Thierry SAMUEL

Communiqué de presse 25 septembre 2014 Thierry SAMUEL vous invite à découvrir sa nouvelle exposition photo en ligne Human focus (I) (cliquez ici pour visiter l’expo)

Vernissage Facebook et Twitter aujourd’hui le 25 septembre à partir de 19h

Les cycles se reproduisent sans cesse, au gré des saisons. Les grandes capitales du monde s’animent de mille formes qui déambulent et se reposent. Le contact avec l’autre, le toucher d’une matière, le relâchement de soi sont autant d’envies assouvies sous prétexte de soleil, de lumières et de petits bonheur.

Le photographe observe mais n’échappe pas à cet environnement. Il capte ses contemporains et les lieux qu’il arpente souvent avec une liberté nouvelle. Ainsi va le déroulement de cette promenade parisienne qui se ponctue de couleurs, de jaillissement des êtres et des lumières. Cette rencontre fortuite mais prévisible, se prolonge sur des cimaises immatérielles et vient ainsi s’offrir au spectateur.

Exposition et vernissage en ligne
Après “Des pas et déclics“, et “Versailles des songes” cette troisième exposition renouvelle l’expérience de vernissage en ligne. Par l’intermédiaire de la page Facebook du site thierrysamuel.com et de son compte Twitter, les visiteurs peuvent échanger en direct avec le photographe le jeudi 25 septembre de 19h à 21h.

A propos de Thierry SAMUEL
Depuis plus de 40 ans, Thierry SAMUEL est photographe ; on pourrait définir son mode d’expression proche du « réalisme poétique ».
Il expose aujourd’hui 4 décennies de photographie sur le site thierrysamuel.com. Sa production commence dans les années 1970. Il ne lui reste que peu d’archives de cette époque, éparpillées au cours de déménagements : quelques images des destructions des Halles de Baltard et quelques clichés d’une répétition de Claude François et Charles Aznavour au studio 101.
En revanche, dès les années 80, tout est intégralement conservé et disponible.
A partir des années 2000, le numérique côtoie l’argentique sans jamais devenir majoritaire. Très attaché à la technique du moyen format en noir et blanc, le numérique s’inscrit plus dans une gestuelle instinctive, d’images furtives en couleur. (Lire la bio complète en cliquant ici)