EDEN

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EDEN
Nouvel EP i think you think too much of me
Disponible le 19/08 chez Caroline International
Après le succès du titre sex, le songwriter EDEN dévoile un nouvel extrait de son second EP i think you think too much of me.  Il s’agit de drugs que l’on découvre aujourd’hui en clip. Ayant grandi à Dublin, EDEN n’a jamais suivi les sentiers musicaux ordinaires et parvient à mélanger pop indé et musique électronique avec un style inimitable qui lui vaut déjà une large reconnaissance auprès du public anglo-saxon. Agé de 20 ans, chanteur, producteur et multi-instrumentiste, EDEN, de son vrai nom Jonathon Ng,souhaite offrir avec sa musique une expérience sensorielle inédite. Il a intitulé les quatre titres de son Ep : sex, drugs, and, rock & roll. Il mêle instruments organiques et synthétiques et chante avec son timbre intense et inimitable. A découvrir avec le clip de drugs :
Pour regarder et diffuser le clip de drugs
Lorsqu’il a commencé à chercher sa voie en tant qu’artiste, l’auteur-compositeur-interprète et producteur EDEN s’est fixé une seule règle : « faire quelque-chose dont je sois fier, même si personne ne l’écoute », explique le jeune Dublinois de 20 ans connu dans le civil sous le nom de Jonathon Ng. Sur son EP à paraître, i think you think too much of me, EDEN canalise sa passion pour l’innovation pour la transformer en électro-pop à guitare ultra-originale.
Sur i think you think too much of me, EDEN présente une série de quatre chansons reflétant parfaitement ses inclinations : « sex », « drugs » « and » « rock’n’roll ». « Le EP parle de mes attentes, et de la manière dont les choses signifient ce qu’on veut bien leur faire dire », explique Ng. « Il y a aussi l’idée que sous quelque-chose de superficiel, il peut y avoir quelque-chose de bien réel. Ca dépend comment on regarde. » Le concept développé par EDEN guide l’auditeur au long d’un voyage expérimental, lui faisant ressentir diverses émotions. Et bien plus encore.
Décrit par Consequence of Sound comme « de la pop teintée de synthés parlant de bien davantage que de ce qui se passe entre les draps », le single « sex » ouvrant i think you think too much of me a déjà été écouté plus de 2,5 millions de fois en ligne seulement quelques semaines après sa sortie. Le titre irrésistible a conquis Lorde, qui a posté le commentaire suivant sur la page facebook d’EDEN quelques jours après la parution du morceau : « J’adore ‘sex’. Ce titre a un effet très simple mais très intense sur mon cerveau ». Elle a ensuite ajouté qu’elle trouvait la chanson magnifiquement « bordélique, chargée d’émotion et nerveuse. »
i think you think too much of me, que l’artiste a réalisé seul dans sa chambre, affiche une candeur poétique inspirée par des artistes comme Frank Ocean. « Dans mes chansons, j’ai tendance à parler de pas mal de choses dont je ne parlerais à personne dans la réalité. C’est ma façon de gérer. » Sur i think you think too much of me, cette émotivité à fleur de peau nourrit le côté sombre fulgurant de « sex », le désespoir planant de « drugs » et la fragilité dépouillée de « and ». Et sur l’incontournable « rock & roll », EDEN mêle avec brio riffs de guitares bruts, beats entêtants et méditations fiévreuses sur l’ambition ou le manque d’ambition (« j’ai dix semaines de baratinage à passer en boucle jusqu’à ce que je me consume pour enfin disparaître »), avant que la chanson ne se dissolve en un dialogue de film incompréhensible.
Sur i think you think too much of me, EDEN fait preuve d’une richesse sonore qu’il doit, comme il le décrit si bien, à « tous les différents goûts musicaux par lesquels je suis passé dans ma vie », soulignant par la même occasion que ces phases passées ont inclus aussi bien des boy bands que Guns N’Roses ou Eminem. Ng, qui a grandi à Dublin, a appris à jouer du violon à sept ans à l’insistance de ses parents, et c’est grâce à cette formation classique qu’il a découvert son talent pour la musique. « Après ça, je me suis mis au piano à la maison, et un peu plus tard, j’ai emprunté la guitare de mon oncle et de ma tante et je m’y suis mis en autodidacte », raconte-t-il. « Je ne sais toujours pas lire une partition de piano ou de guitare, mais j’étais vraiment doué pour l’apprentissage de ces instruments et pour le déchiffrage des accords. » Adolescent, Ng était devenu totalement obsédé par la musique. « Mes deux objectifs dans la vie, c’était d’être astronaute ou musicien, et il m’a semblé que le second choix serait moins compliqué. »
Ng a ensuite fait partie de plusieurs groupes avec des amis, au sein desquels il s’est senti frustré de ne pas pouvoir exprimer sa créativité comme il l’entendait. Avec le succès d’artistes comme Skrillex et DeadMau5, il a réalisé qu’il pouvait faire de la musique sans groupe, seul avec son ordinateur. A 16 ans, il a commencé à créer de la musique électronique, se lançant par la même occasion dans la production, pour finalement publier des titres sous le nom d’Eden Project. Cette approche solo convenait bien à sa nature prolifique, et en trois ans, il a accouché de près de cent titres. « Une fois que j’ai une idée, je sais exactement à quoi la chanson finie va ressembler », confie-t-il. « En fait, je fais tout à l’instinct. J’ai une impression, je m’y fie et je me lance. »
Alors que sa musique évoluait vers une esthétique plus mélodieuse davantage axée sur la voix, Ng s’est rebaptisé EDEN, cédant dans la foulée à ses inclinations pop. En août 2015, EDEN a fait ses débuts avec End Credits, et bien que l’artiste n’ait fait aucun effort pour en assurer la promotion, le EP a très vite attiré l’attention et a été écouté en streaming plus de 30 millions de fois. EDEN a également bouclé sa première tournée US à guichets fermés. EDEN a continué sur sa lancée en sortant une reprise de « Billie Jean » de Michael Jackson en novembre 2015, un titre magnifique qui s’est hissé à la première place du classement HypeM et a recueilli un million de streams en une semaine.
EDEN, qui s’apprête à partir en tournée en Amérique du Nord et en Europe pour promouvoir i think you think too much of me, (parution chez MCMXCV/Astralwerks), continue de se laisser guider par sa créativité. « Je ne fais pas partie de ces personnes qui pourraient pondre un ‘sex v2’ et s’en contenter. Moi, c’est le progrès ou rien », dit-il. « J’écris selon ce qui me passe par la tête ou ce que je ressens à l’instant T, alors si je fais la même chose deux fois, c’est plutôt inquiétant. En tant qu’être humain, il faut savoir sans cesse évoluer, et encore davantage en tant que musicien. » Pour EDEN, cette évolution est étroitement liée à son cheminement personnel. « J’essaye juste de faire quelque-chose qui me semble réel et honnête », avoue-t-il. « Et si ça aide les gens, c’est super, mais je ne pense pas vraiment à ça quand j’écris. Faire quelque-chose dont je puisse toujours être fier, sans me soucier de ce que les autres en pensent, voilà mon but. »
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