Slow Joe & The Ginger Accident

Slow Joe & The Ginger Accident

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Slow Joe & The Ginger Accident
Nouvel album « Let me be Gone »
Sortie le 17 février 2017
Musique Sauvage / [PIAS]

 

Concert hommage :
28 mars 2017 – Café de la Danse (Paris)

 

Pour être invité le 28 mars au Café de la Danse au concert du Ginger Accident hommage à Slow Joe, merci de me confirmer votre présence.

The Ginger Accident publie un troisième et dernier album, hommage à leur ami Slow Joe décédé l’année dernière. Cet album posthume intitulé Let Me Be Gone sort le 17 février. Deux extraits, Temple Mosque Church et My Sway permettent déjà de découvrir la musique intense et électrisante de ce qui restera le testament blues et rock de ce groupe sans équivalent : Slow Joe & The Ginger Accident.

Slow Joe nous a quittés en mai 2016, alors que se finalisait Let Me Be Gone, son troisième album, qui sort de façon posthume. Tout au long de ce dernier album, habité et poignant, résonnent les mots de cet artiste hors normes qui célèbre la liberté, la vie, l’amour, tout ces valeurs auxquels Slow Joe s’était voué corps et âme, sans aucune concession. En dix chansons, Slow Joe se livre sans détour et fait de ce disque un dernier cadeau inoubliable.

Pour regarder et diffuser la vidéo de Temple, Mosque, Church :

https://youtu.be/QfFGWeEVB0I

Pour regarder et diffuser le clip de My Sway

https://youtu.be/jgc0FcKvuZQ

En décembre 2009, alors qu’il n’a jamais chanté que pour lui seul, Slow Joe quitte son Inde natale pour donner le premier concert de sa vie aux Transmusicales de Rennes. S’achève alors un demi-siècle d’errance entre Bombay, Goa et Dehli, à chanter l’amour perdu, les rêveries sombres, l’incapacité à s’inscrire dans la société humaine. Cinquante années qui ont forgé, au feu des drogues, de la solitude et de la rue, un timbre de voix profond et vibrant.

En 2007, le destin ou le karma comme il le disait lui-même, met sur sa lente et hasardeuse routeCédric de la Chapelle, musicien français en voyage dans la région de Goa.
La suite tient du roman : Cédric de la Chapelle rentre en France avec des heures d’enregistrement de chant a cappella. Depuis son home studio lyonnais, il arrange les chansons de Slow Joe et enregistre les premières maquettes. L’histoire aurait pu, aurait dû s’arrêter là. Le karma s’en mêle à nouveau, et les maquettes arrivent en 2009 aux oreilles de Jean-Louis Brossard, directeur des Transmusicales de Rennes, et défricheur de talent hors pair. Il n’a pas une seconde d’hésitation : il veut Slow Joe à l’affiche de son festival.

Cédric de la Chapelle retourne à Goa, retrouve Slow Joe, qui accepte l’invitation. Après des mois de discussions avec l’administration indienne pour redonner une identité officielle à celui qui vivait depuis des décennies sans le moindre papier, ils mettent tous deux le cap vers Rennes.
A son arrivée, Slow Joe découvre The Ginger Accident : Cédric lui a taillé un quatuor sur mesure pour l’accompagner sur scène. Devant des milliers de personnes, la magie opère. Le clochard céleste se révèle être un rockeur insoumis.
C’est le début de la grande aventure Slow Joe & The Ginger Accident, marquée par plus de 300 concerts et deux albums : Sunny Side Up (2011) et Lost for Love (2014).
Le 1er mai 2016, alors que se finalise le mix de son troisième album, Slow Joe est emporté par une rupture d’anévrisme foudroyante, à 73 ans. Il s’éteint chez lui, à Lyon, où il résidait depuis 2011.

Let me be gone, le troisième album de Slow Joe & The Ginger Accident sortira donc de façon posthume le 3 février 2017. Sentant son corps épuisé par une existence chaotique, le poète a chargé de toute son âme chacun de ses mots, pour les faire résonner au-delà des ténèbres qui s’approchaient. En dix chansons, Slow Joe se livre sans détour, un testament, l’ultime envol d’un artiste hors norme.
L’album s’ouvre sur Tambde Roza, un chant traditionnel en Konkani, la langue de Goa. Il parle d’une idylle impossible. Puis Swing Your Love laisse entrevoir sa philosophie qui fait de l’amour une aventure mystique, métaphysique. L’amour, encore, dans l’aérien Temple Mosque ChurchSlow Joe, sur un ton de prière, le reconnaît comme son unique religion.

Avec My Sway, le poète se fait roublard et décrit une relation miroir entre deux personnes complices et contraires… On pense tout de suite à son amitié avec Cédric de la Chapelle, à leurs destinées croisées au-delà de toute convention. I Was a Stooge est une incantation à la gloire des marginaux, des égarés, des démunis, dont il se revendique avec force et fierté.

Candy Sparkles invente une mélopée blues aux sonorités indiennes dans laquelle Slow Joe se dit avoir été gâté par tous ces petits moments de grâce qui égaient une existence, même précaire. Grandes influences indiennes encore dans Black Moon avec son groove conquérant et sa vision d’un monde proche de l’apocalypse. God Damn The Pusherman laisse s’échapper la colère de Slow Joe, qui supplie Dieu de maudire les dealers d’héroïne. Il est allé à leur rencontre pour apaiser ses souffrances, mais en échange ils lui ont volé ses plus belles années et ont anéanti tous ses amis.
She Makes Love Like Crazy nous fait vivre son rêve le plus intime, une liaison à la fois tendre et passionnée, amour charnel, amour apothéose, amour symbiose. Le rêve de toute une vie, une vie sans concession, sans compromis, une vie de fierté, une vie épique, une vie de liberté.

L’album se referme sur Silent Waves où Slow Joe demande à la mort de le réduire au silence, doucement, au milieu de la nuit, à l’heure où les gens s’aiment. Le chant du cygne.

Tournée hommage :

04.03 Poligny (39) – Le Moulin de Brainans 

18.03 Champ sur Drac (38) – Salle Navarre 

28.03 Paris – Le Café de la Danse 

14.04 Romans (26) – La Cordonnerie

18.08 Annemasse (74) – Festival Les Musical’été

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Slow Joe & The Ginger Accident
Nouvel album « Let me be Gone »
Sortie le 17 février 2017
Musique Sauvage / [PIAS]
Concert hommage :
28 mars 2017 – Café de la Danse (Paris)
The Ginger Accident publie un troisième et dernier album, hommage à leur ami Slow Joe décédé l’année dernière. Cet album posthume intitulé Let Me Be Gone sort le 17 février. Deux extraits, Temple Mosque Church et My Sway permettent déjà de découvrir la musique intense et électrisante de ce qui restera le testament blues et rock de ce groupe sans équivalent : Slow Joe & The Ginger Accident.
Slow Joe nous a quittés en mai 2016, alors que se finalisait Let Me Be Gone, son troisième album, qui sort de façon posthume. Tout au long de ce dernier album, habité et poignant, résonnent les mots de cet artiste hors normes qui célèbre la liberté, la vie, l’amour, tout ces valeurs auxquels Slow Joe s’était voué corps et âme, sans aucune concession. En dix chansons, Slow Joe se livre sans détour et fait de ce disque un dernier cadeau inoubliable.
Pour regarder et diffuser la vidéo de Temple, Mosque, Church :
 
Pour regarder et diffuser le clip de My Sway
En décembre 2009, alors qu’il n’a jamais chanté que pour lui seul, Slow Joe quitte son Inde natale pour donner le premier concert de sa vie aux Transmusicales de Rennes. S’achève alors un demi-siècle d’errance entre Bombay, Goa et Dehli, à chanter l’amour perdu, les rêveries sombres, l’incapacité à s’inscrire dans la société humaine. Cinquante années qui ont forgé, au feu des drogues, de la solitude et de la rue, un timbre de voix profond et vibrant.
En 2007, le destin ou le karma comme il le disait lui-même, met sur sa lente et hasardeuse route Cédric de la Chapelle, musicien français en voyage dans la région de Goa.
La suite tient du roman : Cédric de la Chapelle rentre en France avec des heures d’enregistrement de chant a cappella. Depuis son home studio lyonnais, il arrange les chansons de Slow Joe et enregistre les premières maquettes. L’histoire aurait pu, aurait dû s’arrêter là. Le karma s’en mêle à nouveau, et les maquettes arrivent en 2009 aux oreilles de Jean-Louis Brossard, directeur des Transmusicales de Rennes, et défricheur de talent hors pair. Il n’a pas une seconde d’hésitation : il veut Slow Joe à l’affiche de son festival.
Cédric de la Chapelle retourne à Goa, retrouve Slow Joe, qui accepte l’invitation. Après des mois de discussions avec l’administration indienne pour redonner une identité officielle à celui qui vivait depuis des décennies sans le moindre papier, ils mettent tous deux le cap vers Rennes.
A son arrivée, Slow Joe découvre The Ginger Accident : Cédric lui a taillé un quatuor sur mesure pour l’accompagner sur scène. Devant des milliers de personnes, la magie opère. Le clochard céleste se révèle être un rockeur insoumis.
C’est le début de la grande aventure Slow Joe & The Ginger Accident, marquée par plus de 300 concerts et deux albums : Sunny Side Up (2011) et Lost for Love (2014).
Le 1er mai 2016, alors que se finalise le mix de son troisième album, Slow Joe est emporté par une rupture d’anévrisme foudroyante, à 73 ans. Il s’éteint chez lui, à Lyon, où il résidait depuis 2011.
Let me be gone, le troisième album de Slow Joe & The Ginger Accident sortira donc de façon posthume le 3 février 2017. Sentant son corps épuisé par une existence chaotique, le poète a chargé de toute son âme chacun de ses mots, pour les faire résonner au-delà des ténèbres qui s’approchaient. En dix chansons, Slow Joe se livre sans détour, un testament, l’ultime envol d’un artiste hors norme.
L’album s’ouvre sur Tambde Roza, un chant traditionnel en Konkani, la langue de Goa. Il parle d’une idylle impossible. Puis Swing Your Love laisse entrevoir sa philosophie qui fait de l’amour une aventure mystique, métaphysique. L’amour, encore, dans l’aérien Temple Mosque ChurchSlow Joe, sur un ton de prière, le reconnaît comme son unique religion.
Avec My Sway, le poète se fait roublard et décrit une relation miroir entre deux personnes complices et contraires… On pense tout de suite à son amitié avec Cédric de la Chapelle, à leurs destinées croisées au-delà de toute convention. I Was a Stooge est une incantation à la gloire des marginaux, des égarés, des démunis, dont il se revendique avec force et fierté.
Candy Sparkles invente une mélopée blues aux sonorités indiennes dans laquelle Slow Joe se dit avoir été gâté par tous ces petits moments de grâce qui égaient une existence, même précaire. Grandes influences indiennes encore dans Black Moon avec son groove conquérant et sa vision d’un monde proche de l’apocalypse. God Damn The Pusherman laisse s’échapper la colère de Slow Joe, qui supplie Dieu de maudire les dealers d’héroïne. Il est allé à leur rencontre pour apaiser ses souffrances, mais en échange ils lui ont volé ses plus belles années et ont anéanti tous ses amis.
She Makes Love Like Crazy nous fait vivre son rêve le plus intime, une liaison à la fois tendre et passionnée, amour charnel, amour apothéose, amour symbiose. Le rêve de toute une vie, une vie sans concession, sans compromis, une vie de fierté, une vie épique, une vie de liberté.
L’album se referme sur Silent Waves où Slow Joe demande à la mort de le réduire au silence, doucement, au milieu de la nuit, à l’heure où les gens s’aiment. Le chant du cygne.
Tournée hommage :
04.03 Poligny (39) – Le Moulin de Brainans
18.03 Champ sur Drac (38) – Salle Navarre
28.03 Paris – Le Café de la Danse 
14.04 Romans (26) – La Cordonnerie
18.08 Annemasse (74) – Festival Les Musical’été
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