WEEK END Culturel à Bar le Duc

Week-end culturel à

       Bar le Duc

Nous vous présentons un nouveau chapitre de votre site culturel, aller dans nos belles provinces, car la culture n’est pas réservée aux seuls habitants des grandes métropoles.

Alors nous voici à Bar le Duc, préfecture de la Meuse, pour ceux qui ne savent pas où elle se situe, prenez une carte et cherchez en Lorraine. Très éprouvé pendant les deux dernières guerres, la citée n’a pas bénéficiée d’une bonne réputation, dommage l’endroit est plein de charme. Dans une petite vallée, en arrivant vous apercevez à droite la ville ancienne, dont ses remparts, son château reconverti en musée et ses rues vous ramènent aux temps jadis. A gauche la ville nouvelle, qui a suivit le baby-boom et qui ne brille pas par son architecture, mais qui a subit une rénovation plutôt bienvenue. Et entres ses deux collines, la partie qui s’est développé au le 20° siècle avec l’arrivée du chemin de fer, en plus du canal déjà pôle du commerce et des affaires. Mais revenons à nos moutons, C’est « Au Temps Perdu » tenu par Mathieu, joli lieu dans une maison ancienne, transformé pour le plaisir des amateurs de musique et de soirées entres amis, avec aussi des expositions comme les tableaux de Michel Boullet présenté en ce moment. Nous profitons d’un concert rare, Ian Déréat nous offre une prestation réussie, pourtant difficile, seul sur scène avec ses guitares et son répertoire de blues fait de reprises et ses propres créations. Après une première partie et le son de la strat, c’est de sa superbe électro-acoustique Hoffner, qu’il nous a promené dans l’univers qui est le sien, particulièrement la reprise des Doors, un vrai plaisir. Il faut dire qu’un autre concert avais lieu ce soir là, comme quoi on ne s’ennuis pas en fin de semaine dans nos citées. La ballade continue en s’arrêtant grignoter au « Vin et Fourchette », Stéphanie nous propose des plats autours de bons produits. Pour être franc il y avait aussi un salon des antiquaires, et une très intéressante exposition photo de Estelle Lagarde, dont les œuvres sont d’un esthétisme élaborer, à la fois surprenant et plein de merveille. A moins de trois heures de train de Paris, il est parfaitement possible de profiter d’une belle région et de revitaliser ses neurones.

Mille mercis et bravo aux Barisiens, pour leur accueil et leur énergie a valoriser leur citée.

Texte et Photos de Frédéric Jougleux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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