ANNE & ARNAUD
PROGRAMME RENTRÉE 2019 LES ESCALES |
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En librairie le 17 janvier
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**N’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez recevoir des exemplaires ou rencontrer les auteurs.**
L’Agence Anne & ArnaudContacts presse : Agence Anne & Arnaud
Pour Philippe Delerm :
Anne Vaudoyer 06 63 04 00 62 | anne@anneetarnaud.com
Pour Olivier Bourdeaut :
Arnaud Labory 06 22 53 05 98 | arnaud@anneetarnaud.com
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ÉVÉNEMENT | FORUM FNAC LIVRES
Leïla Slimani sera l’invitée d’honneur du second Forum Fnac Livres du 15 au 17 septembre.
Une centaine d’auteurs vous donnent rendez-vous à la rentrée à la Halle des Blancs-Manteaux (Paris). Le plus ? Tout est gratuit !
Du 15 au 17 septembre, la Fnac vous invite à venir rencontrer plus d’une centaine d’auteurs dont Leïla Slimani à la Halle des Blancs-Manteaux (75004, Paris)
Le 14 septembre 2017 paraîtra “Sur l’écriture” de Charles Bukowski (Au Diable Vauvert), une anthologie de textes inédits sur l’écriture, le quotidien d’une véritable légende américaine, icône de la contre-culture.
Les histoires, poèmes et romans de Charles Bukowski ont marqué notre culture. Cette sélection rassemble des textes inédits sur la création et l’écriture et dévoile la vie d’un artiste qui dit tout, la charge de travail nécessaire, la prudence et l’intransigeance de vivre et de créer.
On y lit la détermination et l’humanité complexe d’une véritable légende américaine, icône de la contre-culture et « porte-parole de l’Amérique d’en bas » qui a donné une voix aux opprimés, dépravés, méprisés.
Sombre, poignant, souvent hilarant et émaillé de phrases mémorables mais aussi de la dureté caractéristique de Bukowski, ponctuée de moments de grâce, de pathétique et d’aveux intimes, “Sur l’écriture” nous donne aussi à comprendre l’intimité d’un artiste dont l’œuvre est portée par cette idée centrale : « N’essaie pas. »
Le grand retour de Richard Ford
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Richard Ford publie le 24 mai Entre eux aux Éditions de l’Olivier. Après les aventures du célèbre Frank Bascombe et l’initiatique Canada, il nous livre un récit intime sous forme d’hommage à ses parents.
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En deux textes qui se répondent – «Au loin je me souviens de mon père» et «À la mémoire de ma mère» –, Richard Ford retrace la vie de ses parents : celle de son père, représentant de commerce sur les routes une bonne partie du temps jusqu’à sa mort prématurée ; et celle de sa mère, qui, après une enfance banale en Arkansas, le mariage et la naissance de son enfant, souffre des années de solitude, puis d’un cancer.
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Richard Ford, qui se trouve « entre eux », entre son père et sa mère, décrit ces deux existences dans ce qu’elles ont de plus banal et de moins extraordinaire, et pose la question : que reste-t-il d’une vie vécue ?
En marge de ses grands romans, ce livre sensible est l’hommage bouleversant d’un grand écrivain à ses parents, mais aussi une clé pour la compréhension de son œuvre. |
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Richard Ford est l’auteur de nombreux romans, dont un cycle consacré au personnage maintenant légendaire de Frank Bascombe comprenant entre autres En toute franchise, paru en 2015 aux éditions de l’Olivier. Canada, paru en 2013, a connu un énorme succès critique et public, et a été couronné du prix Femina étranger. En 2016, Richard Ford a remporté le prix Princesse des Asturies pour l’ensemble de son œuvre.
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Monsieur Toussaint Louverture publie un livre de Jack Black intitulé Personne ne gagne, le 1er juin 2017. De San Francisco au Canada, des trains de marchandises aux fumeries d’opium, de petites arnaques en perçages de coffres, des moments de désespoir et de solitude aux périodes fastes qui suivent un gros coup, Jack Black est un bandit de grand chemin : parfois derrière les barreaux, toujours en fuite. Avec une légère ironie, beaucoup de générosité et de compassion, il nous entraîne à l’aventure le sourire aux lèvres sur son terrain de jeu, l’Ouest américain au tournant du xxe siècle. Voici un homme qui ne tient pas en place, se joue des frontières et pour qui aucune ville n’est jamais trop loin.
Source d’inspiration pour Burroughs et Kerouac (et, d’après la rumeur, Warhol), livre de chevet de Pete Doherty ou de Michael Pitt (qui est en train de l’adapter au cinéma), authentique livre d’aventures qui décrit un Ouest pré-hollywoodien dans un style hardboiled, Personne ne gagne est aussi une plongée d’une brutale honnêteté dans l’histoire souterraine des États-Unis.
Vous trouverez en pièce jointe le communiqué de presse. Des articles sont déjà prévus dans Le Point, Rolling Stone, Vocable, Ouest France, L’humanité Dimanche et le Vif l’Express.
Voici trois extraits de ce grand livre :
Emiliano Monge, auteur mexicain sera à Paris du 5 au 15 juillet pour la sortie de son livre les terres dévastées aux éditions Philippe Rey. Ce roman sera en librairie le 24 août prochain.
Au milieu de la nuit et de la jungle mexicaine, des projecteurs s’allument : un groupe de migrants, trahis par leurs passeurs, est pris d’assaut par des trafiquants. Certains sont exécutés ; les autres, triés selon le sort qui leur est réservé, sont stockés dans des camions pour être livrés dans les montagnes alentour.
Sous la direction des deux chefs de bande, Estela et Epitafio, les convois prennent la route des montagnes. Façonnés par un passé que l’on devine odieux, ces amants contrariés jouissent de leur pouvoir et des souffrances qu’ils infligent. Obsédés l’un par l’autre, ils tentent vainement de communiquer, de se dire leur amour et leurs espoirs d’une nouvelle vie.
Tenu en haleine, le lecteur assiste à leur chute, naviguant entre les différents cercles de l’histoire – Estela et sa cargaison dans une direction, Epitafio dans une autre, son homme de main qui ourdit quelque vengeance, les jeunes passeurs qui répètent inlassablement leur triste tour, le macabre père Nicho dans l’orphelinat où tout a commencé – et le chœur des migrants, dont l’individualité s’effrite peu à peu et qui deviennent « sans voix, sans âme et sans nom ».
Dans ce récit où les êtres humains sont réduits à l’état de marchandises, où la violence règne, Emiliano Monge distille les essences d’une Amérique latine sauvage, met à nu l’horreur et la solitude, mais aussi l’amour, la loyauté et l’espérance qui combattent dans le cœur de l’être humain.
Tragédie moderne à la prose crue et rythmée, roman puissant, Les terres dévastées happent le lecteur dans un tourbillon à la fois émouvant et dérangeant.
Emiliano Monge est né à Mexico en 1978, où il a étudié les sciences politiques. Ancien éditeur et journaliste, auteur de trois
romans remarqués, il se consacre désormais totalement à l’écriture. Traduit dans plusieurs pays, Les terres dévastées a été
récompensé en 2016 par l’un des plus importants prix littéraires sud-américain, le prix Elena Poniatowska.
« Imaginez si vous pouviez lire un texte qui mêle la violence étouffée de Cormac McCarthy, la solitude destructrice de Malcolm Lowry,
l’inconfort de Roberto Bolaño, le désespoir glacé de Juan Carlos Onetti, le style sinueux de Juan Benet et l’ambition débridée de James
Joyce… » comme le résume avec brio El Periódico.
« Ceux qui s’approchent de ses pages doivent être prévenus. Comme Dante aux portes de l’enfer : abandonnez toute espérance. » El País
« La littérature de Monge est capable de changer la réalité. Il faut le lire et le relire.» Il Manifesto
« Une écriture d’un lyrisme tel qu’il faut la lire à voix haute. » El Universal
Celui qui va vers elle ne revient pas de Shulem Deen vient de paraître aux éditions Globe.
Il publie un livre essentiel aux éditions Globe intitulé, le récit d’un juif américain élevé dans une communauté hassidique qui va progressivement passer pour un hérétique car la pratique de la religion qu’on lui impose n’est plus en phase avec ses questionnements et son envie de s’ouvrir aux autres, d’être curieux et d’apprendre et d’analyser autre chose que les textes sacrés.
Lauréat du National Jewish book award.
Je voulais vous recommander à nouveau ce texte.
Vous trouverez en pièce jointe une première revue de presse avec notamment un portrait dans Le Figaro, une page dans Libération, deux pages dans l’Obs, ELLE, Le Quotidien…
Ce serait dommage de passer à côté de ce très beau livre.
A bientôt,
Léa Triomphe
Shulem Deen a été élevé dans l’idée qu’il est dangereux de poser des questions.
Membre des skver, l’une des communautés hassidiques les plus extrêmes et les plus insulaires des États-Unis, il ne connaissait rien du monde extérieur. Si ce n’est qu’il fallait à tout prix l’éviter. Marié à l’âge de dix-huit ans, père de cinq enfants, la première transgression de Shulem Deen fut minime : il alluma un poste de radio. Mais sa curiosité fut piquée et le mena dans une bibliothèque, puis sur Internet, et fit trembler les fondements de son système de croyance. Craignant d’être découvert, il sera finalement exclu pour hérésie par sa communauté et acculé à quitter sa propre famille. Dans ce récit passionnant, il raconte ce long et douloureux processus d’émancipation et nous dévoile un monde clos et mystérieux. Une expérience qui a propulsé l’auteur dans une remarquable carrière littéraire.
Vous trouverez ci-dessous des extraits du livre :
Voici le programme littérature d’avril-mai dont nous allons nous occuper à l’agence :
ÉDITIONS PHILIPPE REY
– Thomas King, La femme tombée du ciel, Éditions Philippe Rey, parution le 6 avril.
– Xu Zechen, Le faussaire suivi de La muette, Éditions Philippe Rey, parution le 27 avril.
ÉDITIONS DE LA MARTINIÈRE
– Éric Lange, Il ne nous reste que la violence, Éditions de La Martinière, parution le 6 avril.
ÉDITIONS GLOBE
– Wednesday Martin, Les primates de Park avenue, Éditions Globe, parution le 5 avril.
AU DIABLE VAUVERT
– Matt Suddain, Théâtre des dieux, Au Diable Vauvert, parution le 13 avril.
– Neil Gaiman, La Mythologie Viking, Au Diable Vauvert, parution le 18 mai.
– James Morrow, L’Arche de Darwin, Au Diable Vauvert, parution le 18 mai.
MONSIEUR TOUSSAINT LOUVERTURE
– Jack Black, Personne ne gagne, Monsieur Toussaint Louverture, parution le 1er juin.
Parler, composer, jouer une trinité indéfectible sur laquelle vont se pencher Karol Beffa, Hédi Kaddour & Guillaume Métayer à l’occasion d’une rencontre demain à 19h à la Maison de la Poésie : une soirée où se mêleront poésie, philosophie et musique. Karol Beffa publie demain aux Éditions du Seuil Parler, composer, jouer. Sept leçons sur la musique dont voici une présentation :
Fondé sur les cours dispensés par l’auteur au Collège de France, ce livre bouscule les limites du genre : compositeur et pianiste, mais aussi musicologue, diplômé en philosophie et en mathématiques, Karol Beffa met en œuvre une pédagogie qui s’appuie autant sur l’histoire de la musique que sur l’écoute directe d’œuvres, la littérature ou le cinéma, et permet de rendre accessibles des aspects de la musique aux non-spécialistes. Cette approche polymorphe lui permet en outre d’aborder tant la composition en elle-même, la musique contemporaine, l’improvisation, ou encore la question du plagiat et de l’imposture en musique, que des questions plus abstraites, comme les relations entre bruit, son et musique ou celle de progrès en art. En plus de cela, il abordera ce soir sa relation à la poésie.
B0019P 0756
Le 1er mars sortira en salles Trainspotting 2, le nouveau film de Dany Boyle adapté du livre d’Irvine Welsh.
Dans son nouveau roman, La Vie sexuelle des soeurs siamoises, à paraître le 23 mars, Au Diable Vauvert, Welsh plante le décor à Miami, temple de la culture du corps et de la consommation. Il sera à Paris les 30 et 31 mars pour la promotion de son livre puis à Bordeaux, invité d’honneur des Escales du Livre.
Lucy Brennan, coach sportif huppée de Miami Beach, méprise les faibles, les gros, les ratés. Mais elle va accepter comme cliente une femme à son exact opposé, artiste dépressive en surpoids. Une relation ambivalente et perverse, faite d’attraction et répulsion, se noue, et va bouleverser la vie, les modèles et les certitudes des deux femmes…
À coup de meurtre, de perversité, de revanche, mais aussi de sueur et d’une grande quantité de nourriture, de sentiments et de sexe, La Vie sexuelle des sœurs siamoises explore une grande obsession de notre temps, le corps et ses représentations. Foisonnant, drôle et addictif, c’est à la fois une histoire subversive qui évoque Bret Easton Ellis ou Hunter S. Thomson, un roman social affuté comme un thriller, mais aussi un conte de fée, à la sauce Welsh, dans une Amérique obsédée par les apparences, la marchandisation des corps et le pouvoir sur l’autre.
Né en 1958 à Édimbourg, romancier et nouvelliste traduit et primé dans le monde entier, Irvine Welsh est notamment l’auteur du cycle Trainspotting, adapté par Danny Boyle et devenu le symbole d’une génération. Il a reçu le Scottish Arts Council Book Award et le Saltire Society Scottish Book of the Year Award. Ses romans sont publiés au Diable vauvert et réédités en poche aux éditions Points.
Je reste évidemment à votre entière disposition pour toute demande. Des entretiens sont déjà prévus dans Libération, Le Point, L’Humanité, L’Equipe, Les Echos, Ouest-France, Usbek & Rica et des articles dans Le Figaro, Rolling Stone, La Parisienne.
livre de Shulem Deen intitulé Celui qui va vers elle ne revient pas, il ya une quinzaine de jours. Un formidable texte, le récit d’un juif américain élevé dans une communauté hassidique qui va progressivement passer pour un hérétique car la pratique de la religion qu’on lui impose n’est plus en phase avec ses questionnements et son envie de s’ouvrir aux autres, d’être curieux et d’apprendre et d’analyser autre chose que les textes sacrés.
Lauréat du National Jewish book award, l’auteur sera à Paris les 2, 3 et 4 mars.
Shulem Deen a été élevé dans l’idée qu’il est dangereux de poser des questions.
Membre des skver, l’une des communautés hassidiques les plus extrêmes et les plus insulaires des États-Unis, il ne connaissait rien du monde extérieur. Si ce n’est qu’il fallait à tout prix l’éviter. Marié à l’âge de dix-huit ans, père de cinq enfants, la première transgression de Shulem Deen fut minime : il alluma un poste de radio. Mais sa curiosité fut piquée et le mena dans une bibliothèque, puis sur Internet, et fit trembler les fondements de son système de croyance. Craignant d’être découvert, il sera finalement exclu pour hérésie par sa communauté et acculé à quitter sa propre famille. Dans ce récit passionnant, il raconte ce long et douloureux processus d’émancipation et nous dévoile un monde clos et mystérieux. Une expérience qui a propulsé l’auteur dans une remarquable carrière littéraire.
Vous trouverez ci-dessous des extraits du livre :
Des articles avaient été publiés en France lors la sortie du livre aux Etats-Unis :
Dans le Point
Dans le Monde
LA MARTINIÈRE NOIRE | RETOUR EN ISLANDE
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Après le succès de Snjór l’année dernière, découvrez le second livre de l’islandais Ragnar Jónasson : Mörk ( lire la suite)
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AU DIABLE VAUVERT | THRILLER ENVIRONNEMENTAL
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Géopolitique, écologie et service de renseignements sont au rendez-vous du nouveau polar de Catherine Fradier ( lire la suite)
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LES ESCALES | LE THRILLER AUX 38 TRADUCTIONS
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Véritable plongée sur la complexité de la mémoire, Jeux de miroirs de E.O. Chirovici vous tiendra en haleine de bout en bout ( lire la suite)
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AU DIABLE VAUVERT | VINTAGE GRÉGOIRE HERVIER
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Le polar rock de Grégoire Hervier est en sélection pour le Prix des lecteurs Quais du Polar / 20 Minutes ( lire la suite)
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L’auteur roumain E.O. Chirovici vient de publier son nouveau thriller Jeux de miroirs, aux éditions Les Escales.
Dans ce roman énigmatique, l’auteur parvient à nous faire douter de tout et de tous.
Jeux de miroirs est en cours de publication dans plus de 38 pays et les droits d’adaptation cinématographique ont été acquis par Hollywood.
E.O. Chirovici sera à Paris le 2 et 3 février.
Le livre :
Un jour, un agent littéraire, Peter Katz, reçoit un manuscrit inachevé intitulé Le Jeu des illusions. Son auteur y raconte ses années d’étudiant à l’université de Princeton, son histoire d’amour avec une brillante étudiante en psychologie et les liens qu’ils entretenaient avec le Professeur Joseph Wieder, ponte renommé de la psychologie cognitive aux mystérieux travaux sur la mémoire et les souvenirs.
Dès les premières pages, Katz est intrigué : le Professeur Wieder a été brutalement assassiné à la fin des années quatre-vingt, un meurtre sans mobile apparent et dont on n’a jamais retrouvé l’auteur. Le manuscrit semble contenir des révélations sur cet assassinat. Se pourrait-il que ce roman ne soit pas une fiction ? Malheureusement, le manuscrit s’arrête juste avant la révélation finale.
Persuadé d’avoir entre les mains un futur best-seller qui révélera enfin la clef de l’intrigue qui a tenu les États- Unis en haleine, l’agent tente d’en savoir plus. Mais l’auteur du manuscrit est décédé et le texte inachevé. Katz embauche alors un journaliste d’investigation pour conduire l’enquête et écrire la suite du livre. En menant des entretiens avec les protagonistes qu’il a pu retrouver, le journaliste se heurte à des fausses pistes, des souvenirs peu fiables et des faux-semblants… Et si la vérité avait plusieurs visages ?
Jeux de miroirs est en cours de publication dans plus de 38 pays et les droits d’adaptation cinématographique ont été acquis par Hollywood.
NATIONAL JEWISH BOOK AWARD 2015
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Celui qui va vers elle ne revient pas, un témoignage unique de Shulem Deen, juif hassidique qui a quitté sa communauté ( lire la suite)
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LA RÉVÉLATION
DU POLAR ISLANDAIS
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INVITÉ DES QUAIS DU POLAR
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Après Snjór, Ragnar Jónasson revient avec un nouveau polar Mörk chez La Martinière Noir ( lire la suite)
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LE FILS
DE HUNTER S. THOMPSON
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À PARIS DU 28 AU 31 MARS PUIS AUX QUAIS DU POLAR
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Juan F. Thompson, dévoile son enfance avec l’auteur génial de Las Vegas parano dans un livre ( lire la suite)
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LE RETOUR DE L’AUTEUR
DE TRAINSPOTTING
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Le plus déjanté des auteurs écossais, Irvine Welsh revient ce printemps ( lire la suite)
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LA SENSATION DE FRANCFORT
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INVITÉ DES QUAIS DU POLAR
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