Louis Arlette

Louis Arlette

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Louis Arlette
1er EP

Sortie le 14/09/2016

Le Bruit Blanc / WAGRAM
Mixé par Stéphane “Alf” Briat
Masterisé par Chab
En concert le 14/09 chez Madame Arthur
Louis Arlette sort son premier maxi emmené par le clip de Jeux D’Or. Mettant à profit son expérience acquise durant de longues années en studio et sur scène au contact de groupes cultes, et avec AIR en particulier, Louis Arlette exprime sur son premier EP son talent de mélodiste et de poète.
Passionné depuis l’enfance de littérature et d’écriture, il se met à nu dans ses textes dont la force et la musicalité sont magnifiées par le chant et la richesse sonore d’une  orchestration étonnante : en plus du violon et des claviers, Louis Arlette fait appel à une panoplie d’instruments et d’outils singuliers : le Waterphone, le Glassharmonica, le Fender Rhodes ou le magnéto à bandes. Cette fusion unique entre pop, musique électroacoustique et chanson française, nous emporte dans une atmosphère étrange et singulière, sombre et éclatante, tourmentée et qui sait apaisée.
La pop de Louis est un mélange de deux mondes, celui d’un savoir-faire vintage : il s’accompagne d’un matériel d’époque, un authentique Rhodes de 1979, mais définitivement ancré aussi dans son époque par ces habillages électroniques qu’il envoie entre deux phrases.
Des bidouillages qui éclairent ces chansons d’une lueur sombre mais profondément éblouissante. “J’aimerais surtout réussir à réunir divers univers dans ma chanson française, rassembler les références culturelles littéraires ou musicales mais également expérimentales qui m’ont marqué. Proposer une chanson française différente car personnifiée.”  A découvrir en regardant le clip de Jeux d’Or :
Pour regarder et diffuser le clip de Jeux D’Or
30 ans à peine, mais déjà une bonne dizaine d’années au service de la musique. Voire plus, car Louis est d’abord un musicien. Après des années passées au Conservatoire, section violon et piano, à 17 ans, il intègre un orchestre qui désire constituer un répertoire allant des grands compositeurs classiques à la musique issue des folklores du Caucase.
« C’était une expérience géniale, mais je n’aurais pas pu devenir un musicien classique. J’étais attiré par trop de choses différentes… » Etudiant à la faculté de Paris 8 en musicologie, la découverte de la création électro-acoustique sera révélatrice, Louis commence à se monter son propre studio d’enregistrement. Il a 18 ans. « J’aime quand la musique t’entoure, qu’elle te fait face, mais aussi quand elle surgit dans ton dos… Je commence alors à me poser de nombreuses questions sur la musique d’aujourd’hui, sur son cheminement, mais aussi sur la manière de la transcender lorsqu’on l’enregistre. »
Louis s’inscrit dans une école d’ingénieur du son, la SAE. Au bout de six mois, le Directeur contacté par l’agent du groupe Air à la recherche du meilleur élève de sa promotion lui propose un stage. « Au début j’étais l’assistant, sur les sessions de Love 2 tout d’abord, puis j’ai mixé le suivant Le Voyage Dans La Lune. Dix ans plus tard, Louis accompagne toujours Nicolas Godin et a mixé récemment son disque solo sorti l’année dernière.
“Entre temps, j’ai aussi travaillé sur de nombreuses publicités avec Jean-Paul Goude, pour Chanel, Kenzo, H&M, plusieurs défilés de mode… Soit avec eux, soit de mon côté en tant qu’ingénieur du son ou réalisateur. Mes meilleurs souvenirs restants ce concert hommage au Velvet Underground avec Nigel Godrich, les Hot Rats (groupe de Gaz Coombes et Danny Goffey) et Feist où j’ai joué du violon sur scène, et une séance en studio avec Thom Yorke et Nigel Godrich…».
La pop de Louis est un mélange de deux mondes, celui d’un savoir-faire vintage, il s’accompagne d’un matériel d’époque, un authentique Rhodes de 1979, mais définitivement ancré dans son époque par ces habillages électronique qu’il envoie entre deux phrases. Des bidouillages qui éclairent ces chansons d’une lueur sombre mais profondément éblouissante. « Mes goûts musicaux sont partagées entre Nine Inch Nails et Radiohead, Einstürzende Neubauten ou Throbbing Gristle, sans oublier Alain Chamfort ou Noir Désir… » Le nom de Bertrand Burgalat s’invite alors dans la conversation, ainé de Louis sa démarche esthétique présente de nombreux points communs.
« J’aimerais surtout réussir à réunir ces univers dans ma chanson française, rassembler les références culturelles littéraires ou musicales mais également expérimentales qui m’ont marqué. Proposer une chanson française différente car personnifiée. Je pense qu’on peut encore aller très très loin, car ce n’est pas parce que l’on ose des expérimentations sonores qu’on va oublier notre identité littéraire. Il ne faut pas oublier que les anglo-saxons enregistrent souvent en France, ils viennent chez nous pour cette particularité. A nous de leur montrer qu’ils ont raison de nous envier… » Un dernier nom sonne comme une évidence, un modèle, celui de Christophe. Louis est prêt pour le grand saut.
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