L’Institut culturel italien

L’Institut culturel italien

 

L’INSTITUT CULTUREL ITALIEN DE PARIS  EST ACCUEILLI DANS LE SIÈGE DE LA BIENNALE DE VENISE  POUR PRÉSENTER SON EXPOSITION PARISIENNE

 

L’INSTITUT CULTUREL ITALIEN DE PARIS  EST ACCUEILLI DANS LE SIÈGE DE LA BIENNALE   DE VENISE  POUR PRÉSENTER
« LES AILES RETROUVÉES DE L’HÔTEL DE GALLIFFET »  L’EXPOSITION D’ARCHITECTURE EN COURS À PARIS SUR LA RECONSTRUCTION DE L’HÔTEL DEL GALLIFFET 
Les Ailes retrouvées de l’Hotel de Galliffet © Juan Sepulveda

Le 14 juillet 2016, le Directeur générale de la DGSP du Ministero degli Affari Esteri (Direzione generale sistema paese) Vincenzo De Luca et la Directrice de l’Institut culturel italien de Paris Marina Valensise présenteront  à Venise, dans le  cadre de la Biennale Architettura 2016, « Les Ailes retrouvées de l’Hôtel de Galliffet », l’exposition  d’architecture en programme à Paris jusqu’au 30 décembre 2016. Cette exposition  présente neuf projets de reconstruction des deux ailes de l’hôtel particulier du XVIII, depuis 1909 propriété de l’Etat italien et aujourd’hui siège de l’Institut culturel italien et des délégations diplomatiques auprès des organismes internationaux. L’aile est, inachevée depuis les années 1950, accueillera des salles  de cours et des bureaux, tandis que l’aile sud, démolie dans les années 1960, parce qu’elle menaçait de s’écrouler, est destinée à devenir un lieu de résidences et d’échanges pour les promoteurs de l’excellence industrielle, artisanale et culturelle en visite à Paris.
Le projet  le plus intéressant, sélectionné par le jury formé de Massimo Alvisi, Luca Molinari et Carlo Olmo, sera proclamé à l’issue de la présentation. Le lauréat bénéficiera d’un séjour  d’un mois, du 1er au 30  novembre 2016,  à l’Institut culturel italien.
Cette exposition, dirigée par l’architecte Matilde Cassani, s’inscrit dans l’œuvre de valorisation du patrimoine historique, intensifiée pendant les quatre dernières années de direction de l’Institut par Marina Valensise, qui vise à illustrer l’innovation de l’architecture et du design italiens, et à témoigner de l’excellence de la culture contemporaine italienne.

 

NEUF AGENCES INVITÉES À PRESENTER LEUR PROJETS AVEC L’UNIVERSITÉ DE ROMA TRE  

L’exposition d’architecture expérimentale permet de mieux connaître la nouvelle architecture italienne, d’en valoriser les propositions alliant le neuf et l’ancien, quintessence de la tradition italienne, et pourra contribuer du moins en partie à l’autofinancement des activités de promotion de la culture.

Neuf agences d’architecture, sélectionnées par un comité d’experts formé de  Cino Zucchi, Jean-Louis Cohen, Margherita Guccione et Pippo Ciorra, exposent leurs projets.  Les propositions de baukuh, Diverserighe, Studio Errante, Sara Gangemi e Francesca Cesa Bianchi, Tomas Ghisellini, Margine, PioveneFabi, sTARTT e Tierstudio, constituent des solutions merveilleuses, tantôt utopiques et chargées de poésie, tantôt classiques et futuristes, tantôt ancrées dans le passé et audacieusement novatrices.
À celles-ci s’ajoute le projet de reconstruction à l’identique confié à l’Ecole de restauration du département d’architecture de l’Université Roma Tre, nouveau témoignage de l’originalité, de l’expertise technique et de la richesse de l’architecture italienne et de sa tradition.
Les Ailes retrouvées de l’Hotel de Galliffet © Juan Sepulveda

Les projets proposés ne se superposent pas du point de vue fonctionnel aux espaces utilisés par l’Institut culturel italien et par les délégations diplomatiques de l’Italie auprès des organismes internationaux. Les expansions de l’Hôtel de Galliffet     créent des espaces accessoires susceptibles de valoriser l’ensemble du complexe. Elles sont au service de la culture et de l’hospitalité et elles illustrent les devenirs possibles de l’Hôtel de Galliffet, tout en articulant de manière originale le thème proposé par l’invitation. En plus des dessins, des plans et des maquettes, l’exposition présentera, hors concours, le projet  de reconstruction philologique proposé par l’École de restauration de l’Université Roma Tre, dont les chercheurs Sara D’Abate et Giuliana Mosca, jeunes spécialistes de l’histoire de l’architecture et de la restauration, ont écrit la première monographie historique complète sur l’architecture et  les restaurations de l’Hôtel de Galliffet,  publiée par l’Institut culturel italien.

Le 14 juillet à Venise la présentation de l’exposition sera accueillie dans le siège de La Biennale de Venise, dans le cadre de la Biennale Architettura 2016. La Directrice de l’Institut culturel italien et le Directeur général de la Promotion du système pays, dévoileront  le nom de l’auteur du projet jugé que le jury d’excellence composé de Massimo Alvisi, Luca Molinari et Carlo Olmo aura jugé les plus intéressant. L’agence sélectionnée bénéficiera  d’un séjour à Paris du 1er au 30 novembre prochain, à l’Institut culturel italien dans le cadre des « Promesses de l’Art », le programme  de résidences d’artiste lancé en 2013 afin de  promouvoir en France les jeunes talents de l’art italiens, et faire mieux connaître la jeune création contemporaine.

« LES AILES PERDUES DE L’HOTEL DE GALLIFFET » 
Jusqu’au  30 décembre 2016Exposition d’architecture expérimentale sous la direction de Matilde Cassani
organisée par l’Institut culturel italien à Paris  Comité scientifique:
Jean-Louis Cohen, Cino Zucchi, Margherita Guccione, Pippo Ciorra.
Agences  d’architecture invitées :
baukuh, Diverserighe, Studio Errante, Sara Gangemi e Francesca Cesa Bianchi, Tomas Ghisellini Atelier di Architettura, Margine, PioveneFabi, sTARTT, Tierstudio et hors concours École de restauration – Département d’architecture, Université Roma Tre
Jury pour la sélection du projet le plus intéressant:
Massimo Alvisi, Luca Molinari e Carlo OlmoFrancesco Armitti, graphisme
Massimiliano Camaiti, photo et vidéo
Giuliana Mosca et Sara D’Abate, recherches historiques

En savoir plus

DATES À RETENIR

14 JUILLET 2016 – 17H30

Présentation de l’exposition dans le siège de La Biennale  di Venezia, au premier étage de Ca’Giustinian, dans le cadre de la Biennale Architettura 2016, par le Directeur général de la DGSP (Direzione generale per la promozione del sistema paese) du Ministero degli Affari Esteri, Vincenzo De Luca, et par la Directrice de l’Institut culturel italien à Paris, Marina Valensise.
Suivra la proclamation du projet considéré le plus intéressant par le jury composé de
Massimo Alvisi, Luca Molinari et Carlo Olmo.
La Biennale di Venezia
Ca’ Giustinian,
San Marco, 1364/A
30124 Venezia1-30 NOVEMBRE 2016
Résidence d’artiste de l’agence sélectionné auprès de l’Hôtel de Galliffet, dans de « Les Promesses de l’Art », programme de résidence d’artiste de l’Institut culturel italienInstitut culturel italien
50, rue de Varenne 75007 Paris
Entrée libre
Renseignements – Tel. +33 (0)1 44 39 49 39 Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi 10h – 13h / 15h – 18h
Metro : ligne 12 (Rue du Bac ou Sèvres-Babylone) – ligne 10 (Sèvres-Babylone) – ligne 13 (Varenne). Bus : 69, 70, 87, 84.
Vélib’ : boulevard Raspail – rue de Varenne ou cité Vaneau. Autolib’ : 9, boulevard Raspail ou 42 et 142, rue du Bac.

 

L’INSTITUT CULTUREL ITALIEN DE PARIS PRÉSENTE UNE EXPOSITION D’ARCHITECTURE POUR RETROUVER LES AILES PERDUES DE L’HÔTEL DE GALLIFFET

Du 13 juin au 30 décembre 2016, l’Institut culturel italien de Paris présente une exposition expérimentale de neuf projets architecturaux qui proposent une reconstitution des deux ailes perdues de l’Hôtel de Galliffet. Un comité scientifique international de haut vol sélectionnera le projet le plus intéressant qui sera ensuite présentée à la Biennale d’architecture de Venise le 14 juillet et qui permettra à son auteur de bénéficier d’une résidence à l’Institut en novembre 2016.
L’exposition souhaite ainsi valoriser l’architecture néoclassique de cet hôtel particulier, haut-lieu de la politique diplomatique européenne depuis la Révolution française et qui appartient à l’Etat italien depuis 1909. Elle tient également à présenter au public l’innovation et l’excellence de l’architecture et du design italien, qui redessinent sans cesse de nouvelles frontières. 

« LE ALI RITROVATE DE L’HOTEL DE GALLIFFET », UNE EXPOSITION EXPÉRIMENTALE 
Suite à un appel d’offre lancé en 2015, neuf jeunes agences d’architecture italiennes ont été invitées à proposer des projets de rénovation qui permettraient de redonner vie à deux ailes de cet hôtel particulier : l’aile Est, incomplète depuis 1950 et qui héberge aujourd’hui les salles des cours de langues, et l’aile Sud, démolie en 1960. Cette dernière, dite aile de Varenne, deviendrait « l’Hôtel d’Italie » : un pôle de production et de promotion du savoir faire italien, lieu de débats, de résidences et d’accueil pour tous les acteurs et les promoteurs de l’excellence italienne de passage en France.
Un comité scientifique international, composé de Pippo Ciorra, Jean-Louis Cohen, Margherita Guccione et Cino Zucchi, sélectionnera le projet le plus pertinent pour le présenter à la 15eBiennale d’architecture de Venise. L’agence retenue sera en résidence à l’Institut culturel italien pendant le mois de novembre, dans le cadre des « Promesses de l’Art ». Ce programme de résidence d’artiste a été lancé en 2013 pour promouvoir la jeune création italienne en France et partager une complicité artistique et humaine, tant avec les artistes qu’avec le public.
Les participants qui ont accepté de relever le défi devront proposer une reconstitution moderne d’un espace de 6 500 m2 à la hauteur de ce bâtiment de prestige et des nouvelles technologies de l’architecture italienne contemporaine, tout en respectant le style néo-classique. En plus des dessins, plans et maquettes, l’exposition présentera une monographie philologique portant sur l’histoire et l’architecture de l’Hôtel de Galliffet, réalisée par la Scuola di restauro de l’Université Roma 3, partenaire institutionnel de l’Institut depuis 2013. L’ouvrage sera signé par les chercheurs Giuliana Mosca et Sara D’Abate, jeunes spécialistes de l’histoire de l’architecture et de la restauration, artistes résidentes en août 2013.
L’HÔTEL DE GALLIFFET, MAISON DE L’ITALIE À PARIS DEPUIS 1909
Situé au cœur du faubourg Saint-Germain, l’Hôtel de Galliffet fut construit par l’architecte Étienne-François Legrand entre 1776 et 1792. Confisqué en 1792 par l’État, qui y installa le service des Relations extérieures, l’Hôtel fut d’abord la demeure du père d’Eugène Delacroix puis de Talleyrand, qui s’y établit le 15 juillet 1797 jusqu’au Congrès de Vienne. Ces salons furent le théâtre de nombreuses tractations diplomatiques menées dans le cadre de la politique extérieure de Napoléon ; ils accueillirent également d’illustres personnages tels que Madame de Staël, Chateaubriand ou Benjamin Constant.
En 1894, le gouvernement italien décida d’y installer son siège diplomatique en louant l’Hôtel de Galliffet, qu’il acheta définitivement le 22 mai 1909. En 1938, l’Ambassade fut transférée de l’autre côté de la rue et l’Hôtel devint alors le siège du Consulat général d’Italie et, à partir de 1962, de l’Institut culturel italien et de la Délégation italienne auprès de l’OCDE. Créé en application de l’Accord culturel franco-italien, l’Institut culturel italien relève du ministère italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, jouissant ainsi d’une autonomie opérationnelle. Il a pour but de promouvoir, soutenir et développer, dans les domaines culturel et linguistique, les rapports entre l’Italie et la France. Lieu de nombreuses rencontres, de débats et de manifestations culturelles, l’Hôtel de Galliffet abrite également une bibliothèque-médiathèque de 50 000 ouvrages, un bureau d’informations pédagogiques et culturelles ainsi qu’une école de langue italienne.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES

« LE ALI RITROVATE DELL’HOTEL DE GALLIFFET » 
Du 13 juin au 30 décembre 2016

Projet réalisé par l’Institut culturel italien de Paris en collaboration avec :
Matilde Cassani, commissaire de l’exposition
Francesco Armiti, graphisme
Massimiliano Camaiti, photo et vidéo
Giuliana Mosca et Sara D’Abate, recherche et réalisation du catalogue d’exposition illustré

Le comité scientifique est composé de :
Pippo Ciorra, Jean-Louis Cohen, Margherita Guccione, Cino Zucchi

DATES À RETENIR
26 MAI 2016
Inauguration de l’exposition et présentation du catalogue de l’exposition Le ali ritrovate dell’Hotel de Galliffet

14 JUILLET 2016 – 13H30
Proclamation du projet retenu pour la 15e Biennale d’architecture de Venise

NOVEMBRE 2016
Début de la résidence artistique à l’Institut culturel Italien de Paris pour l’agence sélectionnée, dans le cadre du programme « Les Promesses de l’Art »

Institut culturel italien
50, rue de Varenne 75007 Paris

Tel. +33 (0)1 44 39 49 39
Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi 10h – 13h / 15h – 18h
Metro : ligne 12 (Rue du Bac ou Sèvres-Babylone) – ligne 10 (Sèvres-Babylone) – ligne 13 (Varenne). Bus : 69, 70, 87, 84.
Vélib’ : boulevard Raspail – rue de Varenne ou cité Vaneau.

Autolib’ : boulevard Raspail ou 42 et 142, rue du Bac.

Bonjour,
l’Institut culturel italien organise tout au long de l’année des rencontres littéraires gratuites reflétant l’actualité de l’édition italienne et française. Aidez-nous à le faire savoir au plus grand nombre de lecteurs possible. Faites-nous part de votre désir d’être tenus au courant de notre programmation littéraire.
Vous trouverez en pièce jointe, le calendrier de nos prochaines rencontres consacrées à Tomasi di Lampedusa, la ville de Rome, le polar italien, Nietzsche et Jorge Amado.
Bonne lecture,
bien cordialement,
Irene Marta

RENCONTRES LITTERAIRES – AVRIL 2014

Cycle Dialogue d’auteur / rencontre
mercredi 2 avril à 18h30
Stéphane Audeguy et Elisabetta Rasy. Rome entre mythe et réalité
Deux romanciers proches dans leur sensibilité, complices dans le regard qu’ils portent sur le
monde, attentifs à saisir les réverbérations de l’histoire à travers le rêve et la nostalgie, dialoguent
sur l’une des villes les plus mélancoliques du monde, à l’occasion de la traduction française d’Un
hiver à Rome (Éditions du Seuil) et Figures de la mélancolie (Pagine d’arte), les derniers livres
d’Elisabetta Rasy.
Stéphane Audeguy, réalisateur et professeur d’histoire du cinéma, ancien pensionnaire de la Villa
Médicis, a reçu le prix Maurice Genevoix de l’Académie française pour son premier roman, La
théorie des nuages (2005), et le prix Deux-Magots pour son deuxième roman, Fils unique,
l’histoire de François Rousseau, le frère de Jean-Jacques. Son dernier livre, Rom@, paru chez
Gallimard, est un roman d’histoire et d’amour donnant la parole à la ville éternelle.
Elisabetta Rasy, essayiste et écrivain, a débuté dans la fiction en 1985 avec La prima estasi.
Depuis, tous ses romans ont été traduits en français et ont remporté plusieurs prix en Italie.

Cycle Dialogue d’auteur / rencontre
vendredi 4 avril à 19h
Patrizia Debicke van der Noot et Riccardo Perissich. Les voies infinies du polar
Patrizia Debicke van der Noot, Prix Europe de la littérature noire, après une carrière dans les
relations publiques financières et analyses de marché, est devenue l’auteur à succès d’une série
de polars et de romans historiques d’aventures (Una foto del passato, 2003 ; L’oro dei Medici,
2007 ; La gemma del cardinale, 2008, La sentinella del Papa, 2012). Nous l’avons invitée à
dialoguer avec Riccardo Perissich, ancien fonctionnaire de la Commission européenne avec un
passé dans l’industrie, qui s’est découvert lui aussi écrivain sur le tard, grâce à son éditeur
Stefano Mauri, et ne cesse depuis de produire des best-sellers. Son dernier livre, Il seminatore,
publié chez Longanesi, est un roman policier autour d’une série d’attentats de nature religieuse
qui mène un officier des services secrets français à une enquête serrée et l’entraîne dans une
course contre la montre pleine de surprises insidieuses.

littérature / histoire / présentation / rencontre
lundi 7 avril à 19h
Tomasi di Lampedusa, le Guépard et son héritage
Le fils adoptif de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, Gioacchino Lanza Tomasi, musicologue et
historien, présente la réédition des Nouvelles du grand écrivain sicilien, parue aux Éditions du
Seuil. Il évoque la figure de Tomasi di Lampedusa, son œuvre et sa vie, à travers la biographie en
images qu’il lui a consacrée (Una biografia per immagini, Sellerio 1998 et I luoghi del Gattopardo,
Sellerio 2001) et qui vient d’être rééditée en anglais chez Alma Books avec la préface de David
Gilmour. Benedetta Craveri, essayiste et spécialiste de la civilisation littéraire française, nous
parle de la saga familiale héroïque et implacable du baron von Grabhau, à travers Le cinquième
exil, l’un des derniers romans écrits par Boris Biancheri, grand diplomate et neveu de l’écrivain
sicilien (fils de la sœur de la baronne Alexandra Wolff von Stomersee, femme de Lampedusa)
publié en français chez Pierre-Guillaume de Roux. Cycle I Magni

fici Dodici / rencontre
mercredi 9 avril à 18h30
Les trois missions de Nietzsche
Traducteur, essayiste, écrivain, Sossio Giametta est l’un des grands connaisseurs de la
philosophie contemporaine et de l’œuvre de Friedrich Nietzsche en particulier. Il nous présente,
ce soir, les trois aiguillons qui furent ceux du philosophe allemand : la crise de la philosophie, la
crise de la civilisation et la crise de la religion, à la fin du XIXe siècle.
Traducteur de ses oeuvres ainsi que de celles de Schopenhauer, Spinoza, Hegel, Goethe, Stirner
et Freud, Giametta a été le collaborateur de Giorgio Colli et Mazzino Montinari, les philologues qui
ont édité les oeuvres complètes de Nietzsche parues en français chez Gallimard. Auteur de huit
volumes d’études interprétatives, il est en train de publier Cortocircuiti, réédition de Il volo di Icaro,
qui constitue le dernier volume de sa trilogie sur le système de L’Essentialisme, Summa
atheologica (Mursia), longue méditation, sous forme d’interview, sur et avec ses maîtres à penser.

littérature / projection documentaire / rencontre
jeudi 24 avril à 19h
Un regard italien sur le Brésil :
Réalité et Magie de Jorge Amado [Italie 2012 – 46’ vostf]
Nous présentons en avant-première française le premier documentaire européen consacré à la
vie et à l’œuvre du grand écrivain brésilien célèbre pour la richesse foisonnante de sa littérature et
pour la générosité de son attachement à la communauté des «misérables joyeux » de Salvador
de Bahia. Il a été produit en 2012 par Rai Teche pour célébrer le centenaire de la naissance de
l’écrivain à la demande de la directrice de la Fondation Casa de Jorge Amado à Salvador de
Bahia. Il s’agit d’un reportage réalisé sur le mode du Found footage, qui rassemble des matériaux
différents pour les réinventer dans le style du documentaire d’auteur. Il est né de la collaboration
avec Antonella Rita Roscilli, journaliste et biographe de Zélia Gattai, pasionaria au grand cœur
d’origine italienne et femme de l’écrivain.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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