FOUCHARD FILIPPI Infos

FOUCHARD FILIPPI

En 1992, Françoise Darmon fut à l’origine d’un premier ouvrage pionnier qui avait pour but de mettre en lumière la relation entre créateurs et entreprises. Vingt-cinq ans plus tard, avec le soutien de Corinne Calendini, Directrice Wealth Management d’AXA Gestion Privée et avec Philippe Apeloig en tant que Directeur Artistique de l’ouvrage, Françoise Darmon poursuit sa réflexion avec Du Sens dans l’Utile aux Éditions Skira.
Skira Editors
SAVE THE DATE
3 OCTOBRE 2017

FRANÇOISE DARMON

En 1992, Françoise Darmon fut à l’origine d’un premier ouvrage pionnier qui avait pour but de mettre en lumière la relation entre créateurs et entreprises.
Vingt-cinq ans plus tard, avec le soutien de Corinne Calendini, Directeur d’AXA Wealth Management et avec Philippe Apeloig, Directeur Artistique de l’ouvrage, Françoise Darmon poursuit sa réflexion avec Du Sens dans l’Utile aux Éditions Skira (parution décembre 2017).
Sur la base de huit collaborations emblématiques entre designers et entreprises – JCDecaux / Marc Aurel / Philippe Stark ; Galeries Lafayette / Jean Nouvel / Rem Koolhaas; L’Oréal / Viktor&Rolf; Renault / Ross Lovegrove; Saint-Gobain / les Sismo; Fondation de France / matali crasset), Du Sens dans l’Utile mettra notamment en lumière les enjeux très contemporains d’une relation toujours aussi féconde et fondamentale, vectrice d’innovation et tournée vers l’avenir.
Françoise Darmon présentera Du Sens dans l’Utile
le 3 octobre prochain à 9h00 lors d’un petit déjeuner de presse
à l’Hôtel de La Vaupalière, siège d’AXA,
25, avenue Matignon – Paris 8ème
Nous serions heureux de vous compter parmi nous à ce petit-déjeuner et vous remercions par avance de bien vouloir nous confirmer votre présence (nombre de places limité) :
Françoise Darmon crée en 1984 Creative Agent Consultants en vue de promouvoir la création en tant que facteur essentiel de rentabilité dans l’entreprise, et publie en 1992 l’ouvrage Du Sens dans l’Utile, 9 créateurs – 9 entreprises. Elle a ensuite été à l’origine de la mythique série télévisuelle Histoires d’Objets composée de cinq documentaires sur le design, coproduite et éditée par le Centre Pompidou (1995-2000). Membre bienfaiteur de l’ADIAF, Françoise Darmon a participé au comité de sélection du Prix Marcel Duchamp en 2017; présidente du Prix Découverte des Amis du Palais de Tokyo de 2011 à 2015. Elle est membre du cercle des amis de la Fondation Guerlain et membre du GAD – Groupe d’acquisition pour le design du MNAM-Centre Pompidou.
RELATIONS POUR LA PRESSE ET LES MEDIAS POUR LES ÉDITIONS SKIRA PARIS
Le Musée Guggenheim Bilbao célèbrera la clôture d’une année de célébration de son XXe anniversaire par la réalisation d’un exceptionnel spectacle de mapping video : Reflections.
Communiqué de presse
26 juin 2017
Version web
www.guggenheim-bilbao.es
Sponsors
REFLECTIONS
EXCEPTIONNEL MAPPING VIDÉO CÉLÉBRANT
LE XXe ANNIVERSAIRE DU GUGGENHEIM BILBAO
DU 11 AU 14 OCTOBRE 2017
Reflections
Le Musée Guggenheim Bilbao célèbrera la clôture d’une année de célébration de son XXe anniversaire par la réalisation d’un exceptionnel spectacle de mapping video : Reflections.

Reflections consistera en une projection vidéo à grande échelle sur le bâtiment iconique de Frank Gehry qui fera vivre aux spectateurs une expérience sensorielle unique afin de clore en beauté une année de festivités riche d’un programme spécial d’expositions et de nombreuses activités culturelles. En accès libre et gratuit, Reflections se déroulera du 11 au 14 octobre prochains grâce au soutien de la Ville de Bilbao, du Conseil Général de Biscaye et d’Iberdrola.

Avec Reflections, le bâtiment de Frank Gehry sera le théâtre d’une impressionnante intervention artistique réalisée par les vidéastes de la société londonnienne 59 Productions, qui a notamment réalisé la scénographie vidéo de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012.

Se fondant sur la phrase de Frank Gehry lors de l’inauguration du bâtiment – “Les courbes aléatoires sont conçues pour capturer la lumière” – les formes organiques en titane ainsi que l’Atrium de verre du Musée serviront de toile de fond à un spectacle de video mapping auquel pourront assister gratuitement plus de 200.000 personnes tout le long de 20 projections.

Réalisé avec le concours des technologies les plus récentes et une bande-son originale, ce spectacle évoquera deux décennies d’histoire et de créativité à Bilbao. Inspirées par cette remarquable renaissance, ainsi que par le design visionnaire de Gehry et son intérêt constant pour la lumière, la texture et le mouvement, les projections transformeront l’éblouissante création architecturale en un déploiement festif de lumière et de couleur.

Pour Leo Warner, directeur et fondateur de 59 Productions, “il s’agit là d’une commande exceptionnelle pour la célébration d’un bâtiment et d’une institution qui ont joué un rôle tellement significatif dans la transformation de Bilbao. Celle-ci représente incontestablement un de nos projets les plus intéressants à ce jour. L’architecture iconique de Gehry présente des défis techniques et des possibilités créatives auxquels nous n’avons jamais été confrontés jusqu’ici dans la création d’un spectacle artistique réalisé à partir de projections. Nous utiliserons du son, de la musique, de la lumière et des projections pour créer une pièce unique dont la vedette sera le propre édifice”.

Souvent primées, les réalisations de 59 Productions ont été à l’origine de la réalisation d’évènements spectaculaires pour des lieux parmi les plus emblématiques au Royaume-Uni (National Theater, Royal Opera House, Metropolitan Opera, Hampton Court Palace, Château d’Edimbourg) et dans le monde (Festival de Salzbourg, Opéra de Sidney, le château d’Edimbourg, siège des Nations Unies à New York).

Pour Juan Ignacio Vidarte, directeur général du Musée Guggenheim Bilbao : “il est essentiel pour nous de célébrer notre XXe Anniversaire avec force et en beauté en partageant cet événement avec le plus grand nombre d’habitants de Bilbao et de visiteurs. C’est tous ensemble que nous avons rendue possible l’extraordinaire transformation de Bilbao et montré au monde que « l’art change tout ». Reflections sera une expérience unique et inoubliable”.

Dates : 11, 12, 13, 14 octobre 2017
Horaires : 20h30 – 23h30 h (sous réserve de modifications)
Lieu : Avenida de las Universidades et abords
Durée du spectacle : Environ 20 minutes (sous réserve de modifications)
Accès libre et gratuit
Équipe

Directeur du projet: Leo Warner ; producteurs : Ollie Hester & Rebecca Collis ; design vidéo : Raphael Pimlott ; Design lumières : Ben Pearcy ; compositeur : Nick Powell ; animation : Aaron Brady, Jarek Radecki & Nicol Scott ; assistants de design : Matthew Taylor, Jose Macena ; design architectural : Marzio Scottoni ; directeur de production : James Roxburgh ; assistant technique : Maximilien Spielbichler, aide-technicien : Iain Syme.

Autres projets video mapping de 59 Productions :

Edité sous la direction de la galerie Jeanne Bucher Jaeger et concomitant avec l’actuelle rétrospective présentée au Musée Granet d’Aix-en-Provence, cet ouvrage de référence retrace l’histoire de cette mythique galerie parisienne qui s’est attachée depuis 1920 à défendre les plus grands noms de l’art moderne : Giacometti, Kandinsky, Vieira da Silvia ainsi que Jean Lurçat, le ami de Jeanne Bucher.
Skira Editors Communiqué de presse
9 juin 2017
Version web
L’HISTOIRE D’UNE GRANDE GALERIE PARISIENNE

PASSION DE L’ART :
GALERIE JEANNE BUCHER JAEGER

Edité sous la direction de la galerie Jeanne Bucher Jaeger et concomitant avec l’actuelle rétrospective présentée au Musée Granet d’Aix-en-Provence (3 juin – 24 septembre 2017), cet ouvrage de référence retrace l’histoire de cette mythique galerie parisienne qui s’est attachée depuis 1920 à défendre les plus grands noms de l’art moderne : Giacometti, Kandinsky, Vieira da Silvia ainsi que Jean Lurçat, le ami de Jeanne Bucher.
Le catalogue s’ouvre sur un portrait de la fondatrice, Jeanne Bucher (1872-1946), qui permet de découvrir le parcours hors du commun d’une femme profondément attachée à l’art et l’avant-garde de son époque. Elle lança notamment la carrière d’Alberto Giacometti et celle de Maria Helena Vieira da Silva, deux figures devenues emblématiques de l’histoire de l’Art du XX° siècle.
L’ouvrage retrace ensuite le parcours de Jean-François Jaeger au sein de la galerie. Quand en 1947 après la disparition de Jeanne Bucher, sa grand-tante, il prend la direction de la galerie, il est un tout jeune homme sans grande expérience. Si Vieira da Silva et Arpad Szenes lui font confiance et s’il demeure proche de Nicolas de Staël, artistes historiques de la galerie, il attire bientôt des créateurs aussi remarquables que Roger Bissière, Mark Tobey, Louise Nevelson ou Jean Dubuffet.
Ce panorama historique se clôt avec Véronique Jaeger, arrière petite-fille de Jeanne Bucher qui s’illustre elle aussi, par sa volonté de poursuivre l’œuvre de ses prédécesseurs.
Passion de l’art : Galerie Jeanne Bucher Jaeger est à la fois un hommage et un reportage intime sur une galerie reconnue par tous – amateurs d’arts, artistes, critiques – comme un des centres parisiens les plus actifs et ouverts à la création et l’avant-garde.
Argumentaire complet du livre
Parution : juin 2017
ISBN : 978-2-37074-062-5
Brochée à rabats
24 × 30 cm
176 pages
Illustrations : 130 couleurs
Prix de vente : 29 €
casso est le catalogue d’exposition d’une des premières manifestations du cycle « Picasso et la Méditerranée », exceptionnelle initiative internationale qui se tiendra de 2017 à 2019 et dans laquelle plus de soixante institutions ont imaginé ensemble une programmation autour de l’oeuvre « obstinément méditerranéenne » de Pablo Picasso.
Skira Editors Communiqué de presse
8 juin 2017
Version web
CATALOGUE D’EXPOSITION

FACE À PICASSO

Face à Picasso est le catalogue d’exposition d’une des premières manifestations du cycle « Picasso et la Méditerranée », exceptionnelle initiative internationale qui se tiendra de 2017 à 2019 et dans laquelle plus de soixante institutions ont imaginé ensemble une programmation autour de l’oeuvre « obstinément méditerranéenne » de Pablo Picasso.
Jusqu’au 31 juillet 2017, le Musée Mohammed VI présente la première exposition encore jamais consacrée à Picasso au Maroc. De la peinture à la sculpture en passant par les arts graphiques, Pablo Picasso s’est inlassablement attaché à travailler le thème de l’artiste et de son modèle. L’exposition vise ainsi à en révéler les infinies déclinaisons, de la période bleue aux années 1950, en passant par les expérimentations cubistes ou le classicisme des années 1920. L’ouvrage se compose de 11 sections autour du face-à-face entre l’artiste et son modèle autour des grands thèmes du couple, de l’autoportrait, de l’atelier ou encore de l’artiste démiurge.
Ce catalogue constitue ainsi un ouvrage essentiel en vue de mettre à jour et de comprendre les processus créatifs à l’oeuvre tout au long de la carrière de Picasso.
Pour mémoire, le Musée Mohammed VI (MMVI) fut le premier musée du Maroc indépendant consacré à l’art moderne. Il présente quatre cent œuvres d’artistes marocains, basés au pays ou à l’étranger, des XXe et XXIe siècles.
Argumentaire complet du livre
Parution : mai 2017
ISBN : 978-2-37074-055-7
Couverture cartonnée
24 × 28 cm
196 pages
Illustrations : 100 couleurs
Prix de vente : 35 €

 

Pour sa première édition, Beirut Design Fair réunit un comité de sélection exceptionnel attaché par ses origines ou par ses affinités à Beyrouth et au Liban. Ce comité de sélection est à l’image de Beirut Design Fair : une plateforme de rencontres et de talents où l’exigence croise la générosité, où il est question de diversités dans un esprit cosmopolite, où la mise en avant de la créativité s’inscrit dans un contexte économique et culturel.
Beirut Design Fair 2017 Communiqué de presse
22 mai 2017
BEIRUT DESIGN FAIR

DU 20 AU 24 SEPTEMBRE 2017 | BIEL | BEYROUTH, LIBAN

PRÉSENTATION DU COMITÉ DE SÉLECTION

BEIRUT DESIGN FAIR
Pour sa première édition, Beirut Design Fair réunit un comité de sélection exceptionnel attaché par ses origines ou par ses affinités à Beyrouth et au Liban. Ce comité de sélection est à l’image de Beirut Design Fair : une plateforme de rencontres et de talents où l’exigence croise la générosité, où il est question de diversités dans un esprit cosmopolite, où la mise en avant de la créativité s’inscrit dans un contexte économique et culturel.

La rencontre de professionnels reconnus du monde du design, de l’architecture et de l’architecture intérieure, du luxe, de l’institution muséale, de l’enseignement, apporte une expertise multiculturelle aux centres d’intérêts variés unis autour des critères du beau, du sens et de la pertinence.

Les membres du comité de sélection sont : Aline Asmar d’Amman (architecte, architecte d’intérieur, directrice artistique), India Mahdavi (architecte, architecte d’intérieur, designer), Marc Baroud (designer, directeur du département design de l’Académie Libanaise des Beaux-Arts), Marianne Brabant (du département moderne et contemporain du musée des arts décoratifs), Mathias Orhel (fondateur de m-0 conseil en recrutement de créatifs), accompagnent la sélection des exposants de la Beirut Design Fair et participeront à l’occasion du salon du 20 au 24 septembre 2017, à la sélection du Beirut Design Award récompensant la créativité et l’innovation.

BEIRUT DESIGN FAIR – COMITÉ DE SÉLECTION
ALINE ASMAR D’AMMAN
Culture in ArchitectureArchitecte, architecte d’intérieur et directrice artistique Aline Asmar d’Amman affirme depuis toujours son attachement aux liens entre culture et architecture.Née au Liban, installée à Paris, elle travaille entre le Moyen-Orient, l’Europe et les Etats-Unis.Parmi les réalisations en cours, la direction artistique de la rénovation de l’Hôtel de Crillon, la décoration de ses salons historiques et de leurs suites, une collaboration avec Karl Lagerfeld sur les ‘Grands Appartements’ qu’il décore, la transformation d’un immeuble de bureaux en hôtel lifestyle à Londres, la scénographie du terminal d’arrivée de l’aéroport du Bahreïn, des résidences privées à Riyad, Beyrouth, Lausanne et Paris.
INDIA MAHDAVI
Architecture et DesignArchitecte, architecte d’intérieur, designer, India Mahdavi est l’une des signatures incontournables de la création contemporaine internationale. A Paris, où elle a créé son studio en 2000, elle conçoit et dessine des résidences privées, de Paris à Londres, New York, Siwa en Égypte, mais également des hôtels, des restaurants, des boutiques.Ses objets, à commencer par les Bishop, font partie des icônes de l’art décoratif contemporain. Son univers cosmopolite, polychrome, solaire et généreux est influencé par le cinéma, l’art et le design.Imprimés abstraits et motifs figuratifs aux accents pop exaltent une culture nomade, puisant ses fondements dans la culture méditerranéenne, avec un attachement particulier aux villes où la lumière, la terre et la mer échangent des secrets millénaires, à l’image de Beyrouth.
MARC BAROUD
Designer, directeur du département design de l’académie libanaise des Beaux Arts – ALBABasé entre Beyrouth et Paris, la constellation créative de Marc Baroud s’étend du design expérimental aux pièces de galeries, de l’architecture à l’enseignement, seuls importent les collaborations et les processus de création où l’empathie, l’intuition développent une nouvelle manière de voir, de vivre, de penser l’espace.Du conceptuel au contextuel, il n’y a toujours qu’un pas pour Marc !
MARIANNE BRABANT
Département moderne et contemporain, Musée des Arts Décoratifs de ParisHistorienne de l’art formée à l’Université et diplômée de muséologie à l’Ecole du Louvre, Marianne Brabant travaille depuis douze ans aux Arts Décoratifs, institution parisienne dédiée aux arts décoratifs et au design.Au département moderne-contemporain du musée, elle participe actuellement à un projet d’exposition aux Arts Décoratifs de Paris dédiée à la scène design et créative libanaise.
MATHIAS ORHEL
m-OMathias Ohrel apporte de l’oxygène aux marques dans les secteurs à forte valeur ajoutée créative (mode, luxe, distribution, design, architecture, media, digital, culture) en recrutant pour elles les personnalités notamment créatives dont elles ont besoin.Mathias a l’œil ouvert en permanence sur les talents confirmés et émergents et son expertise, à la frontière des disciplines, est un regard unique sur le monde du design
Nichée dans une carrière souterraine dont les origines remontent au XVIe siècle, La Galerie Rouge sera un lieu d’expression et de rencontre entre créateurs contemporains parmi les plus innovants issus de l’univers des nouvelles technologies – cybernétique, réseaux sociaux, hacking, etc. – et le savoir-faire d’artisans œuvrant dans la tradition du compagnonnage.
Maison de la Pierre
16 JUIN 2017

OUVERTURE DE LA GALERIE ROUGE

NOUVEL ESPACE D’HYBRIDATION ENTRE ART CONTEMPORAIN, NUMÉRIQUE ET SAVOIR-FAIRE DES TAILLEURS DE PIERRE

Lieu consacré aux métiers de la pierre implanté au cœur des anciennes carrières de Saint-Maximin, la Maison de la Pierre inaugurera au public le 16 juin prochain 2017 un nouvel et monumental espace souterrain de 500 m2 : La Galerie Rouge. Celle-ci offrira un espace inédit et surprenant de création, d’échanges et d’hybridation entre art contemporain, art numérique et savoir-faire traditionnels des tailleurs de pierre.

Nichée dans une carrière souterraine dont les origines remontent au XVIe siècle, La Galerie Rouge sera un lieu d’expression et de rencontre entre créateurs contemporains parmi les plus innovants issus de l’univers des nouvelles technologies – cybernétique, réseaux sociaux, hacking, etc. – et le savoir-faire d’artisans œuvrant dans la tradition du compagnonnage.

Pour marquer cette ouverture, l’artiste français Christian Delécluse (né en 1974, vit et travaille à Paris) a conçu en réponse aux volumes exceptionnels des lieux une installation pérenne au titre en forme de clin d’œil duchampien : Inversion – l’encéphalogramme sismique de Marcel. Sur de 150 mètres de long, cette flamboyante fissure lumineuse en néon rouge épousera les fracturations naturelles de la roche calcaire tout en sillonnant le ciel souterrain de la carrière. Emblème d’une mémoire enfouie, ce “fil rouge” visera à interroger le rapport entre technologie et état naturel, questionnant l’apparente opposition entre nature et culture rappelant que le paysage anthropique de cette carrière de pierres est tout autant « naturel » que le néon… dont le gaz est lui-même issue de la nature. Symbolisant l’énergie des lieux, l’installation de Christian Delécluse ambitionne d’être le catalyseur d’un nouveau dynamisme mettant en lumière l’histoire de ce territoire.

Vibrations souterraines : un festival souterrain de la création artistique contemporaine

Au printemps 2018, un tel dialogue entre artisans traditionnels et artistes numériques se concrétisera au cours d’un événement entièrement consacré à la création numérique : le festival « Vibrations souterraines ».

Des productions collaboratives, issues d’une hybridation fructueuse entre artistes et artisans, seront présentées au public sous forme d’une exposition et de performances dans La Galerie rouge ainsi que dans l’ensemble des espaces de la carrière souterraine de la Maison de la Pierre. La Galerie rouge et « Vibrations souterraines » formeront ainsi une invitation au déploiement d’un vaste espace imaginaire. Plongés dans cette lumière rouge et confrontés à des réalisations insolites, les visiteurs déambuleront dans une dimension « autre », onirique et souterraine, comme s’ils étaient passés de l’autre côté du miroir, au cœur d’un paysage minéral et intemporel, vibrant au rythme des œuvres.

Christian Delécluse

Artiste et commissaire d’exposition Christian Delécluse, né en 1974, vit et travaille à Paris.

Imprégné par une culture hybride, à la fois classique et numérique, son travail interroge les états modifiés de conscience, la part animale de l’homme, la frontière entre technologie et nature, les “machines sensibles” et les “hasards objectifs”, et plus généralement tout ce qui participe au renouvèlement du regard des spectateurs sur le monde.

Christian Delécluse a enseigné pendant 10 ans à l’Ecole Spéciale d’Architecture (Paris) et à l’Université Paris 8 (Saint-Denis). Il intervient régulièrement dans des colloques ou des tables rondes sur des sujets ayant trait à l’art contemporain ou numérique.

Vernissage presse : 15 juin 2017

Le vernissage presse de La Galerie Rouge et d’Inversion – l’encéphalogramme sismique de Marcel se déroulera le jeudi 15 juin prochain au matin avec un départ prévu depuis la Gare du Nord.

 

PARTENAIRES :
Région Hauts-de-France Crédit Agricole
Organisée à l’initiative du CHRD de Lyon, l’exposition « LES JOURS SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quels furent les effets, réels et symboliques, de la privation de nourriture à l’échelle d’une société ? sont parmi les questions que pose l’exposition.
CHRD
Communiqué de presse
3 mai 2017
Version web
LES JOURS SANS

ALIMENTATION ET PÉNURIE EN TEMPS DE GUERRE

JUSQU’AU 29 JANVIER 2018

CENTRE D’HISTOIRE DE LA RÉSISTANCE ET DE LA DÉPORTATION

LYON, FRANCE

Trailer de l’exposition LES JOURS SANS. Alimentation et pénurie en temps de guerre.

Organisée à l’initiative du CHRD de Lyon, l’exposition « LES JOURS SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quelles nouvelles recettes furent inventées pour palier à la pénurie ? Qu’ont à nous dire les témoins de cette époque ? sont parmi les questions qu’aborde l’exposition.

The 8th edition of BEIRUT ART FAIR will take place from 21 to 24 September. In 2017, the focus will be threefold: to foster a spirit of expansion and renewal, to promote the discovery of young talents, and to unfold a new perspective on the recent history of creation and collecting in Lebanon.
Beirut Art Fair Press release
19 April 2017
Web version
THE FOCAL EXHIBITION OF BEIRUT ART FAIR 2017

NEW GALLERIES, YOUNG TALENTS & LEBANESE COLLECTIONS

BEIRUT ART FAIR

21 – 24 September, 2017
BIEL – Beirut, Lebanon

The 8th edition of BEIRUT ART FAIR will take place from 21 to 24 September. In 2017, the focus will be threefold: to foster a spirit of expansion and renewal, to promote the discovery of young talents, and to unfold a new perspective on the recent history of creation and collecting in Lebanon.

14 new galleries so far

14 new galleries have already confirmed their participation at BEIRUT ART FAIR 2017. Based in Argentina, Belgium, Chile, France, Italy, Morocco, Palestine, Qatar, Saudi Arabia, Switzerland and the United Kingdom, these new galleries are particularly keen to access the long-established art market that the Lebanese capital and its dense and diversified network of local and international collectors offers. This appeal is heightened by Beirut’s creative dynamism and traditional openness to the world – thanks to its global diaspora – and a level of freedom of expression and cultural diversity that is unique in the Middle East. In addition, of the 45 galleries who participated in 2016, 20 have already confirmed their renewed participation in the 2017 edition.

REVEALING

In keeping with the originality and specificity of the Lebanese capital, an increasing number of galleries have also made the choice to participate in the 2017 edition of BEIRUT ART FAIR by presenting their most promising young talents to collectors at the event. The success of the first edition of the REVEALING section in 2016 has prompted and increase in space in 2017, from 280 to 350 meters squared. And compared to this time in 2016, 35% more galleries have applied to the fair’s selection committee in order to showcase their chosen young artists.

OUROUBA, the focal exhibition of BEIRUT ART FAIR 2017

Curated by London-based, Lebanese-Iranian expert Rosse Issa, Ourouba, The Eye of Lebanon will aim to provide keys for understanding the specificity of the region’s contemporary art and art collectors. It will bring to light the aesthetic, conceptual and socio-political concerns that have surfaced in the Arab world over the last decade, focusing on the recent, complex history linked to the concept of “Arabicity”. It will feature choice loans from major private and institutional collections in Lebanon.

NOTE TO EDITORS

BEIRUT ART FAIR was created in 2010 and is directed by Laure d’Hauteville, an exhibition curator and former journalist.

BEIRUT ART FAIR’s Artistic Director is Pascal Odille, an expert in modern and contemporary art (member of C.N.E.S.). Marine Bougaran directs the fair’s “Projects” spaces.

Organized with the renewed support of Bankmed, the 8th edition of BEIRUT ART FAIR will take place from 21 to 24 September at the BIEL (Beirut International Exhibition and Leisure Center) in Beirut.

Following the success of the 2016 edition that brought together 45 galleries from 20 different countries, BEIRUT ART FAIR 2017 will feature the focal exhibition Ourouba, The Eye of Lebanon, an expanded REVEALING by SGBL section, the 6th edition of the BYBLOS BANK AWARD, the VIDEO BOX space presented by the MACAM, and a VIP program that gives exclusive access to the best Lebanese art collections.

Press release

BEIRUT ART FAIR – official website

La 8ème édition de BEIRUT ART FAIR se déroulera du 21 au 24 septembre prochains. Dans le droit fil de l’édition 2016, celle-ci sera placée sous le triple signe de l’expansion et du renouvellement, de la découverte de jeunes talents et d’une mise en perspective axée sur l’histoire récente de la création et des collections au Liban.
Beirut Art Fair Communiqué de presse
19 avril 2017
Version web
NOUVELLES GALERIES, JEUNES TALENTS & COLLECTIONS LIBANAISES AU PROGRAMME DE BEIRUT ART FAIR 2017

BEIRUT ART FAIR

Du 21 au 24 septembre 2017
BIEL – Beyrouth, Liban

La 8ème édition de BEIRUT ART FAIR se déroulera du 21 au 24 septembre prochains. Dans le droit fil de l’édition 2016, celle-ci sera placée sous le triple signe de l’expansion et du renouvellement, de la découverte de jeunes talents et d’une mise en perspective axée sur l’histoire récente de la création et des collections au Liban.

14 nouvelles galeries déjà présentes

Au moins 14 nouvelles galeries ont déjà confirmé leur participation à BEIRUT ART FAIR 2017. En provenance d’Arabie Saoudite, d’Argentine, de Belgique, du Chili, de France, d’Italie, du Maroc, de Palestine, du Qatar, du Royaume-Uni ou de Suisse, celles-ci souhaitent particulièrement aller à la rencontre d’un marché de l’art, très anciennement implanté et structuré, qui offre l’opportunité de trouver dans la capitale libanaise un réseau dense et diversifié de collectionneurs, locaux et internationaux. Une liberté d’expression et une diversité culturelle uniques au Moyen-Orient, le dynamisme créatif actuel de Beyrouth, l’ouverture historique à l’international du Liban – notamment via une diaspora présente dans le monde entier – figurent également parmi les critères premiers ayant motivé leur décision de participer à la foire. Par ailleurs, sur les 45 galeries déjà présentes en 2016, une vigntaine a également déjà confirmé leur participation à l’édition 2017.

Le révélateur REVEALING 

En phase avec la spécificité et l’originalité libanaise, un nombre toujours plus important de galeries fait également le choix en 2017 de venir à BEIRUT ART FAIR pour présenter auprès des collectionneurs leurs jeunes talents jugés particulièrement prometteurs. Le succès en 2016 de la première édition de la section REVEALING débouche en 2017 sur un déploiement plus important des espaces qui passent de 280 à 350 m2. À ce jour, un nombre de galeries en augmentation de 35 % postule auprès du Comité de sélection de la foire afin de pouvoir présenter un focus sur le jeune artiste de leur choix.

« OROUBA », l’exposition focus sur les collections libanaises d’art contemporain

Afin de pouvoir offrir les clefs d’interprétation pour comprendre la spécificité de l’art contemporain de la région et de ses collectionneurs, l’exposition OUROUBA, THE EYE OF LEBANON mettra en lumière les préoccupations esthétiques, conceptuelles et sociopolitiques qui ont vu le jour au sein du monde arabe ces dix dernières années. Ayant pour commissaire la curatrice et productrice libano-iranienne basée à Londres, Rosse Issa, cette exposition aura pour fil rouge l’histoire récente complexe liée à “l’arabité” et se fondera sur des choix de prêts issus des meilleures collections privées et publiques libanaises.

NOTA BENE

BEIRUT ART FAIR a été créée en 2010 et est dirigée par Laure d’Hauteville, commissaire d’expositions et ancienne journaliste.

La direction artistique de la foire est assurée par Pascal Odille, expert en art moderne & contemporain (CNES) et Marine Bougaran, directrice des espaces « Projects ».

Organisée avec le soutien de Bankmed, la 8ème édition de BEIRUT ART FAIR aura lieu du 21 au 24 septembre prochain au BIEL à Beyrouth.

Faisant suite au succès rencontré par l’édition 2016 qui avait réuni 45 galeries de 20 pays, BEIRUT ART FAIR 2017 présentera autour de l’exposition focus “OUROUBA, THE EYE OF LEBANON”, une section REVEALING by SGBL agrandie, la 6ème édition du BYBLOS BANK AWARD, l’espace VIDEO BOX présenté par MACAM et un programme VIP axé sur des visites exceptionnelles de collections privées libanaises.

Communiqué de presse

Site internet BEIRUT ART FAIR

EN CAPITALE(S) offre un regard panoramique sur l’ensemble de la carrière de l’artiste.
Skira Editors Communiqué de presse
19 avril 2017
Version web
Catalogue d’exposition

ORLAN EN CAPITALE(S)

Maison Européenne de la Photographie, Paris
Du 20 avril au 18 juin 2017

Parution : avril 2017
ISBN : 978-2-37074-052-6
Couverture reliée
24 × 27 cm
176 pages
Illustrations : 100 couleurs
Prix de vente : 39 €
Positionnement : Photographie, Art contemporain

Catalogue de la rétrospective que consacre à ORLAN la Maison Européenne de la Photographie (Paris) du 20 avril au 18 juin 2017, ORLAN EN CAPITALE(S) offre un regard panoramique sur l’ensemble de la carrière de l’artiste. Enrichi d’un entretien exclusif, il contient de nombreuses illustrations dont la reproduction d’œuvres exceptionnelles encore rarement présentées au public.
Publication de référence sur un parcours pionnier et engagé, ce catalogue retrace l’ensemble des étapes de la carrière d’ORLAN, depuis les années 60 qui furent marquées par la lutte contre les pressions politiques et religieuses exercées contre le corps des femmes jusqu’aux oeuvres les plus récentes.
Il révèle notamment – au delà des performances filmées d’interventions chirurgicales sur son propre corps qui l’ont fait connaitre auprès du grand public – qu’ORLAN est à l’origine d’une démarche originale et transdisciplinaire associant de nombreux domaines : nouvelles et biotechnologies, coproduction du premier magazine d’art contemporain numérique via le minitel, photographie dont cette rétrospective vient rappeler la place centrale dans son travail.
Auteurs
Jérôme Neutres

Directeur de l’ouvrage et commissaire de l’exposition, Jérôme Neutres est chargé de la stratégie et du développement à la RMN – Grand Palais pour laquelle il a notamment dirigé l’exposition sur Robert Mapplethorpe et Bill Viola en 2014. Il a récemment été nommé président exécutif du musée du Luxembourg.

Tatyana Franck

Directrice des archives Claude Picasso pendant plus de huit ans à Genève, elle est nommée en 2015 directrice du musée de l’Élysée.

Shelley Rice

Critique d’art et photographe, elle est parallèlement professeure d’histoire de la photographie à l’Université de New York. Elle est notamment l’auteur de Parisian Views (1997) et l’essayiste de The Book of 101 Books (2001).

Célèbre pour ses grandes et longues figures émaciées, Alberto Giacometti est à l’origine des œuvres parmi les plus reconnaissables de l’art du 20ème siècle. Cette rétrospective vise à rappeler la place de Giacometti – aux côtés de Matisse, Picasso et Degas – en tant que l’un de plus grands peintres-sculpteurs du 20ème siècle.
Tate
ALBERTO GIACOMETTI

TATE MODERN
DU MAI 10 MAI AU 10 SEPTEMBRE 2017

The new Tate Modern © Hayes Davidson and Herzog & de Meuron
À partir du 10 mai et durant tout l’été 2017, la Tate Modern présente une importante rétrospective consacrée au sculpteur, peintre et dessinateur Alberto Giacometti (1901-1966), la première depuis plus 20 ans au Royaume-Uni.

Célèbre pour ses grandes et longues figures émaciées, Alberto Giacometti est à l’origine des œuvres parmi les plus reconnaissables de l’art du 20ème siècle. Cette rétrospective vise à rappeler la place de Giacometti – aux côtés de Matisse, Picasso et Degas – en tant que l’un de plus grands peintres-sculpteurs du 20ème siècle. Cette vaste et ambitieuse exposition réunit un ensemble de plus de 250 œuvres, notamment grâce aux prêts exceptionnels consentis par la collection et les archives de la Fondation Alberto et Annette Giacometti à Paris.

Sont notamment présentés un très grand nombre de plâtres et des dessins rarement montrés à ce jour permettant de mettre en lumière les différentes évolutions de la carrière de Giacometti : depuis les premières œuvres comme Tête de femme (Flora Mayo) de 1926 jusqu’aux iconiques sculptures en bronze tel L’homme qui marche I de 1960. L’exposition réussit également la prouesse de réunir, dans sa totalité et pour la première fois depuis 1956, le célèbre groupe des Femmes de Venise que Giacometti avait présenté lors de la Biennale de la même année.

Né en Suisse en 1901, Alberto Giacometti s’installe à Paris dans les années 1920 où il développe une pratique influencée par le cubisme avant de rejoindre le mouvement surréaliste en 1931. Des œuvres célèbres comme Femme égorgée de 1932 témoignent de l’influence du surréalisme dans son travail aux cotés de recherches inspirées par les thèmes de la brutalité et du sadisme. L’exposition met ainsi en regard une importante sélection de grandes sculptures aux côtés de dessins et de livres. Des œuvres comme Sans titre (Masque) de 1934 témoignent parallèlement de son intérêt pour les arts décoratifs, tandis que Homme (Apollon) de 1929 et Chariot de 1950 font écho à sa réflexion et à ses recherches esthétiques inspirées par l’art égyptien et par l’art africain. Cette rétrospective met particulièrement en exergue la façon dont Giacometti, peut-être plus que tout autre artiste de son temps, a transcendé les frontières entre art ancien et art moderne et questionné les barrières entre beaux-arts et arts décoratifs.

Giacometti quitte Paris en 1941 pour s’installer à Genève jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale. S’étant déjà éloigné du surréalisme, il continue durant cette période à développer des recherches liées à l’échelle et à la perspective qui avait déjà débouché sur des sculptures beaucoup plus petites, exécutées dans un style plus réaliste telle que Toute petite figurine de 1937-9. Après la guerre et son retour à Paris, Giacometti commence à créer les figures allongées qui devaient lui apporter une reconnaissance internationale. Travaillant sur le vif, sa préoccupation pour la figure aliénée et isolée devient alors un motif important qui fait écho au désespoir existentiel lié au climat de l’après-guerre. L’exposition présente une étonnante sélection de ces chefs-d’œuvre, tel que Homme qui pointe de 1947, Homme qui chavire de 1950 et La Main de 1947 mis en regard avec des toiles majeures de l’artiste comme Diego assis 1948 et Caroline avec une robe rouge c.1964-5.

L’exposition met également en lumière quelques-uns des personnages clés dans la vie de l’artiste, essentiels dans son travail, dont sa femme, Annette, son frère Diego et son amante Caroline. Les relations personnelles et amicales de Giacometti eurent une influence considérable tout au long de sa carrière, amis et membres de la famille servant souvent de modèles. Une section de l’exposition sera spécifiquement consacrée aux portraits de Diego et d’Annette démontrant l’intensité du regard et de l’observation dont fit preuve Giacometti sur le visage et la figure humaine.

Alors que Giacometti est surtout connu pour ses sculptures en bronze, la rétrospective que présente la Tate Modern vient également rappeler le très grand intérêt que porta à d’autres matériaux et textures, en particulier le plâtre et l’argile. L’élasticité et la malléabilité de ces matériaux lui permettaient de travailler de façon plus libre, remodelant et expérimentant sans cesse, notamment le plâtre, afin de pouvoir en travailler matière et surfaces striées. Un grand nombre de ces plâtres très fragiles, qui ne voyagent que très rarement, seront présentés pour la première fois dans cette exposition, y compris les célèbres Femmes de Venise (1956). Créé pour la Biennale de Venise, cet important ensemble sera réuni pour la première fois depuis sa création.

Les Femmes de Venise réunies pour la première fois en 60 ans

Représentant de la France à la Biennale de Venise de 1956, Giacometti exposa un groupe de six sculptures en plâtre spécialement créées pour l’occasion, chacune d’entre elles étant une longue figure de femme debout. Célèbre ensemble, Les Femmes de Venise, se voit donc réuni pour la première fois depuis sa création en1956. Ces six œuvres seront exposées aux cotés de deux autres sculptures en plâtre appartenant à cette même série que Giacometti avait présenté à la Kunsthalle de Berne la même année. Ces œuvres sont le témoignage d’un moment crucial dans le travail de Giacometti, résultant de l’étude approfondie de sa femme Annette. Ces sculptures peuvent être considérées comme le point culminant des recherches que mena l’artiste tout au long de sa carrière en vue de dépeindre la réalité de la forme humaine. Ces œuvres ont été spécialement restaurées et réassemblées par la Fondation Alberto et Annette Giacometti pour l’exposition. Celle-ci offre donc une chance unique de voir cet important groupe de pièces des plus fragiles et ce, selon un dispositif conforme à la volonté initiale de l’artiste.

Commissaires, catalogue

Alberto Giacometti a pour commissaires Frances Morris, directrice de la Tate Modern et Catherine Grenier, directrice et conservatrice-en-chef de la Fondation Alberto et Annette Giacometti, (Paris) avec le concours de Lena Fritsch, conservatrice adjointe, Tate Modern, en collaboration avec Mathilde Lecuyer, conservatrice associée – arts graphiques, Fondation Alberto et Annette Giacometti. L’exposition est organisée par la Tate Modern et la Fondation Alberto et Annette Giacometti (Paris). Elle sera accompagnée d’un catalogue publié par Tate Publishing avec pour co-auteurs Frances Morris et Lena Fritsch en collaboration avec Catherine Grenier et Mathilde Lecuyer. Un programme de conférences et une série d’événements viennent également accompagner l’exposition.

 

  • Avec le soutien de Maryam et Edward Eisler et le soutien additionnel du Alberto Giacometti Exhibition Supporters Circle, des Tate Patrons, de la Tate Americas Foundation et des Tate Members
  • Tate Modern, Eyal Ofer Galleries
  • Adultes £18.50 (sans don additionnel £16.80). Réduction £16.50 (sans don additionnel : £15)
  • Ouvert tous les jours de 10h00 à 18h00 et jusqu’à 22h00 les vendredis et les samedis
  • Information pour le public en anglais au +44(0)20 7887 8888, site internet www.tate.org.uk et compte Twitter @Tate #Giacometti
e que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quels furent les effets, réels et symboliques, de la privation de nourriture à l’échelle d’une société ? sont parmi les questions que pose l’exposition.
CHRD
Communiqué de presse
5 avril 2017
Version web
J-8

LES JOURS SANS

ALIMENTATION ET PÉNURIE EN TEMPS DE GUERRE

DU 13 AVRIL 2017 AU 29 JANVIER 2018

CENTRE D’HISTOIRE DE LA RÉSISTANCE ET DE LA DÉPORTATION

LYON, FRANCE

Trailer de l’exposition LES JOURS SANS. Alimentation et pénurie en temps de guerre.

Organisée à l’initiative du CHRD de Lyon, l’exposition « LES JOURS SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quelles nouvelles recettes furent inventées pour palier à la pénurie ? Qu’ont à nous dire les témoins de cette époque ? sont parmi les questions qu’aborde l’exposition.

Organisée à l’initiative du CHRD de Lyon, l’exposition « LES JOURS SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quels furent les effets, réels et symboliques, de la privation de nourriture à l’échelle d’une société ? sont parmi les questions que pose l’exposition.
CHRD
Communiqué de presse
20 mars 2017
Version web
LES JOURS SANS

ALIMENTATION ET PÉNURIE EN TEMPS DE GUERRE

DU 13 AVRIL 2017 AU 29 JANVIER 2018

CENTRE D’HISTOIRE DE LA RÉSISTANCE ET DE LA DÉPORTATION

LYON, FRANCE

RECETTES DE CUISINE EN TEMPS DE GUERRE

Organisée à l’initiative du CHRD de Lyon, l’exposition « LES JOURS SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre Mondiale. Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Tomates Farcies au maigre, Paté sans viande, Pain de miettes, Flan Midinette, etc. – les recettes de cuisine inventées durant la période témoignent tout à la fois de la dureté et l’inventivité de ces temps de privations.

DÉCOUVRIR « LES RECETTES DE SIMONE À BASE DE MIETTES DE PAIN »

La première économie...
RELATIONS POUR LES MÉDIAS :

 

BEIRUT ART FAIR 2017 a choisi pour l’exposition focus de sa prochaine édition, la commissaire d’exposition, de renommée internationale, Rose Issa, spécialiste en art contemporain du Moyen-Orient.
Beirut Art Fair Communiqué de presse
9 mars 2017
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Exposition focus de BEIRUT ART FAIR 2017

OUROUBA, THE EYE OF LEBANON

COMMISSAIRE : ROSE ISSA

Du 21 au 24 septembre 2017
BIEL – Beyrouth, Liban

BEIRUT ART FAIR 2017 a choisi pour l’exposition focus de sa prochaine édition, la commissaire d’exposition, de renommée internationale, Rose Issa, spécialiste en art contemporain du Moyen-Orient.

Intitulée “OUROUBA, THE EYE OF LEBANON”, l’exposition mettra en lumière les préoccupations esthétiques, conceptuelles et socio politiques qui ont vu le jour au sein du monde arabe ces dix dernières années. Sur la base de prêts issus de collections privées et publiques libanaises de premier ordre, elle réunira une sélection d’installations, de peintures, de photographies et de sculptures. Ayant pour fil rouge une histoire récente complexe liée à “l’arabité” (signification littérale du mot “ourouba”), elle témoignera des différentes voies et sources d’inspiration empruntées par les artistes du monde arabe. Elle se penchera tout particulièrement sur les thèmes du présent et de la mémoire, de la destruction et de la reconstruction, du conflit et de la paix.

Les œuvres sélectionnées questionneront les enjeux individuels, nationaux et régionaux liés au monde arabe, à la lumière des bouleversements de la dernière décennie :

  • Pourquoi faisons nous ce que nous faisons et acceptons-nous que cela soit fait ?
  • Comment résister aux clichés, à l’injustice, aux double standards, à l’opportunisme et, parfois même, aux sollicitations ?

Par le biais de divers média et sujets, les travaux sélectionnés viseront à refléter les forces en présence animant la région et la façon dont les artistes s’engagent face aux réalités politiques. Au sein du chaos, ils font la découverte de ce qui perdure.

À Beyrouth, au cœur d’une scène culturelle en pleine expansion, “OUROUBA, THE EYE OF LEBANON” révèlera la façon dont artistes et collectionneurs, parfois animés par des choix et des visions différentes, remettent en cause les frontières de leur identité et recomposent les paramètres de leurs traditions culturelles.

Basée à Londres depuis les années 80, spécialiste internationale des arts visuels et du cinéma au Moyen-Orient, Rose Issa est commissaire d’exposition indépendante, écrivaine et productrice. Avec Rose Issa Projects, elle est à l’origine de nombreuses expositions organisées en collaboration avec des institutions internationales, publiques ou privées, dont la Crawford Art Gallery, Cork (2014); la Virginia Commonwealth University Qatar, Doha (2014); le Victoria and Albert Museum, Londres (2013, 2006); le Leighton House Museum, Londres (2013; depuis 1992); le Beirut Exhibition Center, Beyrouth (2010-11); le Bluecoat Arts Centre de Liverpool (2010); la Tate Britain, Londres (2008); le Parlement européen, Bruxelles (2008); le Musée National d’Art Oriental, Moscou (2007); l’Ermitage, Saint-Pétersbourg (2007); l’ING Bank, Genève (2007); la Haus der Kulturen der Welt (HKW), Berlin (2004); le CCCB, Centre de Cultura Contemporània de Barcelona (2003); l’IFA – Institut fur Auslandsbezeihungen (2002-3), Stuttgart; le Barbican Art Centre, Londres (2001, 1995); et le Tropenmuseum, Amsterdam (2011-2013; 1996-1997).

“OUROUBA, THE EYE OF LEBANON” fait suite à Arabicity à la Bluecoat Gallery de Liverpool en 2010 et Arabicity II au Beirut Exhibition Center en 2011, expositions ayant suscité un vif intérêt.

“OUROUBA, THE EYE OF LEBANON” est rendue possible grâce au soutien de Bankmed, sponsor principal de BEIRUT ART FAIR depuis 2010.

NOTA BENE

BEIRUT ART FAIR a été créée en 2010 et est dirigée par Laure d’Hauteville, commissaire d’expositions et ancienne journaliste.

La direction artistique de la foire est assurée par Pascal Odille, expert en art moderne & contemporain (CNES) et Marine Bougaran, directrice des espaces « Projects ».

Organisée avec le soutien de Bankmed, la 8ème édition de BEIRUT ART FAIR aura lieu du 21 au 24 septembre prochain au BIEL à Beyrouth.

Faisant suite au succès rencontré par l’édition 2016 qui avait réuni 45 galeries de 20 pays, BEIRUT ART FAIR 2017 présentera autour de l’exposition focus “OUROUBA, THE EYE OF LEBANON”, une section REVEALING by SGBL agrandie, la 6ème édition du BYBLOS BANK AWARD, l’espace VIDEO BOX présenté par MACAM et un programme VIP axé sur des visites exceptionnelles de collections privées libanaises.

Communiqué de presse

Site internet BEIRUT ART FAIR

Une scène créative design unique, un esprit d’entreprendre hors du commun, un carrefour cosmopolite, un réseau de savoir-faire d’exception : ce sont autant d’atouts qui seront révélés à l’international avec la création de BEIRUT DESIGN FAIR, lancée dans la capitale libanaise en septembre 2017.
Beirut Design Fair 2017 Communiqué de presse
2 mars 2017
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3 QUESTIONS À

BÉNÉDICTE COLPIN

SPECIAL ADVISOR POUR BEIRUT DESIGN FAIR

Bénédicte Colpin, special advisor for BEIRUT DESIGN FAIR
Photo: Benjamin Boccas
Beyrouth apparait aujourd’hui dans de nombreux domaines artistiques comme un étonnant “incubateur”. Quelle place y tient le design et quelle est selon vous la spécificité de Beyrouth par rapport à d’autres villes ou régions du monde ?

Beyrouth a toujours tenu une place à part par sa position géographique, par son histoire, et par sa manière d’appréhender le monde; ce qui en fait une place exceptionnelle dans la réalité et l’imaginaire collectif. Beyrouth est une ville en perpétuelle reconstruction et l’urgence est toujours source de créativité. Forcément, les créateurs sont influencés par ce terreau culturel très riche avec cette spécificité unique des beyrouthins qui est leur cosmopolitisme. Une appréhension du monde qui n’est pas de façade, qui n’est pas seulement liée à notre monde hyper-connecté mais qui est réellement vécue. La plupart des créateurs ont fait leurs études à l’étranger ou dans des écoles design locales réputées (Alba, Usek ou Lau) et bien que revendiquant leur appartenance forte au Liban, ils rayonnent tous à l’international. C’est une scène ultra-connectée, ultra-cultivée et fière de sa liberté.

L’importante diaspora libanaise est aux avant-postes de ce qui fait la créativité de Beyrouth. Pour ce qui est du design, quelles en sont les figures majeures en France, en Europe et dans le reste du monde ?  

C’est l’autre point qui fait de Beyrouth une ville unique. Fort d’une scène locale au rayonnement incontestable, la ville bénéficie aussi d’une diaspora installée dans le monde entier et qui, elle aussi, tout en étant attachée à son pays d’adoption demeure liée à son pays d’origine d’une manière ou d’une autre. Qu’ils soient basés au Liban ou ailleurs, le point d’ancrage reste Beyrouth. Et cela est vrai pour toutes les personnalités stars dans leur secteur d’activité que ce soit Chahan Minassian, Aline d’Amman Asmar, Karim Habib, Karen Chekerdjian, David& Nicolas, Nada Debs, Marc Baroud, Charles Kalpakian, Bernard Khoury ou Rabih Kayrouz pour ne citer que les plus connus.

Cela ne veut pas dire que dans le style, les archétypes du Moyen-Orient soient omniprésents. Bien au contraire, car le Liban est un lieu de confluence entre l’Occident et l’Orient par définition. Non, les styles sont très différents. En revanche, ce qui unit les créatifs à Beyrouth c’est la recherche permanente d’authenticité, de liberté, de qualité et de singularité. De Paris à New York, en passant par Londres ou São Paulo, de grands designers, architectes d’intérieur, architectes distillent cette culture et cet art de vivre uniques.

Depuis des décennies, Beyrouth et le Liban offrent un maillage unique de savoir-faire. De nombreux designers y sont venus faire produire objets et projets. Pourriez-vous nous rappeler les grandes lignes de cette histoire ?  

Contrairement à d’autres pays du Moyen-Orient, Beyrouth dispose d’artisans très actifs dans les domaines du métal, de la céramique, du verre, du bois… La présence de l’artisanat et des savoir-faire est liée à la demande. Le fait que les Libanais aient une sensibilité à la qualité, que des commanditaires soient présents, que la ville ait toujours été en perpétuelle construction, reconstruction, fait que les savoir-faire ont perduré. Les artisans fonctionnent de la même manière que les créateurs. Ils excellent dans leur art et agrègent d’autres compétences de pays limitrophes pour compléter leur expertise. Cette attitude d’ouverture, d’agilité, de communauté est aussi un point fort de la ville et ce dialogue de proximité entre artisans et designers participe à la qualité de la scène locale.

BEIRUT DESIGN FAIR est un événement qui a pour ambition de catalyser dans un même lieu ces énergies créatives, de donner à voir sur quelques jours, au même endroit, la richesse de la créativité locale et internationale liée à Beyrouth et de permettre aux nombreux amateurs, de ce pays ou d’ailleurs, de disposer de pièces exceptionnelles qui témoignent de la qualité de la création design contemporaine. De plus, le fait que la BEIRUT DESIGN FAIR soit concomitante avec la BEIRUT ART FAIR démultiplie l’événement et renforce l’esprit de ce premier rendez-vous en septembre 2017.

Organisée à l’initiative du CHRD de Lyon, l’exposition « LES JOURS SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quels furent les effets, réels et symboliques, de la privation de nourriture à l’échelle d’une société ? sont parmi les questions que pose l’exposition.
CHRD
Communiqué de presse
27 février 2017
Version web
LES JOURS SANS

ALIMENTATION ET PÉNURIE EN TEMPS DE GUERRE

DU 13 AVRIL 2017 AU 29 JANVIER 2018

CENTRE D’HISTOIRE DE LA RÉSISTANCE ET DE LA DÉPORTATION

LYON, FRANCE

La pénurie s’affiche dans les magasins, ici pour le vin, à Lyon. Ministère de la défense. DMPA (D.R)

La pénurie s’affiche dans les magasins, ici pour le vin.
© André Gamet

Organisée à l’initiative du CHRD de Lyon, l’exposition « LES JOURS SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quelles nouvelles recettes furent inventées pour palier à la pénurie ? Qu’ont à nous dire les témoins de cette époque ? sont parmi les questions qu’aborde l’exposition.

À la suite du succès de l’édition 2016, BEIRUT ART FAIR 2017 s’articulera autour d’une exposition de référence confiée à la commissaire Rose Issa, d’une section REVEALING BY SGBL agrandie, de la 6ème édition du BYBLOS BANK AWARD, de l’espace VIDEO BOX par le MACAM, d’un programme VIP à la rencontre des meilleures collections libanaises.
Beirut Art Fair Communiqué de presse
23 février 2017
Version web
BEIRUT ART FAIR 2017 : ORIENT YOUR MIND!

du 21 au 24 septembre 2017
BIEL – Beyrouth, Liban

La 8ème édition de BEIRUT ART FAIR se déroulera du 21 au 24 septembre prochains dans la capitale libanaise avec le soutien renouvelé de BANKMED.

À la suite du succès de l’édition 2016, BEIRUT ART FAIR 2017 s’articulera autour d’une exposition de référence confiée à la commissaire Rose ISSA, d’une section REVEALING by SGBL agrandie, de la 6ème édition du BYBLOS BANK AWARD, de l’espace VIDEO BOX par le MACAM, d’un programme VIP à la rencontre des meilleures collections libanaises.

En 2016, l’exposition de référence LEBANON MODERN! avait mis l’accent sur le rôle des femmes artistes de 1945 à 1975. En 2017, c’est un panorama de la création contemporaine dans la région sur les dix dernières années qui sera présenté par la curatrice Rose ISSA, spécialiste de l’art contemporain au Moyen-Orient, écrivaine et productrice basée à Londres. Organisée grâce au soutien de BANKMED, l’exposition mettra particulièrement en valeur les questions liées au social, au politique, à l’économie et à la mémoire dans la création contemporaine de la région.

La section REVEALING BY SGBL, dans laquelle un panel de galeries sélectionnées présentent le travail d’un jeune artiste particulièrement prometteur verra quant à lui son espace augmenter de façon significative (+66% par rapport à l’année dernière).

La 6ème édition du BYBLOS BANK AWARD – dont la mission est d’encourager et de donner aux jeunes photographes libanais un accès privilégié aux principaux acteurs du marché de l’art : experts, galeries, collectionneurs, médias – sera à l’initiative d’un workshop réunissant une sélection d’entre eux sous la direction d’une photographe confirmée. Le résultat de leurs recherches sera exposé durant toute la foire au sein d’un espace dédié.

Le MACAM – Modern and Contemporary Art Museum – de Byblos – continue son partenariat avec la foire en 2017. Après avoir présenté en 2016, une sélection de sculpteurs et de livres d’art, le musée proposera cette année, avec VIDEO BOX, un focus sur la création vidéo de la région.

Afin de toujours mieux aider à connaître et à comprendre les spécificités des scènes artistiques en présence, BEIRUT ART FAIR 2017 sera également à l’initiative d’un programme de tables rondes/débats et d’un programme VIP comprenant visites d’ateliers, de collections privées et de musées.

Enfin, fort de son ancrage local, BEIRUT ART FAIR réunit en 2017 le même comité de sélection qu’en 2016, reflet des spécificités des grandes collections présentes au Liban : Basel DALLOUL (artistes modernes et contemporains liés au monde arabe), Abraham KARABAJAKIAN (artistes modernes et contemporains), Tarek NAHAS (photographie contemporaine internationale).

BEIRUT ART FAIR continue ainsi en 2017 d’affirmer et de renforcer son positionnement de plateforme incontournable pour la découverte des talents et des acteurs d’une des régions les plus créatives au monde.

Communiqué de presse

Site internet BEIRUT ART FAIR

RELATIONS POUR LA PRESSE ET LES MEDIAS :
FFC Philippe FOUCHARD-FILIPPI
Tel : + 33 1 53 28 87 53 / + 33 6 60 21 11 94
Email : info@fouchardfilippi.com
www.fouchardfilippi.com
Se désabonner
Avec l’exposition « ABSTRACT EXPRESSIONISM », le Musée Guggenheim Bilbao propose un nouveau regard sur ce mouvement divers, complexe et protéiforme qui devait radicalement changer la peinture dans le New York des années 1940.
www.guggenheim-bilbao.es
Communiqué de presse
19 janvier 2017
Version web
EXPOSITION

ABSTRACT EXPRESSIONISM
3 FÉVRIER – 4 JUIN 2017
Abstract Expressionism
Réunissant une sélection de plus de 130 œuvres – peintures, dessins, sculptures et photographies – d’Arshile Gorky, Franz Kline, Jackson Pollock, Mark Rothko, Barnett Newman, Ad Reinhardt, Willem de Kooning, Robert Motherwell, David Smith, Clyfford Still, Philip Guston, William Baziotes, David Smith, Helen Frankenthaler, Conrad Marca-Relli ou Jack Tworkov, l’exposition « Abstract Expressionism » que présente le Guggenheim Bilbao du 3 février au 4 juin 2017 vise à offrir une nouvelle lecture de ce mouvement souvent perçu à tort comme un tout homogène.
Phénomène divers, complexe, protéiforme, l’expressionnisme abstrait devait radicalement changer la peinture dans le New York des années 1940. À la différence du cubisme ou du surréalisme qui l’ont précédé, ce mouvement échappe néanmoins à toute formulation préétablie tout en se fondant sur une célébration de la diversité et de la liberté d’expression individuelle. Format immense des œuvres, spontanéité du geste, intensité et expressivité sont les caractéristiques qui unissent souvent ces œuvres, parfois aussi investies d’une dimension contemplative avec de grands aplats de couleur.
Cette exposition a été rendue possible grâce au généreux mécénat de la Fondation BBVA et à la collaboration de la Terra Foundation for American Art.
Dossier de presse et images presse disponibles sur ce lien.
RELATIONS POUR LES MÉDIAS:
Une scène créative design unique, un esprit d’entreprendre hors du commun, un carrefour cosmopolite, un réseau de savoir-faire d’exception : ce sont autant d’atouts qui seront révélés à l’international avec la création de BEIRUT DESIGN FAIR, lancée dans la capitale libanaise en septembre 2017.
Beirut Design Fair 2017 Communiqué de presse
11 janvier 2017
Version web
1ère Édition de

BEIRUT DESIGN FAIR

du 20 au 24 septembre 2017

Une scène créative design unique, un esprit d’entreprendre hors du commun, un carrefour cosmopolite, un réseau de savoir-faire d’exception : ce sont autant d’atouts qui seront révélés à l’international avec la création de BEIRUT DESIGN FAIR, lancée dans la capitale libanaise en septembre 2017.

BEIRUT DESIGN FAIR aura lieu au BIEL (Beirut International Exhibition & Leisure Center), du 20 au 24 Septembre 2017. Elle sera à la fois concomitante et mitoyenne de BEIRUT ART FAIR (23.000 visiteurs), foire d’art contemporain qui, depuis 2010, vise à promouvoir l’effervescence artistique et culturelle de Beyrouth, du Liban et des pays du ME.NA (Moyen-Orient, Afrique du Nord).

BEIRUT DESIGN FAIR souhaite répondre aux attentes des amateurs, collectionneurs et professionnels à la recherche de voies, d’idées, d’inspirations différentes et innovantes dans le domaine du design. BEIRUT DESIGN FAIR vise en premier lieu à révéler à l’échelle internationale l’effervescence actuelle de cette scène créative design unique en son genre, à la fois globalisée et enracinée, où se rencontrent et s’influencent design international et courants créatifs régionaux.

BEIRUT DESIGN FAIR a pour volonté de rassembler les meilleures signatures – designers, marques, distributeurs – et de les mettre en relation avec les commanditaires et investisseurs d’une ville féconde, en construction permanente, où de multiples projets novateurs voient actuellement le jour : hôtels, restaurants, résidences haut de gamme, bureaux.

Beyrouth est une place centrale où souffle une énergie incomparable, au carrefour de l’Orient et de l’Occident : la capitale du pays du cèdre occupe un positionnement unique par son ouverture sur l’international et la culture cosmopolite qu’elle incarne. Réputée pour son art de vivre, son sens de l’accueil et son dynamisme foisonnant, Beyrouth déploie depuis plusieurs années sa créativité à travers le monde grâce à une scène locale très active et une diaspora attachée aux valeurs culturelles de son pays.

De fait, la scène design y est effervescente et très animée, à la fois ouverte sur le monde et enracinée : les courants créatifs régionaux convergent vers ce pôle énergique et inspirant où se combinent la dynamique internationale et la fertilité des ateliers d’artisans qui excellent dans leurs savoir-faire – métallerie, marqueterie, ébénisterie, verre, tissage, broderie, cuir, etc.

BEIRUT DESIGN FAIR souhaite ainsi participer activement au dynamisme d’une ville, tout à la fois carrefour international et point d’ancrage d’une vaste diaspora, afin de faire de Beyrouth le rendez-vous annuel de découvertes, de rencontres et d’opportunités d’affaires pour les amateurs de design et tous les professionnels opérant en Europe, aux Etats-Unis, au Moyen Orient, dans les Pays du Golfe et en Asie.

BEIRUT DESIGN FAIR a été créée à l’initiative de Guillaume Taslé d’Héliand. Hala Moubarak a été nommée en tant que « Head of Exhibitors Relations ». Bénédicte Colpin de l’agence Lightboard – Paris intervient en tant que « Special Advisor ».

à l’initiative du CHRD de Lyon, l’exposition « LES JOURS SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quels furent les effets, réels et symboliques, de la privation de nourriture à l’échelle d’une société ? sont parmi les questions que pose l’exposition.
CHRD
Communiqué de presse
10 janvier 2017
Version web
LES JOURS SANS

ALIMENTATION ET PÉNURIE EN TEMPS DE GUERRE

DU 13 AVRIL 2017 AU 29 JANVIER 2018

CENTRE D’HISTOIRE DE LA RÉSISTANCE ET DE LA DÉPORTATION

LYON, FRANCE

La pénurie s’affiche dans les magasins, ici pour le vin, à Lyon. Ministère de la défense. DMPA (D.R)

La pénurie s’affiche dans les magasins, ici pour le vin, à Lyon.
Ministère de la défense. DMPA (D.R)

De 1939 à 1949, les Français furent soumis à un régime organisé de restriction alimentaire qui devait profondément marquer les mémoires et les comportements face à la nourriture. Pour les contemporains un souvenir devait dominer : la faim, le manque, la privation. Un vécu qui devait résonner longtemps encore, et de multiples façons, au sein des familles et de l’inconscient collectif.

Organisée à l’initiative du CHRD de Lyon, l’exposition « LES JOURS SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quels furent les effets, réels et symboliques, de la privation de nourriture à l’échelle d’une société ? sont parmi les questions que pose l’exposition.

Best wishes for 2017 from Lab’Bel, the Artistic Laboratory of the Bel Group.
Lab'bel
Lab’Bel, Laboratoire artistique du Groupe Bel invite l’artiste française Laëtitia Badaut Haussmann à intervenir dans les espaces de la Maison Louis Carré conçus par l’architecte finlandais Alvar Aalto.
Lab'bel Maison Louis Carré
Communiqué de presse
16 décembre 2016

Version web
LAËTITIA BADAUT HAUSSMANN À LA MAISON LOUIS CARRÉ
ÉTÉ 2017
VERNISSAGE PRESSE LE 24 JUIN 2017
VILLA CARRÉ, 78490 BAZOCHES-SUR-GUYONNE, FRANCE
À l’été 2017, Lab’Bel, Laboratoire artistique du Groupe Bel invite l’artiste française Laëtitia Badaut Haussmann à intervenir dans les espaces de la Maison Louis Carré conçus par l’architecte finlandais Alvar Aalto. Ce projet site specific mené en collaboration avec l’équipe de la Maison Louis Carré et sa directrice Asdis Olafsdottir constitue le troisième volet d’un cycle d’expositions de Lab’Bel établissant un dialogue entre les bâtiments iconiques de l’architecture moderniste et l’art contemporain. Il fait ainsi suite au projet de Stefan Brüggemann The World Trapped in the Self (mirrors for windows) au Pavillon Mies van der Rohe de Barcelone en 2011 et à l’exposition d’Haroon Mirza The Light Hours à la Villa Savoye de Le Corbusier à Poissy (Yvelines) en 2014.

Laëtitia Badaut Haussmann vit et travaille à Paris et à l’étranger. Diplômée de l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy en 2006, elle a intégré le programme du Pavillon/Palais de Tokyo en 2011-2012. Elle a été lauréate de la résidence de recherche à la Villa Kujoyama à Kyoto au Japon en 2016. Particulièrement influencée par l’esthétique du modernisme, Laëtitia Badaut Haussmann entremêle dans sa pratique les vocabulaires cinématographique, littéraire, architectural ou du design, ouvrant un espace propice à l’émergence de nœuds narratifs. Elle procède par recadrage, appropriation ou citation, développant un travail porté par une réflexion sur les formes du récit, les rapports d’analogies et de macrostructures. Accordant une place essentielle à la mémoire et à l’histoire, Laëtitia Badaut Haussmann convoque des phénomènes d’apparition et de réminiscence, d’amnésie, d’effacement ou de recouvrement.

Représentée par la Galerie Allen (Paris), Laëtitia Badaut Haussmann a exposé lors d’un solo show à la FIAC/secteur Lafayette (Grand Palais, Paris) en 2015. Son travail a également fait récemment l’objet de plusieurs expositions personnelles et collectives à La Galerie (Noisy-le-sec), au Hepworth Wakefield (UK), au MRAC (Sérignan), à FORUM (Kyoto, Japon), à la Box (Bourges), à VIA FARINI (Milan, Italie), à Passerelle CAC (Brest), au Palais de Tokyo (Paris), à l’IAC (Villeurbanne), à Gesso Art Space (Vienne, Autriche), au MACVAL (Vitry-sur-Seine), au MAMVP (Paris), au Barber Shop (Lisbonne, Portugal), au MMSU (Rijeka, Hongrie), au Musée Benaki (Thessalonique, Grèce).

MAISON LOUIS CARRÉ
Édifiée sur les plans d’Alvar Aalto (1898 – 1976) pour le marchand et collectionneur Louis Carré (1897-1977), la maison est le seul édifice de l’architecte finlandais en France. Elle fut livrée en 1959 et la piscine achevée en 1963. Fidèle à une conception fluide de l’espace, et à une vision très personnelle et éminemment humaniste du modernisme, Aalto en dessina l’ensemble, du plan général au mobilier, sans oublier les éléments de détail tout en intégrant parfaitement la maison à la douceur du paysage d’Ile-de-France selon le vœu de Louis Carré. Considérée par la critique dès sa réalisation comme l’un des plus grands chefs-d’œuvre d’Aalto alors au sommet de son art, elle fait figure d’œuvre totale.
Lab’Bel, Laboratoire artistique du Groupe Bel, a été créé au printemps 2010 dans le but de soutenir l’art contemporain en conformité avec les valeurs de partage, d’accessibilité et de plaisir soutenues par le groupe agroalimentaire dont il émane. Conformément à cette philosophie, il constitue depuis sa création une collection d’œuvres créées à partir des années 2000 et met en place chaque année une série d’expositions et d’événements artistiques aussi bien en France qu’à l’étranger. Lab’Bel est dirigé par Laurent Fiévet et Silvia Guerra, co-commissaires du cycle in situ consacré aux architectures modernistes.
INFORMATIONS PRATIQUES
Maison Louis Carré
2 chemin du Saint Sacrement
78490 Bazoches-sur-Guyonne
01 34 86 79 63
www.maisonlouiscarre.fr
Ouverture :
De mars à novembre, les samedis et dimanches de 14h à 18h
Sur réservation (resa@maisonlouiscarre.fr)
Visites privées et de groupe sur demande
Tarifs :
Droits d’entrée 15€ tarif plein, 5€ tarif réduit, gratuité pour moins de 12 ans accompagnés
10€ pour les groupes de plus de 10 personnes
Le droit d’entrée comprend une visite guidée en français et/ou anglais
La Maison Louis Carré est la propriété de l’Association Alvar Aalto en France depuis 2006. Outre des séminaires sur l’architecture et le design, deux expositions d’art contemporain y sont organisées par an
Catalogue de l’exposition The Light Hours d’Haroon Mirza, Villa Savoye, 2014
Site internet Lab’Bel : www.lab-bel.com

Site internet de La Maison Carré : www.maisonlouiscarre.fr

Site internet de la Galerie Allen : www.galerieallen.com

RELATIONS POUR LES MÉDIAS:
SKIRA EDITORE Communiqué de presse
2 décembre 2016
Version web
SKIRA PARIS

IDÉES CADEAUX – BEAUX LIVRES

Edités par SKIRA Paris
Catalogue d’exposition

ART ET LIBERTÉ.
RUPTURE, GUERRE, ET SURRÉALISME EN EGYPTE (1938-1948)

Auteur : Dr James Gifford
Editeurs : Sam Bardaouil et Till Fellrath

Disponible en français, anglais, arabe et allemand
Couverture brochée avec rabats
256 pages, 24 × 28 cm, 250 illustrations couleurs
Prix de vente : 35 €
ISBN : 978-2-37074-030-4
Communiqué de presse
Illustré par une sélection d’environ 200 d’œuvres et de textes de poètes et d’écrivains tels Albert Cossery, Georges Henein, Edmond Jabès, Anwar Kamel, « Art et Liberté. Rupture, Guerre, et Surréalisme en Egypte (1938-1948) » accompagne la première exposition consacrée au mouvement surréaliste en Égypte que présente le Centre Pompidou à Paris.
Catalogue d’exposition | Ouvrage de référence

Spectaculaire Second Empire

Préface par Guy Cogeval, président des musées d’Orsay et de l’Orangerie

Couverture reliée
24 × 28 cm, 320 pages, 350 images reproduites
Prix de vente : 45 €
ISBN : 978-2-37074-042-7
Communiqué de presse
Catalogue de l’exposition que présente le musée d’Orsay du 27 septembre 2016 au 15 janvier 2017, Spectaculaire Second Empirevient en appui pour comprendre toutes les dimensions d’un régime décrié en son temps et honni après sa chute.
7ème Prix Carmignac du photojournalisme

Narciso Contreras
Libye : Plaque tournante du trafic humain

Narciso Contreras
Couverture reliée, toilée
30 × 28 cm, 102 pages, 35 illustrations couleur
Prix de vente : 45 €
ISBN : 978-2-37074-043-4
Communiqué de presse
Publié par les Éditions Skira Paris, le catalogue de cette 7ème édition du Prix Carmignac rassemble plus d’une trentaine de photographies sélectionnées pour leur valeur de témoignage – bouleversant et sans fard – sur la crise migratoire inédite qui frappe aux portes de l’Europe.
Première monographie | Exposition au Musée Réattu

Deus ex Machina – Katerina Jebb

Avant-propos par Christian Lacroix

Katerina Jebb - DEUSEXMACHINA
Couverture reliée
22 × 28 cm, 160 pages, 100 illustrations couleurs
Prix de vente 32 €
ISBN 978-2-37074-035-9
Communiqué de presse
Premier catalogue d’exposition monographique consacré à Katerina Jebb (artistique britannique née 1962), celui-ci rassemble une centaine d’images et des essais signés Olivier Saillard (directeur du Palais Galliera), Francis Hodgson (professeur et critique de photographie contemporaine), Je Rian (critique d’art et journaliste pour Purple Magazine et Artforum) et Pascale Picard, (directrice du musée Réattu).
SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quels furent les effets, réels et symboliques, de la privation de nourriture à l’échelle d’une société ? sont parmi les questions que pose l’exposition.
CHRD
Communiqué de presse
23 novembre 2016
Version web
LES JOURS SANS

ALIMENTATION ET PÉNURIE EN TEMPS DE GUERRE

DU 13 AVRIL 2017 AU 29 JANVIER 2018

CENTRE D’HISTOIRE DE LA RÉSISTANCE ET DE LA DÉPORTATION

LYON, FRANCE

De 1939 à 1949, les Français furent soumis à un régime organisé de restriction alimentaire qui devait profondément marquer les mémoires et les comportements face à la nourriture. Pour les contemporains un souvenir devait dominer : la faim, le manque, la privation. Un vécu qui devait résonner longtemps encore, et de multiples façons, au sein des familles et de l’inconscient collectif.

Organisée à l’initiative du CHRD de Lyon, l’exposition « LES JOURS SANS » opère une plongée dans ce que fut le quotidien des Français durant et après la Seconde Guerre mondiale. Comment faire face non seulement aux drames et tragédies de la guerre, à l’humiliation de la défaite mais aussi aux pénuries de toutes sortes, aux prélèvements massifs de l’occupant, à la désorganisation de l’économie dans un pays qui vient à manquer de tout ? Quelles furent les stratégies de survie ? Quels furent les comportements ? Quels furent les effets, réels et symboliques, de la privation de nourriture à l’échelle d’une société ? sont parmi les questions que pose l’exposition.

Dès le début du conflit, des cartes d’alimentation sont mises en place pour répartir au mieux les denrées mais au fil des mois et des évènements, c’est la quasi-totalité des produits de base qui est soumise à restriction. En 1942, confrontées aux étals presque vides des commerçants, les ménagères passent une moyenne 4 heures par jour dans les files d’attente. Le manque endémique de nourriture est alors douloureusement perçu par une population, notamment urbaine, qui a connu dans l’Entre-deux guerres, une amélioration de son niveau de vie.

Le processus de ravitaillement, la mise en place de mesures réglementaires et leur détournement, l’apparition de nouveaux aliments, le développement des sciences de la nutrition, la notion de «famine lente », le rapport au corps, le rôle des femmes, sont parmi les grands thèmes abordés par l’exposition. Celle-ci met également en lumière les inégalités en présence et la façon dont la population fut diversement touchée : selon que l’on soit citadin ou paysan, que l’on soit riche ou pauvre, que l’on ait accès ou non au marché noir, que l’on ait de la famille à la campagne, que l’on doive se cacher ou vivre dans la clandestinité, etc.

L’exposition opère également un focus sur Lyon, ville refuge durant la guerre, qui accueille sur la période une population de plus en plus nombreuse et où la question du ravitaillement devient très vite problématique.

« LES JOURS SANS » est conçue à la suite de l’exposition « POUR VOUS, MESDAMES ! » qui abordait le thème de la mode sous l’Occupation. Elle s’appuie sur un comité scientifique réunissant des historiens et des chercheurs spécialistes du sujet dont Dominique Veillon, directrice de recherche au CNRS et Christophe Capuano, historien, Nicole Foucher, maître de conférences Cinéma et Mode à Lyon II, Fabrice Grenard, historien, Hervé Joly, historien, Christine Levisse-Touze, directrice du Musée du Général Leclerc et de la Libération de Paris et du Musée Jean Moulin de Paris, Florence Saint-Cyr Gherardi, responsable du Musée départemental d’Histoire de la Résistance et de la Déportation de l’Ain et du Haut-Jura, Isabelle Van Bueltzinsloewen, historienne.

Suite au lancement il y a moins d’une semaine par Jérôme Clément, président de la Fondation Alliance Française du « Défi 1 MILLION D’AMIS POUR L’ALLIANCE FRANÇAISE », plus de 8.000 personnes ont déjà répondu à l’appel à travers le monde entier !
Fondation Alliance Francaise
Communiqué de presse
15 novembre 2016
Version web
Fondation Alliance Francaise
DÉJÀ 8.000 AMIS POUR LE
« DÉFI 1 MILLION D’AMIS POUR L’ALLIANCE FRANÇAISE »
Suite au lancement il y a moins d’une semaine par Jérôme Clément, président de la Fondation Alliance Française du « Défi 1 MILLION D’AMIS POUR L’ALLIANCE FRANÇAISE », plus de 8.000 personnes ont déjà répondu à l’appel à travers le monde entier !
À l’occasion de ce lancement, de multiples événements ont mobilisé le 8 novembre dernier le réseau des Alliances Françaises dans le monde afin d’engager une action de sensibilisation en faveur du Défi et 2.667 personnes ont aimé la page « Les Amis de l’Alliance Française », 23.000 pages ont été « vues » et 12,4 K impressions été enregistrées sur Twitter.
Mises en relation via le site amisalliancefr.org, les personnes ayant souhaité rejoindre cette nouvelle communauté forment automatiquement des binômes et sont invitées à relever des défis, à participer à des jeux ou à des quizz en lien avec la Francophonie ou la langue française. Souvent jeunes et animées du désir d’apprendre le français et les cultures francophones qui y sont rattachées, les amis peuvent ainsi développer – d’une façon moderne, originale et amicale – leur intérêt pour notre langue et entrer directement en contact avec le dynamisme culturel actuel de la Francophonie. En 2050, celle-ci aura multiplié par 2,5 son nombre de locuteurs, passant de 274 millions en 2016 à plus de 700 millions et grâce à ce « Défi 1 MILLION D’AMIS POUR L’ALLIANCE FRANÇAISE », le réseau des 816 Alliances Françaises – le plus grand réseau culturel au monde – se mobilise ainsi pour la première fois dans son ensemble.
Interpeller sur le dynamisme et l’importance de la langue française et des cultures francophones partout dans le monde, fédérer aujourd’hui pour soutenir et développer demain de multiples projets, tels sont les buts du « Défi 1 MILLION D’AMIS POUR L’ALLIANCE FRANÇAISE ». Concrètement et dès à présent, les amis peuvent interagir via le site amisalliancefr.org, la page Facebook les amis de l’Alliance Française et le compte Twitter amisalliancefr. Afin de faire vivre ce réseau en devenir, les Alliances Françaises y partagent leur actualité culturelle, rédigent des contenus pour le site, relaient l’information sur leurs réseaux sociaux (2,8 millions d’amis sur Facebook, 208.000 abonnés Twitter).
Pour Jérôme Clément, président de la Fondation Alliance Française à l’initiative de ce défi : « La culture et la langue française ont un rôle unique à jouer dans un monde tenté par le repli identitaire. Elles sont à l’origine de multiples actions que les 816 Alliances Françaises mènent quotidiennement et qui doivent être soutenues. Ce soutien est l’affaire de tous ».
POUR MÉMOIRE
La Fondation Alliance Française & le réseau des Alliances Françaises
Conforme aux idéaux de l’Alliance Française fondée à Paris en 1883, la Fondation Alliance Française a pour objectif de développer dans le monde l’enseignement et l’usage de la langue française tout en favorisant les échanges entre les cultures. Elle apporte son soutien à 816 Alliances Françaises. Modèle unique en genre, depuis 133 ans, dans chacun des 133 pays représentés, les Alliances sont fondées sur la base d’initiatives locales sur un modèle associatif. Ces Alliances, dont le but premier est l’enseignement et la diffusion de la langue française, offrent un apport essentiel à notre monde globalisé en faisant découvrir les spécificités des cultures francophones. Elles s’autofinancent à hauteur de 95%.
En 2050, la francophonie aura multiplié par 2,5 son nombre de locuteurs, passant de 274 millions en 2016 à 700 millions. 85% de ces locuteurs vivront en Afrique, 90% d’entre eux auront moins de 30 ans (source OIF). Ils seront au cœur de la vitalité du monde de demain. Un tel développement sera porteur d’innovation et de créativité mais aussi d’enjeux majeurs, économiques, diplomatiques, géostratégiques.
Faits et chiffres
En 2016

  • L’Alliance Française a 133 ans
  • 500.000 étudiants – 10.000 à Paris
  • 2 millions de personnes assistent chaque année aux événements organisés
  • 2,8 millions d’Amis sur Facebook sur l’ensemble du réseau des Alliances Française
  • 208.000 d’abonnés sur Twitter
  • 6ème langue la plus parlée
  • 3ème langue la plus apprise après l’anglais et le chinois
  • 3ème langue la plus utilisée sur l’Internet
  • 180 millions d’internautes à travers le monde sont francophones
  • 8% du PIB mondial
  • 12% des exportations mondiales
  • 6% des réserves mondiales de ressources énergétiques
  • 14% des investissements directs étrangers entrants
  • 20% du commerce mondial
Fondation Alliance Française
101 boulevard Raspail
75006 Paris France
Site internet : www.fondation-alliancefr.org
Partenaires :
France Télévisions TV5 MONDE France Médias Monde
Le Parisien
Aujourd'Hui
Mairie de Paris Air France CFE

Fouchard Filippi Communications via cmail19.com 

16:10 (Il y a 10 minutes)

À moi

 

Après le succès rencontré à la FIAC, les amateurs peuvent retrouver la 3ème Boîte Collector Jonathan Monk dans certains magasins du Groupe Galeries Lafayette à Paris, Marseille, St Laurent du Var et Berlin
Lab'bel La vache qui rit Group Bel
Communiqué de presse
24 octobre 2016
Version web
Après le succès rencontré à la FIAC,
les amateurs peuvent retrouver
la 3ème Boîte Collector Jonathan Monk
dans certains magasins du Groupe Galeries Lafayette
à Paris, Marseille, St Laurent du Var et Berlin
Pour sa première participation à la FIAC, la Boîte Collector Vache qui rit – dont la réalisation de la troisième édition a été confiée en 2016 à l’artiste conceptuel britannique Jonathan Monk – a remporté un franc succès tant auprès des collectionneurs d’art les plus avertis que du public de visiteurs de la foire avec 1,770 boîtes vendues.
Grâce au partenariat qui lie Lab’Bel, le Laboratoire Artistique du Groupe Bel, et le Groupe Galeries Lafayette, les amateurs d’art contemporain pourront aussi, à partir du 2 novembre prochain, faire l’acquisition de cette troisième Boîte Collector en France (Paris, Marseille, Saint-Laurent du Var) et en Allemagne (Berlin) au prix habituel d’une boîte de 24 portions soit 3,15 euros.
LE PROJET BOÎTE COLLECTOR
La Vache qui rit®, c’est du sourire et de la bonne humeur à partager, mais c’est aussi une incroyable histoire d’innovation et de créativité. C’est la raison pour laquelle a été lancée en 2014 une série de collaborations avec de grands artistes contemporains pour la réalisation de Boîtes Collector exceptionnelles en vue de célébrer le 100ème anniversaire de la marque en 2021. Ces collaborations actualisent et perpétuent les liens que les artistes tissent avec La Vache qui rit®, icône moderne qui, depuis près d’un siècle, leur sert régulièrement de source d’inspiration. Les Boîtes Collector sont considérées par les artistes qui les créent comme des œuvres à part entière que les consommateurs ont la possibilité d’acheter au prix habituel d’une boîte de 24 portions.
Lors de leur mise en vente, les Boîtes Collector offrent ainsi un double choix : en manger le contenu, selon les bonnes habitudes de tout un chacun, ou les collectionner parce que simplement belles et originales ou en raison de l’intérêt plus averti que peuvent porter les amateurs d’art contemporain au travail d’un artiste de renommée internationale. Cette mise à disposition de l’art contemporain auprès du plus grand nombre, de façon originale et décalée, caractérise les actions de Lab’Bel, Laboratoire artistique du Groupe Bel créé en 2010.
En 2016, après Hans-Peter Feldmann en 2014 et Thomas Bayrle en 2015, et toujours en collaboration avec le plasticien Michael Staab en tant que commissaire, c’est à l’artiste britannique Jonathan Monk que Lab’Bel a confié la création de la 3ème Boîte Collector.
 
OÙ TROUVER LA BOÎTE COLLECTOR JONATHAN MONK
Paris
Lafayette Gourmet : 35 bd Haussmann Paris 9ème
BHV/Marais rivoli : 52 Rue de Rivoli Paris 4èmeBerlin
Galeries Lafayette : Friedrichstraße 76-78, BerlinMarseille
Galeries Lafayette : 28 rue Bir Hakeim, Centre commercial Bourse, Marseille 1erSaint-Laurent du Var
CAP 3000 : Centre commercial Cap 3000, Quartier du Lac
if qui nait à la jonction de deux notions opposées et pourtant liées : nature/artifice, féminin/masculin, individu/société, raison/émotion, démocratie/tyrannie.
VNH Gallery Galleria Continua
MICHELANGELO PISTOLETTO

RESPECT

ART, ÉDUCATION & POLITIQUE

DU 20 OCTOBRE AU 23 DÉCEMBRE 2016

VNH Gallerie
VNH GALLERY
108 rue Vieille du Temple, 75003 Paris
Vernissage presse le jeudi 20 octobre de 18h à 20h
Échange et performance lors de la Nocturne des Galeries de la FIAC 2016
Commununiqué de presse
6 octobre 2016
Version web
Du 20 octobre au 23 décembre 2016, VNH Gallery & GALLERIA CONTINUA sont à l’initiative de RESPECT, une exposition protéiforme, en trois temps, autour et par Michelangelo Pistoletto – figure tutélaire de l’Arte Povera.
Les trois grandes composantes de RESPECT liées à l’art, à l’éducation et à la politique, viseront à saisir/dessaisir les fondamentaux qui animent la démarche de l’artiste dans sa quête du «3ème Paradis», ce point d’équilibre furtif qui nait à la jonction de deux notions opposées et pourtant liées : nature/artifice, féminin/masculin, individu/société, raison/émotion, démocratie/tyrannie.
Dès l’extérieur de la galerie, une grande représentation du «3ème Paradis», signe laïque et emblématique du travail de l’artiste italien, servira de point de départ d’un parcours rétrospectif composé d’une sélection d’œuvres historiques mettant en évidence la pratique pluridisciplinaire de Pistoletto.
Une libre circulation d’idées lors d’une conversation animée par le curateur Hans-Ulrich Obrist et avec Mehdi Meklat, Badroudine Said Abdallah et Abdellah Taïa offrira l’opportunité d’un approfondissement sur l’idée de «respect», un thème fondamental pour Pistoletto, notamment dans le moment historique que nous traversons.
Ensuite 23 miroirs seront activés/brisés lors d’une performance par l’artiste ainsi faisant apparaitre le mot «RESPECT» dans les langues les plus répandues.
La dimension politique sera traitée à travers les concepts de la démocratie et de la tyrannie par le biais de deux œuvres historiques résultantes des performances «Raggi di Persone» et «La Conferenza» de 1975 dont la portée reste particulièrement actuelle.
RESPECT marque la plus importante exposition de Michelangelo Pistoletto à Paris depuis celle du Musée Louvre en 2013 organisée par Marie-Laure Bernadac en collaboration avec la GALLERIA CONTINUA.
RESPECT est la seconde collaboration de VNH Gallery avec la GALLERIA CONTINUA. Elles partagent toutes les deux une volonté de montrer une sélection d’artistes de générations et d’horizons différents dans la pluralité de leurs expressions : performances, lectures de poésie, discussions, etc. RESPECT est ainsi présentée à la suite d’expositions et de projets que la VNH Gallery a consacré à Friedrich Kunath, Kris Martin, Mircea Cantor, Eduardo Basualdo, Pascale-Marthine Tayou, Benoit Maire, Olivier Mosset, Mai-Thu Perret.
20 octobre à 16H30 : Conversation animée par Hans-Ulrich Obrist

20 octobre à 18H00 : Une performance de Michelangelo Pistoletto sera présentée en ouverture de la «Nocturne des Galeries»

 

Illustré par une sélection d’environ 200 d’œuvres et de textes de poètes et d’écrivains tels Albert Cossery, Georges Henein, Edmond Jabès, Anwar Kamel, «Art et Liberté. Rupture, Guerre, et Surréalisme en Egypte (1938-1948)» accompagne la première exposition consacrée au mouvement surréaliste en Égypte que présente le Centre Pompidou à Paris du 19 octobre 2016 au 16 janvier 201
SKIRA EDITORE Communiqué de presse
5 octobre 2016
Version web
Catalogue d’exposition

ART ET LIBERTÉ.
RUPTURE, GUERRE, ET SURRÉALISME EN EGYPTE
(1938-1948)

Exposition au Centre Georges Pompidou, Paris, à la Tate Liverpool,
à K21 Düsseldorf et au Centro Reina Sofia, Madrid

Parution : octobre 2016
Disponible en français, anglais, arabe et allemand
Couverture brochée avec rabats
24 × 28 cm
256 pages
250 illustrations couleurs
Prix de vente : 35 €
ISBN : 978-2-37074-030-4

Illustré par une sélection d’environ 200 d’œuvres et de textes de poètes et d’écrivains tels Albert Cossery, Georges Henein, Edmond Jabès, Anwar Kamel, « Art et Liberté. Rupture, Guerre, et Surréalisme en Egypte (1938-1948) » accompagne la première exposition consacrée au mouvement surréaliste en Égypte que présente le Centre Pompidou à Paris du 19 octobre 2016 au 16 janvier 201
Par le biais de multiples médiums (peinture, dessin, photographie) et littéraires, ce catalogue replonge le lecteur dans le contexte artistique bouillonnant de l’Égypte des années 1930-1940. Riche des commentaires de spécialistes analysant un mouvement motivé par une véritable impulsion révolutionnaire, il vient en support de l’exposition offrant une compréhension optimale d’œuvres encore souvent méconnues d’Abdel Hadi El Gazzar, Kamel El Telmissany, Fouad Kamel, Ida Kar, Amy Nimr, Samir Ra, Ramsès Younan.
EDITEURS:
Co-fondateurs de « Art Reoriented » – plateforme pluridisciplinaire basée à Munich et New York – Sam Bardaouil et Till Fellrath sont des conservateurs indépendants. Ils ont assuré le commissariat d’importantes expositions telles que Staging Film (Busan, 2016), Mona Hatoum: Turbulence (Doha, 2014), Tea With Nefertiti (Doha, Paris, Valence, Munich, 2012- 2014). Ils enseignent dans différentes universités (American University of Beirut, London School of Economics). Ils ont contribué à nombreuses publications dans le domaine des arts, dont The Journal of Surrealist Studies, Dada/Surrealism, Flashart, et Frieze Magazine.
AUTEUR:
Le Dr James Gifford est directeur et professeur agrégé d’anglais au département en Sciences Humaines de l’Université Core à Fairleigh Dickinson, Vancouver. Il est l’auteur de « Personal Modernisms: Anarchist Network and the Later Avant-Gardes » (2014), d’une édition critique sur Lawrence Durrell, « From the Elephant’s Back » (2015) et de « The Henry Miller-Herbert Read Letters: 1935-58 » (2007). James Gifford a mené de nombreuses recherches sur l’ influence internationale du surréalisme en Grande-Bretagne.
Coinciding with Frieze London, VNH Gallery and GALLERIA CONTINUA are pleased to present Colonnes Pascale, an installation by Cameroonian artist Pascale Marthine Tayou in London’s iconic Claridge’s Hotel.
VNH Gallery Galleria Continua
Claridge's Hotel
INVITATION
COLONNES PASCALE

AN INSTALLATION BY PASCALE MARTHINE TAYOU
AT CLARIDGE’S HOTEL DURING FRIEZE LONDON

COCKTAIL RECEPTION WEDNESDAY 5 OCTOBER, 6:30 TO 8:30 PM

RSVP at info@fouchardfilippi.com
Claridge’s hotel
Brook St, Mayfair, London W1K 4HR, UK
On display until 9 October, 2016
Press release
4 October 2016
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Coinciding with Frieze London, VNH Gallery and GALLERIA CONTINUA are pleased to present Colonnes Pascale, an installation by Cameroonian artist Pascale Marthine Tayou (b. 1966) in London’s iconicClaridge’s Hotel.
Colonnes Pascale (Pascale’s column) is a monument made of pots from Africa, Morocco or even China, according to trips made by the artist or to the country in which he created the pieces. This accumulation of objects from everyday life is stacked vertically in a fragile equilibrium standing around 6 meters tall.
The work is characterized by a playful dimension, revealing itself gradually upon closer examination as its paradoxical aspect emerges. While its development relates to family history and draws inspiration from African imaginary, it extends beyond this, reflecting on the question of hunger on the African continent. Using the emblematic form of the classical column, the artist gives shape to Western stereotypes. The work also blends the mysticism of the totem pole and the solemnity of the classical column. It can also be seen as an evocation of Brancusi’s column!
Such is the great strength of this reinvented column: it invites us on a journey into the artist’s personal life, plunging us into a world in which physical and spiritual borders lose their significance in order to build new meaning.
Pascale Marthine Tayou
Pascale Marthine Tayou was born in Nkongsamba, Cameroon in 1966, and lives and works in Ghent, Belgium and Yaoundé, Cameroon. Beginning the early-1990s and with his participation in Documenta 11 (Kassel, 2002) and at the Venice Biennale (2005 and 2009), he has gained notoriety among a broad, international public.
His work is characterized by its variability, since he confines himself in his artistic work neither to one medium nor to a particular set of issues. While his themes may be various, they all use the person of the artist himself as their point of departure. Already at the very outset of his career, Pascale Marthine Tayou added an “e” to his first and middle name to give them a feminine ending, thus distancing himself ironically from the importance of artistic authorship and male/female ascriptions.
This also holds true for any reduction to a specific geographical or cultural origin. In this sense his works not only mediate between cultures, or set man and nature in ambivalent relations to each other, but are produced in the knowledge that they are social, cultural, or political constructions. His work is deliberately mobile, heterogenous, and eludes any pre-established schema. It is always closely linked to the idea of travel and of coming into contact with what is other to the self, and is so spontaneous that it almost seems casual. The objects, sculptures, installations, drawings and videos produced by Tayou have in common a recurrent feature: they dwell upon an individual moving through the world and exploring the issue of the global village.
It is in this context that Tayou negotiates his African origins and the related expectations.
Tayou has contributed to a number of major international exhibitions and art events, such as Documenta 11 (2002), Triennial of Turin (2008), Tate Modern (2009), the Biennials of Kwangju (1997 and 1999), Santa Fe (1997), Sydney (1997), La Havane (1997 and 2006), Liverpool (1999), Berlin (2001), Sao Paulo (2002), Munster  (2003), Istanbul (2003), Lyon (2000 and 2005), Venice (2005 and 2009).
He has shown his work in museums around the world, having been the subject of solo shows at the MACRO (Rome, 2004 and 2013), S.M.A.K. (Ghent, Belgium, 2004), MARTa Herford (Herford, Germany, 2005), Milton Keynes Gallery (Milton Keynes, UK, 2007), Malmö Konsthall (Malmö, Sweden, 2010), Mudam (Luxembourg, 2011), La Villette (Paris, France, 2012), KUB (Bregenz, Austria, 2014), Fowler Museum (Los Angeles, USA, 2014), the Serpentine Sackler Gallery (London, England, 2015), BOZAR (Brussels, London, 2015), Musée de l’Homme (Paris, 2015) and CAC Malaga (Spain, 2016).
Après Hans-Peter Feldmann en 2014 et Thomas Bayrle en 2015, c’est à l’artiste britannique Jonathan Monk que sera confiée la réalisation de la 3ème Boîte Collector de La vache qui rit® en 2016.
Lab'bel La vache qui rit Group Bel
Communiqué de presse
29 septembre 2016
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LA BOITE COLLECTOR VACHE QUI RIT JONATHAN MONK
PRÉSENTÉE À LA FIAC
Après Hans-Peter Feldmann en 2014 et Thomas Bayrle en 2015, c’est à l’artiste britannique Jonathan Monk que sera confiée la réalisation de la 3ème Boîte Collector de La vache qui rit® en 2016.
LE PROJET BOÎTES COLLECTOR
La célèbre marque française La vache qui rit®, dont le dessin original est signé Benjamin Rabier, a de tous temps engagé des rapports privilégiés avec les artistes, qu’elle les sollicite directement ou qu’ils se l’approprient de leur seule initiative. Forte de cette tradition et en prévision du 100ème anniversaire de la marque en 2021, le Groupe Bel – sous l’impulsion de Lab’Bel, son fonds de dotation consacré à l’art contemporain – est à l’initiative depuis 2014 d’une série de collaborations prestigieuses avec de grands artistes contemporains afin d’en réinterpréter l’image iconique. Dans une démarche de mise à disposition de l’art contemporain auprès du plus grand nombre, ces Boîtes Collector sont vendues au prix habituel d’une boîte de 24 portions.
JONATHAN MONK – UN ART INCISIF, IRONIQUE ET MORDANT
Né à Leicester en 1969, Jonathan Monk vit et travaille à Berlin. Dans son travail artistique, il réexamine et « rejoue » des œuvres iconiques de l’histoire de l’art du XXe siècle avec esprit, ironie et mordant. C’est cette démarche d’appropriation qu’il mettra précisément en œuvre pour la réalisation de la 3ème Boîte Collector par le biais d’une proposition tout aussi radicale que conceptuelle. Représenté notamment à Saint-Ouen par la galerie Untilthen, à Bruxelles et Tel Aviv par la Dvir Gallery et à Londres par la la Lisson Gallery, son travail à été montré dans le cadre de nombreuses expositions personnelles et collectives comme au Palais de Tokyo et au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris (2008), au Kunstverein de Hanovre (2006), à l’Institute of Contemporary Art de Londres (2005) au Museum Kunstpalast de Düsseldorf (2003), au Kunsthaus Baseland de Bâle (2016).
FAIRE SON SUPERMARCHÉ À LA FIAC
Au cours l’édition 2016 de la FIAC qui se tiendra du 20 au 23 octobre, le Groupe Bel et Lab’Bel dévoileront laBoîte Collector Jonathan Monk dans le cadre d’un projet aux allures de mini- supermarché réalisé en collaboration avec l’artiste. Collectionneurs et amateurs d’art contemporain pourront s’y presser pour faire l’acquisition d’une des œuvres les moins chères de la foire. Lab’Bel présentera à cette occasion le nouveau film-portrait de Jonathan Monk réalisé par François Prodromidès à la suite des deux premiers consacrés à Hans-Peter Feldmann et Thomas Bayrle*. Une rencontre avec l’artiste et le curateur du projet Michael Staab centrée sur la Boite Collector est également organisée dans le cadre du programme VIP de la foire.
LA BOÎTE COLLECTOR AUX LAFAYETTE GOURMET / GALERIES LAFAYETTE
Comme pour sa précédente édition, la Boite Collector sera mise en vente à partir du mois d’octobre dans une quinzaine de magasins du réseau Lafayette Gourmet / Galeries Lafayette dans toute la France.

*A voir sur le site internet de Lab’Bel : www.lab-bel.com
Lab’Bel est dirigé par Laurent Fiévet et a pour directrice artistique la curatrice Silvia Guerra.

BEIRUT ART FAIR a renforcé la position de la foire comme rendez-vous incontournable des collectionneurs libanais et de la région. L’édition 2016, plus resserrée, a réussi le pari d’une nette montée en gamme, renforçant les deux grands axes fondamentaux qui font la spécificité de cette foire atypique, jeune et dynamique : révéler les meilleurs jeunes talents de la région et offrir un espace unique en son genre aux artistes les plus importants des générations précédentes.
Beirut Art Fair Communiqué de presse
29 septembre 2016
Version web
BEIRUT ART FAIR 2016:

UNE MONTÉE EN GAMME ET DES RÉSULTATS EN HAUSSE

La 7ème édition de BEIRUT ART FAIR 2016 s’est s’achevée le 18 septembre dernier après avoir accueilli plus de 23.000 visiteurs (contre 21.000 en 2015) et réalisé un chiffre d’affaire global de 3,2 millions de dollars, soit en moyenne un résultat par galerie en hausse d’environ 25% par rapport à l’édition précédente, 87% des galeries présentes ayant réalisé des ventes.

BEIRUT ART FAIR renforce donc au fil des ans sa position de rendez-vous incontournable des collectionneurs libanais et de la région. L’édition 2016, plus resserrée, a réussi le pari d’une nette montée en gamme, renforçant les deux grands axes fondamentaux qui font la spécificité de cette foire atypique, jeune et dynamique : révéler les meilleurs jeunes talents de la région et offrir un espace unique en son genre aux artistes les plus importants des générations précédentes.

La nouvelle section REVEALING by SGBL – dédiée à la présentation des jeunes talents – ainsi que l’expositionLEBANON MODERN! by Bankmed – consacrée aux femmes artistes de la modernité libanaise sur la période 1945-1975 – sont notamment venues illustrer cette double volonté d’affirmation et de découverte.

De même la photographie a tenu une place particulièrement importante lors de cette 7ème édition de BEIRUT ART FAIR : pour ses cinq ans, le BYBLOS BANK AWARD avait invité la photographe franco-algérienne Halida Boughriet à travailler lors d’un workshop avec cinq jeunes photographes sélectionnés parmi les finalistes des éditions précédentes : Myriam Boulos, Ghaleb Cabbabe, Tarek Haddad, Lama Mattar et Carmen Yahchouchy. Le prix a été remis lors de la foire au jeune photographe Elsn Lahoud pour sa série « Ehtiyat » (Réserve militaire) révélant une approche très personnelle sur le dernier groupe de conscrits au service militaire obligatoire du Liban. Le prix décerné consiste en un programme de conseil et de soutien professionnel incluant un mentorat personnalisé avec le photographe Serge Najjar et une exposition qui sera accueillie au siège de la banque

Elie Saab présentait, quant à lui, dans un vaste espace dédié, la remarquable série UNLIGHT / SUNLIGHT d’Evangelia Kranioti, fruit d’une résidence artistique effectuée dans le cadre de la bourse de création ELIE SAAB, décernée lors du 30ème Festival International de la Mode et de la Photographie d’Hyères en 2015.

Selon M. Raymond Araygi, Ministre de la Culture libanais : « BEIRUT ART FAIR est un évènement phare pour la scène artistique et culturelle libanaise. Cette 7ème édition a permis de mettre en lumière non seulement l’exceptionnelle effervescence de la scène artistique mais aussi la capacité de Beyrouth à attirer les galeries internationales ».

Pour M. Michel Pharaon, Ministre du Tourisme libanais : « BEIRUT ART FAIR est devenu un évènement attendu au Liban, dans la région et dans le monde, étant donné le niveau de qualité des artistes libanais et internationaux qui y sont présents. Grâce à cette foire et à l’énergie qui en ressort, l’image du Liban est de plus en plus positive » .

Pour mémoire, 45 galeries de 20 pays participaient à la 7ème édition de BEIRUT ART FAIR.

La nouvelle section monographique REVEALING BY SGBL présentait 27 jeunes talents.

Trait
Faits & chiffres stands de la foire

Faits & chiffres de la section REVEALING by SGBL

Longtemps marqué du sceau décadent et superficiel de la «fête impériale», le Second Empire fut aussi une grande période de création et de modernisation au cours de laquelle «s’est formée, en quelque sorte, une nouvelle France» (Gambetta).
Skira Editors Communiqué de presse
19 septembre 2016
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Catalogue d’exposition | Ouvrage de référence | 30 ans du Musée d’Orsay

SPECTACULAIRE SECOND EMPIRE

Exposition au musée d’Orsay

Parution : septembre 2016
ISBN : 978-2-37074-042-7
Couverture reliée
24 × 28 cm
320 pages
350 images reproduites
Prix de vente : 45 €
Positionnement :
Histoire de l’art, peinture, photographie, sculpture, art décoratif

Catalogue de l’exposition que présente le musée d’Orsay du 27 septembre 2016 au 15 janvier 2017, Spectaculaire Second Empire vient en appui pour comprendre toutes les dimensions d’un régime décrié en son temps et honni après sa chute.
Longtemps marqué du sceau décadent et superficiel de la « fête impériale », le Second Empire fut aussi une grande période de création et de modernisation au cours de laquelle « s’est formée, en quelque sorte, une nouvelle France » (Gambetta).
A l’appui de cette thèse, textes et une riche iconographie présentent peintures, sculptures, photographies, esquisses et dessins d’architecture, objets d’art, bijoux, et costumes guidant le lecteur au sein d’une époque de fastes et d’euphorie économique, d’ostentations et de célébrations multiples. Les plus grands artistes de ce siècle, tels que Gérôme, Manet, Monet, Nadar, Tissot, illustrent ainsi leur temps et permettent alors de partager un moment de ceSpectaculaire Second Empire. De la représentation de la société à la ville et ses spectacles, les scènes de l’art ou encore le Salon et les Expositions universelles, cet ouvrage met en lumière de multiples facettes d’une époque pour laquelle existe peu d’ouvrage de référence.
Préface par Guy Cogeval, président des musées d’Orsay et de l’Orangerie.
Commissaires d’exposition :
Commissariat général : Guy Cogeval, président des musées d’Orsay et de l’Orangerie
Commissariat : Yves Badetz, conservateur général au musée d’Orsay et directeur du musée Hébert
Paul Perrin, conservateur au musée d’Orsay
Marie-Paule Vial, conservateur en chef du patrimoine honoraire
Lors de la cérémonie d’inauguration de la 7ème édition de BEIRUT ART FAIR, Son Excellence Monsieur Raymond Araygi, Ministre de la Culture du Liban a remis à Laure d’Hauteville, fondatrice et directrice de la foire, et à Pascal Odille, Directeur Artistique, une « Daraa », « Distinction honorifique du ministère de la culture du Liban ».
Beirut Art Fair Communiqué de presse
15 septembre 2016
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BEIRUT ART FAIR :

LAURE D’HAUTEVILLE ET PASCAL ODILLE
DISTINGUÉS PAR LE MINISTÈRE DE LA CULTURE LIBANAIS

Lors de la cérémonie d’inauguration de la 7ème édition de BEIRUT ART FAIR, Son Excellence Monsieur Raymond Araygi, Ministre de la Culture du Liban a remis à Laure d’Hauteville, fondatrice et directrice de la foire, et à Pascal Odille, Directeur Artistique, une « Daraa », « Distinction honorifique du ministère de la culture du Liban ».
Cette distinction vient récompenser Madame Laure d’Hauteville pour les nombreuses actions qu’elle a pu mener depuis plus de 25 ans en faveur du rayonnement culturel international du Liban et notamment pour BEIRUT ART FAIR, foire d’art contemporain placée sous le patronage du Ministère de la Culture et du Ministère du Tourisme, respectivement représentés par Son Excellence Monsieur Raymond Araygi et Son Excellence Monsieur Michel Pharaon.
Depuis son installation en 1991au Liban, ce pays est devenu pour Laure d’Hauteville, française de nationalité et libanaise de cœur, son pays d’adoption. Au Liban, elle a d’abord créé et dirigé, de 1998 à 2005, le salon international d’art contemporain ARTSUD dont le succès à permis la création de plusieurs éditions parallèles à Dubaï de 2000 à 2002, à Paris en 2002, à Moscou en 2002 et 2003 et à Las Vegas en 2004.
De retour provisoire à Paris en 2005, elle a ensuite collaboré avec les équipes d’Art Paris et a lancé avec eux en 2007 et 2008, les deux premières éditions de Art Paris Abu Dhabi devenue aujourd’hui Abu Dhabi Art Fair.
Les années 2010 ont marqué un tournant dans la trajectoire de Laure d’Hauteville et confirmé son attachement au Liban, puisqu’elle décide alors de se spécialiser sur la création artistique contemporaine des régions ME.NA.SA(Middle East, North Africa, South & South Est Asia). Et c’est Beyrouth qu’elle choisit alors pour créer une nouvelle foire internationale d’art moderne et contemporain : BEIRUT ART FAIR, considérée aujourd’hui par le site de référence ArtPrice comme l’une des foires les plus importantes du ME.NA.SA. L’essor de BEIRUT ART FAIR fait ainsi l’objet d’une reconnaissance toujours plus grande de la part des professionnels (galeries, artistes, acteurs institutionnels), des collectionneurs et amateurs d’art et de la presse nationale et internationale aidant ainsi à placer le Liban sur le devant de la scène culturelle et artistique.
Pascal Odille est Directeur Artistique de BEIRUT ART FAIR depuis la première édition en 2010. Expert en Art Moderne et Contemporain à la C.N.E.S (Chambre Nationale des Experts Spécialisés) depuis 1997, il intervient également auprès de différentes institutions publiques au Moyen-Orient en tant que consultant pour l’art de la région ME.NA.SA et publie régulièrement des analyses sur le marché de l’art dans divers médias.
Pascal Odille a travaillé pour plusieurs maisons de ventes aux enchères en France comme Artcurial à Paris. Spécialisé dans les « grands inventaires », il a notamment exécuté celui de la collection Pierre Restany.
Enseignant dans plusieurs établissements en France et à l’étranger, Pascal Odille est à l’origine du premier Master consacré au Marché de l’art à l’EAC (Paris). Curateur indépendant, il a travaillé sur diverses expositions en France, au Liban ou aux Etats-Unis. Il est aussi conseiller pour des collectionneurs privés en Europe, au Liban, ainsi que dans les pays du Golfe.
Trait
La 7ème édition de BEIRUT ART FAIR se tient au BIEL (Beirut International Exhibition and Leisure Center) du 16 au 18 septembre prochains. 23.000 visiteurs sont attendus.
La 7ème édition de BEIRUT ART FAIR rassemblera un total de 45 galeries venues de 20 pays.
Beirut Art Fair Communiqué de presse
5 septembre 2016
Version web
BEIRUT ART FAIR 2016

Une 7ème édition placée sous le signe de la découverte
des jeunes talents du ME.NA.SA
et des artistes femmes libanaises de la modernité

15 – 18 SEPTEMBRE
BIEL – BEYROUTH, LIBAN

La 7ème édition de BEIRUT ART FAIR rassemblera un total de 45 galeries venues de 20 pays.
1. 392rmeil393, Liban

2. A&V Art Gallery, Biélorussie

3. A2Z Art Gallery, France

4. Agial Art Gallery/Saleh Barakat Gallery, Liban

5. Aïda Cherfan, Liban

6. Albareh Art Gallery, Bahreïn

7. Albert Baronian, Belgique

8. Art On 56th, Liban

9. Artlab, Liban

10. Artspace Hamra, Liban

11. Ash, Liban

12. baudoin lebon, France

13. Bel Air Fine Art, France/Italie/Suisse/Moyen Orient

14. Dar Al-Anda Art Gallery, Jordanie

15. Elie Saab, Liban

16. Emmagoss Art Galerie, Liban

17. Endjavi Barbe Art Projects, Suisse

18. Espace Jacques Ouaiss, Liban

19. Fadi Mogabgab Art Contemporain, Liban

20. Galeries Françoise Livinec, France

21. Galerie Janine Rubeiz, Liban

22. Galerie Les Ateliers Sauvages, Algérie

23. Galerie Nikki Diana Marquardt, France

24. Galerie Tanit, Liban/Allemagne

25. Galleria Pack, Italie

26. Gallery One, Palestine

27. Gowen Contemporary, Suisse

28. Hamazkayin Lucy Tutunjian Art Gallery, Liban

29. Ifa gallery, Belgique

30. In Toto Gallery, Afrique du Sud

31. island6, Chine

32. Johanna Suo Project, Belgique

33. La Art Gallery, Argentine

34. La Baignoire Experience, Algérie

35. LAS, Liban

36. Macam, Liban

37. Mark Hachem Gallery, Liban/France/USA

38. Mashrabia Gallery, Egypte

39. Silk Road Gallery, Iran

40. South Border, Liban

41. Sud Gallery, France

42. Vincenz Sala Paris | Berlin, France/Allemagne

43. Wadi Finan Art Gallery, Jordanie

44. Xol Art Gallery, USA

45. Zaarura Edition, Liban

Avec 27 galeries participant à la nouvelle section REVEALING by SGBL de la foire, cette 7ème édition sera particulièrement placée sous le signe de la découverte de jeunes talents principalement issus de la régionME.NA.SA (Middle East, North Africa, South Asia) ou ayant un fort lien avec celle-ci. À la suite d’un processus de sélection validé par un comité composé de trois grands collectionneurs de la région – Basel Dalloul, Abraham Karabajiakian, Tarek Nahas – ces galeries présenteront les jeunes artistes suivant qu’elles jugent particulièrement prometteurs :
Artiste Nationalité Galerie
Waseem AHMED Pakistanais Gowen Contemporary (Suisse)
Charbel AOUN Libanais Mark Hachem (Liban/France/USA)
Rafat ASAD Palestinien Gallery One (Palestine)
Oussama BAALBAKI Libanais Agial Art gallery/Saleh Barakat Gallery (Liban)
Adel BENTOUNSI Algérien Galerie Les Ateliers Sauvages (Algérie)
Wahib CHEHATA Franco-Tunisien A2Z Art Gallery (France)
Myriam EL HAÏK Franco-Marocaine Vincenz Sala Paris | Berlin (France/Allemagne)
Joakim ENEROTH Suédois Johanna Suo Project (Belgique)
Sabyl GHOUSSOUB Franco-Libanais Silk Road Gallery (Iran)
Maryam HOSEINI Iranienne Endjavi Barbe Art Projects (Suisse)
Kyung-Ae HUR Sud-Coréenne Galerie baudoin lebon (France)
Christine KETTANEH Libanaise Galerie Janine Rubeiz (Liban)
Semaan KHAWAM Libanais Albareh Art Gallery (Bahreïn)
Mohamad KHAYATA Syrien 392rmeil393 (Liban)
Morteza KHOSRAVI Iranien Artlab (Liban)
Rabi KORIA Syrien Galeries Françoise Livinec (France)
Isabelle MANOUKIAN Française Galerie Nikki Diana Marquardt (France)
Ali Abdel MOHSEN Egyptien Mashrabia Gallery (Egypte)
Fatima MORTADA Syrienne Wadi Finan Art Gallery (Jordanie)
Ernesto RANCAÑO Cubain South Border (Liban)
Benjamin RECEVEUR Français Zaarura Edition (Liban)
Ghadeer SAEED Jordanienne Dar Al-Anda Art Gallery (Jordanie)
Hussein SALIM Soudanais In Toto Gallery (Afrique du Sud)
Hassan SAMAD Libanais Artspace Hamra (Liban)
Paulina SURYS Polonaise ifa gallery (Belgique)
Fella TAMZALI Algérienne La Baignoire Expérience (Algérie)
Ghada ZOUGHBY Libanaise ASH (Liban)
Les artistes femmes à l’honneur
Avec l’exposition LEBANON MODERN!, et pour la première fois, BEIRUT ART FAIR rend hommage aux artistes femmes libanaises de la modernité sur la période 1945-1975. À travers une sélection d’œuvres provenant de collections privées mais aussi du Ministère de la Culture libanais, cette exposition au sein de la foire mettra en avant toute la force et l’énergie créatrice de femmes artistes souvent méconnues du grand public. Certaines ont récemment bénéficié de grandes rétrospectives : Saloua Raouda Choucair à la Tate Modern en 2013, Etel Adnan cet été à la Serpentine Gallery puis à l’IMA cet automne à Paris. Les artistes exposées – classées par ordre chronologique de naissance – seront : Bibi Zogbé (1890-1973), Marie Hadad (1895-1973), Blanche Lohéac Ammoun (1912-2011), Saloua Raouda Choucair (1916), Helen Khal (1923-2009), Etel Adnan (1925), Cici Sursock (1926-2015), Yvette Achkar (1928), Huguette Caland (1931), Laure Ghorayeb (1931), Juliana Séraphim (1934-2005), Nadia Saikali (1936), Seta Manoukian (1945).
LEBANON MODERN! est rendu possible grâce au soutien de Bankmed, partenaire principal.
Pour mémoire
BEIRUT ART FAIR a été créée en 2010 et est dirigée par Laure d’Hauteville, commissaire d’exposition et ancienne journaliste. La direction artistique de la foire est assurée par Pascal Odille, expert en art moderne et contemporain (CNES) ainsi que Marine Bougaran, directrice des espaces « Projects » de la foire.

En 2015, BEIRUT ART FAIR a accueilli 21.000 visiteurs a généré un chiffre d’affaires de $3,2 millions (US) soit le quadruple de l’édition 2010.

Après Hans-Peter Feldmann en 2014 et Thomas Bayrle en 2015, c’est à l’artiste britannique Jonathan Monk que sera confiée la réalisation de la 3ème Boîte Collector de La vache qui rit® en 2016.
Lab'bel La vache qui rit Group Bel
Communiqué de presse
29 août 2016
Version web
L’ARTISTE BRITANNIQUE JONATHAN MONK CHOISI POUR RÉALISER
LA 3ÈME BOÎTE COLLECTOR DE LA VACHE QUI RIT®
Après Hans-Peter Feldmann en 2014 et Thomas Bayrle en 2015, c’est à l’artiste britannique Jonathan Monk que sera confiée la réalisation de la 3ème Boîte Collector de La vache qui rit® en 2016.
LE PROJET BOÎTES COLLECTOR
La célèbre marque française La vache qui rit®, dont le dessin original est signé Benjamin Rabier, a de tous temps engagé des rapports privilégiés avec les artistes, qu’elle les sollicite directement ou qu’ils se l’approprient de leur seule initiative. Forte de cette tradition et en prévision du 100ème anniversaire de la marque en 2021, le Groupe Bel – sous l’impulsion de Lab’Bel, son fonds de dotation consacré à l’art contemporain – est à l’initiative depuis 2014 d’une série de collaborations prestigieuses avec de grands artistes contemporains afin d’en réinterpréter l’image iconique. Dans une démarche de mise à disposition de l’art contemporain auprès du plus grand nombre, ces Boîtes Collector sont vendues au prix habituel d’une boîte de 24 portions.
JONATHAN MONK – UN ART INCISIF, IRONIQUE ET MORDANT
Né à Leicester en 1969, Jonathan Monk vit et travaille à Berlin. Dans son travail artistique, il réexamine et « rejoue » des œuvres iconiques de l’histoire de l’art du XXe siècle avec esprit, ironie et mordant. C’est cette démarche d’appropriation qu’il mettra précisément en œuvre pour la réalisation de la 3ème Boîte Collector par le biais d’une proposition tout aussi radicale que conceptuelle. Représenté notamment à Saint-Ouen par la galerie Untilthen, à Bruxelles et Tel Aviv par la Dvir Gallery et à Londres par la la Lisson Gallery, son travail à été montré dans le cadre de nombreuses expositions personnelles et collectives comme au Palais de Tokyo et au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris (2008), au Kunstverein de Hanovre (2006), à l’Institute of Contemporary Art de Londres (2005) au Museum Kunstpalast de Düsseldorf (2003), au Kunsthaus Baseland de Bâle (2016).
FAIRE SON SUPERMARCHÉ À LA FIAC
Au cours l’édition 2016 de la FIAC qui se tiendra du 20 au 23 octobre, le Groupe Bel et Lab’Bel dévoileront laBoîte Collector Jonathan Monk dans le cadre d’un projet aux allures de mini- supermarché réalisé en collaboration avec l’artiste. Collectionneurs et amateurs d’art contemporain pourront s’y presser pour faire l’acquisition d’une des œuvres les moins chères de la foire. Lab’Bel présentera à cette occasion le nouveau film-portrait de Jonathan Monk réalisé par François Prodromidès à la suite des deux premiers consacrés à Hans-Peter Feldmann et Thomas Bayrle*. Une rencontre avec l’artiste et le curateur du projet Michael Staab centrée sur la Boite Collector est également organisée dans le cadre du programme VIP de la foire.
LA BOÎTE COLLECTOR AUX LAFAYETTE GOURMET / GALERIES LAFAYETTE
Comme pour sa précédente édition, la Boite Collector sera mise en vente à partir du mois d’octobre dans une quinzaine de magasins du réseau Lafayette Gourmet / Galeries Lafayette dans toute la France.

*A voir sur le site internet de Lab’Bel : www.lab-bel.com

e l’Arte Povera. Les trois grandes composantes de RESPECT liées à l’art, à l’éducation et à la politique, viseront à saisir/dessaisir les fondamentaux qui animent la démarche de l’artiste dans sa quête du «3ème paradis», ce point d’équilibre furtif qui nait à la jonction de deux notions opposées et pourtant liées : nature/artifice, féminin/masculin, individu/société, raison/émotion, démocratie/tyrannie.
VNH Gallery Galleria Continua
MICHELANGELO PISTOLETTO

RESPECT

ART, ÉDUCATION & POLITIQUE

DU 20 OCTOBRE AU 23 DÉCEMBRE 2016

VNH Gallerie
VNH GALLERY
108 rue Vieille du Temple, 75003 Paris
Vernissage presse le jeudi 20 octobre de 18h à 20h
Échange et performance lors de la Nocturne des Galeries de la FIAC 2016
Commununiqué de presse
25 août 2016
Version web
Du 20 octobre au 23 décembre 2016, VNH Gallery & GALLERIA CONTINUA sont à l’initiative de RESPECT, une exposition protéiforme, en trois temps, autour et par Michelangelo Pistoletto – figure tutélaire de l’Arte Povera.
Les trois grandes composantes de RESPECT liées à l’art, à l’éducation et à la politique, viseront à saisir/dessaisir les fondamentaux qui animent la démarche de l’artiste dans sa quête du «3ème Paradis», ce point d’équilibre furtif qui nait à la jonction de deux notions opposées et pourtant liées : nature/artifice, féminin/masculin, individu/société, raison/émotion, démocratie/tyrannie.
Dès l’extérieur de la galerie, une grande représentation du «3ème Paradis», signe laïque et emblématique du travail de l’artiste italien, servira de point de départ d’un parcours rétrospectif composé d’une sélection d’œuvres historiques mettant en évidence la pratique pluridisciplinaire de Pistoletto.
Une libre circulation d’idées lors d’un échange animé par le curateur Hans-Ulrich Obrist offrira l’opportunité d’un approfondissement sur l’idée de «respect», un thème fondamental pour Pistoletto, notamment dans le moment historique que nous traversons.
Ensuite 23 miroirs seront activés/brisés lors d’une performance par l’artiste ainsi faisant apparaitre le mot «RESPECT» dans les langues les plus répandues.
La dimension politique sera traitée à travers les concepts de la démocratie et de la tyrannie par le biais de deux œuvres historiques résultantes des performances «Raggi di Persone» et «La Conferenza» de 1975 dont la portée reste particulièrement actuelle.
RESPECT marque la plus importante exposition de Michelangelo Pistoletto à Paris depuis celle du Musée Louvre en 2013 organisée par Marie-Laure Bernadac en collaboration avec la GALLERIA CONTINUA.
RESPECT est la seconde collaboration de VNH Gallery avec la GALLERIA CONTINUA. Elles partagent toutes les deux une volonté de montrer une sélection d’artistes de générations et d’horizons différents dans la pluralité de leurs expressions : performances, lectures de poésie, discussions, etc. RESPECT est ainsi présentée à la suite d’expositions et de projets que VNH Gallery a consacré à Friedrich Kunath, Kris Martin, Mircea Cantor, Eduardo Basualdo, Pascale-Marthine Tayou, Benoit Maire, Oliver Mosset, Mai-Thu Perret.
20 octobre à 16H30 : Échange animé par Hans-Ulrich Obrist

20 octobre à 18H00 : Une performance de Michelangelo Pistoletto sera présentée en ouverture de la «Nocturne des Galeries»

En avant-première d
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