NUNC! Gallery Infos

Samedi 1er février 2014 de 18 h à 21 h
C215 dédicace le dernier Opus Délits qui lui est consacré “un maitre du pochoir”, n° 41
textes de Christian Omédéo
Critères Editions
Collection Opus DélitsLa réputation de C215 n’est plus à faire. Dès que l’on parle de Street Art, cet artiste est dans toutes les bouches. Il est probablement l’un des pochoiristes les plus prolifiques. Ses grands visages multicolores sont allés se poser aux quatre coins du monde pour en dire toute la beauté, mais aussi toute la tristesse et la mélancolie. La poésie de C215 est le fruit de sa propre histoire. Un passé tumultueux qui donne beaucoup à dire et à montrer dans ses œuvres. Ses visages sont tantôt le reflet de la souffrance, tantôt celui de l’innocence. Ils représentent généralement des réfugiés, des SDF, ou au contraire, c’est le visage joyeux de sa fille, Nina, que l’on croise au détour d’une rue. D’années en années, de pochoirs en pochoirs, l’art de C215 s’étoffe, s’affirme et continue de nous étonner.Voilà pourquoi il était impensable de ne pas publier un nouvel et second Opus sur C215 (le premier étant le n°5), offrant ainsi aux lecteurs le privilège d’observer l’évolution de l’artiste, tant dans ses pochoirs que dans la conception intellectuelle de ceux-ci.

Jusqu’au 19 février 2014Ender – La comédie urbaine
Exposition du samedi 25 janvier au mercredi 19 février 2014
Opus Délits n°40
textes Chrixcel
Critères Editions
Collection Opus Délits
Pour Ender, la ville est un théâtre qui lui permet de (se) mettre en scène. Il propose plusieurs “histoires” à suivre à la galerie Nunc. Et nous invite à nous interroger sur le monde, à travers ses célèbres anges et gargouilles. Les autres oeuvres que comprend cette exposition n’en sont pas moins dénuées de sens, mais c’est à vous venir de les découvrir.
A partir 22 février au 5 mars
Exposition El Pradino
vernissage : samedi 22 février 2014 à 18 h.et dédicace de :
El Pradino
textes de Kalyan MISTRY
Critères éditions
Collection Obscura Lucida
(en librairie le 20 février 2014)
L’univers d’El Pradino est complètement atypique. Son imagination n’a de limites que celles de son écran (d’appareil photo ou d’ordinateur).El Pradino travaille l’art de la photographie pour composer des villes dans lesquelles règnent « la pagaille et l’effervescence », selon ses propres mots.
Ses photos retouchées décrivent la vitesse à laquelle les citadins vivent, mais aussi celle à laquelle tout évolue, à commencer par l’architecture qui ne cesse se transformer. Les objets de consommation, les marques de luxe, les panneaux publicitaires s’entassent dans les photos d’El Pradino comme elles le font dans la ville, ne laissant plus aucune place au respect du paysage et de l’environnement. L’occidentalisation à tout prix est représenté dans ses photos de villes asiatiques, métamorphosées par Mc Donald’s, Chanel, etc. De notre passé, seuls quelques édifices en sont les témoins.Agissant comme des contre-utopies, les œuvres d’El Pradino amènent à réfléchir sur notre avenir, mais surtout sur notre présent. Avons-nous vraiment envie de vivre dans ces villes où l’argent et la consommation sont maîtres mots ?

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