LIGUE DE DEFENSE DES CONDUCTEURS

LIGUE DE DEFENSE DES CONDUCTEURS

Le maire de Linas (91) dénonce avec force conviction et statistiques à l’appui les deux radars feux rouges installés sur sa commune. Deux fois plus d’accidents après qu’avant leur installation ! Convoqué par les forces de l’ordre, M. Pelletant doit demain venir s’expliquer sur son panneau avertisseur de danger….

La LDC soutient avec 52 000 signataires de sa pétition le combat de cet édile sous les flashs de l’actualité.

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

   Communiqué, 1er juillet 2015

 

 

Radars feux-rouges, un maire auditionné.

Le maire de Linas François Pelletant est convoqué au commissariat ce jeudi 2 juillet pour avoir tenté d’empêcher les accidents provoqués par les radars feu rouge installés sur la N20. Face à l’inaction de l’Etat, il a pris l’initiative d’installer un panneau pour prévenir les conducteurs du danger. La Ligue de Défense des Conducteurs, forte de plus de 52 000 signatures pour faire retirer ces radars dangereux, dénonce cette malveillance de l’Etat contre un maire essayant de protéger les usagers de la N20.

A Linas (91), depuis la mise en place par l’Etat  des radars de feu rouge sur la Nationale 20, les accidents ont doublé à ce carrefour. Après avoir alerté à de nombreuses reprises les autorités locales, en vain, le maire a été contraint d’installer des panneaux pour prévenir les conducteurs du danger, panneaux dont l’Etat lui reproche aujourd’hui l’installation illégale sous prétexte qu’ils ne seraient « pas conformes » à la signalisation routière…

« Voilà ce qui se passe quand un maire essaie de protéger les usagers de la route et tente d’éviter des accidents : l’Etat fait la sourde oreille et préfère s’acharner contre lui en le faisant convoquer au commissariat comme un vulgaire voyou… On marche vraiment sur la tête ! C’est tout simplement de la malveillance» s’indigne Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs.

Courant juin, la Ligue de Défense des Conducteurs a lancé une grande campagne sur Internet pour soutenir le maire de Linas. En une semaine, la pétition « Non aux radars qui provoquent des accidents » a recueilli plus de 52 000 signatures accompagnées de nombreux témoignages venus de toute la France (consultables via ce lien).

« Tous ces témoignages constituent autant de preuves supplémentaires de la dangerosité de ces radars, et de l’urgence qu’il y a à les faire retirer », souligne Christiane Bayard. « Après cela, les autorités ne pourront plus dire ‘’on ne savait pas’’… »

Alors que le  gouvernement a prévu de relancer l’installation de radars de feu supplémentaires, la Ligue de Défense des Conducteurs a l’intention d’exiger le retrait des radars de feu rouge de Linas, et espère ainsi faire jurisprudence pour lancer une action nationale contre les radars de feu rouge.

4 zones test ont été mises en place pour mieux envisager la généralisation du 80 km/h sur les routes de France. La LDC dénonce dans ce communiqué l’hypocrisie de la démarche prise dans un train de sénateur.

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

   Communiqué, 30 juin 2015

 

80 km/h sur route : la Ligue de Défense des Conducteurs
dénonce une pseudo-expérimentation sans valeur scientifique

La Ligue de Défense des Conducteurs a obtenu la confirmation que la soi-disant “expérimentation” de l’abaissement de la vitesse à 80 km/h, qui débute ce mercredi 1er juillet pour deux ans dans quatre départements, va être menée sans aucune rigueur scientifique ni statistique. Une preuve de plus que cette pseudo-expérimentation ne constitue qu’un moyen détourné pour imposer le 80 km/h sur route à l’ensemble du territoire français.

L’expérimentation gouvernementale de la baisse de la limitation de vitesse à 80 km/h sur quatre tronçons de routes secondaires en France, dont la RN57 en Haute-Saône entre Vesoul et Rioz, débutera le mercredi 1er juillet pour deux ans.

Censée permettre au gouvernement d’observer les effets de l’abaissement de la vitesse sur la mortalité routière, cette expérimentation ne se fonde en réalité sur aucun critère objectif.

A quelques heures de sa mise en œuvre, les critères et les méthodes d’observation de cette dernière ne sont d’ailleurs toujours pas clairement déterminés, pas plus que les éléments ayant conduit au choix des quatre tronçons sélectionnés par le gouvernement pour l’expérimentation.

Pour la RN57, la période de comparaison retenue s’étale sur dix ans (de 2004 à 2014), contre seulement deux ans pour l’expérimentation du 80 km/h sur route.

De plus, les circonstances des accidents mortels survenus les années précédentes sur les tronçons retenus ne sont souvent pas clairement connues. En Haute-Saône, où l’abaissement à 80 km/h va être mis en œuvre sur une portion de la RN57, aucune enquête ECPA (Enquêtes “Comprendre pour Agir”, supposées permettre de comprendre les raisons d’un accident et les facteurs possibles) n’a ainsi été diligentée en 2014.

Et selon les témoins locaux, sur les 11 accidents mortels survenus ces dix dernières années, au moins six d’entre eux seraient imputables à des causes sans rapport aucun avec la vitesse : suicides, franchissement de ligne de blanche, endormissement ou malaise…

« Lorsque l’on voit la manière dont vont être menées ces expérimentations, il y a de quoi se poser des questions sur leur but véritable », commente Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue des Défense des Conducteurs. « Visiblement, l’objectif est plus de préparer les esprits pour ensuite pouvoir justifier d’un abaissement généralisé de la vitesse à 80 km/h sur tout le territoire, que de mener une véritable étude rigoureuse sur les facteurs de la mortalité routière ».

Samedi 27 juin, le rassemblement organisé parla Ligue de Défense des Conducteurs à Vesoul pour protester contre l’expérimentation du 80 km/h en Haute-Saône a d’ailleurs bénéficié du soutien et de la présence d’élus locaux, eux aussi opposés à cette mesure, mise en œuvre au détriment de vraies mesures de sécurité routière, à commencer par un aménagement des infrastructures.

Tout comme les élus, les Français restent majoritairement opposés à ce projet inutile et injuste de généralisation du 80 km/h, qui aura pour seul effet de faire exploser le nombre de PV, les pertes de points et les retraits de permis.  L’an dernier, ils ont notamment été plus d’1,5 million à signer la pétition de la Ligue de Défense des Conducteurs “Non à la baisse des limitations de vitesse”.

 

Non au 80 km/h ! RN 57


Une délégation d’élus et de conducteurs

reçue à la préfecture de Haute-Saône

 

La Ligue de Défense des Conducteurs organise un rassemblement samedi 27 juin 2015 à 15h, devant la préfecture de Vesoul, avec le soutien des élus locaux, pour protester contre l’expérimentation de l’abaissement de la vitesse à 80 km/h sur la RN57 en Haute-Saône, première étape d’une baisse généralisée de la vitesse sur le réseau secondaire.

Alors que l’expérimentation gouvernementale de la baisse de la limitation de vitesse à 80 km/h sur quatre tronçons de routes secondaires en France, dont la RN57 en Haute-Saône entre Vesoul et Rioz, débutera le mercredi 1er juillet pour deux ans, la Ligue de Défense des Conducteurs appelle à un grand rassemblement de tous les conducteurs opposés à cette mesure à Vesoul, le samedi 27 juin à 15h devant la préfecture.

« L’objectif de ce rassemblement est de montrer aux pouvoirs publics que les conducteurs ne sont pas dupes de ce projet “d’expérimentation”, qui n’est qu’une manière détournée d’arriver à une généralisation de l’abaissement de la limitation de vitesse à 80 km/h à tout le réseau secondaire », explique Christiane Bayard secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs.

« Plutôt que d’abaisser la vitesse, pénalisant une fois de plus injustement les conducteurs, les pouvoirs publics feraient mieux d’entretenir et d’aménager un réseau d’infrastructures routières vieillissant, et de plus en plus délaissé » ajoute-t-elle. « La sécurisation de la RN57 nécessite des aménagements notamment en deux fois deux voies. Les élus de la Haute-Saône le réclament d’ailleurs depuis plus de vingt ans, sans être entendus. Y réduire la vitesse pour toute panacée devient criminel, c’est scandaleux ».

Ce rassemblement de conducteurs responsables bénéficie d’ailleurs du soutien d’élus locaux, eux aussi opposés à cette expérimentation. A commencer par le député-maire de Vesoul Alain Chrétien, accompagné de plusieurs maires, qui se joindront au rassemblement devant la préfecture. Une délégation sera ensuite reçue en préfecture.

Tous comme les élus, les Français restent majoritairement opposés à ce projet inutile et injuste de généralisation du 80 km/h, qui aura pour seul effet de faire exploser le nombre de PV, les pertes de points et les retraits de permis.  L’an dernier, ils ont notamment été plus d’1,5 million à signer la pétition de la Ligue de Défense des Conducteurs “Non à la baisse des limitations de vitesse”.

La LDC dénonce un bricolage dans la mise en place de tronçons test à 80 km/h et suggère vivement aux pouvoirs publics de consulter Activ’Route pour mettre en place une politique de sécurité routière qui ne soit pas que sécuritaire.

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

   Communiqué, 11 mai 2015

 

Tronçons  à 80 km/h :

Ni test ni expérimentation mais du bricolage !

 

Le ministre de l’Intérieur vient de divulguer les tronçons qui feront l’objet d’une « expérimentation » de l’abaissement de la limitation de vitesse à 80 km/h. La mesure stigmatise une fois encore la vitesse pour mieux masquer les carences des infrastructures routières. La Ligue de Défense des Conducteurs (LDC) dénonce une pseudo expérimentation.

Christiane Bayard, secrétaire générale de la LDC rappelle que « les infrastructures routières sont en cause dans 40 % des accidents mortels. En matière de vitesse ce ne sont pas les petits dépassements de la vitesse réglementaire qui sont les plus dangereux mais bien la vitesse inadaptée aux circonstances ».

Le ministère de l’Intérieur résume à la vitesse la dangerosité de 3 tronçons connus depuis des années. On pouvait déjà s’étonner qu’en dépit des appels répétés des édiles locaux rien n’ait été fait depuis plus de 20 ans. Des aménagements conséquents ont été réclamés à corps et à cris. Or, plus que la vitesse, ces mêmes élus régionaux remettent en cause les infrastructures des tronçons « tests ».

Effectivement, au fil des ans, en raison de l’évolution du trafic, la configuration de ces  tronçons s’est révélée inadaptée. Sur ces tracés, la grande majorité des accidents relève de chocs frontaux. Ce n’est pas une baisse de vitesse de 10 km/h qui permettra d’échapper à ces accidents. Pire, cette mesure risque même d’être accidentogène. Camions et voitures roulent à la même vitesse et tout dépassement deviendra plus périlleux encore. Pour comble, la vitesse moyenne relevée sur la RCEA baptisée « route de la mort » est déjà inférieure à 80 km/h !

Pour Christiane Bayard, « la sécurisation de ces tronçons nécessite des aménagements en deux fois deux voies. Réduire la vitesse pour toute panacée devient criminel ».

Par un tour de passe-passe, la vitesse est stigmatisée. Elle devient responsable de tous les accidents qui jalonnent nos routes. Pour la LDC, c’est la qualité des infrastructures qui est à mettre en cause. Christiane Bayard souligne que « cette ”expérimentation” masque le manque criant de crédits attribués à l’entretien et à l’amélioration du réseau routier et assure en revanche l’augmentation de la rentabilité des radars sur ces tronçons ».

La LDC rappelle que son site Activ’route est au service des conducteurs et des collectivités chargées de l’entretien et de l’aménagement du réseau routier. Véritable réseau social d’utilité publique, cet observatoire de la route mis en place par la LDC permet de signaler les endroits dangereux. Plusieurs dizaines de signalements de zones où se sont produits un ou plusieurs accidents mortels ont ainsi été repérés. Christiane Bayard déplore que, depuis plus d’un an, ce dossier remis au ministère de l’Intérieur et au délégué à la Sécurité Routière soit resté lettre morte.  « Pourquoi un tel silence ? Combien de vies pourraient être épargnées si les aménagements attendus étaient réalisés ? »

Les pouvoirs publics s’enferment dans une politique de sécurité routière répressive. On se plaît à confondre sécurité et sécuritaire. Cette collusion intellectuelle fait la part belle aux lobbys anti-vitesse. Ces idéologues serinent depuis des années une contre-vérité qui devient un mensonge d’état « 1 % de vitesse en moins c’est 4 % de tués en moins ». La LDC a été la première à soumettre cet aphorisme à une analyse mathématique. La formule ne permet en aucun cas d’établir un lien scientifique entre vitesse et mortalité, cela tient tout juste du « bricolage ». Et d’après cette même formule, il faudrait attendre 5 ans pour économiser une seule vie sur les tronçons en test … pendant 2 ans. Calculez la marge d’erreur ! Les 3 tronçons « tests » ne sont qu’une pseudo expérimentation mise en place sans protocole ni procédure.

Test ou pas test, la Ligue de Défense des Conducteurs s’oppose à la baisse de la vitesse à 80 km/h sur route. Une position partagée par un grand nombre de Français, comme en témoigne le succès de sa pétition « Non à la baisse des limitations de vitesse » qui recueille aujourd’hui plus d’1,5 million de signatures certifiées par huissier.

Dès l’annonce, la LDC a marqué son opposition à la baisse des vitesses à 50Km/h sur le périphérique parisien. Elle a lancé une pétition qui a déjà obtenu 38 000 signatures – dont 18 000 au cours des deux derniers jours.

Aujourd’hui, la LDC se félicite qu’Anne Hidalgo affirme son refus de passer à cette expérimentation.

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

   Communiqué, 16 mars 2015

Pas de périph’ à 50 km/h

Forte mobilisation de la Ligue de Défense des Conducteurs : 38 000 signatures

Anne Hidalgo abonde et rejette le projet d’expérimentation.

Lundi 16 mars, la maire de Paris Anne Hidalgo réaffirme, dès l’ouverture du Conseil de Paris, son refus d’expérimenter un abaissement de la vitesse à 50 Km/h sur le périphérique. Cette décision répond  à la demande de la Ligue de Défense des Conducteurs, qui a déjà recueilli plus de 38 000 signatures à sa pétition “Non au périph à 50 !”.

La Ligue de Défense des Conducteurs se félicite de la décision d’Anne Hidalgo.

“La maire de Paris a choisi la voie de la sagesse”, commente Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs. “Le dernier abaissement de la vitesse à 70 Km/h sur le périph’ s’est surtout traduit par une hausse de 250% du nombre de flashs des 16 radars du périphérique, sans rien apporter de positif, ni en matière de sécurité routière, de bruit ou de pollution” souligne-t-elle.

Pire depuis l’abaissement de la vitesse sur le périphérique, la mortalité routière a augmenté. La diminution du bruit engendré reste inaudible à l’oreille humaine et aucune étude ne permet encore de prouver l’impact réel de cette mesure sur le niveau de pollution atmosphérique. L’abaissement de la vitesse moyenne pourrait même être à l’origine d’un surcroît  d’émissions de particules fines.

“En revanche, la décision d’équiper le périphérique d’un enrobé phonique semble aller dans le bon sens”, commente Christiane Bayard. “10% de sa surface en est déjà recouverte et fin 2015, ce chiffre sera porté à 30%, touchant près de 80% des zones habitées”.

La Ligue de Défense des Conducteurs reste mobilisée, et se tient prête à agir contre toute nouvelle tentative d’abaissement de la vitesse sur le périphérique. Comme toujours, elle reste rassemblée contre tous les projets visant à chasser la voiture de Paris. La réduction du nombre de places de stationnement et l’augmentation inouïe des tarifs, la piétonisation de nombreuses voies, la réduction des limitations de vitesse ou encore projets d’interdiction du diesel dans la capitale restent autant de combats poursuivis avec détermination par la Ligue de Défense des Conducteurs.

La hausse des tarifs autoroutiers sera officielle mardi prochain… La LDC juge cette hausse inadmissible ! Et vous appelle à ne pas vous laisser endormir !

L’on apprend aujourd’hui le départ tonitruant du président de la commission, Jean-Paul Chanteguet qui dénonce une parodie de consultation…

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

   Communiqué, 9 mars 2015

Péages

Toujours plus chers pour les conducteurs

 

L’accord passé entre le gouvernement et les sociétés d’autoroutes permet une hausse du tarif des péages. « Même 0,25 %, c’est inadmissible ! » dénonce Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs. « La Haute autorité de la concurrence avait révélé une rentabilité exorbitante des sociétés d’autoroute. Le gouvernement s’était engagé à revoir les contrats de concession.”

Réputée pour son sérieux et son indépendance, la Haute autorité avait indiqué que les marges des sociétés d’autoroutes atteignaient 25%. Cette annonce a soulevé la colère des conducteurs. Par un tour de passe-passe, ramenant “l’excédent d’exploitation” à une simple “rentabilité”, Bercy annonce aujourd’hui un pourcentage à 8% (soit 16 fois le taux annuel d’inflation,  et beaucoup plus que ce qui est proposé aux très heureux détenteurs de livret A).

Après avoir agité le chiffon d’une renégociation des contrats d’autoroute, le gouvernement entérine définitivement les concessions faites aux exploitants du réseau autoroutier.

L’ancien rapporteur PS de la mission d’information sur les autoroutes, Jean-Paul Chanteguet, a nnonce aujourd’hui son retrait du groupe de travail sur les autoroutes et dénonce une “parodie de consultation”.

“Je refuse d’avaliser plus avant cette mise en scène et mets un terme à ma participation à ce groupe de travail, dont les travaux, consciencieusement organisés et orientés, ont eu pour objectif de montrer que de rente il n’y avait pas et que l’idée de la résiliation était irréaliste, pour ne pas dire irresponsable”, a encore regretté le député, également président de la commission du Développement durable de l’Assemblée nationale.

« La remise en cause des concessions ne semble plus à l’ordre du jour » constate Christiane Bayard. « On nous promet des investissements et des emplois à la clé. Ces promesses n’engagent que ceux qui les écoutent et pour notre part, le constat est simple. Ce sont les conducteurs qui vont financer ces investissements. Ils font comme toujours les frais de la politique de la vache à lait. »

La LDC doute, par ailleurs, que les 3,2 milliards d’euros d’investissements autoroutiers prévus soient consacrés à des aménagements de sécurité routière. Les prétextes d’embellissements sont nombreux et bien souvent inutiles dès lors qu’ils ne permettent pas de lutter contre la somnolence, première causse d’accidentologie sur les autoroutes. « Et là, encore, il est évident qu’on tente de nous endormir » déplore Christiane Bayard.

La hausse des tarifs autoroutiers sera officielle mardi prochain… La LDC juge cette hausse inadmissible ! Et vous appelle à ne pas vous laisser endormir !

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

   Communiqué, 6 mars 2015

Péages

Toujours plus chers pour les conducteurs

 

L’accord passé entre le gouvernement et les sociétés d’autoroutes permet une hausse du tarif des péages. « Même 0,25 %, c’est inadmissible ! » dénonce Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs. « La Haute autorité de la concurrence avait révélé une rentabilité exorbitante des sociétés d’autoroute. Le gouvernement s’était engagé à revoir les contrats de concession.”

Réputée pour son sérieux et son indépendance, la Haute autorité avait indiqué que les marges des sociétés d’autoroutes atteignaient 25%. Cette annonce a soulevé la colère des conducteurs. Par un tour de passe-passe, ramenant “l’excédent d’exploitation” à une simple “rentabilité”, Bercy annonce aujourd’hui un pourcentage à 8% (soit 16 fois le taux annuel d’inflation,  et beaucoup plus que ce qui est proposé aux très heureux détenteurs de livret A).

Après avoir agité le chiffon d’une renégociation des contrats d’autoroute, le gouvernement entérine définitivement les concessions faites aux exploitants du réseau autoroutier.

« La remise en cause des concessions ne semble plus à l’ordre du jour » constate Christiane Bayard. « On nous promet des investissements et des emplois à la clé. Ces promesses n’engagent que ceux qui les écoutent et pour notre part, le constat est simple. Ce sont les conducteurs qui vont financer ces investissements. Ils font comme comme toujours les frais de la politique de la vache à lait. »

La LDC doute, par ailleurs, que les 3,2 milliards d’euros d’investissements autoroutiers prévus soient consacrés à des aménagements de sécurité routière. Les prétextes d’embellissements sont nombreux et bien souvent inutiles dès lors qu’ils ne permettent pas de lutter contre la somnolence, première causse d’accidentologie sur les autoroutes. « Et là, encore, il est évident qu’on tente de nous endormir » déplore Christiane Bayard.

En France, il y aurait aujourd’hui environ 370 000 dashcams, contre 28 000 il y a trois ans. Certaines compagnies d’assurance proposent d’ailleurs désormais des “ristournes” aux clients qui acceptent de s’en équiper

Même sous couvert de sécurité routière, ces caméras ne font pas l’unanimité.

La LDC préconise de ne pas se laisser embarquer.

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

   Communiqué, 27 février 2015

Rodéos, litiges et Big Brother :

la Ligue de Défense des Conducteurs met en garde

contre les caméras embarquées 

 

Depuis quelques semaines, sous couvert de sécurité, des intervenants bien intentionnés suggèrent avec force présence médiatique l’installation de Dashcam, petites caméras, à placer sur le tableau de bord de son véhicule … pour enregistrer tout qui se passe (devant). On les comprend : un marché de 38 millions de voitures à équiper représente un marché juteux, sachant que chacune de ces petites boîtes noires est facturée entre 30 et 200 € pièce.

En tout cas, ces caméras ne font pas  l’unanimité.

Des conducteurs responsables s’inquiètent déjà des dérives que ne manqueront pas d’engendrer ces caméras. Non seulement ces appareils ne préviennent pas des accidents, pire encore, ilspourraient en être à l’origine.

Combien de geeks auront plaisir à mettre en ligne leurs petits exploits ? Que ne ferait-on pas pour animer un prochain rodéo ou une séquence choisie d’un vidéo-gag ? Les réseaux sociaux russes et américains ne sont-ils pas déjà envahis par les reportages fracassants des Fangio d’un jour ? Combien d’accidents risquent de se produire, pour alimenter ces chroniques spectaculaires ?

« C’est la porte ouverte à une surenchère suicidaire. Les pare-brise sont déjà envahis d’appareils à ventouse. Et on ose nous vanter les mérites d’un nouveau distracteur de conduite…» s’insurge Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs.

Par ailleurs, pour devenir un véritable élément de preuve, on peut raisonnablement penser que seuls les appareils les plus sophistiqués et donc plus onéreux seront retenus.

Pour l’instant, aucun appareil n’a fait l’objet d’un agrément particulier. Dans ce sens, comme pour les radars ou les tachygraphes des camions, ces caméras embarquées seront rapidement appelées à être homologuées, scellées, contrôlées, horodatées et pourquoi pas géo-localisées ? Autant de motifs pour un passage régulier devant un spécialiste agréé et de frais d’entretien supplémentaires pour les véhicules. L’arroseur ne sera pas loin d’être l’arrosé.

Même les compagnies d’assurances déchanteront lorsqu’elles devront faire face à une recrudescence de litiges pour le moindre petit accrochage avec des heures de films à visionner et à exploiter. Sans parler des tribunaux qui devront faire face à un surcroît de procédures.

Pour Christiane Bayard, « les fabricants sont plus sensibles à la rentabilité de leur business qu’à la sécurité routière. Ils n’espèrent qu’une chose : voir ces caméras devenir obligatoires. Pour les conducteurs, le danger est de se voir bientôt imposer une véritable laisse électronique ».

Ce système  est loin d’être la panacée. Avec des caméras ayant la possibilité de filmer également l’intérieur du véhicule, elles pourront devenir de véritables mouchards et offrir autant d’occasions de verbaliser même a posteriori le moindre écart de conduite. « Le spectre de Big Brother n’est pas loin ! »souligne Christiane Bayard.

Saisie par les conducteurs, la LDC émet les plus grandes réserves sur ces nouveaux gadgets sans réel rapport avec la sécurité routière et rappelle que pour la sécurité de tous sur la route, rien ne remplace un conducteur vigilant et responsable. La LDC s’est donc mise en veille active sur le sujet, et se tient prête à lancer une grande mobilisation.

Bonjour,

En France, il y aurait aujourd’hui environ 370 000 dashcams, contre 28 000 il y a trois ans. Certaines compagnies d’assurance proposent d’ailleurs désormais des “ristournes” aux clients qui acceptent de s’en équiper

Même sous couvert de sécurité routière, ces caméras ne font pas l’unanimité.

La LDC préconise de ne pas se laisser embarquer.

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

   Communiqué, 27 février 2015

Rodéos, litiges et Big Brother :

la Ligue de Défense des Conducteurs met en garde

contre les caméras embarquées 

 

Depuis quelques semaines, sous couvert de sécurité, des intervenants bien intentionnés suggèrent avec force présence médiatique l’installation de Dashcam, petites caméras, à placer sur le tableau de bord de son véhicule … pour enregistrer tout qui se passe (devant). On les comprend : un marché de 38 millions de voitures à équiper représente un marché juteux, sachant que chacune de ces petites boîtes noires est facturée entre 30 et 200 € pièce.

En tout cas, ces caméras ne font pas  l’unanimité.

Des conducteurs responsables s’inquiètent déjà des dérives que ne manqueront pas d’engendrer ces caméras. Non seulement ces appareils ne préviennent pas des accidents, pire encore, ilspourraient en être à l’origine.

Combien de geeks auront plaisir à mettre en ligne leurs petits exploits ? Que ne ferait-on pas pour animer un prochain rodéo ou une séquence choisie d’un vidéo-gag ? Les réseaux sociaux russes et américains ne sont-ils pas déjà envahis par les reportages fracassants des Fangio d’un jour ? Combien d’accidents risquent de se produire, pour alimenter ces chroniques spectaculaires ?

« C’est la porte ouverte à une surenchère suicidaire. Les pare-brise sont déjà envahis d’appareils à ventouse. Et on ose nous vanter les mérites d’un nouveau distracteur de conduite…» s’insurge Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs.

Par ailleurs, pour devenir un véritable élément de preuve, on peut raisonnablement penser que seuls les appareils les plus sophistiqués et donc plus onéreux seront retenus.

Pour l’instant, aucun appareil n’a fait l’objet d’un agrément particulier. Dans ce sens, comme pour les radars ou les tachygraphes des camions, ces caméras embarquées seront rapidement appelées à être homologuées, scellées, contrôlées, horodatées et pourquoi pas géo-localisées ? Autant de motifs pour un passage régulier devant un spécialiste agréé et de frais d’entretien supplémentaires pour les véhicules. L’arroseur ne sera pas loin d’être l’arrosé.

Même les compagnies d’assurances déchanteront lorsqu’elles devront faire face à une recrudescence de litiges pour le moindre petit accrochage avec des heures de films à visionner et à exploiter. Sans parler des tribunaux qui devront faire face à un surcroît de procédures.

Pour Christiane Bayard, « les fabricants sont plus sensibles à la rentabilité de leur business qu’à la sécurité routière. Ils n’espèrent qu’une chose : voir ces caméras devenir obligatoires. Pour les conducteurs, le danger est de se voir bientôt imposer une véritable laisse électronique ».

Ce système  est loin d’être la panacée. Avec des caméras ayant la possibilité de filmer également l’intérieur du véhicule, elles pourront devenir de véritables mouchards et offrir autant d’occasions de verbaliser même a posteriori le moindre écart de conduite. « Le spectre de Big Brother n’est pas loin ! »souligne Christiane Bayard.

Saisie par les conducteurs, la LDC émet les plus grandes réserves sur ces nouveaux gadgets sans réel rapport avec la sécurité routière et rappelle que pour la sécurité de tous sur la route, rien ne remplace un conducteur vigilant et responsable. La LDC s’est donc mise en veille active sur le sujet, et se tient prête à lancer une grande mobilisation.

Les 9 et 10 février prochains, Anne Hidalgo présentera au conseil de Paris ses mesures anti-pollution. Principales cibles : les conducteurs !

12 millions de Franciliens concernés, 3 millions de véhicules impactés : comme si la pollution parisienne se résumait aux embarras de Paris ! LA LDC n’attend pas que la province monte également son usine à gaz anti-pollution contre les conducteurs.

Au fil du communiqué qu vous adresse Christiane BAYARD, des liens hypertextes vous permettront d’accéder aux sources qui justifient la position de la seule association réellement représentative des automobilistes.

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

   Communiqué 6 février 2015

La nouvelle usine à gaz de la Mairie de Paris !

12 millions de Franciliens pris en otage

Près de 3 millions de véhicules à la casse

Après les réductions de vitesse, réduction des places de stationnement, augmentation du tarif résidentiel, augmentation du prix du stationnement, Anne Hidalgo fait maintenant de la luttecontre la pollution de l’air une priorité de sa mandature.

C’est encore aux conducteurs que la mairie de Paris s’adresse avec un ensemble de mesures contraignantes et inadaptées.

Il y a peu, alors que la capitale subissait une semaine de pics de pollution, la candidate socialisteavait pourtant tranché : « Les Zapa, il faut les zapper! C’est une usine à gaz, du jus de crâne technocra­tique » aux modalités d’application « inopérantes ».

Et pour cause, les services de la Mairie de Paris venaient tout juste de publier une enquête dont les conclusions étaient sans appel :

«Pour être réellement efficace, la mise en place d’une politique anti-pollution ne produirait d’effet significatif que si elle concernait un large périmètre comprenant Paris et les autres territoires (76 communes) intra-A86. ». […] « Une interdiction portant sur un tel périmètre aurait posé problème en termes d’absorption des flux de voyageurs amenés à se reporter sur les transports en commun ». Un tel plan « ne peut être envisagé sans un développement et des investissements conséquents en termes de transports en commun.»

Cette même enquête révèle par exemple que les travailleurs de nuit seront particulièrement touchés (hôtel, café, restaurant, infirmiers..). Ils représentent 1/3 des emplois sur Paris.  Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de défense des conducteurs, s’indigne : « comment feront les femmes assujetties à  des horaires tardifs ? Seront-elles obligées d’emprunter des transports en commun peu sûrs au risque de se faire molester ? ».

 D’autres études, que Mme Hidalgo n’a certainement pas manqué de consulter, sont toutes aussi révélatrices de la complexité de la situation et de l’inutilité de son plan :

Selon Airparif, le réseau du métro émet en moyenne trois à quatre fois plus de particules fines que le périphérique (300 mg/m3 pour les quais du métro et jusqu’à 500 mg/m3 sur les quais du RER contre 52 mg/m3 aux abords du périphériques. Il jette aussi un pavé dans la mare en révélant que 41% des particules fines en suspension (PM10) émises par le trafic routier viendraient en fait de l’abrasion des pneus, du revêtement routier et du freinage.  Même les voitures électriques, préconisées par la mairie de Paris, disposent de pneus, d’un système de freinage et continueront donc de polluer.

« On nous parle de dépolluer, une fois encore, on nous enfume. Malgré les avertissements de ses propres services et les conclusions alarmantes de diverses études, Anne Hidalgo s’entête aujourd’hui à poursuivre un projet résolument partisan, dogmatique et autophobe ». remarqueChristiane Bayard.

 12 millions de Franciliens seront pris en otage : la récente grève des conducteurs du RER A a démontré les limites des transports en commun. Des millions d’usagers seront ainsi régulièrement assignés à résidence faute de RER, de métro et sans solution de remplacement. Sans oublier que près de 3 millions de Franciliens devront revendre leur voiture ou la mettre à la casse.

 « La LDC ne peut souscrire à ces mesures partisanes, quand tant de gens ont besoin de leur véhicule pour la vie de tous les jours. N’en déplaise à Mme Hidalgo ou à Bruxelles. Le parc automobile se renouvelle tranquillement. Inutile de mettre le feu aux poudres » conclut Christiane BAYARD.

 

Loin de l’agitation médiatique qui a précédé l’annonce des officines sans membres, la seule association représentative des conducteurs a attendu la parution des 26 mesures proposées par le ministère de l’Intérieur .

Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs, vous prie de bien vouloir prendre connaissance du point de vue des conducteurs.

    Communiqué  27 janvier 2015

Mesures d’austérité routière 2015

De nouvelles sanctions et davantage de répression :
les conducteurs voient rouge et disent stop !

Le ministre de l’Intérieur a annoncé hier des règles plus strictes et davantage de contrôles,
prétextes à s’affranchir des causes premières de l’accidentologie.

En 2014, et pour la première foisdepuis douze ans, le nombre de personnes décédées sur les routes a augmenté. La hausse du nombre de tués est d’environ 4 %, soit 120 décès supplémentaires par rapport à 2013, un peu plus d’une personne par département.

Des disparus, des familles brisées, tristes nouvelles. La LDC ne peut cependant pas manquer de noter que ces résultats sont simplement le deuxième « meilleur » relevé depuis la mise en place des statistiques.

L’arsenal des mesures annoncées tape dans le registre habituel. Pas de menu routier, mais une proposition à la carte et aux points  dont seuls les conducteurs feront les frais. Sous des couverts bien pensants, en 26 propositions, la montagne accouche d’un « Souris, tu vas être flashé ».

Se mêlent sans discernement les statistiques automobiles, piétonnes et cyclistes.  Et ce sont pourtant les conducteurs automobiles qu’on attend au tournant »déploreChristiane Bayard, secrétaire de la LDC.

Sanctions et répression demeurent aujourd’hui encore les deux mamelles de la sécurité routière. En ligne de mire du collimateur répressif, la vitesse reste à nouveau stigmatisée,  et sanctionnée par des radars toujours plus redoutables … que le danger réel.

Ainsi contrairement aux engagements antérieurs, l’on apprend le déploiement de nouveaux radars feux rouges associés à des modules de contrôles de vitesse. Sans recours, ou presque, pour le commun des conducteurs, la répression va bon train et l’industrialisation des PV passe à la vitesse supérieure !

Le pouvoir d’être plus répressif encore : l’on confie aux maires le pouvoir de « baisser » la vitesse sur tout ou partie de leur commune. Les investitures des partis seront-elles soumises à la rentabilité des radars associés ? Pourquoi ne pas leur permettre également  d’augmenter les vitesses réglementaires ? Un cadeau pour la mairie de Paris qui rêve que la capitale de tous les Français devienne une réserve ou un parc naturel, peut-être ? La LDC ne peut souscrire à ces mesures.

Pédagogie ? Les jeunes impliqués dans près d’un accident sur 4 héritent d’un «module de sensibilisation lors des journées de citoyenneté ». Et l’on abaisse l’âge du permis à 17 ans et demi… Pour renouveler le parc des citoyens verbalisables ? Et l’on apprend dans les mêmes temps, avec beaucoup d’incohérence, la possible disparition de la seule piste mobile d’éducation routière de la Police Nationale. ( http://www.motomag.com/La-piste-d-education-routiere-de-la-police-risque-de-disparaitre-en-2015.html#.VMDCLkeG98E )

Concernant l’expérimentation à 80 km/h, aucun protocole scientifique n’est mis en place. Il ne s’agit donc pas de tests. Sur les tronçons dangereux, désormais ce n’est plus le panneau qui compte mais le radar !  83 nouveaux radars alambiqués, genre double face, devant derrière, à 180 000  € pièce vont être déployés sur le territoire national. D’après les chiffres officiels cela ne coûte-t-il pas plus cher à l’installation qu’un petit panneau mais ces bandits manchots pourraient rapporter.

Alcool et stupéfiants, la LDC n’a pas pour vocation à soutenir les addictions. Mais des lois existent déjà… et elles ne sont pas appliquées ! 80 % des accidents liés à de l’alcool sont engendrés par des conducteurs ayant plus de 1,2 gr d’alcool dans le sang. Alors pourquoi stigmatiser sur les jeunes conducteurs ? » s’interroge Christiane Bayard.

Quant aux infrastructures, on demande à l’administration de se mobiliser. Les préfets sont priés de relever les endroits dangereux. Facile de boucler la mission. Le travail est déjà fait ! Il leur suffit de se connecter sur Activ’Route, vu sur Télématin, un service gratuit de la LDC de signalisation des emplacements dangereux. Activ’Route : http://www.activroute.org

« Les conducteurs sont de nouveau les grands perdants de cette politique répressive. En 2015 s’ils sont au rendez-vous, on viendra leur expliquer qu’il convient de poursuivre dans cette voie. Et, à l’inverse, si les chiffres se révèlent médiocres, cela justifiera qu’on renforce l’arsenal. Un vrai marché de dupes ! »s’insurge Christiane Bayard.

En attendant, les conducteurs auront perdu du temps, des points, et pour certains leur vie.

Un an après la mise en place d’une nouvelle limitation de vitesse sur le périphérique parisien, la mairie de Paris envisage encore une nouvelle diminution de la vitesse.

La Ligue de Défense de Conducteurs appelle les conducteurs responsables à réagir … une pétition recueille 12 mille signatures en moins de 24 heures.

Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs, vous prie de bien vouloir faire circuler cette information.

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

         Communiqué  janvier 2015

PERIPH’ A 70 Km/H : les radars grands vainqueurs

Plus de 12 000 « Non aux 50 km/h ! » en moins de 24 heures

Un an après avoir imposé la baisse de la vitesse autorisée sur le périphérique parisien, l’équipe municipale parisienne dresse un premier bilan et flashe sur une nouvelle limitation.

Christophe Najdowski, adjoint écologiste, chargé des transports à la mairie de Paris embraye désormais sur le 50 km/h. La vitesse maximale autorisée pourrait passer à 50 km/h, la nuit de 22 à 7 heures.

Un an après la précédente mesure, le bilan reste pourtant inattendu et très paradoxal. En abaissant la vitesse maximale autorisée, la vitesse moyenne de circulation augmente. On roule plus vite sur le périphérique. La vitesse moyenne est ainsi passée de 33 à 38 km /h.

La LDC constate par ailleurs qu’il n’est plus question ni de bruit ni de pollution. « Ne nous a-t-on pas rebattu les oreilles avec des idées reçues :  Rouler plus vite ne pollue-t-il pas davantage ? »  s’interroge Christiane Bayard, secrétaire générale de la LDC.

Ce premier bilan ne fait pas état d’avancée majeure dans la qualité de l’air. Côté bruit,Bruitparif note une baisse de 0,5 à 1,2 dba pour les riverains, l’organisme reconnaît in extenso que c’’est imperceptible à l’oreille humaine.

La LDC note également que le nombre d’accidents a diminué de 15,5 %  (742 accidents en 2013, 627 en 2014). Elle se réjouit de cette bonne nouvelle mais note que le nombre de morts a doublé. Une preuve de plus de la totale ineptie de la formule de Nilsson (1% de vitesse en plus = 4% de morts en plus.

Déjà, en France, en 2012, la vitesse moyenne avait augmenté. Le nombre de tués sur les routes avait pourtant diminué de presque 8%.  Il n’y a aucun lien scientifique entre baisse des vitesses et baisse de la mortalité.

Pour Christiane Bayard, «le temps est venu de ne plus confondre vitesse réglementaire et vitesse adaptée aux circonstances.

En réalité, les grands gagnants de ce bilan sont surtout les 16 radars qui jalonnent le périphérique. En un an, le nombre de leurs flashes a augmenté de 250 %.

Le projet de réduire à 50 km/h la vitesse maximale autorisée vise surtout à rentabiliser encore plus ces radars. La LDC a décidé de se mobiliser contre cette mesure injuste et inefficace et invite les conducteurs responsables à signer la pétition « NON AU PERIPH A 50 KM/H ! ».

http://mobilisezvous.liguedesconducteurs.org/petition-periph-50/

Tous les conducteurs sont appelés à manifester leur exaspération. 10 000 signatures ont déjà été recueillies en moins de 24 heures. Cette pétition sera ensuite adressée aux élus du Conseil de Paris.

Bonjour,

Où va l’argent des PV ? Une question à laquelle répond la dernière étude de La Ligue de Défense des Conducteurs. Le rapport est édifiant … pas à la sécurité routière ni aux automobilistes !

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

Communiqué  décembre 2014

 

 

Argent des PV : une manne qui profite à tous…
sauf aux conducteurs

Pour accéder à l’étude : cliquer ici

 

La Ligue de Défense des Conducteurs (LDC) publie une première enquête sur l’utilisation de l’argent public généré par la répression routière. Près de 24 millions de contraventions ont été distribuées en 2013. Un pactole de 1.7 milliard d’euros dont le schéma de répartition est des plus opaques, systématiquement aux dépens de l’entretien du réseau routier.

L’étude de la LDC met en évidence que l’argent des automobilistes finance d’abord des actions sans rapport avec la sécurité routière.  Librement disponible sur internet, cette étude met en lumière une des facettes encore peu connue de l’emploi de ce budget. L’argent directement issu des contraventions échappe totalement à toute contrainte de répartition. Les sommes sont distribuées selon le bon vouloir du prince en fonction.

Désendettement de l’état et Agence pour la Cohésion Sociale (ACS) s’inscrivent en premières places des heureux bénéficiaires du pactole. Quant aux dotations aux collectivités locales, l’étudemontre qu’elles n’ont aucune obligation de participer à l’amélioration des infrastructures routières. Elles peuvent tout aussi bien être consacrées à l’équipement des villes sans aucun lien avec la route.

L’argent des automobilistes alimente également des agences d’intérêt public n’ayant que peu de rapport avec la sécurité routière.

En revanche, on découvre aussi qu’en 2014, les dépenses d’investissement pour les radars ont augmenté de 68 %.

Au premier rang de celles-ci, l’Agence de Financement des Infrastructures de Transports de France (AFITF). Elle dispose d’un budget provenant uniquement de la route (amendes des radars, taxe d’aménagement du territoire, autoroutes…), or les deux tiers de sa dotation servent principalement au transport ferroviaire et aux transports collectifs d’agglomération. La LDC relève que L’AFTIF affecte la majeure partie de ses dépenses  aux transports en commun notoirement déficitaires. Ce soutien s’effectue au détriment de la modernisation et de l’entretien du réseau routier.  En 2013, toutes taxes confondues, la route a rapporté à l’Etat 37,4 milliards d’euros soit autant que l’endettement cumulé de 40 Md € de la SNCF et de Réseau Ferré de France.

Autre institution financée par l’argent des contraventions, l’ANTAI (Agence Nationale de Traitement Automatisé des Infractions), qui se livre à une «véritable activité industrielle». L’étudemet surtout en lumière les dérives de cette agence. Soucieuse des deniers publics, l’ANTAI affiche des objectifs dignes d’une entreprise privée. Croissance à plusieurs chiffres et développement font partie de son vocabulaire. Sa conduite révèle son ambivalence et, plutôt que de se réjouir de la baisse du nombre des infractions, elle planifie en permanence une hausse des sanctions. Pour un coût salarial moyen de 96 000 euros annuels – près de 8000 € par mois et par agent – 26 cadres de l’Etat veillent avidement à la prospérité de cet organisme.

« Le constat est sans appel et la preuve est faite : l’argent des conducteurs ne sert pas du tout à contribuer à la sécurité routière. Pire, il est utilisé pour que l’ANTAI se livre à une  véritable activité industrielle  et pour que l’AFTIF  finance des transports en commun déjà lourdement déficitaires », s’insurge Christiane BAYARD secrétaire générale de la LDC. « Pour les conducteurs c’est un véritable scandale. Ils réclament la mise en place d’une véritable traçabilité de l’emploi de l’argent de la répression », ajoute-t-elle. « En tant que citoyens et automobilistes responsables, nous avons le droit à notre sécurité. Il devient criminel de ne traiter de sécurité routière que par la répression ou des usines à gaz déficitaires“.

La Ligue de Défense des Conducteurs rappelle que le facteur infrastructure est présent dans 40% des accidents mortels. L’état des routes ne cesse de se dégrader faute d’entretien. La LDC  demande au gouvernement de mettre l’argent des conducteurs au service de la sécurité routière. Il faut maintenant s’investir davantage dans l’entretien des routes et dans l’aménagement des zones accidentogènes.

 

Bonjour,

Le Conseil National de la Sécurité Routière remet aujourd’hui ses conclusions entre nouvelle contrainte, répression et taxation.

La Ligue de Défense des Conducteurs interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’entretenir les infrastructures.

L’état des infrastructure intervient dans 40% des accidents mortels.

Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs, vous prie de bien vouloir faire circuler cette information.

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

Communiqué  décembre 2014

Baisser les vitesses plutôt que d’entretenir les routes accidentogènes

 

Plutôt que de se laisser enfermer dans une baisse des vitesses inutile, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve devrait se libérer des pressions des lobbys anti-vitesse  et prendre des mesures concrètes pour entretenir les routes accidentogènes et épargner plusieurs dizaine de vies.

Pas une seule fois la cause infrastructure n’est évoquée sérieusement dans les différentes communications du Conseil National Sécurité Routière. Il préfère préconiser des mesures toujours plus répressives en s’appuyant sur des études contestables qui ne permettent pas d’établir un lien scientifique entre vitesse et mortalité routière. Pour Christiane BAYARD secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs « sa chasse incessante au moindre kilomètre/heure de trop lui fait oublier le rôle essentiel des infrastructures en matière de sécurité routière. Enfermé dans son dogmatisme, il perd tout sens des réalités. »

La Ligue de Défense des Conducteurs part d’un constat alarmant, celui de la dégradation progressive et silencieuse du réseau routier français. Il est nécessaire que les pouvoirs publics prennent conscience que dans 40% des accidents mortels le facteur infrastructure est présent. Via son site Activ’Route (www.activroute.org) qui permet de signaler les endroits dangereux, la LDC a répertorié plusieurs dizaines endroits où ce sont déroulés un ou plusieurs accidents mortels.

Elle a adressé ce dossier au ministre de l’Intérieur en lui demandant de bien vouloir tout mettre en œuvre afin que les dispositions soient enfin prises pour aménager ces endroits dangereux. Pour Christiane Bayard « le ministre de l’Intérieur est au pied du mur, il doit prendre ses responsabilités, car si ces dizaines d’endroits dangereux avaient été aménagées en temps et heure c’est autant de vies qui auraient été épargnées » Elle rajoute « il est encore temps d’en sauver d’autres mais à condition d’en donner les moyens aux responsables de l’entretien et de l’aménagement des réseaux routiers ».

Un million et demi de conducteurs responsables ont signé la pétition « Non à la baisse des limitations de vitesse » . Ils attendent désormais la réponse du ministre de l’Intérieur.

Pour voir les 199 signalements cliquer sur ce lien : http://www.liguedesconducteurs.org/images/pdf/LiguedesConducteurs-

La LDC recueille aujourd’hui 1,5 million de signatures contre la baisse des vitesses à 80 km/h.

Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs, vous prie de bien vouloir faire circuler cette information.

En vous souhaitant bonne lecture et bonne route.

logob

Communiqué  décembre 2014

Pas de lien entre baisse de la mortalité routière

et vitesses pratiquées

Face à l’annonce de l’expérimentation de l’abaissement de la vitesse à 80 km/h, la Ligue de Défense des Conducteurs appelle le ministre de l’Intérieur à ne pas persévérer dans le dogme anti-vitesse, responsable de la hausse de la mortalité routière constatée depuis le début de l’année.

L’annonce par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve de l’expérimentation d’un abaissement de la vitesse à 80 km/h au mois de janvier confirme les pires craintes de la Ligue de Défense des Conducteurs. Avec cette décision, le ministre s’enferme dans une politique de sécurité routière répressive uniquement basée sur le dogme anti-vitesse. Celle-ci a depuis longtemps fait la preuve de son inefficacité, comme en témoigne les mauvais chiffres de la mortalité routière depuis le début de l’année.

« Cette expérimentation d’un abaissement de la vitesse n’est qu’une réponse aux pressions des experts partisans du tout-répressif du CNSR et des lobbys anti-vitesse », déplore Christiane Bayard, secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs.  « Les préfectures ont déjà la possibilité de diminuer la vitesse sur des tronçons dangereux. Alors, quel est l’intérêt de cette expérimentation, si ce n’est de généraliser la baisse de la vitesse par la suite ? »

La politique basée sur le tout-répressif et sur une stigmatisation de la vitesse n’est pas la solution à la baisse de la mortalité routière. La preuve : en 2012, la vitesse moyenne a augmenté en France. Et pourtant, le nombre de tués sur la route a diminué de presque 8%. C’était déjà le cas entre 1998 et 2002.

Et si certains persistent à penser que la baisse de la mortalité routière jusqu’à la fin de l’année dernière est tout de même due à la baisse de la vitesse qu’ils se détrompent : Les vitesses moyennes pratiquées sur les réseaux routiers français sont incroyablement stables depuis 2008 et s’établissent autour de 100,5 km/h sur voies rapides et de 79,5 km/h sur route.(Info issue de cet article, issu des chiffres de la SR pour 2013 : (http://www.liguedesconducteurs.org/securite/non-la-baisse-de-la-mortalite-routiere-nest-pas-le-resultat-de-la-repression-anti-vitesse)

De même, alors que les vitesses autorisées y sont plus élevées, le nombre de morts est proportionnellement bien inférieur en Allemagne et au Royaume-Uni qu’en France.

C’est pourquoi la Ligue de Défense des Conducteurs s’oppose à la baisse de la vitesse à 80 km/h sur route, ainsi qu’à son inutile “expérimentation”.

Une position partagée par un grand nombre de Français, comme en témoigne le succès de la pétition « Non à la baisse des limitations de vitesse » initiée par la Ligue de Défense des Conducteurs, qui recueille aujourd’hui près de 1,537 000 signatures certifiées par huissier.

« Pour vraiment diminuer le nombre de morts, l’Etat ferait mieux d’entretenir le réseau routier », souligne Christiane Bayard, rappelant que «  le facteur infrastructure est présent dans 40% des accidents mortels ».

Notre pétition : http://www.liguedesconducteurs.org/non_a_la_baisse_des_limitations_de_vitesse/

Notre page « Pourquoi il ne fait pas baisser la vitesse à 80 km/h :http://info.liguedesconducteurs.org/verite-80kmh/

logob

Communiqué novembre 2014

La ligue de Défense des conducteurs lance une pétition

contre la hausse des tarifs de stationnement à Paris.

Parisiens, Franciliens et tout automobiliste pouvant circuler dans les rues de la capitale sont appelés à se mobiliser.

 

Les conducteurs n’ont pas à boucler le budget de la Ville de Paris !

 

Le Conseil de Paris devrait valider à la mi-décembre une forte hausse du prix du stationnement à Paris ainsi qu’un durcissement des règles de stationnement (début de la gratuité à 20h et non plus 19h, fin de la gratuité le samedi et en août, forte hausse du tarif pour les résidents….)

La Mairie de Paris ne recule plus devant rien dans son acharnement contre les conducteurs. Elle projette désormais d’augmenter le prix du stationnement afin de combler le déficit des dotations de l’Etat. La Ligue de Défense des Conducteurs s’oppose fermement à ce projet qui stigmatise une nouvelle fois injustement les conducteurs.

Avec cette série de mesures, la Ville de Paris conforte sa volonté de chasser les conducteurs de la capitale, et les met injustement à contribution pour boucler son budget.

« La Mairie de Paris fait clairement les poches aux conducteurs, qui, au moindre centime manquant dans le budget, devront désormais payer » s’insurge Christiane Bayard, Secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs.

Fermeture des voies sur berge, diminution des places de stationnement en surface et désormais hausse du prix du stationnement : la Ligue de Défense des Conducteurs n’a de cesse de dénoncer la politique anti-voiture de la Mairie de Paris.

« Cette politique résolument autophobe, qui touche de plein fouet les familles mais aussi les commerçants, artisans et l’ensemble des acteurs économiques de la capitale, risque de plus d’impacter lourdement le dynamisme économique de la ville » ajoute Christiane Bayard.

La Ligue de Défense des Conducteurs condamne fermement ces mesures, et invite tous les conducteurs à se mobiliser en signant sa pétition en ligne « Non à l’augmentation des prix du stationnement » à l’adresse suivante :

http://info.liguedesconducteurs.org/petition-stationnement-paris/?gclid=COna2-yamMICFeLItAodXwoANg

conducteurs

 

logob

Communiqué novembre 2014

 

La dématérialisation de la contestation des PV cache …

l’instauration d’une nouvelle taxe

Sous couvert de simplification administrative, la possibilité pour les conducteurs de pouvoir contester un PV en ligne, qui vient d’être votée à l’Assemblée nationale, cache en fait une volonté d’instaurer des frais de dossier à la charge du conducteur. Un nouveau coup dur porté au droit de la défense du conducteur, auquel s’oppose la Ligue de Défense des Conducteurs.

Le 30 octobre dernier, le Parlement a voté le principe de la contestation des amendes par courrier électronique auprès de l’Agence Nationale de Traitement Automatisé (A.N.T.A.I.). La Ligue de Défense des Conducteurs salue cette simplification administrative, qui permettra désormais aux conducteurs d’éviter de d’effectuer leurs demandes de contestation par courrier recommandé. Mais cette avancée risque d’être anéantie par les réelles intentions de l’ANTAI qui, de longue date, projette de créer des ‘’frais de dossiers’’ pour chaque contestation dématérialisée.

En effet, dans le rapport Delahaye (1) sur l’ANTAI présenté le 16 octobre 2013 au Sénat, ce dernier prévient que si la contestation des PV était dématérialisée, des « frais de dossier », de l’ordre du prix d’une LRAR, pourraient être demandés, « officiellement de manière à couvrir les développements informatiques nécessaires à cette évolution ». Le rapporteur se réjouit même de ce qu’avec le volume actuel, de tels frais pourraient « aisément atteindre plusieurs millions d’euros » qui iraient dans les caisses de l’ANTAI plutôt que dans celles de la Poste. La menace est donc bien réelle d’autant plus que dans ce même rapport les activités de cette agence sont qualifiées de « véritable activité industrielle ».

« Si les intentions de l’A.N.T.A.I. de créer des frais de dossier électronique devaient se concrétiser, ce serait un coup bas de plus porté aux conducteurs et au droit de la défense» déclare Christiane Bayard, Secrétaire Générale de la Ligue de Défense des Conducteurs. « Contester est un droit, il serait inacceptable que les conducteurs se retrouvent dans l’obligation de payer ce droit » rajoute-elle.

La Ligue de Défense des Conducteurs s’oppose fermement à l’application de frais de dossier sur le droit de contester. Elle a adressé un courrier aux sénateurs qui doivent examiner le texte de loi, dans lequel l’association demande aux parlementaires de ne pas tomber dans le piège de l’argent facile sur le dos des conducteurs.

(1) http://www.senat.fr/rap/r13-082/r13-0820.html

http://www.liguedesconducteurs.org                                                                               

http://www.activroute.org/  

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