MAIRIE DE PARIS Infos

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Communiqué de presse – Vendredi  

 

Cinéma : Paris attire de plus

en plus de tournages

 

 

Alors que Cannes va souffler les 72 bougies de son prestigieux festival, Paris, ville lumière, conforte sa place de capitale mondiale du cinéma. Elle a accueilli plus de 1000 tournages en 2018, un chiffre en hausse de 12% en seulement deux ans.

 

 

Avec 1062 tournages accueillis en 2018, représentant 4095 jours de tournage, Paris maintient son attractivité dans le domaine du 7e art et conforte l’augmentation constatée ces dernières années. A titre de comparaison, Paris avait accueilli 885 tournages en 2016, représentant 2 970 jours de tournages.

 

Ces chiffres et ces tendances reflètent parfaitement les grandes évolutions du paysage audiovisuel avec une très forte demande de contenus tant dans le domaine cinématographique que dans le domaine audiovisuel avec en particulier le développement exponentiel des séries.

 

Parmi les 109 productions et metteurs en scène de  longs métrages, on peut notamment citer DEUX MOI de Cédric KLAPISCH, NOTRE DAME de Valérie DONZELLI, La Daronne de Jean Paul SALOME, HORS NORMES, de Eric TOLEDANO et Olivier NAKACHE, Le Dindon de Jalil LESPERT, It Must Be Heaven de Elia SOULEIMAN, L’homme Fidèle de Louis GARREL ou encore LA LUTTE DES CLASSES de Michel LECLERC…

 

En termes de fictions et de séries, Paris a accueilli 76 productions : ALICE NEVERS, CAN’T BUY ME LOVE, CLEM, DIX POUR CENT S3, ENGRENAGES S7, LE BUREAU DES LÉGENDES S4, MUNCH  SAISON 2, OSMOSIS, PHILHARMONIA, PROFILAGE, UNE FAMILLE FORMIDABLE, VERNON SUBUTEX…

Paris a attiré 170 projets internationaux, dont 16 longs métrages : LA VÉRITÉ (…) de Hirokazu KORE-EDA / Japon, HAUTE SOCIETE de Byun HYUK, etc.

 

Anne Hidalgo la Maire de Paris remercie tous les professionnels du cinéma qui ont choisi Paris et félicite tout particulièrement les équipes sélectionnées au Festival de Cannes 2019 :

 

SÉLECTION OFFICIELLE :

– IT MUST BE HEAVEN de Elia Suleiman

– LA BELLE EPOQUE de Nicolas Bedos

– SYBIL de Justine Triet

– L’HEURE DE L’OURS d’Agnès Patron, court métrage soutenu par le fonds d’aide de la Ville de Paris

UN CERTAIN REGARD :

– CHAMBRE 212 de Christophe Honoré

QUINZAINE DES RÉALISATEURS :

– YVES  de Benoît Forgeard

– LES EXTRAORDINAIRES MÉSAVENTURES DE LA JEUNE FILLE DE PIERRE de Gabriel Abrantes, court métrage soutenu par le fonds d’aide de la Ville de Paris

ACIDVIF-ARGENT de Stéphane Batut

 

Prolongation de l’exposition
« Pompiers de Paris – Notre mission : Sauver » 

L’exposition « Pompiers de Paris – Notre mission : Sauver », présentée depuis le 4 mars 2017 à l’Hôtel de Ville, est prolongée jusqu’au 27 mai 2017. Elle fait découvrir au public l’univers de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, corps militaire d’exception, et ses évolutions.

L’exposition « Pompiers de Paris – Notre mission : Sauver », rencontre un grand succès avec plus de 20.000 visiteurs depuis le 4 mars. Pour permettre au plus grand nombre de découvrir l’univers de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, grâce aux nombreuses photographies, documents, archives, objets, audiovisuels et matériels d’intervention, Anne Hidalgo a souhaité prolonger l’exposition jusqu’au 27 mai 2017.

Un corps historique qui se réinvente

C’est Napoléon Ier qui, à la suite d’un bal qui a failli lui coûter la vie, décide de professionnaliser la lutte contre le feu. Par décret impérial en 1811, il confie cette mission à un corps militaire : le Bataillon de sapeurs-pompiers de Paris. À la fin du XIXe siècle, le Régiment entre dans une ère nouvelle de développement technique : premières grandes échelles, conception d’engins, avertisseurs publics dans les rues, développement du réseau de transmissions et de téléphonie, implantation de postes centraux, construction de casernes… Accompagnant l’histoire de Paris depuis plus de deux cents ans, ce corps d’élite unanimement reconnu intervient dans un des espaces urbains les plus contraignants au monde en s’adaptant avec souplesse, réactivité et innovation à tous les défis qui se présentent.

Un périmètre d’intervention toujours plus large

Dès le 1er mars 1967, la mission de secours d’urgence et de défense contre les incendies est étendue à la petite couronne (Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne, Hauts-de-Seine). De Paris à la banlieue, puis à la métropole du Grand Paris, les interventions en zone urbaine se font dans des espaces de plus en plus contraints : immeubles toujours plus hauts, transports toujours plus denses. De la protection des sites stratégiques, telle que la base de lancement en Guyane ou le site d’expérimentation des missiles à Biscarosse, aux actions menées à l’étranger, notamment en renfort des actions civiles et militaires des forces armées ou dans les missions de coopération, la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris a élargi ses actions bien au-delà du territoire parisien.

L’émergence du pompier de mégapole

Du secours aux personnes à la protection des biens et forts des deux conflits mondiaux, les missions des sapeurs-pompiers ont bien évolué. Dès 1965, les médecins sapeurs-pompiers accompagnent la mise en place du SAMU et sont au premier plan dans le domaine de la médicalisation pré-hospitalière sur le terrain. L’augmentation du nombre d’interventions liée notamment à la dissolution de Police-Secours en 1985 motive une réorganisation opérationnelle, humaine et technique se traduisant par l’implantation de centres de secours modernes et le développement d’engins polyvalents. De nouveaux enjeux, urbains, technologiques ou naturels, dans un contexte de menace terroriste durable viennent également complexifier le champ d’action des sapeurs-pompiers de Paris.

La Brigade de sapeurs-pompiers de Paris a connu de nombreux changements : son aire de compétence et d’intervention, ses équipements comme son organisation. À travers cette exposition, le visiteur est amené à découvrir ces évolutions qui ont nécessité une force d’adaptation, tout en observant la rigueur, la discipline et le dévouement qui caractérisent ce corps militaire exceptionnel.

Un parcours jeune public est aussi proposé, accompagné d’un questionnaire consultable sur http://www.pompiersparis.fr/fr/news/actualites/ta-mission-decouvrir

Infos pratiques :
Du 4 mars au 27 mai 2017, salle des Prévôts-Tapisseries, Hôtel de Ville (4e)
Exposition gratuite, ouverte du lundi au samedi (hors jours fériés et Conseil de Paris) de 10h à 18h30 (dernière entrée à 17h30)

Anne Hidalgo inaugurera vendredi, aux côté de Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire, et de Catherine Vieu-Charier, l’exposition « Le gouvernement des Parisiens », qui revient sur l’Histoire, les luttes et les échanges riches et passionnés entre la capitale et l’État. 

À partir de samedi, les Parisiens et visiteurs sont invités à découvrir à l’Hôtel de Ville l’exposition gratuite « Le gouvernement des Parisiens ». Initiée par Anne Hidalgo à l’occasion du vote de la réforme du statut de Paris, intervenu en février dernier, cette exposition retrace l’histoire des liens entre la capitale et l’État.
Alors que toutes les villes de France ont un Maire depuis 1790, ce n’est que depuis 1977 que Paris en compte un. Cette singularité, à laquelle s’ajoutent beaucoup d’autres, s’explique par le statut particulier de la capitale, qui a incité le pouvoir central, monarchique puis républicain, à contrôler étroitement la ville où il s’est établi. Cette cohabitation de l’État, du pouvoir municipal et des Parisiens dans l’espace urbain a donné lieu au fil des siècles à des interactions, des tensions et des compromis.
Après un rappel de la genèse du pouvoir municipal et des lieux investis par la communauté des Parisiens pour gérer la vie collective, l’exposition montre comment la municipalité et l’État ont collaboré ou se sont concurrencés, pour la gestion de l’ordre public, des ordures ou encore de l’approvisionnement en eau potable. Le gouvernement de Paris a aussi été pris en charge par les Parisiens pour l’organisation du travail ou l’assistance. La ville, écrin du pouvoir et vitrine du bon gouvernement, a aussi imposée ses contraintes à l’État, qui a peiné à en modifier la forme et est souvent resté à la portée des revendications des Parisiens mécontents.
Rassemblant près de 300 œuvres majeures, cette exposition particulièrement documentée et variée permettra au public de découvrir l’Histoire de Paris sous un angle inédit.
L’exposition sera ouverte au public du 22 avril au 22 juillet 2017, salle Saint-Jean à l’Hôtel de Ville de Paris. L’accès sera gratuit.
Les visuels libres de droits sont signalés dans le dossier de presse de l’exposition. L’utilisation des images de presse est réservée aux journalistes. Elles doivent obligatoirement être accompagnées de la mention des crédits.
 La reproduction de 3 photographies de la sélection est autorisée à titre gracieux jusqu’au format 1/4 de page hors couverture pour toute utilisation éditoriale portant sur l’exposition « Le gouvernement des Parisiens » et pour sa durée.
Le recadrage de ces photographies n’est pas autorisé. L’archivage des photographies au-delà de la durée de l’exposition ou leur réutilisation dans un autre cadre sont interdits.
Personnalités présentes :
-Anne Hidalgo, Maire de Paris
-Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire en charge de la culture et du patrimoine
-Catherine Vieu-Charier, adjointe à la Maire de Paris en charge de la mémoire, du monde combattant et Correspondant Défense
-Nicolas Lyon-Caen, commissaire de l’exposition
-Boris Bove, commissaire de l’exposition
-Quentin Deluermoz, commissaire de l’exposition
-Pascal Rodriguez, scénographe de l’exposition
Tourisme : Paris renoue avec les records de fréquentation

Anne Hidalgo et son adjoint Jean-François Martins saluent la reprise de la fréquentation touristique et des réservations aériennes, à un niveau record comparable à celui de 2014. Ce résultat traduit la réussite du plan de relance du tourisme impulsé il y a un an par Paris, l’Etat et les professionnels.

L’Office du tourisme et des congrès de Paris (OTCP) a constaté une reprise importante de la fréquentation touristique et des réservations aériennes vers la capitale fin 2016, à un niveau record comparable à celui de fin 2014, c’est-à-dire avant la baisse due aux attentats de 2015.

Selon les chiffres de l’OTCP dévoilés mardi, les arrivées hôtelières en décembre 2016 ont augmenté de 19,5%, en comparaison de décembre 2015. Paris est redevenue particulièrement attractive pour les touristes français mais aussi étrangers. L’OTCP constate par exemple une nette hausse des arrivées en provenance du Proche et Moyen-Orient (+47,9 % par rapport à 2015), de Chine (+40,8%), d’Afrique (+26,2%) ou encore des Etats-Unis (+24,7%). Il en est de même pour les visiteurs européens, avec +36,5% de touristes allemands, +30,5% de touristes espagnols et belges et +19,5% de touristes italiens.

« Ces chiffres démontrent que le plan de relance touristique et les investissements importants impulsés par Paris et les professionnels du secteur ont produit leurs résultats », souligne Anne Hidalgo, qui avait fait de ce sujet l’une de ses priorités depuis deux ans. « C’est une excellente nouvelle pour l’image de Paris à travers le monde et pour la vitalité économique de l’Ile-de-France, car cela va permettre de sauvegarder et de créer des emplois », ajoute-t-elle.

Pour son adjoint Jean-François Martins, « c’est la preuve que les 2,6M€ consacrés par Paris à des campagnes de promotion, en 2016 et en 2017, ont été investis utilement ». « Nous saluons aussi le rôle de l’Etat, en particulier du ministère des affaires étrangères, qui s’est impliqué fortement à nos côtés. Cette mobilisation collective a été déterminante », explique-t-il.

Les chiffres sont également très positifs pour le début de l’année 2017. Les arrivées hôtelières étaient en hausse de 8,4% dans le Grand Paris en janvier 2017 par rapport à janvier 2016, tandis que les arrivées aériennes internationales à Paris progressent de 11,1% pour le trimestre en cours par rapport au premier trimestre 2016.

« Ce sont des signaux encourageants. Nous allons à présent poursuivre notre mobilisation afin que cette tendance se confirme dans les mois à venir. Le deuxième volet du plan de relance du tourisme se déploiera tout au long de l’année », ajoute Jean-François Martins.

Capitale du 7ème art, Paris accueille
le tournage de Mission Impossible – 6

Avec l’accueil ces prochaines semaines du tournage de « Mission Impossible – 6 », Paris démontre une fois de plus son attractivité mondiale pour les amoureux du 7ème art.

Le tournage de « Mission Impossible – 6 » à Paris confirme l’attractivité mondiale de la capitale pour les amoureux du 7ème art, et contribue à la hausse de 15% du secteur pour le premier trimestre 2017. En effet, avec plus de 35 long métrages et plus d’une quinzaine de séries tournées sur les trois premiers mois, l’année 2017 démarre de façon très dynamique, l’année 2016 ayant déjà été marquée par une hausse de 30% par rapport à 2015, avec 118 films et 1373 jours de tournage.

Produit par Paramount et réalisé par Christopher McQuarrie avec Tom Cruise dans le rôle principal, ce film d’action permettra la mise en valeur de la richesse du patrimoine parisien et contribuera à son rayonnement dans le monde entier.

La Ville de Paris se félicite des retombées économiques importantes du tournage : 35 jours de tournage permettront l’embauche de plus de 300 techniciens français, d’importantes dépenses d’hébergement pour les équipes techniques et artistiques venues des États-Unis et d’Angleterre, et un surcroît d’activité pour les prestataires techniques de la filière cinématographique (loueurs de matériel, effets spéciaux). Environ 25 millions d’euros seront ainsi dépensés sur le territoire parisien. La Ville de Paris travaille par ailleurs de façon coordonnée avec la production afin que le tournage s’organise au mieux et que l’impact pour les riverains et usagers soit le plus léger possible.

L’accueil de ce tournage est l’illustration de l’efficacité de la combinaison des mécanismes nationaux d’attractivité (crédit d’impôt international) et du volontarisme de la politique de la Mairie de Paris. En novembre dernier, Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris en charge de la culture, avait notamment dévoilé une série de mesures modernisant et simplifiant l’accueil des tournages à Paris.

Paris présente l’exposition
 « Le gouvernement des Parisiens »

Du 22 avril au 22 juillet 2017, la Mairie de Paris propose à l’Hôtel de Ville l’exposition gratuite « Le gouvernement des Parisiens ». Près de 300 œuvres majeures, tableaux, sculptures, gravures, manuscrits, sceaux et photographies… pour découvrir et revivre l’histoire, les luttes, et les échanges riches et passionnés entre la capitale et l’État.

1977-2017 : voilà à peine 40 ans que Paris a un Maire unique, alors que toutes les villes de France en ont un depuis 1790. Cette singularité s’explique par le statut de capitale de Paris, qui incite le pouvoir central, monarchique puis républicain, à contrôler étroitement la ville où il s’est établi. Pour autant, l’administration directe de la ville par l’État n’est pas le régime normal de Paris entre le XIIe et le XXe siècle. En effet, le pouvoir octroie rapidement une municipalité aux Parisiens, qui s’organisent aussi en de multiples associations pour gérer leur vie collective. Cette cohabitation de l’État et des Parisiens dans l’espace urbain, normalement pacifique, donne parfois lieu à des tensions, d’Étienne Marcel à Mai 1968, en passant par la Fronde, la Révolution ou la Commune. Cette exposition dévoile ces interactions, tensions et compromis afin de faire découvrir aux visiteurs l’histoire de Paris sous un angle inédit.
Le gouvernement de Paris se joue à trois niveaux : l’Hôtel de Ville et l’État se superposent progressivement à un dense réseau de seigneuries et d’associations professionnelles ou religieuses tenues par des notables qui organisent la vie des Parisiens au niveau le plus local. Ces trois strates se mêlent en permanence dans l’administration de la ville, coopèrent souvent, se heurtent parfois. Durant l’Ancien Régime, l’État s’appuie sur les élites pour administrer Paris, leur offrant en retour honneur, richesse et carrières. Si le peuple se révolte à l’occasion, l’alliance entre les Parisiens et la monarchie reste stable. La situation change au XIXe siècle, siècle des révolutions durant lequel les Parisiens usent de leur capacité à interférer dans la politique générale du pays pour faire et défaire les régimes. C’est ce qui explique que les régimes républicains conservent le statut d’exception conféré à la ville par Louis XIV. La normalisation de la gestion de Paris intervient très tard, en 1977.

Après un rappel de la genèse du pouvoir municipal et des lieux investis par la communauté des Parisiens pour gérer la vie collective sur la longue durée, du XIIe au XXe siècle, l’exposition montre comment la municipalité et l’État collaborent ou se concurrencent pour la gestion de l’ordre public, des ordures ou l’approvisionnement en eau potable. Mais le gouvernement de Paris ne relève pas que de la municipalité ou de l’État ; il est aussi pris en charge par les Parisiens eux-mêmes pour l’organisation du travail ou l’assistance, le plus souvent indépendamment de ces tutelles. Par ailleurs, la présence de l’État dans la ville n’est pas sans effets : elle marque l’identité des Parisiens comme le paysage urbain. Mais la ville, écrin du pouvoir et vitrine du bon gouvernement, impose aussi ses contraintes à l’État, qui peine à en modifier la forme et reste à la portée des revendications des Parisiens mécontents.
Particulièrement documentée et variée, l’exposition rassemble tableaux, sculptures, gravures, manuscrits, affiches, sceaux et photographies… Au total, près de 300 œuvres issues des collections des musées du Louvre, d’Orsay, de Carnavalet, du Petit Palais et des Archives nationales. Une manière vivante et originale pour spécialistes ou curieux de comprendre l’histoire, les luttes, arrangements et redéfinitions de la ville et de l’État qui font de Paris une capitale en constante adaptation.
Informations pratiques
Du 22 avril au 22 juillet 2017, salle Saint-Jean, Hôtel de Ville.
10h-18h30
Exposition gratuite.
Accès : 5, rue de Lobau – Paris 4e

Anne Hidalgo et Bernard Arnault annoncent
la création de « La Maison LVMH / Arts – Talents – Patrimoine »
Anne Hidalgo, Maire de Paris, et Bernard Arnault, Président-directeur général de LVMH, ont annoncé mercredi la création d’une nouvelle grande institution culturelle à Paris, au rayonnement international, en présence de François Hollande, Président de la République. Située dans l’ancien Musée des Arts et Traditions Populaires (16e), elle sera dédiée aux artistes, au spectacle vivant et aux métiers d’art et d’artisanat.

Inauguré en 1975, l’ancien Musée des Arts et Traditions Populaires a fermé au public en 2005 et a vu ses collections transférées au MUCEM en 2013. Le Ministère de la Culture s’est depuis engagé à restituer ce bâtiment à la Ville de Paris, qui en a la propriété.

Attachée à cet ensemble architectural, œuvre de l’architecte Jean Dubuisson, Prix de Rome et élève de Le Corbusier, la Ville de Paris a manifesté le souhait que ce lieu soit rénové et retrouve pleinement sa vocation culturelle. Mais les travaux nécessaires s’avéraient lourds, complexes et coûteux.

Un lieu dédié aux spectacles, expositions, métiers d’art et à l’artisanat

Bernard Arnault a proposé un projet ambitieux, tant sur le plan architectural qu’en termes de programmation, et appuyé sur une relecture architecturale imaginée par l’architecte de renommée mondiale Frank Gehry, prix Pritzker 1989, qui a créé la Fondation Louis Vuitton, conduit en lien étroit avec les héritiers de Jean Dubuisson. Il consiste à faire de ce lieu « LA MAISON LVMH / Arts – Talents – Patrimoine » dédiée à la création artistique, au spectacle vivant ainsi qu’aux métiers d’art et aux savoir-faire artisanaux qui sont au cœur du patrimoine parisien et français. Ce patrimoine rénové et renouvelé deviendra aussi exemplaire sur le plan environnemental.

Une programmation et des activités grand public

Après une phase de travaux d’une durée de 2 à 3 ans, « LA MAISON LVMH / Arts – Talents – Patrimoine » sera ouverte au public. Elle accueillera une programmation et des activités grand public et diversifiées, autour de deux espaces qui permettront d’accueillir des expositions, des concerts et des spectacles, mais aussi des ateliers d’artistes, un centre de documentation et un restaurant panoramique.

 

La Ville de Paris et LVMH souhaitent que cette institution soit tout particulièrement tournée vers les publics scolaires et les jeunes des quartiers populaires, afin de leur faire découvrir ces métiers et la nécessité de pérenniser et de diffuser ces savoir-faire de haute qualité, avec le support de l’Institut des Métiers d’Excellence LVMH.

Le projet sera soumis le 27 mars au Conseil de Paris

Ce projet doit se concrétiser sous la forme d’une convention d’occupation du domaine public, qui sera soumise au Conseil de Paris le 27 mars prochain. D’une durée de 50 ans à compter de l’ouverture au public, elle prévoit une redevance fixe de 150.000 € par an versée par LVMH à la Ville de Paris, ainsi qu’une redevance variable sur le chiffre d’affaires, de 2 à 10% selon la nature des activités et leur volume. À l’issue de la convention, le bâtiment restera propriété de la collectivité parisienne.

Il devra également obtenir l’avis favorable de la Commission des sites et de la Ministre de l’Environnement, conformément à la réglementation en vigueur pour le site classé du Bois de Boulogne. Ces étapes franchies et les travaux réalisés, « LA MAISON LVMH / Arts – Talents – Patrimoine » devrait ouvrir à l’horizon 2020.

Anne Hidalgo : « Adresser un message fort à la jeunesse »

« Paris est reconnue dans le monde entier pour son patrimoine, son dynamisme culturel et ses savoir-faire dans le domaine de l’artisanat d’art. Pour conserver cette place essentielle, nous devons continuer à investir, à innover et à nous ouvrir sur le monde. C’est le sens de ce nouveau projet au retentissement international, porté par la collectivité et le groupe LVMH », a souligné Anne Hidalgo.

« Je suis heureuse que notre ville soit attractive aux yeux des investisseurs privés et qu’ils s’impliquent en faveur de son rayonnement. C’est une excellente nouvelle pour les Parisiens et pour tous les amoureux de Paris. C’est aussi un message fort adressé aux jeunes générations : l’artisanat représente de formidables opportunités et débouchés, que nous les encourageons à découvrir et à saisir », a-t-elle salué.

 

Bernard Arnault : « Accroître le rayonnement international de Paris »

« Je me réjouis que le groupe LVMH puisse contribuer à cet ambitieux projet, et permettre d’accroître, davantage encore, le rayonnement national et l’attractivité internationale de Paris, la force et la diversité de la culture de notre pays, l’excellence de son artisanat », a déclaré Bernard Arnault, Président-directeur général de LVMH.

« Il permettra d’associer la Fondation Louis Vuitton, dédiée à la création artistique, le grand parc de loisir populaire qu’est le Jardin d’Acclimatation, et, désormais, ce grand édifice exaltant la vitalité de l’artisanat, des arts et du spectacle. Nous sommes convaincus de pouvoir apporter le même enthousiasme et la même ambition à cette nouvelle institution », a-t-il conclu.

 

LVMH

France : Michel Calzaroni / Olivier Labesse /
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À propos de LVMH

LVMH Moët Hennessy Louis Vuitton est présent dans les Vins & Spiritueux au travers notamment des Maisons Moët & Chandon, Dom Pérignon, Veuve Clicquot Ponsardin, Krug, Ruinart, Mercier, Château d’Yquem, Domaine du Clos des Lambrays, Château Cheval Blanc, Hennessy, Glenmorangie, Ardbeg, Belvedere, Chandon, Cloudy Bay, Terrazas de los Andes, Cheval des Andes, Cape Mentelle, Newton, Bodega Numanthia et Ao Yun. Le secteur Mode et Maroquinerie inclut les marques Louis Vuitton, Céline, Loewe, Kenzo, Givenchy, Thomas Pink, Fendi, Emilio Pucci, Marc Jacobs, Berluti, Nicholas Kirkwood, Loro Piana et Rimowa. LVMH est présent dans le secteur des Parfums et Cosmétiques avec les marques Parfums Christian Dior, Guerlain, Parfums Givenchy, Kenzo Parfums et Parfums Loewe ainsi que d’autres sociétés de cosmétiques à fort potentiel de croissance (BeneFit Cosmetics, Make Up For Ever, Acqua di Parma et Fresh). LVMH est également actif dans la distribution sélective ainsi que d’autres activités au travers de DFS, Sephora, Le Bon Marché, La Samaritaine, Royal Van Lent et les hôtels Cheval Blanc. Le groupe d’activités Montres & Joaillerie est constitué des marques Bulgari, TAG Heuer, Chaumet, Dior Montres, Zenith, Fred, Hublot et De Beers Diamond Jewellers Ltd, une joint-venture créée avec le premier groupe diamantaire du monde.

La Cour de l’Industrie, haut lieu de l’artisanat d’art parisien, rouvre ses portes

Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris, inaugurera vendredi, la Cour de l’Industrie entièrement rénovée. Dernière cité artisanale parisienne du 19ème siècle, ce haut lieu de l’artisanat d’art parisien renaît après 6 ans de travaux complexes menés par la Semaest.

Implantée au cœur du 11e arrondissement, la Cour de l’Industrie est l’une des dernières cours industrielles du XIXe siècle. Dès 1850, on y construit une cité pour artisans où se succèdent de nombreuses générations d’artisans du bois. Dans les années 1970, les ateliers laissés vacants par l’évolution industrielle des métiers du meuble ont été investis par des artistes intéressés par des surfaces importantes et des loyers modérés. Rachetée par la Ville de Paris en 2003, la Cour de l’Industrie a bénéficié d’un vaste programme de rénovation et réhabilitation mené par la Semaest.
« Paris est fière d’avoir pu, suite à l’action remarquable menée par l’association Ateliers Cours de l’Industrie, sauver cet ensemble architectural exceptionnel d’un projet de vente à la découpe. Ce site unique, espace de création et de production, est aussi un lieu de vie et de lien pour les artistes et artisans d’art, si essentiels au rayonnement de notre capitale » souligne Bruno Julliard, Premier adjoint à La Maire de Paris.
La Cour de l’industrie regroupe aujourd’hui près de cinquante ateliers. Menuisiers, doreurs, photographes, plasticiens, relieurs, céramistes, etc. investissent les 3 cours de cet espace dédié à la création, à l’échange et à la transmission.
Une visite commentée de quatre ateliers en présence de l’architecte, Jacques Menninger, aura lieu dans la foulée de l’inauguration.
Création d’une galerie des collections permanentes
au Palais Galliera en 2019 grâce au soutien de Chanel

Le Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, va devenir le premier musée permanent de mode en France en 2019, avec le soutien exceptionnel de la Maison Chanel.

Paris est la capitale de la mode. Attentive à préserver cette position et à valoriser le patrimoine de la Ville, la Maire de Paris, Anne Hidalgo a décidé de créer au sein du Palais Galliera des salles de collection permanente.

La Maison Chanel a souhaité s’associer à la destinée du Palais Galliera en soutenant cet ambitieux projet, essentiel au rayonnement de la mode et de la capitale. En qualité de mécène exclusif, elle contribue avec la Ville de Paris au financement des travaux d’aménagement de ces nouvelles salles estimés à 5,7 millions d’euros. La galerie des collec­tions permanentes qui ouvrira fin 2019 portera le nom de « Salles Gabrielle Chanel ».

« Ce soutien de la Maison Chanel au Palais Galliera est particulièrement précieux. Il vient rappeler une nouvelle fois que la mode est chez elle à Paris. Grâce à ce mécène prestigieux, notre capitale comptera bientôt le premier musée permanent de la mode en France. Paris est fière de pouvoir offrir ce lieu d’exception aux Parisiens et aux visiteurs du monde entier », salue Anne Hidalgo.

« La Maison Chanel est heureuse de participer au rayonnement de Paris, capitale internationale de la mode, et parti­culièrement au rayonnement du Palais Galliera, en permettant de faire découvrir ses collections exceptionnelles dans de nouveaux espaces permanents qui porteront le nom de sa fondatrice Gabrielle Chanel. C’est un engagement fort sur la création, la force de Paris, qui est aussi au coeur de l’activité de Chanel. Cela fait partie de notre mission que de soutenir une institution comme le Palais Galliera, qui fait vivre l’histoire de la mode », souligne Bruno Pavlovsky, Président des Activités Mode de Chanel.

Aménagée dans les espaces souterrains du Palais, sur une surface de 670 m², elle offrira au public, tout au long de l’année, un espace dédié à l’histoire de la mode du XVIIIe siècle à nos jours. Le projet comprend également la création d’un atelier pédagogique et d’une librairie-boutique. Le rez-de-chaussée du musée restera dévolu aux expositions temporaires.

Le Palais Galliera, aux collections riches de 200 000 pièces (vêtements, accessoires, photographies et arts graphiques), deviendra ainsi l’unique musée permanent de la mode en France. Au niveau international, il entrera dans le cercle très restreint des institutions présentant une collection dédiée à l’histoire de la mode.

« Grâce au soutien précieux de la Maison Chanel, l’histoire de la mode, l’excellence de la haute couture française, les savoir-faire et la création auront désormais un socle prestigieux en ces nouvelles salles que le Palais Galliera sera fier d’inaugurer en 2019. » déclare Olivier Saillard, Directeur du Palais Galliera.

Réouverture de la bibliothèque Forney avec
l’exposition « Mode & femmes 14/18 »
A l’occasion de sa réouverture après un an de rénovation, la bibliothèque Forney, bibliothèque des arts graphiques et des métiers d’art de la Ville de Paris, fera découvrir au public l’univers de la mode féminine dans la société française de la première guerre mondiale à travers l’exposition « Mode & femmes 14/18 ».

 

La Ville de Paris a à cœur de proposer un projet culturel ambitieux aux Parisiens par  son important réseau de bibliothèques pour satisfaire les publics acquis et en attirer de nouveaux. Ainsi, 3000 actions culturelles sont menées chaque année et les rencontres avec les professionnels des métiers de l’art et de la culture attirent de plus en plus de participants.

Situé dans le IVe arrondissement, l’Hôtel des archevêques de Sens accueille la bibliothèque Forney depuis 1961. Fermée durant un an afin de bénéficier d’importants travaux de modernisation pour permettre un meilleur accueil des visiteurs, la bibliothèque conjugue plus que jamais exigence en matière de conservation patrimoniale et ambition de valorisation et de partage. Un travail de scénographie met en valeur les collections et l’originalité des espaces : une partie du mobilier a été redessinée, la circulation des lecteurs est modifiée, de nouveaux espaces d’accueil conviviaux sont créés, enfin, l’éclairage des salles de lecture a été entièrement revu selon un design contemporain.

Pour Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire : « Les incroyables collections conservées à la Bibliothèque Forney, tout comme le public qui vient nombreux les découvrir et les étudier, méritaient bien la rénovation de cet écrin précieux qu’est l’Hôtel de Sens. Je me réjouis de cette amélioration remarquable des conditions d’accueil et de partage de notre patrimoine. »

La bibliothèque Forney offre une programmation culturelle riche à travers un parcours de visite ouvert à tous, des ateliers et conférences autour des métiers d’art, des collections valorisées et une politique culturelle affirmée par des expositions audacieuses à commencer par « Mode & femmes 14/18 ». Sur le plan vestimentaire comme social, la guerre a-t-elle libéré les femmes ? Telle est la question à laquelle l’exposition « Mode & femmes 14/18 » tente de répondre.

Infos pratiques :
Du 28 février au 17 juin 2017, bibliothèque Forney, 1 rue Figuier, Hôtel de Sens (4e)
Exposition gratuite, ouverte du mardi au samedi (hors 15 avril, 15 mai et 3 juin), de 13h à 19h

2ème Nuit des Débats à Paris : proposez le vôtre ! 

La deuxième  édition de la Nuit des débats se tiendra le vendredi 24 mars. Les Parisiens peuvent dès à présent proposer un débat ou mettre à disposition un lieu sur la plateforme http://www.paris.fr/nuitdesdebats.

Débattre et échanger dans des lieux de convivialité ouverts à tous, à Paris : c’est l’enjeu de la Nuit des Débats, qui se tiendra le vendredi 24 mars à partir de 18h et jusqu’au bout de la nuit.

Avec cette initiative, Anne Hidalgo invite les Parisiens à investir cafés, musées, universités, ou tout autre lieu d’échange et à proposer des idées de discussion. L’édition 2016 avait réuni des milliers de Parisiens, Franciliens et touristes dans plus de 100 lieux de la capitale.

En partenariat avec le site collaboratif Kawaa, qui facilite l’organisation de rencontres entre organisateurs de débats et gestionnaires de lieux, une plateforme d’inscription et d’enregistrement est à disposition des Parisiens sur http://www.paris.fr/nuitdesdebats.

Pour Pauline Véron, adjointe à la Maire de Paris chargée de la démocratie locale et de la participation citoyenne « la Nuit des Débats est l’occasion pour chaque Parisien ou association, dans chaque quartier de la capitale, de débattre dans des lieux de convivialité, insolites ou familiers et ainsi de faire vivre la démocratie concrètement ».

« Avec la Nuit des débats, nous soutenons la vie nocturne à Paris pour qu’elle soit aussi un temps d’échange et de débat citoyen » souligne Frédéric Hocquard, Conseiller Délégué auprès du Premier Adjoint, chargé des questions relatives à la “Nuit”.

Pour cette édition 2017, et dans le cadre de la Semaine de la langue française et de la Francophonie, Dakar et Montréal participeront en organisant également des évènements.  L’occasion, pour les participants intéressés par la Francophonie et le partage des cultures, de proposer une discussion sur ce thème.

Toutes les informations sont à retrouver sur la page : http://www.paris.fr/nuitdesdebats

Les Archives de Paris se modernisent !

Les Archives de Paris présentent aujourd’hui le nouveau visage de leur site internet, consulté par plus de 600 000 internautes chaque année. Ce nouvel outil offrira un accès unique et simplifié à l’ensemble de leurs ressources. Plus de 800 000 références y seront accessibles en quelques clics grâce à de nouvelles rubriques et une recherche facilitée.

Situées dans le 19ème arrondissement, les Archives de Paris sont un service du Département de Paris, qui met à disposition des Parisiens 68 kilomètres linéaires de documents historiques originaux de toutes époques, du Moyen Âge à nos jours, de toutes natures et sur tous supports : parchemins, papiers, cartes et plans, photographies, dessins, objets en trois dimensions, documents audiovisuels et numériques, etc.

Ce lundi 20 février, les Archives de Paris lancent leur tout nouveau site internet. Celui-ci vous informe de toute l’actualité des Archives ainsi que de leur programmation culturelle et de leur offre éducative. Le site internet connaît une réelle transformation grâce à la création de nouvelles rubriques et une meilleure ergonomie qui permet à tous de le consulter sans difficultés.

Les utilisateurs y retrouvent bien sûr les 5,5 millions d’archives numérisées déjà consultables, enrichies de nouveaux fonds tels que les hommages aux victimes des attentats de 2015. De nouvelles numérisations viendront progressivement étoffer l’offre en ligne, à commencer par les actes de décès de 1945 à 1987 au premier semestre 2017.

Plus de 800 000 références de documents sont d’ores et déjà accessibles en quelques clics via une recherche thématique ou topographique. Une fois les cotes d’archives identifiées dans les quelques 3800 inventaires PDF, les utilisateurs n’ont plus qu’à venir les consulter en salle de lecture.

Enfin, le nouveau site, en responsive design, permet un accès à l’information des Archives de Paris sur différents outils, comme les tablettes et les smartphones, quel que soit leur système d’exploitation.

« Les Archives de Paris se doivent d’être accessibles à tous et le plus facilement possible. Le site internet des Archives, c’est désormais la première porte d’accès vers ce patrimoine d’une infinie richesse. Sa modernisation était donc une priorité et la nouvelle interface constitue un réel progrès pour tous ceux qui s’intéressent à notre histoire » déclare Bruno Julliard, premier adjoint en charge de la culture et du patrimoine.

Pour consulter le tout nouveau site des Archives de Paris, rendez-vous sur www.archives.paris.fr.

L’Hôtel de Ville accueille l’exposition
« Pompiers de Paris – Notre mission : Sauver »

Du 4 mars au 29 avril, l’exposition « Pompiers de Paris – Notre mission : Sauver » fera découvrir au public l’univers de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris et ses évolutions qui ont nécessité une force d’adaptation, tout en observant la rigueur, la discipline et le dévouement qui caractérisent ce corps militaire exceptionnel.

Alors que le courage des Pompiers de Paris est particulièrement sollicité, la Mairie de Paris a souhaité faire découvrir au public l’histoire de ce corps exceptionnel à travers les archives inédites des Pompiers de Paris. Cette exposition nous fera voyager au cœur de l’histoire de cette profession mythique, au service de la protection des personnes et des biens, grâce aux nombreuses photographies, documents, archives, objets, audiovisuels et matériels d’intervention.

Un corps historique qui se réinvente

C’est Napoléon Ier qui, à la suite d’un bal qui a failli lui coûter la vie, décide de professionnaliser la lutte contre le feu. Par décret impérial en 1811, il confie cette mission à un corps militaire : le Bataillon de sapeurs-pompiers de Paris. À la fin du XIXe siècle, le Régiment entre dans une ère nouvelle de développement technique : premières grandes échelles, conception d’engins, avertisseurs publics dans les rues, développement du réseau de transmissions et de téléphonie, implantation de postes centraux, construction de casernes… Accompagnant l’histoire de Paris depuis plus de deux cents ans, ce corps d’élite unanimement reconnu intervient dans un des espaces urbains les plus contraignants au monde en s’adaptant avec souplesse, réactivité et innovation à tous les défis qui se présentent.

Un périmètre d’intervention toujours plus large

Dès le 1er mars 1967, la mission de secours d’urgence et de défense contre les incendies est étendue à la petite couronne (Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne, Hauts-de-Seine). De Paris à la banlieue, puis à la métropole du Grand Paris, les interventions en zone urbaine se font dans des espaces de plus en plus contraints : immeubles toujours plus hauts, transports toujours plus denses. De la protection des sites stratégiques, telle que la base de lancement en Guyane ou le site d’expérimentation des missiles à Biscarosse, aux actions menées à l’étranger, notamment en renfort des actions civiles et militaires des forces armées ou dans les missions de coopération, la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris a élargi ses actions bien au-delà du territoire parisien.

L’émergence du pompier de mégapole

Du secours aux personnes à la protection des biens et forts des deux conflits mondiaux, les missions des sapeurs-pompiers ont bien évolué. Dès 1965, les médecins sapeurs-pompiers accompagnent la mise en place du SAMU et sont au premier plan dans le domaine de la médicalisation pré-hospitalière sur le terrain. L’augmentation du nombre d’interventions liées notamment à la dissolution de Police-Secours en 1985 motive une réorganisation opérationnelle, humaine et technique, se traduisant par l’implantation de centres de secours modernes et le développement d’engins polyvalents. De nouveaux enjeux, urbains, technologiques ou naturels, dans un contexte de menace terroriste durable viennent également complexifier le champ d’action des sapeurs-pompiers de Paris.

La Brigade de sapeurs-pompiers de Paris a connu de nombreux changements : son aire de compétence et d’intervention, ses équipements comme son organisation. À travers cette exposition, le visiteur est amené à découvrir ces évolutions qui ont nécessité une force d’adaptation, tout en observant la rigueur, la discipline et le dévouement qui caractérisent ce corps militaire exceptionnel.

Infos pratiques :
Du 4 mars au 29 avril 2017, salle des Prévôts-Tapisseries, Hôtel de Ville (4e)
Exposition gratuite, ouverte du lundi au samedi (hors jours fériés et Conseil de Paris) de 10h à 18h30 (dernière entrée à 17h30)

Inauguration de la Chapelle des Baptêmes de
l’Église Notre-Dame-de-Lorette rénovée

Jeudi 2 février à 17h30, 18bis rue de Châteaudun (9e)

Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris inaugurera jeudi, la Chapelle des Baptêmes de l’Église Notre-Dame-de-Lorette avec Mgr Thibaut Verny. La chapelle a bénéficié d’une restauration d’envergure pour révéler à nouveau les œuvres d’Adolphe Roger, grâce au mécénat du World Monuments Fund avec le soutien d’American Express.

Ce projet de restauration a été mené sous la maîtrise d’œuvre de la Direction des Affaires Culturelles de la Ville de Paris – Conservation des œuvres d’art religieuses et civiles : dix-neuf restaurateurs sont intervenus sur les peintures détériorées par de multiples infiltrations d’eau et par les inévitables dégâts dus au temps.

Ce travail de grande ampleur a été rendu possible grâce au mécénat du World Monuments Fund avec le soutien d’American Express, qui a contribué au financement de cette opération à hauteur de 250 000 USD. L’église Notre-Dame-de-Lorette fait en effet partie de la liste 2014 du World Monuments Watch, un programme mis en œuvre tous les deux ans en faveur du patrimoine et qui vise à attirer l’attention de la communauté internationale sur les sites du patrimoine culturel mondial à sauvegarder.

Avec cette restauration c’est l’œuvre d’Adophe Roger qui retrouve une seconde vie. Élève du baron Gros, il a connu une carrière officielle de peintre de batailles et de scènes religieuses pour les églises parisiennes. Deux autres églises parisiennes conservent des peintures du peintre : Sainte-Élisabeth et Saint-Roch.

Pour Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire en charge de la culture et du patrimoine : « Grâce à une collaboration efficace entre la Ville de Paris et le World Monuments Fund, cette restauration remarquable a pu être réalisée en un peu plus d’un an ; c’est en continuant à entraîner avec nous tous les passionnés de patrimoine que nous parviendrons à assumer pleinement notre mission de transmission et à faire connaitre du plus grand nombre et des générations futures ces œuvres exceptionnelles ».

Déroulé de l’inauguration :

17h30  Présentation de la restauration par Pauline Duée et Nicolas Engel, Conservateurs de la Ville de Paris et Méliné Miguirditchian, restauratrice du patrimoine.

18h30  Inauguration officielle de la Chapelle des Baptêmes en l’Église Notre-Dame-de-Lorette.

Plan Patrimoine Cultuel de la Ville de Paris :

Entre 2015 et 2020, la Ville de Paris consacrera 80 millions d’euros pour sauvegarder, restaurer et valoriser le patrimoine cultuel parisien. L’État abondera ce plan à hauteur de 11M€ et un appel est lancé aux donateurs privés afin de mobiliser tous les passionnés  en faveur de l’entretien, de la rénovation et de la mise en valeur de ce patrimoine.

Personnalités présentes :
– Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris en charge de la culture, du patrimoine, des métiers d’art, des entreprises culturelles, de la nuit et des relations avec les arrondissements.
– Delphine Bürkli, Maire du 9ème arrondissement
– Monseigneur Thibault Verny, évêque auxiliaire de Paris, représentant le Cardinal André Vingt-Trois
– Pascal Genin, curé de Notre-Dame de Lorette
– Caroline Gaye, Directrice Générale d’American Express France

Un nouveau tournage de long-métrage tous
les 3 jours à Paris en 2016

Paris confirme sa forte attractivité, dans un contexte pourtant perturbé par les impératifs de sécurité. La capitale a accueilli 848 tournages en 2016, soit 3 068 jours de tournages. Cette activité se maintient à un niveau élevé, avec une augmentation du nombre de tournages de longs-métrages accueillis (118 au lieu de 114 en 2015) représentant une forte augmentation du nombre de journées de tournages (1 373 au lieu de 991).

Pour Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris : « Paris est toujours aussi attractive pour les réalisateurs et nous en sommes fiers. Les tournages sont de véritables vecteurs du rayonnement de notre capitale en France et à l’international, ils représentent également un gisement de créativité et d’emplois parisiens. Grâce à la modernisation de l’accueil des tournages et notamment le lancement début 2017 d’une application permettant aux professionnels de réaliser leurs démarches en ligne, je ne doute pas que ces bons chiffres seront encore au rendez-vous l’année prochaine ».

Parmi les 118 productions et metteurs en scène de longs-métrages qui ont choisi de tourner à Paris, on peut citer : Le redoutable de Michel Hazanavicius (Les Compagnons du Cinéma ), La Douleur d’Emmanuel Finkiel (Les Films du Poisson), Amant double de François Ozon (Mandarin Production), Carbone d’Olivier Marchal (Les films Manuel Munz), La Mélodie de Rachid Hami (Mizar Films), Coexister de Fabrice Eboué (Europacorp), Iris de Jalil Lespert (WY Productions), La nuit a dévoré le monde de Dominique Rocher (Haut et court), le Brio d’Yvan Attal (Chapter 2), L’embarras du choix d’Eric Delavaine (Sombrero Films), Les ex de Maurice Barthélémy (Radar Films), Nos années folles d’André Téchiné (ARPROD), Numéro une de Tonie Marshall (Tabo Tabo Films), Si j’étais un homme d’Audrey Dana (Echo Film) ou encore Au revoir la haut d’Albert Dupontel (ADCB Films).

En termes de fictions et séries, 88 productions audiovisuelles (dont 75 séries, 9 unitaires) ont été tournées à Paris. Les séries conservent la place la plus importante avec 75 séries totalisant 516 jours avec 10% saison 2 (France 2), Alice Nevers, le juge est une femme (TF1), Chefs saison 2 (France 2), Clem saison 7 (TF1), Engrenage saison 6,  (canal +), Les hommes de l’ombre saison 3 (France 2), Le bureau des légendes saison 2 (Canal +).
Parmi les 9 téléfilms accueillis on peut citer Je voulais juste rentrer chez moi de Laurent Perreau (Arte), Nadia de Léa Faze (France Télévisions)et Louise d’Arnaud Mercadier (TF1).
Par ailleurs, 115 courts métrages et 121 films d’école ont représenté 508 jours de tournage en 2016. La Ville de Paris soutient la production de films courts et aide la production d’une quinzaine de projets par an à hauteur de 20 000 euros.

Paris a également attiré une trentaine de productions cinématographiques et audiovisuelles internationales. À souligner en 2016, le tournage très spectaculaire de la super production indienne à vocation internationale Befikre d’Aditya Chopra (production exécutive Firstep).  Avec plus de 40 jours de tournage à Paris ce film, sorti en Inde en décembre 2016 dans plus de 5 000 salles, est révélateur de l’attractivité parisienne et de l’efficacité des mécanismes de crédit d’impôt international. On peut également citer le film Oui Mademoiselle de Yishu Yang, la série américaine The Affair de Jeffrey Reiner, le téléfilm canadien Love Locks de Martin Wood et la série coréenne The package de Chang Keun Chun.

Enfin, il faut souligner la bonne santé de l’accueil de films publicitaires (222 contre 184) qui constituent un vecteur très important à l’international de l’image de Paris.

À noter : les tournages utilisant des drones étant très récents, ils ne sont pas encore intégrés aux statistiques de la Ville de Paris. Autorisés dans des conditions très strictes par les services de la Préfecture de Police, ils ont été une centaine en 2016.

Alors que s’ouvre demain au Carreau du Temple le salon des tournages, Paris se réjouit de cette attractivité renouvelée.

L’activité des tournages à paris en 2016  par secteur

secteurs Nb Nb de jours Moyenne de jours
dans paris
Long-métrage 118 1373 11,7
Productions audiovisuelles 88 570 6,5
Courts métrages 115 248 2,2
Films d’école 121 260 2,2
Films publicitaires 222 339 1,5
Photos publicitaires 128 195 1,5
Documentaires 56 83 1,5
La Mission Cinéma / Paris Film
www.parisfilm.frParis Film, au sein de la Mission Cinéma de la Ville de Paris, accueille et conseille les équipes de tournage. Elle coordonne, gère les demandes d’interventions techniques et délivre les autorisations de tournages dans les rues de Paris, sur la voie publique et dans les lieux dépendant de la municipalité.D’importants chantiers ont déjà été menés au cours de ces derniers mois avec le lancement le 1er janvier d’une application en ligne de dépôt et de suivi des demandes d’autorisation de tournage, l’élargissement des compétences de la Mission Cinéma-Paris Film en matière de stationnement et la mise en place de modalités simplifiées de facturation des redevances et prestations.
Les Plateaux Sauvages : une nouvelle
fabrique culturelle à Paris

Samedi 28 janvier à 19h, 5 rue des Plâtrières (20e)

Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris, et Pauline Véron, adjointe en charge de la jeunesse, vous invitent à découvrir  samedi le tout nouvel établissement culturel de la Ville de Paris, les « Plateaux Sauvages », lieu dédié à la création émergente et au partage avec tous les publics.

Après la Villa Vassilieff et le Grand Parquet en 2016, les Plateaux Sauvages constituent la troisième des quatre « fabriques culturelles » souhaitées par la Ville de Paris. Il s’agit d’un équipement culturel d’un nouveau genre, ancré dans le vingtième arrondissement, où exigence artistique et engagement des publics vont de pair.

Les Plateaux Sauvages placeront transmission artistique, création et convivialité au cœur de leur démarche. Chaque année y seront accueillies en résidence une quinzaine d’équipes artistiques, pour moitié émergentes, pour moitié plus confirmées. Chacune inventera, avec et pour les habitants, notamment les jeunes, des actions ambitieuses et variées.

Les Plateaux Sauvages proposeront une quarantaine d’ateliers réguliers de pratiques artistiques amateurs : théâtre, chant, danse, bien être, etc., des espaces et des occasions de rencontre (librairie, café) ainsi qu’une programmation de spectacles.

Interventions artistiques, visite des espaces réinventés, temps de convivialité : Un Jour aux Plateaux Sauvages est le premier temps fort d’une « saison en chantier », imaginé comme une avant-première de la saison 2017-2018.

Pour Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris : « ces lieux d’échanges culturels s’inscrivent pleinement dans la vie d’un quartier ; les Plateaux Sauvages constituent un outil inédit au service de la création et de la mise en relation entre artistes et habitants ».

Pauline Véron salue quant à elle,  « un lieu innovant et participatif qui s’inspire des valeurs de l’éducation populaire et permet de construire de nouveaux rendez-vous citoyens, en misant sur la convivialité, les échanges et les rencontres ».

Personnalités présentes :
-Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris, chargé de la culture, du patrimoine, des métiers d’art, des entreprises culturelles, de la « nuit » et des relations avec les arrondissements.
– Pauline Véron, adjointe à la Maire de Paris en charge de la démocratie locale, la participation citoyenne, la vie associative, la jeunesse, l’emploi.
– Frédérique Calandra, maire du 20e arrondissement

Date et lieu :
Samedi 28 janvier à 19h, 5 rue des Plâtrières (20e)

Bilan de l’exposition Coluche : plus de 100.000 visiteurs !

Du 6 octobre au 14 janvier dernier, plus de 100.000 Parisiens et visiteurs sont venus découvrir l’exposition « Coluche », consacrée à l’univers de cet homme provocateur et incisif, amoureux de la vie à l’humour décapant, menant à la fois sa carrière d’humoriste, de comédien et d’homme de médias, tout en créant les Restos du Cœur.

Michel Colucci, dit Coluche est certainement l’artiste comique de scène, de cinéma, de radio, de presse, de télévision, le plus populaire de la deuxième partie du XXe siècle en France. Celui qui voulait être clown devint bien davantage.
Inaugurée par Anne Hidalgo, le 5 octobre dernier, l’exposition « Coluche », réalisée avec le soutien de Véronique Colucci et présentée à l’Hôtel de Ville de Paris, a mis à l’honneur la vie de cet homme unique, curieux et raffiné, à travers les objets de son univers personnel, ses costumes, des photos, des vidéos et des témoignages illustrant la grande richesse et l’extrême diversité de ses intérêts.
Au moment de clore l’exposition, l’engouement des 100.000 Parisiens et visiteurs venus découvrir son univers montre combien la figure de l’artiste par ses mots, son outrance nécessaire et son esprit critique, continue de marquer les nouvelles générations.
Paris Face Cachée : « Le bonheur
est parfois caché dans l’inconnu »*

Les 27, 28 et 29 janvier 2017 se déroulera la 6e édition de Paris Face Cachée. Créé à l’initiative de la Ville de Paris et conçu par l’association À Suivre, Paris Face Cachée imagine des rendez-vous uniques pour découvrir Paris et ses territoires autrement.

En marge du Paris touristique incontournable, Paris Face Cachée prend des chemins de traverse et lève le voile sur un Paris insoupçonné, inexploré, étonnant, vivifiant et décalé.

Depuis 6 ans, cette manifestation ambitieuse mêlant art, culture, patrimoine, histoire, architecture, urbanisme, science, solidaire, savoir-faire, métiers, sport, … au travers d’initiatives originales et insolites, prouve que Paris est une source intarissable d’expériences à vivre. Cet évènement très attendu par les Parisiens et visiteurs attire chaque année de plus en plus de curieux.

Plus de 100 aventures dans Paris et sa région vous mèneront au 33, vibrer au son du Tumulte Noir, ou dans les sous-sol de la plus importante place mondiale de vente aux enchères. Elles vous feront toucher du doigt de la poussière d’or, découvrir comment les copies prennent forme, échanger avec des scientifiques sur leurs recherches révolutionnaires, goûter les créations de jardiniers visionnaires, prendre le temps d’aller chez ma tante  … bref vivre des moments uniques dans des endroits atypiques !

Pour vivre Paris Face Cachée 2017, toujours la même règle du jeu :
Chaque participant choisira une aventure sur le site internet de l’événement. Pour seule information : un titre évocateur et un court résumé. Aucune précision sur le contenu et l’organisateur de la visite. Le lieu de rendez-vous ne sera dévoilé qu’après inscription, sur le billet.

Informations pratiques (attention le nombre de places est limité)

  • Réservation exclusivement en ligne sur www.parisfacecachee.fr
  • Deux dates distinctes d’ouverture de la billetterie, le 11 janvier et le 18 janvier, proposant chacune des expériences différentes.
  • Twitter @parisfacecachee, Facebook Paris Face Cachée et Instagram @parisfacecachee
*Victor Hugo
Exposition « Construire Paris de brique en brique » :
déjà 24.000 visiteurs
Prolongation jusqu’au 14 janvier 

L’exposition « Construire Paris de brique en brique », présentée depuis le 2 décembre, est prolongée jusqu’au samedi 14 janvier à l’espace Paris Rendez-Vous à l’Hôtel de Ville. De nouveaux créneaux d’ateliers sont proposés gratuitement aux enfants pour construire la ville de demain.  

A l’occasion des fêtes de fin d’année, la Ville de Paris propose aux enfants de 6 à 12 ans des ateliers gratuits, « Le Paris des enfants », pour imaginer et construire la ville de demain en briques LEGO®. Les créations personnelles des enfants doivent ensuite être assemblées au fur et à mesure pour voir émerger une grande ville.

Des maquettes géantes en briques LEGO de monuments iconiques de Paris comme le Louvre, la Tour Eiffel, Notre Dame de Paris et l’Hôtel de Ville sont présentées au cours de l’exposition « Construire Paris de brique en brique ». La maquette de l’Hôtel de Ville, construite spécialement pour l’occasion, représente 123.000  briques LEGO et plus de 90 heures de travail. Un film animé retrace l’histoire du groupe LEGO, créé en 1932.

Face au succès de l’exposition avec près de 24.000 visiteurs en 3 semaines, et l’engouement que suscitent ces ateliers avec 1.210 enfants accueillis, la Ville de Paris a décidé de prolonger l’événement jusqu’au 14 janvier inclus. Environ 900 nouvelles places seront proposées pour permettre aux petits Parisiens de construire le Paris des enfants.

Infos pratiques :

Exposition : du 2 décembre au 14 janvier, Paris Rendez-Vous, Hôtel de Ville, 29 rue de Rivoli (4e), en libre accès de 10h à 19h.

Ateliers : du 3 au 23 décembre, les mercredis, samedis, les trois premiers dimanches de décembre ; durant la première semaine des vacances scolaires ; du lundi 26 décembre au vendredi 30 décembre de 13h à 18h (dernier créneau à 17h) : les mercredis et samedis 4, 7, 11, 14 de 13h à 18h à Paris Rendez-Vous, Hôtel de Ville, 29, rue de Rivoli (4e), réservation obligatoire et gratuite sur www.quefaire.paris/lego.

Exposition Coluche : déjà 70.000 visiteurs
Prolongation d’une semaine

L’exposition « Coluche », présentée depuis le 6 octobre, est prolongée jusqu’au 14 janvier 2017. Elle a ouvert au public l’univers inconnu de cet homme provocateur et incisif à l’humour décapant, cet amoureux de la vie menant à la fois sa carrière d’humoriste, de comédien, d’homme de médias ou créateur des Restos du Cœur, à l’occasion des 30 ans de sa disparition.

L’exposition « Coluche » rencontre un grand succès avec près de 70.000 visiteurs depuis le 6 octobre. Pour permettre au plus grand nombre de découvrir l’univers de cet avant-gardiste hors norme, Anne Hidalgo, Maire de Paris, a souhaité prolonger l’exposition jusqu’au 14 janvier 2017.

Michel Colucci, dit Coluche est certainement l’artiste comique de scène, de cinéma, de radio, de presse, de télévision, le plus populaire de la deuxième partie du XXe siècle en France. Celui qui voulait être clown devint bien davantage.

« C’est l’histoire d’un mec »

Né à Paris, et orphelin de père à l’âge de trois ans, Coluche est élevé à Montrouge par sa mère, fleuriste à Montparnasse. Il grandit dans un environnement très modeste. Plus tard, il enchaîne les petits boulots avant de se rapprocher des cabarets et du monde de la musique. En salopette et t-shirt jaune, ses célèbres godillots aux pieds, Coluche arbore fièrement une salopette d’ouvrier du rail, en parfaite adéquation avec son nez rouge, ses pommettes rosies et sa coiffure, dite de « toréador ». Depuis sa plus tendre enfance, il aime le rythme (musical ou mécanique), le déguisement et l’outrance du trait pour mieux faire saisir la satire…

Un homme raffiné « toujours grossier, jamais vulgaire »

Coluche aime les belles créatures, les belles motos, les belles voitures… On se souvient de la moto au carénage rose du record à 252 km/h de moyenne. Coluche, c’est aussi un franc-parler qui aime à préciser : « Les gens confondent la grossièreté avec la vulgarité. Pourtant, si la grossièreté est une manière de dire, la vulgarité est une manière de ne pas être ». Il a pu choquer, faire rire, galvaniser et susciter l’adhésion, il a surtout stimulé la réflexion de tous ses publics.

Un sens aigu de la démocratie

Des planches à la scène politique, où il se présente comme candidat à l’élection présidentielle en 1981, Coluche exhorte ses compatriotes et veut mettre en vigueur une démocratie réelle. Derrière son apparence de clown, c’est le sort injuste de milliers de personnes démunies en France qu’il dénonce. L’homme aime les gens et mettra sa notoriété au profit des autres, à travers Les Restaurants du Cœur.

Coluche a marqué les générations par ses mots, son outrance nécessaire, son esprit critique, son humour en toutes circonstances. L’exposition présentée à l’Hôtel de Ville met à l’honneur la vie de cet homme unique, curieux et raffiné, à travers les objets de son univers personnel, ses costumes, des photos, des vidéos et des témoignages illustrant la grande richesse et l’extrême diversité de ses intérêts.

Infos pratiques :
Du 6 octobre 2016 au 14 janvier 2017, salle Saint-Jean, Hôtel de Ville, 5 rue de Lobau (4e)

Théâtre du Châtelet :
des travaux ambitieux pour un lieu d’exception

Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris, Sébastien Bazin, président du Théâtre du Châtelet, et Jean-Luc Choplin, directeur du Théâtre du Châtelet, ont tenu ce matin une conférence de presse pour présenter les travaux de rénovation du Théâtre du Châtelet et la programmation à venir.

La Ville de Paris engagera d’ambitieux travaux de rénovation du Théâtre du Châtelet qui débuteront en mars 2017 pour une réouverture dès le second semestre 2019, pour un montant total de 31,5M€ dont 5 millions d’euros de mécénat. La réhabilitation patrimoniale du théâtre portera notamment sur la salle et sur les foyers et avant-foyers du théâtre.

Dans la grande salle du théâtre, Bruno Julliard a ainsi souligné la priorité pour la Ville de Paris que constituent ces travaux de modernisation et de rénovation : « Il s’agit de redonner tout son éclat patrimonial et toute sa vigueur architecturale au théâtre du Châtelet, pour qu’il demeure un lieu de production et de création exceptionnel, d’envergure internationale et auquel les Parisiens sont profondément attachés. »

Pendant cette période, le théâtre poursuivra ses activités dans d’autres lieux culturels, comme l’a annoncé Jean-Luc Choplin. Après être revenu sur ses 11 saisons à la tête « de ce lieu d’exception », Jean-Luc Choplin a annoncé l’installation, du 26 novembre 2017 au 10 janvier 2018, de la comédie musicale Singin’ in the Rain sous la nef du Grand Palais.

Paris dévoile l’exposition « i am a migrant :
histoires de migration, portraits de Parisiens »

Vendredi 16 décembre à 11h, Tour Saint Jacques, rue de Rivoli (4e)
Vendredi, Dominique Versini et Patrick Klugman, adjoints à la Maire de Paris, inaugureront l’exposition « i am a migrant : histoires de migration, portraits de Parisiens », apposée sur les grilles de la Tour Saint Jacques, jusqu’au 16 janvier 2017.

 

Depuis le début de l’année 2015, Paris s’engage avec détermination pour accueillir les réfugiés qui arrivent en France, à la fois pour répondre à l’urgence et préparer l’intégration des personnes amenées à s’installer durablement en France.

Conçue en partenariat avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) à l’occasion de la Journée internationale des migrants du 18 décembre, l’exposition « i am a migrant : histoires de migration, portraits de Parisiens » vise à rendre hommage aux migrants et aux réfugiés, et à valoriser leur contribution au sein des villes qui les accueillent. Cette exposition donne un visage humain à la migration.

Dominique Versini, Patrick Klugman, adjoints à la Maire de Paris,  Sara Abbas, Directrice de l’OIM en France et Florence Kim, Porte-parole et responsable de la campagne de l’OIM, inaugureront l’exposition et vous présenteront les portraits exposés.

Personnalités présentes :
– Dominique Versini, adjointe à la Maire de Paris chargée de la solidarité, des familles, de la petite enfance, de la protection de l’enfance, de la lutte contre l’exclusion
– Patrick Klugman, adjoint à la Maire de Paris chargé des relations internationales et de la francophonie
– Sara Abbas, Directrice de l’OIM en France
– Florence Kim, Porte-parole et responsable de la campagne de l’OIM

Date et lieu :
Vendredi 16 décembre à 11h, grilles de la Tour Saint Jacques, rue de Rivoli, Paris (4e)

Théâtre du Châtelet : découvrez les travaux de
rénovation 

Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire, Sébastien Bazin, président du Théâtre du Châtelet, et Jean-Luc Choplin, directeur du Théâtre du Châtelet, tiendront le 15 décembre une conférence de presse pour présenter les travaux de rénovation du Théâtre du Châtelet et la programmation à venir.

La Ville de Paris a décidé de réaliser d’ambitieux travaux de rénovation du Théâtre du Châtelet. Ils s’échelonneront de mars 2017 au second semestre 2019, pour un montant total de 31,5M€. Pendant cette période, le théâtre poursuivra des activités dans d’autres lieux culturels.

Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris, Sébastien Bazin, président du Théâtre du Châtelet et Jean-Luc Choplin, directeur du Théâtre du Châtelet, présenteront notamment à la presse l’ambition patrimoniale de ces travaux de rénovation ainsi que la programmation.

Personnalités présentes :
– Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris en charge de la culture, du patrimoine, des métiers d’art, des entreprises culturelles, de la “nuit” et des relations avec les arrondissements
– Sébastien Bazin, président du Théâtre du Châtelet
– Jean-Luc Choplin, directeur du Théâtre du Châtelet
– Philippe Pumain, architecte

Date et lieu :
Jeudi 15 décembre 11h45, Théâtre du Châtelet, 1, place du Châtelet (1er)

Réinventer Paris: le projet “Philanthro-lab” est
officiellement lancé

10 mois après l’annonce des résultats, la Ville de Paris et la Compagnie de Phalsbourg ont signé l’accord de cession de l’Hôtel de la Bûcherie (5earrondissement), concluant ainsi la première vente opérée par la Ville de Paris dans le cadre de l’opération « Réinventer Paris » et lançant officiellement le projet « Philanthro-lab ».

L’un des objectifs de l’appel à projets « Réinventer Paris » lancée par la Maire de Paris en novembre 2014 était de « faire mieux et plus vite ». Seulement 10 mois après l’annonce des résultats, le premier contrat de vente a été signé, permettant l’émergence du projet « Philanthro-lab » dans des temps record.

Le « Philanthro-lab » sera le premier incubateur de la philanthropie à Paris, lieu de rencontre unique entre mécènes et porteurs de projets. L’hôtel particulier de la Bûcherie, datant du XVe siècle, sera rénové et magnifié par l’équipe portée par la Compagnie de Phalsbourg et comprenant l’Agence Perrot & Richard, RF Studio Ramy Fischler, ITF et Cuisine Mode d’Emploi(s)/Thierry Marx.

Le « Philanthro-lab » sera ouvert à tous les porteurs de projets et associations souhaitant faire connaître leurs actions, aux bénévoles désireux de s’engager et aux mécènes prêts à soutenir ces projets. À la fois lieu d’accueil, de rencontre, de partage, mêlant coworking, espaces d’événements et de restauration, le « Philanthro-lab » contribuera à l’attractivité de la capitale. Les Parisiens pourront profiter de sa cour ainsi que des deux restaurants exploités par Thierry Marx dans le cadre de Cuisine Mode d’Emploi(s).

« Ce projet est à l’image de Réinventer Paris : ambitieux, innovant, multi-usages, multi-disciplinaire et respectueux du patrimoine. Sa concrétisation prouve qu’il est possible de faire émerger des projets audacieux à Paris » se félicite Jean-Louis Missika, adjoint à la Maire de Paris.

Pour Philippe Journo, Président de la Compagnie de Phalsbourg : « Nous sommes particulièrement fiers de réaliser la première acquisition de cette compétition. Que celle-ci arrive moins d’un an après l’annonce des résultats montre bien l’efficacité du processus de « Réinventer Paris » mis en place par la Ville de Paris, le savoir-faire de ses équipes et de celles de la Compagnie de Phalsbourg. Nous prévoyons d’ouvrir ce beau projet du Philanthrolab fin 2018 ».

Lors de cette transaction, le vendeur était conseillé par l’Etude Chevreux (Michèle Raunet), et l’acquéreur par Me Yvon Gérard. Le financement de l’opération est assuré par Neuflize OBC. Le dossier a été suivi par Mme Francine Trésy pour la Ville de Paris, et par Emmanuelle Robin-Teinturier et Mounia El Jai pour la Compagnie de Phalsbourg.

A l’issue du Conseil de Paris de décembre, 19 projets sur les 22 lauréats de Réinventer Paris pourront entrer en phase opérationnelle. Les 3 projets restants seront présentés au Conseil de Paris lors du premier trimestre 2017.

En décembre à Paris, le court-métrage est à l’honneur !

Depuis 2002, la Ville de Paris développe une politique globale et volontariste d’aide au court-métrage, de la création à la diffusion, en passant par la transmission, afin de soutenir l’émergence des talents et donner plus de visibilité aux films courts dans la capitale. Cette année plus que jamais, de nombreux rendez-vous mettront à l’honneur le court-métrage durant le mois de décembre

« Alors que le fonds de soutien au court métrage de la Ville de Paris fête ses 10 ans, je me réjouis de la vitalité des rendez-vous qui irriguent la capitale et mettent le court métrage à l’honneur durant le mois de décembre », souligne Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris.

Ainsi, la Fête du court métrage aura lieu du 15 au 18 décembre au Carreau du temple et deviendra le lieu de rencontre des professionnels, des étudiants et du grand public, qui pourront découvrir les richesses du court métrage avec une programmation variée. Des projections de programmes de courts métrages sélectionnés par l’Agence du Court Métrage, une carte blanche à Vincent Lacoste, parrain de la manifestation, une offre riche et variée pour le jeune public et des événements festifs seront notamment proposés. Six cinémas indépendants parisiens participeront également à la fête en diffusant dans leurs salles des programmes de courts métrages.

Jusqu’à demain, le Festival Courts Devant investit par ailleurs le MK2 Bibliothèque et la Bibliothèque Nationale de France afin de promouvoir la jeune création cinématographique régionale, nationale et internationale, à travers de nombreuses projections de courts métrages ainsi que des rendez-vous professionnels.

Tout au long de l’année, Paris valorise le court métrage notamment par son fonds de soutien financier qui a permis à plus de 100 productions de voir le jour depuis 2006 et son soutien aux festivals français et internationaux qui promeuvent et partagent le court avec le  public (48 hours Film Project, Festival Silhouette, Fête du court métrage, Megacities ShortDocs, Paris Courts Devant, Très court International Film festival et Urban Film Festival). Paris est enfin fière des dispositifs scolaires et extrascolaires parisiens mis en place, permettant à 130 000 enfants et adolescents de découvrir sur les grands écrans des salles de cinéma parisiennes, la richesse du format court.

Retrouvez toute la programmation parisienne liée au court-métrage sur que.faire.paris.fr

Pose de la 1ere pierre du
« 360 » – Paris Music Factory
Lundi 5 décembre à 11h45, Centre FGO Barbara, 1 rue de Fleury (18e)

Lundi 5 décembre au Centre FGO Barbara (18e), Jean-Louis Missika, Colombe Brossel, adjoints à la Maire de Paris, Jacques Baudrier, Conseiller Délégué, et Eric Lejoindre, Maire du 18e arrondissement de Paris, poseront la première pierre du chantier du 360, un lieu d’innovation entièrement dédié à la musique.

Depuis le début de la mandature, de nombreux lieux innovants ont émergé dans Paris. D’autres encore sortent régulièrement de terre. Parmi ces derniers, « Le 360 – Paris Music Factory » sera particulier. Entièrement dédié à la musique, il permettra une remarquable mixité d’usages, à la fois classiques et innovants.

Le bâtiment, au cœur du quartier Barbès, proposera toutes les activités nécessaires à la conception musicale : une résidence d’artistes, des studios de répétitions et d’enregistrement, une salle de concert, mais aussi les bureaux de « Vox Populi Label ». Le lieu accueillera également un incubateur, qui permettra à une quinzaine de projets de se développer dans des conditions idéales, et s’inscrira au cœur d’un Nord-Est parisien riche en lieux d’innovation culturelle, comme le 104 ou le Mila. Ce projet s’inscrit donc parfaitement dans la façon novatrice que Paris souhaite adopter pour concevoir de nouveaux équipements.

Situé à Barbès, il s’inscrit aussi dans l’Arc de l’Innovation, avec notamment la proximité directe du Cargo, participant à façonner le Paris de demain, dans lequel les échanges entre Paris et son environnement seront renforcés. Il participe de la vitalité des quartiers populaires. Il a pour vocation de devenir un lieu de rencontre pour les acteurs du monde musical, mais aussi des parisiens, au travers de la salle de concert qu’il abritera.

Personnalités présentes :
– Jean-Louis Missika, adjoint à la Maire en charge de l’urbanisme, de l’architecture, des projets du Grand Paris, du développement économique et de l’attractivité
– Colombe Brossel, adjointe à la Maire en charge de la sécurité, de la prévention, de la politique de la ville et de l’intégration
– Eric Lejoindre, Maire du 18e arrondissement de Paris
– Jacques Baudrier, Conseiller de Paris Délégué auprès de l’Adjoint chargé de l’urbanisme, en charge de l’architecture et des Grands projets de renouvellement urbain

Date et lieu :
Lundi 5 décembre à 11h45, Centre FGO Barbara, 1 rue de Fleury (18e)

Plantu, Anne Hidalgo et Anne-Marie Couderc inaugurent une exposition dédiée au dessin de presse
Anne Hidalgo, Maire de Paris, Plantu, Président de Cartooning for Peace et Anne-Marie Couderc, Présidente du groupe Presstalis, inaugureront mercredi l’exposition « Le dessin de presse dans tous ses États ».

 

Du 7 décembre au 8 janvier, l’Hôtel de Ville accueille sur ses grilles l’exposition “Le dessin de presse dans tous ses États”, conçue et réalisée par Cartooning for Peace, réseau international de dessinateurs de presse, et Presstalis, numéro 1 de la distribution de la presse en France et premier exportateur de la presse française dans 86 pays.

Cette exposition vise à valoriser et à soutenir le travail des dessinateurs de presse qui sont empêchés, voire menacés, d’exercer leur métier. Cette série de dessins sur la liberté d’expression, provenant des quatre coins du monde, met en scène le dialogue interculturel et suscite l’échange autour de notions fondamentales telles que la paix ou encore la tolérance.

La Maire de Paris, Plantu et la Présidente de Presstalis inaugureront l’exposition mardi 7 décembre et vous présenteront à cette occasion les œuvres exposées.

Personnalités présentes :
– Anne Hidalgo, Maire de Paris.
– Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris
– Plantu, Président de Cartooning for Peace.
– Anne-Marie Couderc, Présidente de Presstalis.

Date et lieu :
Mercredi 7 décembre à 16h30, Grilles de l’Hôtel de Ville, Rue de Rivoli.

Découvrez les talents du design, de la mode et
des métiers d’arts d’aujourd’hui et de demain
Les lauréats des Grands Prix de la Création de la Ville de Paris 2016 ont été attribués jeudi 24 et vendredi 25 novembre, par les jurys présidés par Bruno Julliard, Premier adjoint en charge de la culture et des métiers d’arts.
La Ville de Paris décerne chaque année six Grands Prix de la Création, dotés chacun de 8 000 euros. Cette année encore, des partenaires privés, Galeries Lafayette et Fédération du Prêt à Porter Féminin, ont abondé le fonds de dotation Paris Création permettant d’accroitre les dotations pour la mode et pour le design. Ces prix distinguent une démarche créative ainsi qu’un potentiel de développement économique pour les créateurs émergents. Ils viennent consacrer un parcours, une pratique souvent revisitée et modernisée pour les confirmés.

Dans la catégorie Métiers d’art, les lauréats 2016 sont :
Débutant : Anne LE CORNO : initialement architecte, puis formée à l’ébénisterie à l’école Boulle, cette jeune femme développe une collection de marqueterie et de mobilier contemporain. Sa formation l’a conduit tout naturellement à utiliser le bois mais aussi le marbre ou le fer…La modernité de sa démarche réside dans son savoir-faire exceptionnel en marqueterie ainsi que dans l’utilisation de la découpe laser pour un résultat très innovant.

Confirmé : Amélie VIAENE : façonne des bijoux précieux en revisitant les techniques traditionnelles de la joaillerie française. Son savoir-faire se double d’une belle créativité pour donner naissance à des bijoux harmonieux, élégants et intemporels.

Dans la catégorie Mode, les lauréats 2016 sont :
Débutant : Sophie HARAND : associe des matières inattendues, souvent opposées, créant ainsi des accessoires pour homme résolument modernes et originaux. Ses formations de design vêtement aux Arts Décoratifs et de design produit à l’Ensaama sont à l’origine d’une production audacieuse sachant allier les fonctionnalités du sportwear au chic citadin.

Confirmé : Maroussia REBECQ : se caractérise par la grande créativité de ses collections qui bouscule les codes de la mode avec une touche artistique très marquée. Inspiré par les cultures urbaines, le style Andréa Crews est reconnaissable par son souci du détail, de son caractère unisexe ainsi que par le upcylcing. C’est une mode tournée vers l’avenir que la créatrice a réussi à modeler au fil des années.

Dans la catégorie Design, les lauréats 2016 sont :
Débutant : Nathanaël DESORMAUX et Damien CARRETTE : duo de jeunes designers ayant le souci de faire évoluer leur studio entre projets d’ameublement et création d’objets de grande consommation. Leur attachement à la transformation de la matière en objet usuel et leur questionnement sur les modes de production actuels permettent de distiller de la poésie à l’objet industriel.

Confirmé : Marc VENOT : interroge le geste et le rapport au corps pour susciter une émotion entre l’objet du quotidien et l’usager. Sublimer l’objet du quotidien est une idée qu’il explore et perfectionne depuis ses débuts en 2004. Simple en apparence, son design a su gagner au fils des ans une subtilité qui cache le plus souvent des mécanismes et des assemblages pointus auxquels il est particulièrement attaché.

La Ville de Paris se félicite du bilan positif de cet événement.
« Je me réjouis de la qualité des lauréats retenus. Entourée de personnalités qualifiées, la Ville de Paris a contribué une fois encore à découvrir des nouveaux talents qui j’en suis certain iront très loin. Mais ces Grands Prix sont aussi l’occasion de saluer le travail toujours plus minutieux et créatif des professionnels confirmés. Comme en témoigne l’exposition consacrée aux 10 ans des Ateliers de Paris ouverte la semaine dernière à l’Hôtel de Ville, Paris est fière d’honorer les savoir-faire d’aujourd’hui et ceux de demain assurant la pérennité de la Capitale comme place incontournable de la création mondiale », a notamment déclaré Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris.

Le Théâtre de la Ville prend
ses quartiers à Cardin !
Vendredi 25 novembre à 18h, Espace Pierre Cardin (8e)

La Ville de Paris est heureuse de vous inviter à l’espace Pierre Cardin où le Théâtre de la Ville s’installera et déploiera une partie de sa programmation pendant les travaux de rénovation.

Vendredi 25 novembre, à l’occasion du vernissage de l’exposition Stereoptik et en présence de Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris, en charge de la Culture, l’équipe du Théâtre de la Ville lancera le programme « Cardin en fête », soit deux week-ends d’événements artistiques à découvrir en famille. 25 artistes, danseurs, musiciens, jongleurs et comédiens investiront l’Espace Pierre Cardin dans ses moindres recoins pour faire découvrir au plus grand nombre de nouvel écrin.

La Ville de Paris a mobilisé des moyens humains et financiers importants pour rénover et adapter l’Espace Pierre Cardin, mettant ainsi à la disposition du Théâtre de la Ville une grande salle de 600 places, une petite salle de 60 places, une galerie d’exposition, un jardin, un studio polyvalent, ainsi que des surfaces de bureaux à disposition des équipes du théâtre.

Personnalités présentes :
– Bruno Julliard, Premier Adjoint à la Maire de Paris chargé de toutes les questions relatives à la culture, au patrimoine, aux métiers d’art, aux entreprises culturelles, à la “nuit” et aux relations avec les arrondissements
– Emmanuel Demarcy Motta, Directeur du Théâtre de la Ville

Date et lieu :
Vendredi 25 novembre à 18h, Espace Pierre Cardin – 1 avenue Gabriel (8e)

Paris fait le choix de la culture pour mieux
lutter contre l’exclusion
Anne Hidalgo a fait de la lutte contre l’exclusion la « grande cause » de sa mandature. Elle a signé aujourd’hui quatre conventions entre la Ville, des associations et un établissement public, afin de développer des projets culturels qui contribueront à accompagner les personnes les plus fragiles.

Ces conventions sont conclues entre la Ville de Paris et la Fédération Nationale des Associations d’accueil et de Réadaptation Sociale (FNARS), Emmaüs solidarité, le Samu social et le Centre d’Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP).

La Ville de Paris et ses quatre partenaires s’engagent ainsi à promouvoir et à développer des actions culturelles pour lutter contre l’exclusion de ceux qui connaissent des difficultés sociales majeures. A l’occasion de cette signature, les représentants des associations et de l’établissement public présentent les projets concrets qui en découlent, en présence de Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire en charge de la Culture, et de Dominique Versini, adjointe à la Maire de Paris, en charge de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion.

Cette démarche s’inscrit dans le cadre du Pacte parisien de lutte contre la grande exclusion, co-signé par la Ville et de nombreux acteurs institutionnels en 2015, et doté de 106 mesures progressivement déployées d’ici 2020.

Paris, capitale des festivals !

 

La Ville de Paris favorise le développement de plusieurs festivals de musiques actuelles de grande ampleur sur son territoire. Elle accueillera donc le festival Lollapalooza les 22 et 23 juillet 2017.

Depuis plusieurs années, Paris contribue au développement de festivals sur son territoire, notamment dans les bois de Boulogne et de Vincennes, à l’image de l’arrivée de We Love Green en 2011 et du Weather Festival en 2013, sans oublier Solidays dont la Ville est le principal partenaire depuis plus de 20 ans. Cette démarche traduit la volonté municipale de proposer aux Parisiens une offre unique et diversifiée, à travers un large panel de manifestations de qualité, embrassant l’ensemble des esthétiques musicales, de la pop aux musiques électroniques, en passant par le jazz et les musiques classiques. En réunissant désormais plus d’un demi-million de spectateurs entre mai et septembre, ces festivals concourent ainsi pleinement à l’attractivité culturelle de la capitale. Ils complètent un paysage composé également de Villette Sonique, le dernier weekend de mai et de Rock en Seine, le dernier weekend d’août.

C’est dans ce cadre que la Ville de Paris a donné son accord pour l’accueil du festival Lollapalooza les 22 et 23 juillet 2017. L’arrivée de ce nouveau festival, déjà présent à Chicago, en Amérique du Sud et à Berlin, organisé par la société Live Nation, s’inscrit pleinement dans cette dynamique d’attractivité internationale, engagée à travers le schéma de développement touristique.

Sensibilisée par les acteurs indépendants de la filière musicale, la Ville restera néanmoins extrêmement attentive à la complémentarité entre les différentes manifestations musicales et à l’accessibilité de ces offres pour le public parisien. La collectivité parisienne affirme ainsi qu’elle sera particulièrement vigilante au bon développement de l’ensemble des festivals déjà présents sur son territoire, sans que cela ne se fasse au détriment d’un autre, et attentive à ce que les festivals indépendants conservent l’accès à la diversité des artistes.

« Paris est fière d’être parvenue à confirmer son statut de capitale des festivals de musique en tous genres, avec un public toujours plus nombreux », se félicite Bruno Julliard, 1er adjoint à la Maire de Paris, citant en exemple We love Green, qui a enregistré en 2016 une augmentation du nombre de festivaliers de 40%, ainsi que Solidays et son nouveau record de fréquentation établi en juin dernier.

Cette volonté d’équilibre s’inscrit dans la lignée de la création, en 2014, du Conseil Parisien de la Musique par l’exécutif municipal, qui concrétise la volonté politique forte de soutenir l’ensemble de la filière des musiques actuelles à Paris, avec une attention particulière portée à la situation des acteurs indépendants (producteurs, diffuseurs, labels, etc.) qui placent au cœur de leur démarche la prise de risque artistique et la diversité musicale.

Par ailleurs, la Ville de Paris, en partenariat avec le Centre national de la Chanson, de la Variété et du Jazz, a notamment créé en juin 2016 deux dispositifs de soutien aux salles parisiennes. Ils sont destinés, d’une part, à leur permettre de réaliser des investissements en vue d’améliorer l’accessibilité, l’insonorisation, la mise aux normes et la sûreté de leurs locaux et, d’autre part, de soutenir des activités de production et de diffusion relevant de l’intérêt général (soutien à l’émergence et à l’indépendance, prise de risque et diversité musicale).

Ces dispositifs ont jusqu’à présent permis de soutenir plus d’une quinzaine de salles indépendantes, pour un montant de près de 650 000 euros.  D’ici 2020, la Ville engagera 2,5 millions par an en investissement et 600 000 euros en fonctionnement pour soutenir les salles indépendantes.

Jeff Koons offre Bouquet of Tulips à la Ville de Paris
et au peuple français comme un symbole d’amitié

Jeff Koons a annoncé lundi sa décision d’offrir à la Ville de Paris l’œuvre Bouquet of Tulips, lors d’une conférence de presse aux côtés d’Anne Hidalgo, Maire de Paris, et de Jane D. Hartley, Ambassadeur des États-Unis d’Amérique en France. La production de cette œuvre originale fait actuellement l’objet d’un appel au mécénat, coordonné par le Fonds pour Paris.

130 ans après que la France a offert la Statue de la Liberté aux États-Unis d’Amérique, l’artiste américain Jeff Koons a souhaité exprimer l’extraordinaire amitié franco-américaine qui perdure et s’épanouit depuis plus de 200 ans, en créant Bouquet of Tulips.

C’est à la suite de discussions entre Jeff Koons et Madame Jane D. Hartley, Ambassadeur des États-Unis d’Amérique en France et à Monaco, que l’idée d’offrir un tel symbole de l’amitié entre les peuples français et américain est née.

Jeff Koons explique : « Bouquet of Tulips symbolise l’acte d’offrir, représenté par la main tendue brandissant les fleurs aux couleurs vives. L’œuvre a été créée comme un symbole de souvenir, d’optimisme et de rétablissement, afin de surmonter les terribles évènements qui ont eu lieu à Paris il y a un an.  Bouquet of Tulips évoque la main de la Statue de la Liberté brandissant la torche. Je voulais faire un geste d’amitié entre le peuple américain et le peuple français.

« Cette œuvre dialogue également avec le Bouquet de l’Amitié de Pablo Picasso et avec sa sculpture La Femme au vase autour de l’acte d’offrir. En regardant cette sculpture, on peut aussi penser aux fleurs impressionnistes de Monet, aux fleurs rococo de François Bouchet ou de Jean-Honoré Fragonard. Les fleurs sont universellement liées à l’optimisme, à la renaissance, à la vitalité de la nature et au cycle de la vie. Elles symbolisent la vie qui continue », détaille l’artiste.

Pour l’Ambassadeur Hartley, cette donation rappelle que « nos deux pays partagent énormément au niveau politique, économique et culturel mais, plus important encore, que la France et les États-Unis sont profondément attachés au principe universel de Liberté. Tout au long de l’histoire, lorsque l’un de nos deux pays s’est retrouvé en difficulté, l’autre a toujours été solidaire et l’a soutenu. L’art a le pouvoir de rassembler les gens de tous âges, toutes origines, toutes couleurs, toutes croyances. Il est source d’inspiration et d’espérance en l’avenir. »

« Que cet immense artiste décide d’offrir à la Ville de Paris l’idée originale d’une œuvre monumentale, symbolisant la générosité et le partage, témoigne de l’attachement irrévocable entre notre capitale et les États-Unis. La capitale de la France sera heureuse d’accueillir ce Bouquet of Tulips, œuvre emblématique qui a vocation à s’inscrire dans le patrimoine de Paris comme la Statue de la Liberté s’est inscrite dans le patrimoine de New York. Elle participera au rayonnement de notre ville à travers le monde et démontre une fois de plus à quel point Paris est une ville attractive dans le domaine de l’art contemporain », a salué Anne Hidalgo.

La production de cette œuvre originale fait actuellement l’objet d’un appel au mécénat, coordonné par le Fonds pour Paris. Noirmontartproduction est en charge du suivi de la production de l’œuvre et représente Jeff Koons dans ce projet.

L’œuvre devrait être installée dans le courant de l’année 2017, sous-réserve de l’obtention des dernières autorisations nécessaires. L’emplacement envisagé est la place de Tokyo, devant le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris et le Palais de Tokyo, deux institutions qui mettent à l’honneur le meilleur de l’art moderne et de l’art contemporain. Au cœur de la Colline des Musées, face à l’avenue du Président Wilson et en amont de l’avenue de New York et de la place de l’Alma qui accueille la Flamme de la Liberté, ce lieu reflète l’estime mutuelle qui lie les artistes français et américains depuis toujours.

Bouquet of Tulips
2016
Bronze polychrome, acier inoxydable et aluminium.

Dimensions  de la sculpture          
Hauteur : 10,40 m/11,66 m avec socle
Largeur : 8,35 m
Profondeur : 10,17 m

Anne Hidalgo dévoile la chapelle
 des Saints-Anges restaurée
Mercredi 23 novembre 2016 à 17h30, Place Saint-Sulpice (6e)

Après un an de travaux de restauration des peintures murales d’Eugène Delacroix à l’Église Saint-Sulpice, Anne Hidalgo, Maire de Paris, et Bruno Julliard, Premier adjoint en charge notamment du patrimoine, assisteront au dévoilement de la Chapelle des Saints-Anges restaurée.

Les peintures de la chapelle des Saints-Anges de Saint-Sulpice est le dernier chef d’œuvre de Delacroix et représentent l’aboutissement de la carrière du peintre, marquée par un retour aux sujets religieux.

Mercredi 23 novembre, Anne Hidalgo et Bruno Julliard dévoileront le résultat de cette restauration inédite. Une présentation de la restauration sera assurée par Marie Monfort, responsable de la Conservation des Œuvres d’art religieuses et civiles de la Ville de Paris, à 17h30. Elle sera ensuite suivie de l’inauguration officielle de la Chapelle des Saints-Anges à 18h30, aux côtés des nombreuses personnalités du milieu culturel et artistique, conviées à cette occasion.

Personnalités présentes :
– Anna Hidalgo, Maire de Paris.
– Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris en charge de la culture.
– Jean-Pierre Lecoq, Maire du 6ème arrondissement.
– Jean-Luc Martinez, Président-Directeur du musée du Louvre.
– François-Xavier Bieuville, Directeur Général de la Fondation du patrimoine.
– Dominique de Font-Réaulx, conservateur général du Patrimoine, directrice du musée Eugène Delacroix.

Date et lieu :
Mercredi 23 novembre 2016 à 17h30 à l’Église Saint-Sulpice (Paris 6e).

Bruno Julliard annonce une modernisation de l’accueil des tournages à Paris

A l’occasion d’une rencontre à l’Hôtel de ville de l’ensemble des professionnels de la filière tournage, Bruno Julliard,  Premier adjoint à la Maire de Paris en charge de la culture, dévoile aujourd’hui une série de mesures pour moderniser l’accueil  des tournages à Paris, sources d’emplois et de retombées économiques pour la Ville, et vecteurs de son rayonnement en France et à l’international.

Paris développe une politique volontariste pour encourager l’accueil des tournages dans la capitale et accompagner la production cinématographique et audiovisuelle. Dès 2007, le site parisfilm.fr, bilingue, destiné aux professionnels français et internationaux, a contribué à mettre en valeur la richesse du patrimoine de la Ville et à faciliter son accessibilité. Dans un contexte économique difficile, le bilan est particulièrement positif, le nombre de tournages accueillis demeurant remarquablement stable, avec près de 3.000 jours de tournages en 2015 représentant environ 900 tournages.
C’est dans cette perspective de modernisation que la Ville de Paris présente aujourd’hui une nouvelle étape de simplification avec le lancement d’une application, dès le 1er janvier 2017, qui permettra aux professionnels d’effectuer l’ensemble de leurs demandes de tournage en ligne et de payer les redevances de stationnement et d’occupation des  sites de la Ville de Paris à partir d’une facture unique et selon des modalités simplifiées. En parallèle,  une mise en commun des demandes d’autorisations de tournages entre la Ville de Paris et à la Préfecture de Police a été mise en œuvre.

« Faciliter l’accueil de tournage, c’est rendre Paris toujours plus attractive sur les plans culturels, touristiques et économiques. Véritables vecteurs de son rayonnement en France et à l’international, les tournages représentent un gisement de créativité et d’emploi parisien important que nous souhaitons soutenir », explique Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris.

 La Mission Cinéma / Paris Film : www.parisfilm.fr

Paris capitale de la Nuit européenne

Pour la seconde année consécutive, le classement des cent meilleurs clubs du monde place Paris en tête des métropoles européennes. Ce classement, publié par l’International Nightlife Association, distingue quatre clubs parisiens. Paris compte ainsi le plus grand nombre de clubs distingués dans une métropole européenne, à égalité avec Londres, et devant Berlin, Amsterdam ou Barcelone.   

Quatre clubs parisiens comptent parmi les 100 meilleurs clubs du monde. Le Queen, le Zig Zag, le Rex Club et la Concrete figurent en bonne place de ce classement. Avec ces quatre clubs, Paris est la métropole européenne la plus représentée dans ce classement.

« Cette place des clubs parisiens dans un classement international reconnu consacre le travail approfondi de la Ville de Paris pour soutenir le secteur de la Nuit, notamment les mesures mises en place avec le Conseil de la Nuit. Paris est réputée dans le monde entier pour son dynamisme nocturne et nous souhaitons aller encore plus loin. », salue Frederic Hoquard.

« La stratégie de développement du tourisme à Paris donnera une place au secteur de la Nuit. La vie nocturne fait partie des axes structurants de l’identité parisienne, nous voulons la valoriser et la promouvoir à l’international », ajoute Jean François Martins, adjoint à la Maire,  en charge du sport et du tourisme.

Retrouvez ici le classement de l’International nightlife association

250 séances de cinéma pour le jeune public
à Paris grâce à Mon premier festival

 

Mon premier festival, rendez-vous cinéma jeune public de la Ville de Paris, revient pour sa 12e édition du 19 au 25 octobre 2016, sous le parrainage de Cédric Klapisch. Paris poursuit sa politique active de soutien à l’éducation à l’image avec cette manifestation qui investit 12 salles de cinéma, le Forum des images et la Gaîté lyrique et propose au total plus de 250 séances, au tarif unique de 4€.

Initié par la Ville de Paris et organisé par l’association Enfances au cinéma, le festival permet d’éveiller, hors temps scolaire, le regard et la curiosité des jeunes Parisiens dès 2 ans en proposant une approche ludique et pédagogique du cinéma. Chaque année, pendant les vacances de la Toussaint, plus de 100 films sont programmés, dont une quinzaine d’avant-premières et de films inédits en compétition, sous les regards critiques d’un jury composé d’enfants de 8 à 10 ans.

La cérémonie d’ouverture du festival a eu lieu au Forum des images mercredi 19 octobre, avec la projection en avant-première de Ballerina, d’Eric Summer et Eric Warin, en présence de Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris, du parrain Cédric Klapisch et des étoiles de l’Opéra de Paris Aurélie Dupont et Jérémie Bélingard, qui ont collaboré à l’écriture chorégraphique du film.

Pour cette 12ème édition, le festival propose un cycle de films cultes, une thématique sport en écho à la candidature de Paris aux Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, un focus sur le cinéma américain, un hommage à Charlie Chaplin, Comme chaque année, de nombreuses animations sont proposées autour des films, des ciné-concerts et ciné-débats. Afin que cette belle programmation bénéficie au plus grand nombre, la Ville de Paris invite cette année encore plus de 2000 enfants et familles des quartiers populaires parisiens.

« Je me réjouis que Mon premier festival continue son expansion, avec plus de 27.000 entrées l’an dernier, et permette aux jeunes Parisiens de découvrir le cinéma en salles et de développer leur imaginaire grâce à une programmation à la fois exigeante et accessible. C’est une des actions emblématiques de la Ville de Paris en faveur de l’éducation à l’image » se félicite Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris, chargé de la culture.

Retrouvez le programme complet sur www.monpremierfestival.org et www.quefaire.paris.fr et le dossier de presse du festival.
Découvrez l’ensemble des actions de la Ville de Paris en faveur de l’éducation à l’image

Nuit Blanche 2016 :
Avant-première et inauguration 
Vendredi 30 septembre et Samedi 1er octobre

Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris, et Jean de Loisy, directeur artistique de Nuit Blanche, lanceront samedi soir la 15e édition de Nuit Blanche. Une visite presse, la veille, vous permettra de découvrir certaines œuvres en avant-première.

Autour du thème du franchissement et de l’amour, Nuit Blanche 2016 invite les Parisiens et les visiteurs à déambuler toute la nuit le long de la Seine. Samedi soir, Bruno Julliard et Jean de Loisy lanceront officiellement Nuit Blanche 2016 à 19h sur le Parvis de l’Hôtel de Ville.

Lancement de Nuit Blanche 2016 – Samedi 1er octobre à 19h, devant le Pavillon Circulaire/Parvis de l’Hôtel de Ville (4e)

Profitez de la Fête de la Gastronomie
à Paris !

Du vendredi 23 au dimanche 25 septembre 2016

A l’occasion de la 6e édition de la « Fête de la Gastronomie », Olivia Polski, adjointe à la Maire de Paris, invite les Parisiennes, Parisiens et touristes à découvrir et savourer la diversité des nombreux événements parisiens !

Paris, Capitale de la Gastronomie, est reconnue non seulement pour l’excellence de ses chefs étoilés mais aussi pour la diversité de son patrimoine culinaire, ses artisans de proximité, ses 82 marchés alimentaires et ses plus de 13.000 restaurants, bars et cafés.

Du 23 au 25 septembre, Parisiennes, Parisiens et visiteurs sont invités à fêter la gastronomie dans la capitale et découvrir les savoir-faire parisiens via un programme généreux : démonstrations culinaires, expositions, cuisine de rue, marchés, banquets ou conférences, téléchargez le programme surquefaire.paris.fr !

Cette 6e édition aura pour mot d’ordre « Les cuisines populaires » et met à l’honneur la cuisine du quotidien, invite au partage d’un repas, s’ouvre aux goûts d’ici et d’ailleurs. Si Paris est riche de ses savoir-faire, elle est aussi riche de son cosmopolitisme.

Olivia Polski, Adjointe à la Maire de Paris en charge du commerce, de l’artisanat et des professions libérales, ira à la rencontre des artisans parisiens et de leurs savoir-faire.

Vendredi 23 septembre
10h30 – 11h30 : Soupe des marchés de France
Plébiscitée en hiver et rafraichissante en été, il n’y a pas de saison pour la consommer. Pour la Fête de la gastronomie, elle devient le produit star invité au Marché Place des Fêtes. Dégustation gratuite.
Marché Place des Fêtes, Place des Fêtes, Paris 19e

14h00 – 15h30 : Inauguration du Village International de la Gastronomie.
Savourez le melting-pot culinaire avec le village international de la gastronomie ! 30 pays sont réunis autour d’une seule passion : la cuisine. Dégustations, cours de cuisine et ventes de produits seront proposés. Une invitation au voyage, à la découverte et au partage grâce à ce tour du monde gourmand au cœur de l’identité profonde des pays représentés.
Port autonome du Gros Caillou, Paris 7e

16h30 – 17h30 : Apprenons avec les chefs !
École Ferrandi Paris / Les Chefs de la Maison Dalloyau, assistés d’apprentis de l’École FERRANDI Paris, vous invitent à partager ce moment privilégié pour vous faire découvrir leur passion.
Amphithéâtre de l’École Ferrandi, 28 rue de l’Abbé Grégoire, Paris 6e

Samedi 24 septembre
17h00 – 18h00 : Les toqués du canard
Le canard s’invite dans les jardins du Palais Royal avec l’événement « Toqués de canard » qui réunira des grands Chefs étoilés autour du célèbre canard fermier des Landes.
En présence de Martine Pinville, Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Économie sociale et solidaire.
Jardins du Palais Royal, place Colette, rue de Montpensier, Paris 1er

Dimanche 25 septembre
10h30 – 11h30 : Les recettes populaires du Marché
Le marché d’Aligre, l’un des plus anciens de Paris, respire l’air joyeux des marchés populaires. Avec la Tente des Glaneurs, venez cuisiner des recettes élaborées à partir des produits du marché.
En présence de Martine Pinville, Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Économie sociale et solidaire.
Marché d’Aligre – Place d’Aligre, Paris 12e

Personnalités présentes :
– Olivia Polski, Adjointe à la Maire de Paris en charge du commerce, de l’artisanat et des professions libérales
– Martine Pinville, Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Économie sociale et solidaire.

Date et lieu :
Du vendredi 23 au dimanche 25 septembre 2016

Journées européennes du patrimoine :
une nouvelle édition pleine de surprises !

Samedi 17 et dimanche 18 septembre, des lieux mythiques, insolites et exceptionnels de Paris ouvrent leurs portes aux Parisiens et aux visiteurs, à l’occasion des 33e Journées européennes du patrimoine. Le thème de cette édition 2016 : « Patrimoine et citoyenneté ».

Avec plus de 350 visites ou manifestations soutenues par la ville, Paris ouvre de nouvelles portes, cette année encore, à l’occasion des Journées européennes du patrimoine (JEP). Cet évènement gratuit, qui avait séduit plus de 90 000 visiteurs en 2015, permet à tous de découvrir les joyaux de la capitale, dont certains lieux habituellement fermés au public.

« Le patrimoine, c’est une donne commune que nous partageons avec nos contemporains. Nous inscrire dans l’histoire d’un territoire à travers les témoignages et réalisations de celles et ceux qui l’ont façonné permet d’y puiser une énergie pour se projeter collectivement dans l’avenir. Le patrimoine est un trésor qui s’anime et fait sens dès lors qu’il rencontre nos regards. », souligne Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris.

Pour cette édition 2016, les établissements municipaux proposeront au public des rendez-vous étonnants dont « Les Journées du Matrimoine » qui mettront à l’honneur des artistes féminines, au fil de ballades urbaines et dans les musées de la Ville. Au musée Carnavalet, les visiteurs découvriront l’installation de Sheila Hicks ; au Petit Palais, une visite conférence mettra en lumière les femmes impressionnistes ; au musée d’Art moderne, une visite conférence présentera les œuvres du musée produites par des femmes artistes.

A l’Hôtel de Ville, la citoyenneté sera à l’honneur avec des stands dédiés au budget participatif et à la carte citoyenne. Comme chaque année, les agents de la Ville veillant à l’entretien de son patrimoine présenteront leur savoir-faire aux visiteurs. Enfin, la jeune création rayonnera avec l’exposition des étudiants en design de mode et métiers d’art textiles de l’école Duperré. Les œuvres présentées ont été réalisées à partir des anciens rideaux des salons de l’Hôtel de Ville qui ont été récupérés et recyclés par ces élèves pour en faire de véritables objets d’art.

Des nouveautés et des lieux exceptionnels seront proposés au public, lui permettant de découvrir les coulisses de Paris. Les Parisiens pourront ainsi visiter le chantier du plus grand campus de start-up au monde : la Halle Freyssinet; la Piscine des Amiraux proposera une visite guidée du chantier d’une des plus anciennes piscines de Paris, construite par Henri Sauvage ; la Villa Vassilieff donnera rendez-vous aux passionnés d’histoire invités à marcher sur les traces d’un patrimoine artistique exceptionnel ; pour la première fois, l’agence Roger Viollet donnera la possibilité aux amateurs de découvrir l’histoire et les archives d’une des plus anciennes agences photographiques françaises…

Du mercredi 14 au dimanche 18, un espace d’orientation sur les Journées européennes du patrimoine à Paris et d’informations sur le patrimoine parisien, accueillera le public au pied de la passerelle Senghor, rive gauche. Des visites guidées et ateliers seront également proposés aux plus jeunes par le CAUE pour découvrir et comprendre le paysage exceptionnel des berges de Seine.

Enfin, le public pourra prolonger ces journées en plongeant dans la richesse du fonds culturel des bibliothèques spécialisées et patrimoniales de la Ville de Paris, riche de plusieurs millions de documents. Celui-ci est désormais accessible via un nouveau portail dédié : www.bibliotheques-specialisees.paris.fr120.000 documents, des œuvres exceptionnelles et uniques sur de nombreux thèmes comme le cinéma, la mode, la musique… à disposition de tous.

Retrouvez l’intégralité de la programmation des Journées européennes du patrimoine surwww.journeesdupatrimoine.culturecommunication.gouv.fr.

kiosques2kiosques

Les nouveaux kiosques de presse: innovants, attractifs et à l’image de Paris
Au terme d’une troisième réunion de travail avec tous les groupes politiques du Conseil de Paris, Bruno Julliard et Olivia Polski ont présenté au public ce jeudi matin le nouveau modèle des kiosques de presse parisienne

Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire chargé de la culture et du patrimoine et Olivia Polski, adjointe chargée du commerce et de l’artisanat, ont présenté ce matin le nouveau modèle de kiosque de presse, retravaillé au cours des différentes réunions de travail avec tous les groupes politiques du Conseil de Paris.

Éco-performant, innovant, fonctionnel pour le kiosquier et attractif pour l’usager, le nouveau modèle de kiosque a pour objectif de répondre à des besoins pratiques, choisis en concertation avec les syndicats de kiosquiers pour devenir le « Kiosque du 21e siècle ».

Bruno Julliard a souligné « la valeur esthétique de cet objet épuré, au design inspiré des ateliers parisiens, qui s’intègrera parfaitement dans le contexte urbain de la capitale » .

Le kiosque proposé apportera une véritable amélioration des conditions de travail des kiosquiers. Les kiosquiers bénéficieront dans les 360 nouveaux kiosques d’un dispositif de chauffage, associé à un store déroulable, un plancher isolant et un vitrage amovible permettant une isolation thermique de la zone du kiosquier, l’ensemble garantissant une nette amélioration du confort thermique des kiosquiers et de leur protection face aux intempéries. Ils pourront aussi profiter d’un espace personnel dédié et d’un espace de vente repensé, modulaire, pour mieux mettre en avant la presse et les autres produits ou services proposés par le kiosquier. Les modalités d’ouverture du kiosque seront optimisées.
Olivia Polski a rappelé « l’engagement de la Ville de Paris dans le soutien à la vente de la presse écrite, la diffusion de la presse et l’amélioration des conditions de travail des kiosquiers. Ces nouveaux modèles de kiosque de presse offriront un nouveau visage de la presse à Paris avec un accès à la presse renouvelé et attractif ».

Dans un contexte économique difficile pour la presse écrite, Anne Hidalgo a choisi de mener une politique volontariste de soutien à la vente de la presse écrite et aux kiosquiers de presse avec le déploiement de 360 nouveaux kiosques à Paris en remplacement des actuels kiosques devenus obsolètes. La Maire de Paris a par ailleurs souhaité, par une aide financière de 1,8 M€ par an aux kiosquiers, soutenir la vente de la presse écrite porteuse de démocratie et de débat public.

Nuit Blanche 2016, un
combat d’amour en songe
Anne Hidalgo, Maire de Paris, Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris, et Jean de Loisy, Directeur artistique de Nuit Blanche 2016 pour le Palais de Tokyo, ont présenté ce midi le programme qui sera proposé au public le soir du 1er octobre. Autour du thème du franchissement et de l’amour, Nuit Blanche 2016 invite les Parisiens et les visiteurs à déambuler toute la nuit le long de la Seine, de l’Hôtel de Ville à l’Île aux Cygnes et jusqu’au Paris de demain…

 

« Nuit Blanche s’inscrit dans le patrimoine culturel de Paris. Au-delà d’une réflexion sur la place de l’art contemporain dans l’espace public, il s’agit d’une rencontre entre de nombreux publics, en particulier les jeunes générations », a rappelé mardi Anne Hidalgo, en ouverture de la conférence de presse de présentation de la programmation 2016.

Samedi 1er octobre de 19h jusqu’au petit matin, les visiteurs seront plongés dans une histoire d’amour, amenés à traverser différentes épreuves de transformation de soi à la manière de Poliphile, héros de cette Nuit Blanche qui, dans un roman illustré italien de 1467, voyage en rêve à la poursuite de Polia dont il est éperdument amoureux. « Nous avons souhaité rassembler les passionnés de Nuit Blanche pour célébrer les artistes et créer avec eux un récit qui dise la beauté, les mystères et l’amour », a souligné Jean de Loisy.

Un parcours au cœur de Paris 

« Cet événement, qui rayonne dans le monde entier, sera cette année centré sur le fleuve. Il donnera à voir le rôle central que joue la Seine et ses canaux : espace de respiration et d’évasion, lien fort entre Paris et les autres villes de la Métropole, et à ce titre élément structurant de notre candidature aux Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 », a ajouté la Maire de Paris.

De l’Île de la Cité au Paris moderne du front de Seine, les visiteurs seront transportés dans un voyage dans le temps qui se poursuivra jusqu’au Paris de demain avec la Société du Grand Paris. En s’inscrivant dans le cœur de la capitale, articulé autour des Berges de Seine rives gauche et droite, Nuit Blanche sera l’occasion de découvrir la ville autrement avec un parcours pensé comme une cartographie symbolique qui convie le visiteur à vivre une quête amoureuse.

« Le retour des temps désirables », feuilleton imaginé par l’écrivain Yannick Haenel, publié en amont de Nuit Blanche, plongera le lecteur et le visiteur dans une version contemporaine du Songe de Poliphile. Épisode après épisode, le lecteur sera invité à suivre les péripéties dans lesquelles le protagoniste est entraîné à la suite de la réception d’une mystérieuse newsletter. En suivant les indications qui lui seront communiquées par un interlocuteur inconnu, et dans une quête de plus en plus enivrante, le héros sera amené à se rendre en différents endroits de Paris qui seront l’occasion de la rencontre des œuvres de Nuit Blanche.

Une Nuit Blanche en 12 chapitres

Quelques jours avant l’évènement, Abraham Poincheval, artiste français, guettera l’arrivée de Nuit Blanche du haut d’un perchoir de plus de quinze mètres. Les chats emblématiques d’Alain Séchas se posteront, quant à eux, gare de Lyon à la manière d’une famille regroupée sur le quai guettant le retour/l’arrivée d’un être cher.

Imaginée en 12 chapitres, Nuit Blanche offrira aux visiteurs la possibilité de découvrir l’œuvre d’Oliver Beer, artiste britannique, sous le pont des Arts, qui mixera en direct l’écosystème sonore de la Seine. Les visiteurs traverseront au début du parcours une mystérieuse forêt mise en scène par Stéphane Thidet sur la place de l’Hôtel de Ville. D’immenses morceaux de bois flottant sur un lac gelé composeront une sculpture vivante en perpétuel mouvement.

Le thème de l’amour sera au cœur de cette édition, à l’image du cœur réalisé par Fabrice Hyber pour l’affiche de Nuit Blanche. Un « atelier des cœurs brisés » distribuera des cœurs en fragments aux visiteurs qui pourront aller les faire réparer à la fin du parcours dans un grand « atelier de réparation des cœurs ».
Le visiteur fera également la rencontre des sculptures à l’équilibre précaire de Bridget Polk. Au fil de la nuit et accompagnée de performeurs, l’artiste américaine ne cessera de construire et de reconstruire le long des berges de Seine des totems fragiles, résultats d’un empilement incertain de pierres défiant les lois de la gravité. À l’approche de la fin du parcours, Alain Fleischer revisitera un projet de 1979 intitulé Autant en emporte le vent, et projettera sur un immense ventilateur à proximité du pont Bir-Hakeim l’image d’une femme fixant de manière imperturbable celle ou celui qui la regardera.

Gratuite et ouverte au grand public, Nuit Blanche 2016 permettra de retrouver tous les ingrédients qui ont fait le succès public et artistique de cet événement majeur parisien : une concentration d’œuvres dans l’espace public en plein air, des artistes internationaux émergents ou confirmés et une approche coopérative avec d’autres structures ou événements culturels.

De grandes institutions participeront activement au parcours comme le Musée du Quai Branly, le Petit Palais, l’Ircam, la Monnaie de Paris ou le Théâtre du Châtelet. De nombreux mécènes apporteront eux une aide financière ou matérielle. « Cela témoigne de l’engouement de tous les acteurs culturels pour cet événement dont le dynamisme et l’émulation font de Paris la capitale mondiale de l’art moderne et contemporain », a ajouté Bruno Julliard.

À propos de Nuit Blanche

Depuis 2002, la Ville de Paris organise Nuit Blanche, chaque premier samedi d’octobre. Il s’agit  de proposer un grand événement, populaire et festif, centré sur l’installation d’œuvres d’art dans  l’espace   public   ou   dans   des   bâtiments   parisiens   emblématiques.   Chaque   année,   cette manifestation  gratuite,  destinée  à  tous,  accueille plusieurs  millions  de  visiteurs.  Elle  se  décline également à l’échelon métropolitain.

Le  succès  rencontré  à  Paris  par  Nuit  Blanche  depuis sa  création  en  2002,  a  conduit  plusieurs capitales  et  grandes  villes  en  Europe,  mais  aussi  dans  le  monde,  à  organiser  leur  propre  Nuit Blanche sur le modèle parisien : de Bruxelles à Kyoto, de Melbourne à La Paz, plus de 25 villes organisent aujourd’hui cet événement.

Jean de Loisy et le Palais de Tokyo

Président du Palais de Tokyo depuis juin 2011, Jean de Loisy est commissaire d’exposition indépendant et a occupé diverses fonctions dans de nombreuses institutions culturelles comme au Centre Pompidou et à la Fondation Cartier. Il a participé à de nombreux événements internationaux dont la Biennale de Venise en 1993 et en 2011, organisé la Biennale de Gwangju en 1995 ainsi que des expositions historiques marquantes comme « Hors Li- mites – l’art et la vie » en 1995, « La Beauté » à Avignon en 2000, ou encore « Traces du sacré » au Centre Georges Pompidou en 2008, « Monumenta/Anish Kapoor » au Grand Palais en 2011. Il a conçu cette édition de Nuit Blanche avec l’équipe de commissaires du Palais de Tokyo pour promouvoir la création émergente.

Retrouvez Nuit Blanche sur www.nuitblanche.paris.

A partir du 26 septembre 2016, suivez la carte interactive de Nuit Blanche 2016 sur Instagram @nuitblanche2016 (conçue par BETC, partenaire créatif de Nuit Blanche 2016).

Téléchargez l’application Nuit Blanche 2016, disponible sur Iphone et Android (conçue par SMACH, partenaire de Nuit Blanche 2016).

Depuis 2002, Nuit Blanche propose un parcours dédié à l’art contemporain dans Paris. Cette année, cet événement qui fait rayonner Paris en France et dans le monde, se déroulera le samedi 1er octobre. Nuit Blanche 2016 propose un parcours sur le thème du franchissement et de l’amour, qui fera parcourir la ville en continu, le long de la Seine, de l’Hôtel de Ville à l’Île aux Cygnes et jusqu’au Paris de demain.

Les visiteurs seront invités à traverser différentes épreuves de transformation de soi à la manière de Poliphile, héros de cette Nuit Blanche qui, dans un roman illustré italien de 1467 voyage en rêve à la poursuite de Polia dont il est éperdument amoureux.

Mardi prochain, Anne Hidalgo dévoilera la programmation de cette 15e édition, lors d’une conférence de presse exceptionnelle.

Personnalités présentes :
– Anne Hidalgo, Maire de Paris
– Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire de Paris, en charge de la culture, du patrimoine, des métiers d’art, des entreprises culturelles, de la nuit et des relations avec les mairies d’arrondissement
– Jean de Loisy pour le Palais de Tokyo, Directeur artistique de Nuit Blanche 2016
– Noël Corbin, Directeur des affaires culturelles de la Ville de Paris
– Jérôme Sans, co-Directeur artistique du Grand Paris Express

L’Hôtel de Ville accueille l’exposition « Coluche »
Du 6 octobre 2016 au 7 janvier 2017, à l’occasion du 30e anniversaire de sa disparition, l’exposition « Coluche » ouvrira au public l’univers inconnu de cet homme provocateur et incisif à l’humour décapant, cet amoureux de la vie menant à la fois sa carrière d’humoriste, de comédien, d’homme de médias ou créateur des Restos du Cœur.

Michel Colucci, dit Coluche est certainement l’artiste comique de scène, de cinéma, de radio, de presse, de télévision, le plus populaire de la deuxième partie du XXe siècle en France. Celui qui voulait être clown devint bien davantage.

« C’est l’histoire d’un mec »

Né à Paris, et orphelin de père à l’âge de trois ans, Coluche est élevé à Montrouge par sa mère, fleuriste à Montparnasse. Il grandit dans un environnement très modeste. Plus tard, il enchaîne les petits boulots avant de se rapprocher des cabarets et du monde de la musique. En salopette et t-shirt jaune, ses célèbres godillots aux pieds, Coluche arbore fièrement une salopette d’ouvrier du rail, en parfaite adéquation avec son nez rouge, ses pommettes rosies et sa coiffure, dite de « toréador ». Depuis sa plus tendre enfance, il aime le rythme (musical ou mécanique), le déguisement et l’outrance du trait pour mieux faire saisir la satire…

Un homme raffiné « toujours grossier, jamais vulgaire »

Coluche aime les belles créatures, les belles motos, les belles voitures… On se souvient de la moto au carénage rose du record à 252 km/h de moyenne. Coluche, c’est aussi un franc-parler qui aime à préciser : « Les gens confondent la grossièreté avec la vulgarité. Pourtant, si la grossièreté est une manière de dire, la vulgarité est une manière de ne pas être ». Il a pu choquer, faire rire, galvaniser et susciter l’adhésion, il a surtout stimulé la réflexion de tous ses publics.

Un sens aigu de la démocratie

Des planches à la scène politique, où il se présente comme candidat aux élections présidentielles en 1981, Coluche exhorte ses compatriotes et veut mettre en vigueur une démocratie réelle. Derrière son apparence de clown, c’est le sort injuste de milliers de personnes démunies en France qu’il dénonce. L’homme aime les gens et mettra sa notoriété au profit des autres, à travers Les Restaurants du Cœur.

Coluche, l’artiste généreux, a marqué les générations par ses mots, son outrance nécessaire, son esprit critique, son humour en toutes circonstances. L’exposition présentée à l’Hôtel de Ville met à l’honneur la vie de cet homme unique, curieux et raffiné, à travers les objets de son univers personnel, ses costumes, des photos, des vidéos et des témoignages illustrant la grande richesse et l’extrême diversité de ses intérêts.

Infos pratiques :
Du 6 octobre 2016 au 7 janvier 2017, salle Saint-Jean, Hôtel de Ville, 5 rue de  Lobau (4e)

 

Paris amplifie sa politique de soutien aux artistes pour développer la création

Avec près de 60 000 artistes en Ile-de-France et près de 300 lieux de diffusion régulière de spectacle vivant, Paris est l’une des capitales du monde où l’offre artistique et culturelle est la plus riche. 

Afin de maintenir ce dynamisme créatif, Bruno Julliard, premier adjoint à la Maire de Paris, en déplacement demain au Grand Parquet pour le lancement du nouveau projet, réaffirmera le soutien de la Ville aux équipes artistiques qui « travaillent et créent dans la Capitale et contribuent ainsi à faire vivre l’offre parisienne qui attire des publics et des artistes du monde entier ».

Pour améliorer les conditions de travail et de diffusion des artistes, Paris crée une nouvelle fabrique culturelle pour l’accueil et la création : le nouveau Projet du Grand Parquet. Située dans 18e arrondissement, cette nouvelle maison d’artistes accueillera tout au long de l’année des équipes en résidence pour des temps de création, de recherche et de diffusion.

Paris a confié en 2016 la direction de cet équipement à l’équipe du Théâtre Paris Villette. Sous l’impulsion de Valérie Dassonville et d’Adrien de Van, ce lieu permettra de combiner un projet  de création artistique contemporaine, véritable lieu de convivialité, ouvert sur le territoire, avec un projet culturel fort.

« Ce nouveau projet confirme notre volonté de développer des lieux de fabrique culturelle à Paris pour que notre capitale soit une ville toujours plus ouverte, portée par le dynamisme et l’imaginaire des artistes en création. Nous ouvrirons ainsi trois nouvelles fabriques culturelles durant la mandature, en créant ou transformant des sites existants pour permettre aux artistes de disposer de temps et d’espace pour créer, au contact des Parisiens », annoncera Bruno Julliard.

Le nouveau projet du Grand Parquet, fait suite à l’ouverture de la Villa Vassilieff, en février 2016 dans le 15e arrondissement dédié à l’accueil en résidence de plasticiens. Cette politique s’appliquera à tous les disciplines puisque Paris inaugurera en janvier 2017 le nouveau projet de Laetitia Guedon, les Plateaux Sauvages, dans le 20e arrondissement. Une nouvelle fabrique culturelle, consacrée aux arts du cirque, sera également lancée en 2018 dans le 13e arrondissement. Ces nouveaux équipements municipaux seront de véritables espaces de travail, de résidence et de diffusion associant une offre de pratiques amateurs, permettant un travail approfondi avec les habitants et le territoire.

800.000 € consacrés aux projets de création et de diffusion des artistes
Paris soutient les équipes artistiques dans leur démarche créative par la mise à disposition de nouveaux moyens financiers. Paris s’engage ainsi à financer dès la rentrée 2016 des projets de création et de diffusion sur le territoire parisien, toutes disciplines confondues – musique, spectacle vivant et arts visuels –  à hauteur de 800.000 € par an sur deux dispositifs majeurs.

Une aide à la diffusion désormais ouverte aux dépenses nécessaires à la création.
Pour enrichir toujours plus la diversité de l’offre parisienne et permettre aux artistes d’approfondir leur travail  de création, Paris consolide son dispositif de soutien à la création et à la diffusion. D’un montant maximum de 15.000 €, ces aides permettront aux artistes de financer une création n’ayant jamais été diffusée à Paris et d’accompagner ainsi la « prise de risque » et la diversité artistique.

Une nouvelle aide consacrée aux résidences de création artistique et culturelle.
Ce nouveau dispositif vise à soutenir les artistes en leur offrant un temps de travail pour la création et la recherche, tout en les incitant à développer des projets de médiation en lien avec le public (public scolaire, amateur, etc.). D’un montant maximum de 20.000 €, ces nouvelles aides permettront de démultiplier les projets de résidences artistiques à Paris et de faire participer les Parisiens au processus de création.
Chaque année, les équipes artistiques pourront soumettre leur projet à la Ville de Paris. Plusieurs commissions seront organisées chaque année, composée de représentants de la Ville et de la profession, par discipline, afin de sélectionner les projets qui bénéficieront de cette aide.

Paris Drone Festival : La Ville de Paris ouvre
des espaces à la pratique des drones de loisir
Paris accueille aujourd’hui son 1er festival de drones sur les Champs-Élysées. A cette occasion, Anne Hidalgo a présenté les lieux parisiens qui seront désormais ouverts à la pratique de loisir des drones : l’hippodrome de Longchamp et le Parc de la Villette.

2.600 PME travaillent aujourd’hui dans le secteur des drones civils en France et le secteur emploie plus de 5.000 personnes. La filière professionnelle du drone représente environ 60M€ de chiffre d’affaires en 2015 (hors chiffre d’affaires des ventes de drones de loisir). Dans ce domaine, 300.000 drones ont été vendus en France en 2015, contre 100.000 en 2014. Le marché devrait être multiplié par 10 d’ici quelques années. L’usage ludique des drones par des particuliers s’étend également.

Afin de répondre à la hausse de ventes de drones civils et à leur utilisation grandissante par des particuliers la Ville de Paris a décidé de valoriser une pratique responsable, sécurisée et respectueuse de la réglementation. C’est pourquoi elle a pris l’initiative, en étroite collaboration avec la Préfecture de Police et la Direction Générale de l’Aviation Civile, de soutenir l’organisation sur les Champs-Élysées du Paris Drone Festival, co-organisé par le Comité Champs-Élysées et l’agence Ubi Bene, et qui a eu lieu dimanche 4 septembre.

Un festival axé sur la pédagogie 

Cette première édition était axée sur la pédagogie et le rappel du cadre réglementaire applicable aux activités professionnelles et de loisirs des drones. Elle a permis de sensibiliser le grand public aux usages responsables des drones. Enfants, parents, professionnels du secteur, autorités publiques, associations, startups : tous étaient réunis autour de cette pratique en pleine expansion. Tout au long de l’après-midi, SNCF – partenaire principal du festival – la Préfecture de Police, le Groupe La Poste, DPDgroup, Yuneec, la Fédération Française d’Aéromodélisme (FFAM), la Fédération professionnelle du drone civil (FPDC), Cinemizer, VOGO Sport, ont réalisé des démonstrations d’usage de drones et présenté leurs innovations sur leurs stands d’exposition. Des ateliers gratuits pour les enfants, animés par des startups et des associations, ont également démontré que, derrière l’usage récréatif des drones, pouvaient se développer toutes sortes d’initiations à la programmation informatique et à la fabrication d’objets volants.

Le Paris Drone Festival a également accueilli, pour la première fois dans l’espace urbain, une course de drones regroupant 8 pilotes de drones de renommée internationale.

Bientôt deux zones pour la pratique de drone amateur à Paris

Lors du festival, Anne Hidalgo a annoncé la mise à disposition de deux zones d’aéromodélisme pour la pratique de drone amateur : l’Hippodrome de Longchamp et le Parc de la Villette. Ces sites permettront à tous celles et ceux qui le désirent de faire voler leurs drones, de sensibiliser les nouveaux pratiquants sur la réglementation applicable et les règles de sécurité ainsi que de s’initier sur l’utilisation de leur multi-rotor et de bénéficier d’un encadrement complet.

L’Hippodrome de Longchamp testera le dispositif en accueillant la première session de vol le dimanche 18 septembre. Le Parc de la Villette accueillera la suivante, le dimanche 16 octobre.

Les sites de vol bénéficieront d’un encadrement de la part de Fédération Française d’aéromodélisme (FFAM) qui s’appuiera sur l’Association Mini Racers (AMR) pour l’encadrement humain et l’initiation au vol grâce à la présence de 3 à 6 moniteurs/formateurs.

Ces sites de vol seront ouverts de 10h30 à 17h30, par créneaux de vol d’une heure. Ils seront accessibles à l’ensemble des usagers, débutants comme confirmés. Un débutant bénéficiera d’un encadrement individualisé par un moniteur durant tout le vol (durée de 7 à 8 minutes). Les modalités d’inscription et de pratique seront publiées prochainement par la FFAM et l’AMR, avec le soutien de la Ville de Paris.

La Ville de Paris se réjouit de la réussite de ce premier festival de drones, notamment grâce à l’expertise et la diversité de ses partenaires.

Dimanche, Paris accueille un festival
de drones sur les Champs-Élysées
Dimanche 4 septembre à partir de 14h, Champs-Elysées (8e)

Dimanche, Paris dédie la plus belle avenue du monde à un évènement inédit : le « Paris Drone Festival ». Gratuit et ouvert à tous, il aura pour temps fort une course de drones à laquelle participeront 8 pilotes venus du monde entier. Anne Hidalgo, Maire de Paris, ouvrira l’évènement et présentera les lieux parisiens qui seront désormais ouverts à la pratique de loisir des drones.

 

Dimanche, à partir de 9h du matin, les Champs-Elysées sont piétons. A partir de 14h, sous l’impulsion de la Ville de Paris, en étroite collaboration avec la Préfecture de Police et la Direction Générale de l’Aviation Civile, se tiendra le « Paris Drone Festival » co-organisé par le Comité Champs-Élysées et Ubi Bene.
Évènement festif, gratuit et ouvert à tous, il a pour objectif de valoriser le savoir-faire des entreprises du marché, leur créativité et leurs innovations, tout en faisant la promotion d’un usage responsable des drones par le grand public. Il s’adresse tant aux passionnés de drones, qu’aux futurs utilisateurs ou encore aux simples curieux, qui pourront appréhender en toute sécurité et légalité cette pratique en pleine expansion.
Pour les professionnels, l’utilisation des drones ouvre des perspectives inédites dans de nombreux secteurs : industrie, agriculture, sécurité et prévention, logistique urbaine, art et culture. Depuis quelques années, l’usage des drones s’est également démocratisé auprès des particuliers pour un usage de loisir.
Les temps forts de l’évènement
13h30 : Accueil de la presse pour le temps inaugural, à l’angle de la rue Lincoln
14h : Lancement du « Paris Drone Festival » par Anne Hidalgo.
Dans son mot d’ouverture, la Maire de Paris présentera les lieux parisiens qui seront désormais ouverts à la pratique de loisir des drones.
14h05 : Ouverture des stands au grand public et début des ateliers
La Ville de Paris accueillera sur son stand des ateliers gratuits d’initiation à la programmation et à la fabrication de drones, pour les enfants et les adolescents. Animés par des startups et des associations, ils s’inscriront dans la lignée des plans « Paris Cité  des Makers » et « Paris Code » portés par la collectivité parisienne.
14h20 : Lancement officiel de la 1ère course de drones.
8 pilotes français et internationaux, s’affronteront pour remporter la première course de drones de Paris, organisée par European Rotor Sport Association (ERSA) sous une immense volière. Au total, 12 courses se tiendront tout au long de l’après-midi, entrecoupées d’animations.
14h30 : Visite des stands partenaires par Anne Hidalgo et son adjoint Jean-Louis Missika
Tout au long de l’après-midi, SNCF – partenaire principal du festival – la Préfecture de Police, le Groupe La Poste, DPDGroup, Yuneec, la Fédération Française d’Aéromodélisme, la Fédération professionnelle du drone civil, Cinemizer, réaliseront des démonstrations d’usage de drones et accueilleront le public sur leurs stands d’exposition de drones.
15h20 : Démonstration d’un drone de livraison par La Poste
17h30 : Remise des trophées de la course de drones
18h : Fin du Paris Drone Festival
Plus d’infos sur : www.dronefestival.paris et www.paris.fr/drones
Personnalités présentes :
– Anne Hidalgo, Maire de Paris
– Jean-Louis Missika, adjoint à la Maire en charge de l’urbanisme, de l’architecture, des projets du Grand Paris, du développement économique et de l’attractivité
– Jeanne d’Hauteserre, Maire du 8e arrondissement
– Jean-Noël Reinhardt, Président du Comité Champs-Élysées
Date et lieu :
Dimanche 4 septembre de 14h à 18h. Champs-Élysées. Piétonisation de l’avenue dès 9h.
Accueil de la presse pour le temps inaugural à 13h30 à l’angle de la rue Lincoln
Sécurité :
Les drones personnels ne seront pas autorisés à voler pendant le festival.

Une exposition « Made in Paris »
à l’Hôtel de Ville 

Du 7 septembre au 22 octobre, l’espace Paris Rendez-vous – le concept-store de l’Hôtel de Ville – accueille une exposition gratuite consacrée au « Made in Paris ». Elle s’appuiera sur une sélection de produits donnant à voir le foisonnement du « Made in Paris ». Grâce à une mise en scène originale, organisée par arrondissement, elle donnera à voir les nombreux ateliers présents dans les quartiers et valorisera leurs savoir-faire spécifiques.

Au fil de plusieurs mois d’enquête, Christine Taconnet, auteure du guide « Made in Paris » (Editions du Chêne) a repéré des jeunes marques, retrouvé des manufactures centenaires, déniché des artisans de référence et des créateurs en plein envol qui révèlent la diversité insoupçonnée de la fabrication locale. Elle livre aujourd’hui plus de 200 adresses – historiques, haut de gamme, pointues, engagées… – qui n’avaient jusqu’à présent jamais été rassemblées.

Cette exposition, et le guide « Made in Paris », donnent ainsi aux Parisiens, Franciliens et touristes toutes les clés pour partir à la recherche de créations authentiques dans les rues de la capitale, du luxe au produit grand public. Pour mêler savoir-faire et plaisirs, ils proposent également des pistes aux gourmands : restaurants qui prônent le terroir local, maraîchers de proximité, gâteaux du répertoire parisien ou bonne bière du cru.

Des animations gratuites seront proposées aux visiteurs de l’exposition, telles que des dégustations de chocolats, de thés et de cafés « Ville de Paris ». Ces produits, sous licence commercialisée par la Ville de Paris, sont réalisés par les Comptoirs Richard, dont l’emblématique Brûlerie des Gobelins torréfie du café en grains depuis près de 60 ans.

Infos pratiques :
Vernissage le mercredi 7 septembre à 17h.
Exposition « Made In Paris », du 7 septembre au 22 octobre
Espace Paris Rendez-vous, 29 rue de Rivoli (4e)
Entrée gratuite, du lundi au samedi, de 10h à 19h

« Made in Paris, le guide qui prouve que l’on fabrique encore à Paris », Editions du Chêne
De Christine Taconnet – Préface de Yannick Alléno
Parution le 01/09/16 – Format : 150 x 210 – 160 pages –Broché

Une exposition « Made in Paris »
à l’Hôtel de Ville

Du 7 septembre au 22 octobre

La Ville de Paris et les Editions du Chêne invitent à (re)découvrir la richesse du « Made in Paris ». Pour la première fois, un guide dévoile la diversité de la fabrication locale, du luxe au produit grand public. A l’occasion de la sortie de cet ouvrage, l’Hôtel de Ville accueille une exposition gratuite à l’espace Paris Rendez-vous.

Du 7 septembre au 22 octobre, l’espace Paris Rendez-vous – le concept-store de l’Hôtel de Ville – accueille une exposition gratuite consacrée au « Made in Paris ». Elle s’appuiera sur une sélection de produits donnant à voir le foisonnement du « Made in Paris ». Grâce à une mise en scène originale, organisée par arrondissement, elle donnera à voir les nombreux ateliers présents dans les quartiers et valorisera leurs savoir-faire spécifiques.

Au fil de plusieurs mois d’enquête, Christine Taconnet, auteure du guide « Made in Paris » (Editions du Chêne) a repéré des jeunes marques, retrouvé des manufactures centenaires, déniché des artisans de référence et des créateurs en plein envol qui révèlent la diversité insoupçonnée de la fabrication locale. Elle livre aujourd’hui plus de 200 adresses – historiques, haut de gamme, pointues, engagées… – qui n’avaient jusqu’à présent jamais été rassemblées.

Cette exposition, et le guide « Made in Paris », donnent ainsi aux Parisiens, Franciliens et touristes toutes les clés pour partir à la recherche de créations authentiques dans les rues de la capitale, du luxe au produit grand public. Pour mêler savoir-faire et plaisirs, ils proposent également des pistes aux gourmands : restaurants qui prônent le terroir local, maraîchers de proximité, gâteaux du répertoire parisien ou bonne bière du cru.

Des animations gratuites seront proposées aux visiteurs de l’exposition, telles que des dégustations de chocolats, de thés et de cafés « Ville de Paris ». Ces produits, sous licence commercialisée par la Ville de Paris, sont réalisés par les Comptoirs Richard, dont l’emblématique Brûlerie des Gobelins torréfie du café en grains depuis près de 60 ans.

Infos pratiques :
Exposition « Made In Paris », du 7 septembre au 22 octobre
Espace Paris Rendez-vous, 29 rue de Rivoli (4e)
Entrée gratuite, du lundi au samedi, de 10h à 19h

« Made in Paris, le guide qui prouve que l’on fabrique encore à Paris », Editions du Chêne
De Christine Taconnet – Préface de Yannick Alléno
Parution le 01/09/16 – Format : 150 x 210 – 160 pages –Broché

Réaction d’Anne Hidalgo au

décès de Sonia Rykiel

« C’est avec une grande tristesse que j’apprends la mort de Sonia Rykiel, grande créatrice de mode et  icône parisienne.

Ses créations reconnaissables entre toutes, marquées notamment par le noir, les rayures, le strass et la maille, ont façonné un style unique, incarnant dans le monde entier l’esprit “Rive Gauche”.

Sa simplicité assumée, sa “démode”, ont, dans le prolongement de mai 68, libéré la femme, tout en façonnant l’image moderne d’une Parisienne à la fois féminine et affranchie, sensuelle et indépendante. C’est ainsi que des milliers de femmes ont pu découvrir et s’approprier ce style singulier et novateur.

Sonia Rykiel a porté avec éclat ses créations. Sa chevelure rousse, son humour, ses rires bousculaient les codes de la mode, la faisaient pétiller. Femme de passion, femme de caractère, elle était pleinement ancrée dans la vie et a lutté avec ardeur contre la maladie. Elle voulait être le symbole de l’allure et du style. Elle l’a été jusqu’au bout.

Au nom des Parisiens comme en mon nom personnel, j’adresse à sa famille et à ses proches et en particulier à sa fille Nathalie Rykiel, si proche de sa mère, toutes mes condoléances. »

Anne Hidalgo
Maire de Paris

Les Parisiens invités à célébrer le 72e
anniversaire de la Libération de Paris

Jeudi 25 août à 20h30, Parvis de l’Hôtel de Ville (4e)

À l’occasion du 72e anniversaire de la Libération de Paris, Anne Hidalgo convie les Parisiens et visiteurs, jeudi sur le Parvis de l’Hôtel de Ville, pour une prise d’armes et une évocation historique.

Paris, Ville Compagnon de la Libération, rend hommage à toutes celles et ceux qui se sont battus pour sa Libération en août 1944.

À 20h30, le parvis de l’Hôtel de Ville-Esplanade de la Libération, lieu emblématique de la capitale, accueillera une prise d’armes et une évocation historique autour du thème « 1940 : premières résistances », entre lectures intimistes, jeu de lumières et projections d’images.

De la Bataille de France au bombardement sur Paris en passant par l’exode, l’armistice du 22 juin et l’appel du Général de Gaulle, les Parisiens et visiteurs pourront découvrir les premières résistances face à l’oppression et la privation totale, notamment celle de la jeunesse parisienne qui, malgré les interdictions, a célébré ses aînés le 11 novembre 1940.

Personnalités présentes :
– Anne Hidalgo, Maire de Paris
– Phyo Min Thein, Gouverneur de Rangoun
– Catherine Vieu-Charier, adjointe à la Maire de Paris en charge de la mémoire, du monde combattant, Correspondant « Défense »
– Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’état aux anciens combattants et à la mémoire
– Jean-François Carenco, préfet de Paris et d’Ile de France
– Michel Cadot, préfet de police
– Général Bruno le Ray, Gouverneur militaire de Paris
– Général Philippe Boutinaud, commandant la brigade des Sapeurs-pompiers de Paris

Date et lieu :
Jeudi 25 août à 20h30, Place de l’Hôtel de Ville – Esplanade de la Libération (4e)

Le Musée national de la Marine à Paris Plages 

Cet été, le Musée de la Marine s’installe sur Paris Plages du côté du bassin de la Villette pour proposer de nombreuses activités ludiques autour du thème de la mer, pour les petits mais aussi les plus grands. 

Le Musée national de la Marine s’associe pour la première fois à Paris Plages, avec l’envie de démocratiser la culture et d’aller à la rencontre de tous les publics en délocalisant son savoir-faire.

A travers des activités artistiques et ludiques, le musée propose aux jeunes générations une sensibilisation au développement durable et à la protection de l’environnement, et plus particulièrement à celle du milieu maritime.

Au programme : jeu de l’oie, bataille navale géante, tableaux mimés et mise à disposition de BD et livres sur les pirates. Des ateliers de pratiques artistiques et de sensibilisation au recyclage sont aussi proposés aux 6-12 ans. Les centres de loisirs de la Ville de Paris participeront à cet événement culturel.

Informations pratiques

Le Musée national de la Marine à Paris Plages ouvert au bassin de la Villette, du lundi au vendredi de 14h à 18h. Les weekends et jours fériés, de 10h à 12h et de 14h à 18h. Pour les groupes, le matin sur réservation.

Le Louvre à Paris Plages : « au Royaume de Neptune »

Après le succès des deux années précédentes, le Louvre prend cet été encore ses quartiers sur la voie Georges Pompidou, à l’occasion de Paris Plages. Il propose aux Parisiens de poursuivre l’exploration des mythes et de découvrir le royaume de Neptune. 

A travers une exposition de reproductions d’œuvres et des activités gratuites, le musée du Louvre propose aux visiteurs de plonger dans les profondeurs de la mer, à la rencontre des créatures et des héros qui l’habitent. Les promeneurs peuvent admirer la collection du musée et l’exposition thématique, et avoir libre accès à une planche de jeux et un espace de consultation où il est possible d’emprunter des ouvrages du musée, des catalogues d’exposition, des bandes dessinées et des livres pour enfants.

Toute la journée, les médiateurs du Louvre animent des ateliers ludiques pour faire découvrir les mythes du monde marin aux petits et grands. Les matinées sont destinées aux enfants des centres de loisirs de la Ville de Paris et les après-midi, dès 14h30, les familles sont invitées à profiter des animations.

Chaque jour, le Louvre organise également une loterie permettant aux plus chanceux de remporter des billets d’entrée pour le musée.

Cette association entre le musée du Louvre et Paris Plages vise à aller au-devant d’un public de proximité et répond aux missions d’un musée ouvert à tous et dont le patrimoine appartient à chacun. En 2015, la seconde édition du « Louvre à la plage » a rencontré un franc succès : près de 8 000 personnes ont participé aux activités.

Informations pratiques

Le Louvre à Paris Plages est ouvert du lundi au vendredi de 13h à 18h30. Les mercredis et vendredis jusqu’à 20h. Le week-end, dès 10h. Au pied du tunnel des Tuileries.

Le Parc zoologique de Paris pose ses valises à Paris Plages

À l’occasion de Paris Plages, les animaux du Parc zoologique de Paris investissent les berges de la Seine ! Les promeneurs pourront ainsi découvrir la vie sauvage à travers une balade elliptique originale.

Associé à Paris Plages, le Parc zoologique de Paris propose au public une promenade ludique dans le monde animal sous forme de clins d’œil.

Les promeneurs pourront découvrir cinq caisses de transport, entendre des cris ou des chants d’animaux à tout moment de la journée et déceler le vrai du faux grâce à des panneaux de signalisation repensés par l’artiste Caroline Desnoëttes.

Cette rencontre elliptique entre les animaux du zoo et le public est une occasion unique de sensibiliser petits et grands à la fragilité de notre biodiversité grâce à u

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