Le premier roman de Wladimir Pandolfo ” Les cigales ne passent jamais l’été

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Relation presse
Le premier roman de Wladimir Pandolfo dévoile une intrigue passionnante et mouvementée au cœur de la cité phocéenne.Action, rebondissement, style direct et franc, “Les cigales ne passent jamais l’été” est un roman facile d’accès, captivant, moderne et frais : un moment de détente parfait pour tous les amateurs de mystère et d’émotion.Wladimir Pandolfo est directeur artistique dans une grande maison de disques. En parallèle, il enseigne à Sciences Po. “Les cigales ne passent jamais l’été” est son premier roman.

 

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RÉSUMÉ

Clara, jeune journaliste parisienne, file depuis peu le parfait amour avec  Gabriel, son voisin. Un soir ce dernier reçoit une étrange invitation sur Facebook : celle d’Aurelie Massoni, sa petite amie lorsqu’il était adolescent et vivait à Marseille. Le problème : Aurélie est morte mystérieusement il y a plus de 15 ans ! Quelques jours plus tard, Gabriel disparaît après avoir envoyé un mail énigmatique à Clara. Persuadée du lien entre cette intrigante demande d’ami et la disparition soudaine de son amoureux, Clara décide de se rendre dans la cité phocéenne pour le retrouver. La jeune journaliste commence alors une plongée infernale dans le passé de Gabriel.

Pourquoi les habitants du quartier sont si réticents à parler du fait divers qui a marqué leur été 1995 ? Que s’est-il passé le soir de la mort d’Aurélie dans ce bar sordide où tous les oiseaux de nuit marseillais se réunissent pour consommer drogues et alcools à outrance ? Entre drames de voisinage, secrets de famille, trahisons et corruptions mafieuses, Clara va vite comprendre que tous les vieux amis de Gabriel ne lui veulent pas que du bien.

 

INFORMATIONS PRATIQUES

Editions Bruit Blanc, Collection Bruit Noir : www.bruitblanc.fr
86 pages  –  ISBN : 978-2-919402-26-7 
Prix : 14€
Date de première parution : le 10 avril 2014  
A PROPOS DE L’AUTEUR

Né à Marseille en même temps que les radios libres et la fête de la musique, Wladimir Pandolfo passe son adolescence à  dévorer Exbrayat, Agatha Christie et les comics de Marvel tout en découvrant la pop FM des années 90.  Elève  en hypokâgne, il se détourne des grands classiques de la littérature française et des précis de latin pour la culture de la génération X. Il passe tour à tour de Nirvana à Beigbeder, de Fatboy Slim à Houellebecq, des free party sur la plage à Graham Masterton. Il se passionne pour tous les phénomènes culturels populaires et les décortique en permanence. Plus tard, sage étudiant à l’Institut d’Etudes Politiques le jour, il travaille le soir dans les boîtes de nuit de la région et apprend indifféremment le droit constitutionnel, la recette pour réussir un mojito, la macro-économie et l’art de mixer des titres en clubs. Il crée même une mini-polémique en choisissant de faire le très sérieux mémoire de fin d’étude de Sciences-Po sur l’économie du disque à travers l’exemple de Madonna. A l’époque, il réalise qu’il n’a qu’une envie : travailler pour divertir les autres et se divertir lui-même en travaillant.

A 20 ans, diplôme en poche, il quitte le sud de la France du jour au lendemain pour s’installer à Paris où il trouve un stage dans une maison de disques qui se transforme très rapidement en job à temps plein. Il y travaille aussi bien pour Beyoncé que pour Julio Iglesias ou encore Garou, Arielle Dombasle, Natasha St Pier, Sniper, Laurent Wolf et bien d’autres. Wladimir est actuellement directeur artistique de Tal, BB Brunes et collabore régulièrement avec Shy’m, M Pokora ou Dany Brillant. Ironie du sort, là où il avait créé le scandale dans le sud avec son étude sur Madonna, il se retrouve à donner tous les ans un cours très sérieux à Sciences Po Paris sur l’économie du disque et l’industrie de la musique.

Les années passent et ce fou de littérature policière, de thriller et de romans à rebondissement trouve le temps entre deux enregistrements en studio d’imaginer une histoire à suspense qu’il veut différente de ce qui est déjà proposé. Complètement addict aux réseaux sociaux, il réalise que Facebook permet de mettre en place de nouveaux schémas et d’élargir le champ des possibles.  Il explique ainsi : « Recevoir un mail sur Facebook d’une personne qu’on n’a pas vu depuis des années, qui est liée uniquement à notre passé me semble toujours un voyage dans le temps virtuel. De plus, nous avons tous eu des demandes d’amitié de personnes avec lesquelles nous ne souhaitions plus du tout communiquer. C’est un peu l’idée de base de ce livre. ».

Si les réseaux sociaux et le monde virtuel sont le point de départ du récit, il ne s’agit pas pour autant d’une histoire pour geek passionné d’informatique. «Je ne me suis pas dit : tiens Facebook est à la mode, je vais écrire un livre là-dessus.  Le réseau social est utilisé au profit de l’histoire. (…) Je n’avais pas envie d’un schéma classique où l’intrigue est dénouée dans les vingt dernières pages mais plutôt que chaque fin de chapitre laisse le lecteur sur sa faim. Le roman est bâti sur des contrastes afin de le rendre dynamique et plein de rebondissements. Il traite ainsi de l’antagonisme entre les excès de l’adolescence et les interrogations de l’âge adulte, les choix qu’on a à faire par amour ou par intérêt : des thèmes où finalement chacun de nous peut se reconnaître ». L’originalité vient également des nombreux flashbacks présents dans le livre. « Quitte à avoir été ado pendant les années 90, autant s’en servir » s’exclame l’auteur en souriant. « Ceux qui ont vécu cette décennie reconnaîtront les clins d’œil et ceux qui étaient trop jeunes pourront un peu découvrir la culture de toute une époque. C’était un exercice amusant de passer d’un chapitre où l’ont reçoit des lettres et on s’appelle sur des téléphones fixes à un autre où on communique par e-mails et par SMS ».

L’autre opposition traitée avec beaucoup d’humour est celle entre Paris et Marseille « L’action se passe dans les quartiers sud de la cité Phocéenne. C’est un endroit peu connu où des milieux sociaux très variés se mélangent. Il y a encore une quinzaine d’années les champs des maraîchers jouxtaient les belles villas bourgeoises. Ce n’est pas le Marseille de la Canebière et du Panier. Ce sont des lieux mal desservis et assez isolés. Le regard que les personnages parisiens posent sur cet endroit crée beaucoup de situations amusantes. »

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