Stéphane Galland & (the mystery of) Kem

Stéphane Galland & (the mystery of) Kem

Stéphane Galland & (the mystery of) Kem
Nouvel album
Sortie le 26/10 chez Outhere Music
En concert à Paris le 30/10 à la Petite Halle
Stéphane Galland est un batteur d’exception au style très personnel. Il a acquis sa maîtrise des rythmes à travers ses rencontres et ses recherches, que ce soit auprès des Pygmées de Centrafrique, du maître sénégalais de la percussion Doudou Ndiaye Rose ou des spécialistes des figures rythmiques de la musique indienne. On retrouve Stéphane Galland fin octobre 2018 avec la sortie de son second album intitulé Stéphane Galland & (the mystery of) Kem.
Dans l’Égypte ancienne, « kem » désignait la couleur noire, comme celle du limon du Nil, de la terre noire, fertile. Un mot extrêmement positif pour une couleur souvent vue comme négative ou « diabolique ».
Pour ce voyage, Stéphane Galland est entouré de jeunes musiciens audacieux et talentueux : Sylvain Debaisieux (saxophone), Bram De Looze (piano), Federico Stocchi (basse) ; il est rejoint par l’un des plus grands joueurs de flûte carnatique, Ravi Kulur (Ravi Shakar, Anoushka Shankar…), originaire du Sud de l’Inde. L’album présente également Ibrahim Maalouf en invité (très) spécial sur le titre Memetics.
Avec (the mystery of) KEM, Stéphane Galland revisite les racines rythmiques où convergent toutes les traditions musicales qu’il a côtoyées et intégrées dans son propre langage. Il explore un espace spécifique qui permet l’intégration de tous ces concepts sans a priori ou limitation stylistique. Bienvenue sur la terre noire et mystérieuse de KEM.
Pour regarder et diffuser la vidéo de Kem :
Originaire de Berchem-Sainte-Agathe (commune de Bruxelles), Stéphane Galland s’est rapidement révélé comme un musicien d’exception. Développant un style très personnel, il acquiert la maîtrise des rythmes les plus complexes à travers ses rencontres et ses recherches, que ce soit auprès des Pygmées de Centrafrique, du maître sénégalais de la percussion Doudou Ndiaye Rose ou des spécialistes des figures rythmiques de la musique indienne tels que le Maître Umayalpuram K. Sivamaram.
Stéphane a également joué et enregistré avec Zap Mama, Joe Zawinul, Ozark Henry, Novastar…
En 2012, il crée son premier projet personnel « LOBI » (avec Tigran Hamasyan au piano, Carles Benavent à la basse, Magic Malik à la flute, Misirli Ahmet aux percussions et Petar Ralchev à l’accordéon), qui est salué par la presse Française et Belge. Il continue par ailleurs de participer à de nombreux projets tels ses duos avec Nelson Veras ou Malcolm Braff, le groupe Shijin (avec Jacques Schwarz-Bart, Malcolm Braff et Laurent David), Keyvan Chemirani & the Rhythm Alchemy, Alexandra Grimal “Naga”, et beaucoup d’autres. Il est depuis plusieurs années professeur de batterie et rythme avancé au conservatoire royal de Bruxelles (KCB) et donne régulièrement des master classes dans le monde. Stéphane tient les baguettes sur plus de 60 albums.
En Janvier 2014, Stéphane Galland rejoint Ibrahim Maalouf lors de sa tournée “Illusions” et fait depuis lors partie de son groupe pour les projets “Red & Black Light” qui termine sa tournée de concerts au « Accord Hotel Arena » de Paris (anciennement Bercy) devant plus de 17.500 personnes (à sortir en album+DVD en Décembre 2018), “Alice au pays des Merveilles”, “Levantine Symphony”, ainsi que de nombreux projets exceptionnels, tels “Queen of Sheba” avec la chanteuse Angélique Kidjo, ou “NY tonalism wars” avec Wynton Marsalis, il travaille également avec lui sur plusieurs musiques de films.
Stéphane sortira fin Octobre son second album qui s’intitule “Stéphane Galland & (the mystery of) Kem”, chez Outhere Music, qui réunit de jeunes talentueux musiciens Bruxellois, ainsi qu’un des plus grands flûtistes Carnatique (Sud de l’Inde) actuel : Ravi Kulur (Ravi Shankar, Anoushka Shankar). Ce projet est certainement son plus personnel, car il est nourri de toute l’expérience musicale, et en particulier rythmique, accumulée au cours de ses nombreuses rencontres multi culturelles, et des développements rythmiques contemporains qu’il continue à approfondir, notamment dans son projet de recherche et doctorat au conservatoire de musique de Bruxelles, section flamande (KCB).
Dans l’Égypte ancienne, « kem » désignait la couleur noire, comme celle du limon du Nil, de la terre noire, fertile. Un mot extrêmement positif pour une couleur souvent vue comme négative ou « diabolique ». C’est sur ce terreau symbolique que (the mystery of) KEM développe de nouveaux aspects rythmiques dont les schémas, les « danses » et les improvisations prennent racine dans la complémentarité Yin et Yang des pulsations rythmiques (égales/inégales).
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