Hc Editions
Communiqué de presse Juin 2017
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Parution le 19 janvier 2017 208 pages -19 € CHARLES NEMES Réalisateur éclectique, Charles Nemes passe du tragique (soirée Primo Levi sur Arte) au burlesque (La Tour Montparnasse infernale). Scénariste de cinéma, il écrit également pour la télévision quand il ne la regarde pas, et publie des livres quand il ne tourne pas. Dans Deux enfants du demi-siècle, son septième roman, il continue de glisser du plus grave au plus léger pour éclairer les destins de ses personnages. |
DEUX ENFANTS DU DEMI-SIÈCLE Parce qu’on vous a privé de votre premier amour et que votre famille, vos origines, votre époque vous ont emporté dans un tourbillon irrésistible. Parce que votre plus grande émotion est toujours de lire Si c’est un homme de Primo Levi, mais qu’une joie de vivre tenace vous aide à déjouer les traquenards de l’existence. Puisque le destin vous en offre la possibilité tant d’années plus tard, sans doute aurez-vous raison de partir à la recherche de ce premier amour. Toussaint Legrand et Thérèse Borowski ont quinze ans lorsqu’ils tombent amoureux. Mais dans la France de ces années-là, un fils de la bourgeoisie catholique et une fille de rabbin, surtout si jeunes, ne peuvent pas s’aimer. Lui deviendra un quinquagénaire divorcé, père inconstant, amoureux des mots, caché derrière ses livres. Elle élèvera seule son enfant, loin de sa famille ; très loin. Pourquoi ont-ils l’un et l’autre cette impression de ne pas être à sa place ? Quelle marque leur passion inaccomplie a-t-elle laissée en eux ? Le jour où Thérèse décidera de revoir Toussaint, chacun découvrira qu’ils n’ont pas vraiment réussi à s’oublier. Avec ce septième roman, Charles Nemes retrouve ses amours premières, celles de Je hais mon chien et Pourquoi les coiffeurs ? (Balland). Il laisse éclater un style aussi fluide qu’il est maîtrisé, aussi drôle qu’il est grave, aussi fou qu’il est juste. On traverse la France des années soixante à aujourd’hui, on rit, on pleure et on ne veut pas quitter cet auteur d’une humanité débordante. |
« Un auteur qui a du chien Charles Nemes est un gymnaste. Entendons un artiste du grand écart, un as de l’acrobatie filmographique. (…) Poser des kilomètres de rail sur les parquets du Louvre en vue d’un documentaire, et puis filmer les bonnes blagues d’Eric et Ramzy sur le plateau de la série “H” demande en effet une certaine virtuosité (…). Car s’il revendique un goût du baroque et du mélange des genres, Nemes semble prendre l’écriture très au sérieux. » Christophe Ono-dit-Biot, Elle (à propos de Je hais mon chien) |
164, R UE DE VA UGIRARD 75015 P ARIS TÉl. : 01 56 08 39 18 F AX : 01 43 71 69 40 05
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La presse & Je hais mon chien (2003 – Balland)
« On rit de cette histoire abracadabrante. »
Le nouvel Obs, Claire Fleury
« Voici un premier roman qui devrait vous enchanter. »
Femme actuelle
« À la fois blagueur et sérieux, pervers et foldingue, ce premier roman ne cesse de déraper vers le burlesque, mais se rattrape toujours aux branches de l’écriture. »
Télérama, Christine Ferniot
« Charles Nemes distille une critique mordante de notre société. »
Le Monde des livres, Christine Rousseau
« Irrésistiblement drôle. »
Phosphore
« On sait Charles Nemes capable de tout. »
Magazine littéraire
« Un premier roman follement drôle, qui ne manque ni de profondeur ni de vraies questions. »
Psychologies
« Autobiographique, rigoureux et drôle. »
Est Eclair
La presse & Pourquoi les coiffeurs ? (2004 – Balland)
« Une réserve inépuisable de charme, de curiosité et de mauvaise foi. Tout comme l’auteur. »
Paris Match, Florian Zeller
« Émotion et humour au rendez-vous. »
Métro, Aurélie Sarrot
« Charles Nemes a le sens de la formule. »
Valeurs actuelles
« D’autant plus drôle et distancié qu’on le devine en grande partie autobiographique. »
La Vie
« Charles Nemes n’assène aucune vérité, glisse simplement une poignée de questions à travers ses jeunes héros ».
Télérama, Christine Ferniot
« Un livre foisonnant, d’une rare densité. »
Muteen
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DANS LE MIROIRDU CARAVAGETout le monde connaît Le Caravage pour ses oeuvres puissantes, ses techniques révolutionnaires qui ont fait de lui « le peintre du clair-obscur », et sa vie dissolue… On sait en revanche beaucoup moins que les dernières années de sa vie et les conditions de sa mort restent encore un mystère. Après le succès du Livre secret de Dante, Francesco Fioretti s’attaque à ce qui reste une énigme depuis quatre siècles et nous plonge dans le monde d’un artiste hors du commun. À travers les oeuvres les plus marquantes de la vie du Caravage, Fioretti casse l’image sulfureuse d’un homme dont la foi restera inébranlable, la vision de l’art avant-gardiste et les ennemis trop nombreux. Il s’intéresse aux dernières années de sa vie et commence son enquête avec l’événement qui va tout faire basculer : l’assassinat de l’une des modèles et amantes du Caravage, celle dont il fera le portrait post-mortem dans l’un de ses tableaux les plus controversés, La Mort de la vierge. Le Livre secret de Dante a été vendu à 15 000 exemplaires en France, 500 000 en Italie, traduit dans huit langues. Dans le miroir du Caravage est le deuxième roman de Francesco Fioretti et il a été, lui aussi, dans le top des ventes en Italie dès sa parution. Les oeuvres dont se sert Fioretti pour recomposer l’histoire et la personnalité de l’artiste sont toutes reproduites en couleur dans un roman qui ne peut dissocier l’art de l’histoire. « Une écriture ciselée et un contexte historique restitué avec brio. » La Repubblica FRANCESCO FIORETTI Originaire de Sicile, Francesco Fioretti étudie les lettres à Florence avant d’enseigner en Lombardie et dans les Marches. En 2012, il obtient un doctorat à l’université d’Eichstätt, en Allemagne, avec une thèse sur le Stilnovo de Dante et de Cavalcanti. Le succès de son premier roman, Le Livre secret de Dante, l’impose comme le maître du thriller historique, avec le sérieux et l’érudition d’un universitaire. Dans le miroir du Caravage est son deuxième roman. |
Communiqué de presse
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Né en 1950, Raymond Chabaud a été tour à tour libraire, journa- liste et éditeur. Docteur ès-lettres, ancien élève de Roland Barthes et disciple de Pierre Gentelle, l’essentiel de ses livres tourne autour de l’idée de territoire. Le destin de Joseph Serrant ne pouvait le laisser indifférent.
ISBN : 9782357202498 Prix public : 17,00 € Format : 14,5 x 22 cm Pagination : 208 pages Façonnage : Broché Parution : 5 novembre 2015 |
LE NÈGRE DE NAPOLÉON Joseph Serrant, seul général noir de l’Empire Né à la Martinique à l’aube de la Révolution, fils d’un riche blanc et d’une mulâtresse libre, Joseph Serrant étouffe vite dans sa vie de cordonnier. S’il se bat d’abord pour l’abolition de l’esclavage, il s’engage rapidement dans l’armée, seule échappatoire à sa condition d’ « homme libre de couleur » aux Antilles. Sa bravoure et son courage l’emmènent auprès des plus grands et Napoléon le nomme général après la victoire de la campagne de Russie. Il devient alors le seul métis général d’Empire. Blanc de peau mais lointain descendant d’esclaves, Joseph Serrant aura servi la Nation durant toute sa vie mais cela n’aura pas suffit à faire oublier ses origines. Rattrapé au dernier moment par son ascendance, on lui refusera le titre de baron et il redeviendra alors, aux yeux de tous – mais surtout des siens – un métis. L’histoire de Joseph Serrant est une histoire moderne, une histoire d’homme déplacé qui perd ses repères et doit s’en construire de nouveaux. Personne ne sait qui il est. Comment le saurait-il lui-même ? « Enfin, un général de Napoléon tiré de l’oubli. » Jean Tulard |