansons de la Môme, mis en scène par 7 interprètes26.
Numismatique[modifier | modifier le code]
- L’artiste est l’effigie d’une pièce de 10 euros en argent éditée en 2012 par la Monnaie de Paris, pour la collection « Les Euros des régions », afin de représenter sa région natale, l’Île-de-France.
Au théâtre[modifier | modifier le code]
- 1996 : Piaf Je t’aime, comédie musicale sur sa vie, paroles de Claude Lemesle et musiques de Charles Dumont ; mise en scène par Jacques Darcy avec Nathalie Cerda dans le rôle d’Édith Piaf, Cirque d’hiver de Paris
- 1997 : Piaf Je t’aime, comédie musicale, reprise avec Nathalie Lhermitte dans le rôle d’Édith Piaf, théâtre Comedia puis au théâtre du Gymnase Marie Bell
- 2003–2004 : La musique à tout va, comédie musicale, à l’occasion du 40e anniversaire de la disparition d’Édith Piaf. Théâtre du Trianon. Mise en scène d’Arnaud Romain, arrangements de Patrice Peyriéras.
- 2006 – 2010 : Rechercher Édith Piaf (CRO: Priča o Edith Piaf): Recital de Ksenia Prohaska, production théâtre national Croatie – Caravan Split
- 2007 : Piaf Je t’aime, comédie musicale, reprise avec Marie Orlandi dans le rôle d’Édith Piaf, Olympia
- 2007–2008 : Piaf une vie en rose et noir, comédie musicale sur sa vie, mise en scène par Rubia Matignon avec Jacques Pessis, Aurélien Noël et Nathalie Lhermitte dans le rôle d’Édith Piaf.
- 2006–2009 : L’emPIAFée, one-woman-show musical de Christelle Chollet.
- 2011–2012 : Édith Immortelle, comédie musicale sur sa carrière, production Contre Temps Prod
- 2012–2013 : PIAF : le Temps d’Illuminer, comédie musicale sur sa carrière, Mise en scène : Compagnie du Confluent / Direction et arrangements musicaux : Jean-Claude Dufaut
Au cinéma[modifier | modifier le code]
- 1954 : Si Versailles m’était conté… de Sacha Guitry, Édith Piaf dans le rôle d’une femme du peuple chante Ah! Ça Ira
- 1974 : Piaf de Guy Casaril avec Brigitte Ariel dans le rôle d’Édith Piaf.
- 1983 : Édith et Marcel de Claude Lelouch avec Évelyne Bouix.
- 1984 : Piaf, téléfilm avec Jane Lapotaire.
- 1993 : Édith Piaf: Une brève rencontre, téléfilm de Michel Wyn avec Sophie Artur, Jean-Claude Bouillon, Florence Rougé et Dora Doll.
- 1998 : Il faut sauver le soldat Ryan film de Steven Spielberg où sa chanson Tu es partout passe sur le gramophone.
- 2007 : La Môme (sous le titre La Vie en rose au Québec et dans les pays anglo-saxons) d’Olivier Dahan avec Marion Cotillard (Oscar de la meilleure actrice en 2008).
- 2010 : Inception où sa chanson Non, je ne regrette rien est une des clefs du film.
- 2012 : Madagascar 3 où sa chanson Non, je ne regrette rien est chanté par la commissaire Chantal Dubois.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- ↑ Fabien Lecœuvre, Télé 7 jours no 2638, 13 décembre 2010, p. 46
- ↑ a et b Pierre Duclos et Georges Martin, Piaf, Éditions du Seuil, 1995, 544 pages (ISBN 2-0202-3916-7)
- ↑ « Les ascendants d’Édith Piaf appartenaient au monde du spectacle depuis deux générations. Son grand-père paternel, Victor Alphonse Gassion, normand de Falaise, était écuyer de cirque, ainsi que son grand-père maternel qui épousa une dresseuse de puces marocaine, née à Mogador en 1876 » Population, Institut national d’études démographiques, (France), 1984, page 219 – Google Livres [archive]
- ↑ Acte de naissance de Emma Saïd ben Mohamed [archive], Archives départementales de Soissons (02), Acte no 252, 10 décembre 1876
- ↑ Acte de décès année 1890 Montluçon, no 501, Cote : 2E 191 194
- ↑ Généalogie Magazine’, no 233, p. 30-36
- ↑ « Anita Maillard, dite Line Marsa, est chanteuse des rues. Enfant de la balle, d’origine kabyle, elle est la fille d’une artiste de cirque ambulant qui présente un numéro de puces savantes sous le pseudonyme d’Aicha », Édith Piaf, Au bal de la chance, De la Loupe, 2007, p. 22
- ↑ Michel Souvais, Arletty, Confidences à son secrétaire, Editions Publibook, 2007 (ISSN 9782748332247, lire en ligne [archive]), p. 144
- ↑ La Danse mauresque [archive]
- ↑ Pierre Duclos – Georges Martin, Piaf, Éd. du Seuil, 1995
- ↑ Philippe Ariotti – Philippe de Comes, Arletty, H. Veyrier Éd., 1968
- ↑ Site des carmes déchaux [archive]
- ↑ Beaucarnot Généalogie [archive], parentés inattendues.
- ↑ Hommage d’Édith Piaf à Marie Dubas (New York, 1955). [archive]
- ↑ a et b (fr) Jean-Pierre Francois, « Saint-Antonin-Noble-Val. Mort de Danielle Bonel, la secrétaire et confidente d’Édith Piaf » [archive], sur La Dépêche du Midi, 6 avril 2012
- ↑ http://www.rue89.com/mon-oeil/2010/10/30/ces-cliches-glacants-de-la-france-vue-par-la-propagande-nazie-173724?page=0,3# [archive]
- ↑ F. Bédoussac, BBI Cultures no 4, p. 33, Archives municipales, Boulogne-Billancourt, avril 2011, BBI Cultures no 4 [archive].
- ↑ a, b et c F. Bédoussac, BBI Cultures no 4, p. 33, Archives municipales, Boulogne-Billancourt, avril 2011.
- ↑ a et b L. de Kermadec & J. Diamant-Bergé, Le cinéma de grand-père, p. 112, Paris 3e, 1995, Mémoires d’Henri Diamant-Berger [archive] transcrites pour le film Le cinéma de grand-père.
- ↑ Ch. Penot, “Louis Gérardin, l’ordre de sprint…” in La France cycliste, LNC, Rosny sous bois, 2010, Fiche de Louis Gérardin par Christophe Penot sur le site de la LNC [archive].
- ↑ Léveillée évoque cet épisode de sa vie dans le film 67 bis, boulevard Lannes de Jean-Claude Labrecque, tourné en 1991
- ↑ Pierre HIEGEL, Édith PIAF, Sélection du reader’s digest, 1975, 65 p., p. p54 La descente en enfer
- ↑ Jean Cocteau et Édith Piaf [archive]
- ↑ Les mariés de la mort [archive]
- ↑ Les obsèques d’Édith Piaf [archive] – Vidéo de l’ORTF, 14 octobre 1963, INA
- ↑ Spectacle musical Piaf le temps d’illuminer. Consulté le 15 avril 2013 [archive]
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Autobiographies[modifier | modifier le code]
- Édith Piaf, Au bal de la chance, préface de Jean Cocteau, postface de Fred Mella, présenté et annoté par Marc Robine. Jeheber ed., 1958. (réédition en 2003, Éditions de l’Archipel)
- Édith Piaf, Ma vie. Union générale d’éditions, Paris, 1963.
- Édith Piaf, Mon amour bleu, Grasset et Fasquelle, 2011.
Témoignages[modifier | modifier le code]
- Denise Gassion et Robert Morcet, Édith Piaf secrète et publique, Ergo press, Issy-les-Moulineaux, 1988
- Bernard Marchois, Édith Piaf, TF1 Éditions, Paris, 1995
- Jacqueline Cartier, Hugues Vassal, Édith et Thérèse, la Sainte et la Pécheresse, Éditions Anne Carrière, Paris, 1999
- Marcel Cerdan jr., Édith Piaf et moi, Éditions Flammarion, Paris, 2000
- Édith Piaf et Marcel Cerdan, Moi pour toi – Lettres d’amour, Le Cherche Midi Éditeur, Paris, 2002
- Ginou Richer, Mon amie Édith Piaf, Instantané Éditions, Paris, 2004
Biographies[modifier | modifier le code]
- Pierre Hiégel, Édith Piaf, Éditions de l’Heure, Monaco, 1962.
- Simone Berteaut, Piaf, récit, Robert Laffont, Paris, 1969 (réédition 1993), 462 pages.
- Auguste Le Breton, La môme Piaf, roman biographique, Hachette, 1980. D’après les souvenirs de Ginou Richer.
- William Laurent, Édith Piaf, F. Loucrani, Collection Numéro 1, Paris, 1983, 114 pages.
- Margaret Crosland, Piaf, Éditions Hodder and Stoughton, Londres, 1985, 240 pages.
- David Bret, The Piaf legend, Robson Books, Londres, 1988, 188 pages.
- Monique Lefèvre, Piaf, Télérama Hors série no 47, Paris, 1993, 98 pages.
- Marc et Danielle Bonel, Édith Piaf, le temps d’une vie, Éditions de Fallois, coll. « Documents », 8 septembre 1993, 344 p. (ISBN 2877061892 et 978-2-87706-189-6)
- Dominique Grimault et Patrick Mahé, Piaf-Cerdan : un hymne à l’amour, 1946-1949, Éditions de la Seine, Paris, 1993.
- Louis Valentin, Piaf, Plon, Paris, 1993.
- André Larue, Édith Piaf, l’amour toujours, Éditions Michel Lafon, Paris, 1993, 119 pages.
- Jean Noli, Piaf secrète, Éditions L’Archipel, Paris, 1993, 218 pages (rééd. 2003).
- Pierre Duclos et Georges Martin, Piaf, Éditions du Seuil, 1995 (réédition), 544 pages (ISBN 2-0202-3916-7)
- Sophie Troubac, Édith Piaf, l’hymne à l’amour, Éditions Sauret, Monaco, 1995, 237 pages.
- Frédéric Perroud, Marcel Cerdan-Édith Piaf : le bel amour, Éditions Acropole, Paris, 1999, 166 pages.
- Stan Cuesta (préface de François Hadji-Lazaro), Édith Piaf, Éditions J’ai lu/Librio Musique no 384, Paris, 2000 (ISBN 2-2903-0639-8)
- François Levy, Passion Édith Piaf la môme de Paris, Éditions Textuel, Paris, 2003, 192 pages.
- Jean-Dominique Brierre, Édith Piaf : « Sans amour on n’est rien du tout », Éditions Hors collection, Paris, 2003, 167 pages.
- David Lelait-Helo, Sur un air de Piaf, Payot, Paris, 2003, 331 pages.
- Marcel Cerdan Jr., Piaf et moi, Flammarion, France, 2000, 321 pages.
- Emmanuel Bonini, Piaf, la vérité, Pygmalion, 2008, 420 pages.
- Frédéric Quinonero, Édith Piaf, le temps d’illuminer, Éditions Didier Carpentier, 2008, 256 pages.
- Gilles Durieux, Anthony Berrot, et Jean-Paul Mazillie, Piaf, de la Môme à Édith : documents inédits, Le Cherche Midi, Paris, 2010
- Robert Belleret Piaf, un mythe français biographie, Fayard, 2013, 800 pages
Essais[modifier | modifier le code]
- L’Homme à la moto, le chef-d’œuvre de Piaf par Stan Cuesta, Éditions Scali, Collection « L’authentique histoire de la chanson » (illustrée), Paris, 2007 (ISBN 2-3501-2126-7)
Liens externes[modifier | modifier le code]
Sur les autres projets Wikimedia :
- Édith Piaf, sur Wikimedia Commons
- Édith Piaf, sur Wikiquote
- (en) Édith Piaf sur l’Internet Movie Database
- Inventaire du fonds Édith Piaf au département des arts du spectacle de la Bibliothèque nationale de France
- Généalogie d’Édith Piaf, Généalogie Magazine, no 233, janvier 2004, p. 30-36
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