ONE

de Bel7 · 24 novembre 2015

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Bonjour

Je m’appelle Eva. J’ai 15 ans et je vis en Tanzanie avec ma famille. Mon père me dit qu’il aimerait que j’aie une meilleure vie que lui. Donc tous les jours, il travaille du matin au soir afin que je puisse aller à l’école.

Or, dans mon village, il n’y a pas d’eau potable. Je dois donc parcourir des kilomètres chaque jour pour aller chercher de l’eau à la rivière. Je préfèrerais être à l’école. Mais malheureusement, je n’ai pas le choix. J’ai donc besoin d’un petit coup de pouce.

Ensemble, avec ma communauté, nous avons décidé de mettre fin à cette situation.Nous avons donc écrit au gouvernement tanzanien afin qu’il tienne ses promesses et nous aide à avoir accès à l’eau et à d’autres services essentiels. Mais nous sommes toujours en attente d’une réponse.

Je crois que ma voix mérite d’être entendue. Accepteriez-vous de me soutenir dans ma démarche en signant la pétition ?

Le texte de la pétition est le suivant :

Chers dirigeants tanzaniens,
Nous vous prions d’agir au plus vite pour permettre à Eva, aux autres jeunes filles comme elle et à sa communauté, d’avoir accès à l’eau potable et aux services essentiels. Et assurez-vous que cela devienne la norme pour tous les Tanzaniens. Nous comptons sur vous pour montrer l’exemple et traduire les promesses faites lors de l’adoption des Objectifs de développement durable en actions qui permettront d’améliorer des vies.

Mon rêve serait de finir l’école et de devenir policière. Je pourrais ainsi prendre soin de ma famille et assurer la sécurité de ma communauté.

Je suis convaincue que si nous unissons nos voix, il est impossible de nous ignorer. Ajoutez votre voix à la mienne afin que tout le monde, mon gouvernement inclus, non seulement nous entende, mais nous écoute.

Merci par avance de votre aide

Eva Tolage, Mlowa, Tanzanie

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FAITES PASSER LE MOT

Bonjour,

L’an dernier, nos dirigeants ont pris des engagements forts envers les pays les plus pauvres du monde. Ils ont notamment reconnu qu’une plus grande partie de l’aide internationale devaient leur être allouée. Aujourd’hui, cette belle promesse semble être jetée aux oubliettes !

En effet, compte tenu du contexte international complexe – la crise des réfugiés provoquée par l’instabilité de certaines régions du monde, les enjeux de sécurité, etc. – certains gouvernements ont décidé de piocher dans l’aide internationale qu’ils ont promis aux plus démunis pour répondre à d’autres défis posés. Cette décision pourrait avoir un impact désastreux sur l’avenir des pays et des populations les plus pauvres. Ne déshabillons pas Pierre pour habiller Paul !

Mobilisez-vous aux côtés des 90 000 autres citoyens européens pour dire stop aux paroles en l’air. Signez notre pétition en un clic pour rappeler à l’Europe qu’il n’est pas question de choisir !

Le texte de la pétition est le suivant :

Chers dirigeants européens,

Répondez aux besoins des réfugiés en Europe tout en préservant l’aide promise aux pays les plus pauvres. Assurez-vous que l’aide internationale reste axée sur la lutte contre l’extrême pauvreté, en ciblant particulièrement les pays et les populations les plus démunis.

En effet, l’Europe a la responsabilité d’accueillir les réfugiés et de mobiliser les financements nécessaires pour répondre à leurs besoins et respecter leurs droits. Mais elle a également la responsabilité de tenir ses promesses de longue date envers les pays et les populations les plus pauvres.

N’oublions pas qu’il y a peu de temps, l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest a finalement pu être endiguée, notamment grâce à l’aide internationale. Un exemple parmi d’autres qui prouve qu’il est essentiel que l’aide internationale se concentre sur la lutte contre la pauvreté et les inégalités ainsi que sur l’accès aux services essentiels dans les pays les plus pauvres.

Nous avons besoin de la mobilisation du plus grand nombre de citoyens pour appeler l’Europe à montrer l’exemple. Signez la pétition en un clic :

http://act.one.org/sign/protegeons_les_plus_pauvres/?t=3&utm_source=email&utm_medium=email&akid=7813.6289707.X-Qnza

Merci de votre fidélité.

Sara Kianpour, ONE.org

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Bonjour,

À titre personnel et avec Tryo, nous avons été profondément touchés par les événements du 13 novembre dernier. Si les mots manquent, il est aussi nécessaire de rester debout, de défendre nos valeurs, de rester rassemblés face aux dérèglements du monde.

De part votre engagement aux côtés de ONE, vous êtes ainsi l’un des maillons essentiels de cette chaîne de solidarité construite avec le temps, qui a su faire bouger les lignes, obtenir des résultats, interpeller les dirigeants politiques…

En tant que membre de ONE, vous contribuez à construire un monde meilleur pour tous et à faire bloc contre la haine et l’obscurantisme. Faire bloc, c’est ne pas renoncer. C’est continuer. Et c’est exactement dans cet esprit que la France a décidé de maintenir la Conférence internationale sur le climat (COP21).

Le changement climatique est un enjeu mondial qui nous concerne tous, et qui touche particulièrement les pays les plus pauvres et les plus vulnérables. C’est pourquoi les dirigeants mondiaux doivent trouver un accord ambitieux et afficher une solidarité accrue envers ces pays, qui sont les moins responsables du changement climatique et qui en payent pourtant le plus lourd tribut.

C’est aussi dans cet esprit que je vous invite à porter un message haut et fort. Votre voix peut changer la donne. Comme moi, participez à la nouvelle campagne de ONE :

Climat : participe à la nouvelle campagne de ONE

http://act.one.org/go/2361?t=3&utm_source=email&utm_medium=email&akid=7697.6289707.M2ILsu

Votre mobilisation encouragera les dirigeants à allouer au moins 50% des financements publics internationaux pour le climat aux pays les plus pauvres et vulnérables. A l’heure actuelle, les pays riches n’allouent que 22% des financements aux pays les moins avancés.

Une aberration quand on sait que le changement climatique pourrait faire basculer 100 millions de personnes supplémentaires dans l’extrême pauvreté d’ici à 2030, particulièrement en Afrique subsaharienne. (Source Banque mondiale)

Aujourd’hui encore plus qu’hier, il en va de notre responsabilité de citoyens, et de celle des dirigeants politiques, de défendre une vision d’un monde où tous auraient les mêmes droits et les mêmes opportunités. Ce monde est à portée de main et il est urgent d’agir pour qu’il devienne réalité.

http://act.one.org/go/2361?t=5&utm_source=email&utm_medium=email&akid=7697.6289707.M2ILsu

Soyons solidaires.