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Exposition PLATEFORME
Exposition PENDANT QUE LES CHAMPS BRULENT

Du 09 au 25 Mars 2018

Camille Beauplan, Simon Rayssac, Demi Tour de France
“ Felix qui potuitrerumcognoscere causas ”
“ Heureux qui peut savoir l’origine des choses ”
Virgile, Les Géorgiques, v. 490
Pendant que les champs brûlent fait écho à ce moment si particulier de l’entre deux, entre ce qui a été et ce qui est à venir, en devenir comme le lieu de la résurrection où la terre renaîtra de ses cendres pour laisser place à quelque chose de meilleur ou au contraire de bien pire, qu’importe. Ce qui nous interpelle ici dans les déambulations présentées en divers lieux (voir “non-lieux”), repose sur cet instant où les choses sont sur le point d’apparaître ou de disparaître. Ces temps suspendus à la marge du territoire créant une tension entre le passé et l’avenir, entre les vestiges d’une terre antérieure et ce qui va surgir du sol ex-nihilo donnant naissance à de nouvelles topographies entre ville et nature.
Les différents regards portés dessinent alors les altérités du paysage en devenir, présentant au spectateur une banalité en mutation interrogeant tout un chacun sur son environnement en constante métamorphose où le sublime se confond avec l’ordinaire.
L’exposition explore ces notions à travers les intentions de plusieurs artistes, entre propositions abstraites et visions réalistes, mais toutes teintées d’une certaine ironie non cynique.
Camille Beauplan, au grès de ses déambulations, est à la recherche de scènes particulières, absurdes, attractives, étrangement composées qu’elle retranscrit ici dans des peintures oscillant entre réel et virtuel, créant un genre d’épiphanie dans un quotidien banal, social et pop.
Le travail de Simon Rayssac, privilégiant une pratique de la peinture en quête de sensations colorées par la répétition de formes simples et universelles, sonde de manière abstraite la fragile limite de la nature résiduelle avec l’urbain persistant.
Enfin, le duo d’artistes Demi Tour de France (Marie Bouthier et Anouck Lemarquis), propose une exploration du territoire telle une dérive dans les aspérités des contrées traversées, une odyssée dans l’entre-paysage mêlant photographie, vidéo et édition.
Camille Beauplan (FR)
www.camillebeauplan.com/
Camille Beauplan est diplômée de l’Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux et d’un Master en Esthétique de l’Art à l’université Paris 8. En parallèle de ses recherches, elle obtient le CAPES d’arts plastiques et s’occupe de la Direction artistique de nombreux clips vidéos. Elle se consacre aujourd’hui exclusivement à la pratique de la peinture.
D’abord constitué de peintures à l’esthétique « Hard Edge/Soft Machine* », elle montre des produits de la culture de masse, détournés de ce qu’ils sont puis plongés dans des scènes empruntées aux Pop, Kitch et film Sci-Fi. Elle dirige aujourd’hui ses recherches vers une pratique picturale davantage sociale, reprend le travail de détournement mais questionne moins le rapport Mass culture/Art que plus directement le rapport Social/Art. Elle utilise les lieux qu’elle traverse et les objets qu’elle croise pour faire des peintures critiques de la société contemporaine.
Elle vit et travaille à Saint Ouen.
*Jill Gasparina
Demi Tour de France (FR)
www.demitourdefrance.fr
Demi Tour de France est un duo d’artistes formé par MarieBouthier et Anouck Lemarquis.
Demi Tour de France est un projet multiforme qui cherche à adapter les médiums utilisés à partir de la question soulevée. Basant son projet initial autour de la photographie et des territoires physiques et /ou virtuels, le duo s’interroge en parallèle sur comment adapter un médium particulier à une situation donnée.
La naissance du projet Demi Tour de France s’est dans un premier temps articulée autour de la traversée des paysages français au bord d’une Opel « Zafiro ». Photographiant le territoire et ses altérités, le duo cherche à donner un regard romantique au territoire qu’il parcourt, tout en s’interrogeant sur la manière de le mettre en forme.
En traitant la question de l’espace et du paysage, Demi Tour de France est toujours confronté dans son travail à la question de la forme et à la manière de la développer. Au delà de l’image, le duo cherche à repenser les thématiques spatiales du point de vue de l’expérience, du récit et de la manière de les retranscrire au mieux en interrogeant la question du support.
Ainsi tel projet pourra prendre la forme d’un projet d’édition, tel autre celui d’une série de posters grand format ou encorede fanzines. Il s’agit dans tous les cas de considérer la
photographie au delà de son traitement classique, voir de son espace sémantique.
Demi Tour de France vit et travaille entre Paris et Bordeaux.
Simon Rayssac (FR)
www.simonrayssac.net
Simon Rayssac est né en 1983. Apres ses études aux Beaux-Arts de Bordeaux, il fonde dans cette même ville le 5UN7, un runspace dédié a la jeune création, il s’occupe désormais de la Présidence de L’Escalier B une structure nomade ayant pour vocation l’exposition, la diffusion et la création d’atelier, de résidence, pour des artistes tant Bordelais que étranger.
Continuant sa pratique personnel au sein de l’atelier mutualisé La Réserve Bienvenue, il a exposé à Bruxelles, Berlin, Lyon, Paris, ses oeuvres font parties de collection privée et publique.
« Les peintures de Simon Rayssac sont un vivarium. Un vivarium sans clôture, composé d’êtres sensoriels, légèrement agités. Fragilement campés, ils déjouent les significations. Si on se place à l’échelle de l’infime et que l’on prend la bonne lentille pour le voir, le plus quelconque apparaît comme un être singulier, avec sa propre tenue, son propre champ de résonance ; à l’occasion d’une rame, d’un feuillage, de ronds dans l’eau.
Le dérisoire, l’infiniment petit, c’est là où on respire parce que tout y est ténu et changeant. Ici pas de loi mais des clins d’œil. Tout se joue dans une inflexion minime, une attention à la singularité des choses qui requiert à chaque fois d’adapter légèrement le code. Une ombre, un mouvement, une couleur donnent lieu à une géométrie pudique dans laquelle des formes sans contour voisinent et forment des plans sans profondeur. On plonge, le flottement devient la matière même du toucher, du contact.

Mais ce flottement cache une autre matérialité, celle des coups de pinceau. On s’imagine la main, le corps, agités. L’émotion, l’humour, la frustration, la contemplation : sur la toile les coups de pinceaux ont une éloquence bavarde, semblent contenir les mille variations d’un cœur pris dans les aléas du quotidien. La « patouille » est cette matière pleine d’emballement, elle s’emporte, étonnamment humaine, et la distance indéfinissable qui sépare chaque plan du tableau accueille ces débordements à l’infini. Quelque chose de la douceur du geste, du regard fait qu’ici on peut déborder sans crainte. »

Nora Barbier

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Newsletter / Plateforme / Juin 2017
Exposition PLATEFORME
Julien Lombardi
Processing landscape
2012-2014
Paysage. Fiction de la matière, matière à fiction.

Photographies, oeuvres papier et sculpture //

Commissariat Jean-Baptiste Guey //
Du 9 au 25 juin 2017 //
Vernissage le vendredi 9 juin de 18h à 22h //
Jean-Michel André, Anaïs Boudot, Amélie Labourdette, Olivia Lavergne,
Lawand, Julien Lombardi, Laurent Millet, Benjamin Ottoz, Raphaelle Peria, Charles-Henri Sommelette, Nicolas Tourte
//
Héritée de la tradition picturale, la notion de paysage désigne un territoire naturel saisi puis transformé par l’esprit humain, au point de coïncidence de la réalité concrète et du travail de l’imaginaire. Elle organise ainsi le passage de la perception de la nature à sa représentation fantasmée, et, en retour, celui de l’image mentale à sa traduction sur un support concret. L’exposition « Paysage. Fiction de la matière, matière à fiction » rend précisément compte de cette double plasticité du paysage, physique et psychique, en l’articulant au médium de la photographie. Les onze artistes réunis y proposent une vision de la nature déformée par leurs regards intérieurs, contaminée par les pulsions, les abstractions et les accidents de l’imagination. Emancipée de sa fonction documentaire tout en restant ancrée dans la matière réelle, la photographie y révèle son potentiel narratif et fictionnel, déployé à partir de ses ambiguïtés formelles.
Un premier corpus rassemble les photographies réalistes de territoires naturels rendus à une certaine neutralité interprétative, devenus écrans aux projections du public. Border de Jean-Michel André présente une frontière végétale surmontée d’une caméra de surveillance, restituée dans des tons désaturés, comme figée dans la glace. Le paradoxe de la situation, un symbole autoritaire associé à une nature indisciplinée, suscite ici le sentiment d’une incongruité, opportun pour la libre spéculation. Le travail d’Amélie Labourdette procède d’une intention similaire, cette fois appliquée à un paysage rudéral, où la nature reprend ses droits sur des piliers de béton. Leur proximité avec des totems, des ruines archéologiques ou post-industrielles autorise lui aussi la déclinaison d’un large champ d’évocations possibles. Empruntant plus directement ses codes à la fiction, Olivia Lavergne transforme quant à elle le paysage en scène d’une dramaturgie énigmatique pour un personnage saisi sur le vif, dont le public est invité à compléter l’intrigue.
Un deuxième groupe d’artistes inscrit dans la photographie dans un registre plus directement plastique que visuel, déréalisant la représentation du modèle original en lui conférant de nouvelles textures. Charles-Henri Sommelette réalise ainsi des dessins au fusain, dont l’hyperréalisme donne d’emblée l’illusion d’un cliché, néanmoins l’introduction de manques, de flous et de dégradés aménage des zones d’indétermination qui jettent un sérieux trouble dans la perception du spectateur. Intervenant, elle, de manière concrète sur la matière photographique (plus précisément par grattage), Raphaëlle Péria profite du décalage entre sa propre sensation et l’inscription d’un souvenir dans sa mémoire pour proposer une vision dérivée, différée, réappropriée d’un territoire, appréciable pour et dans sa dimension graphique.
Radicalisant la démarche, les travaux d’Anaïs Boudot, de Lawand et de Benjamin Ottoz déréalisent de manière encore plus franche leur sujet. La première isole des fragments de paysage qu’on peine à identifier au premier regard, à travers des images hybrides, à l’aspect proche du dessin. Noche Oscura assemble les parties d’un territoire minéral brisé en deux, symboliquement réparé par une jointure dorée traversante, façon Kintsugi. Intitulée Serendipity, l’art de trouver des solutions au hasard, la série de Benjamin Ottoz stimule elle aussi les appropriations contingentes du spectateur. Pliées, froissées, chiffonnées, les feuilles de papier qu’il peint font apparaître un paysage de concrétions volontairement laissé à un état d’abstraction. Travaillant de son côté au croisement de plusieurs disciplines (sculpture, dessin, photographie, installation), Lawand hybride les logiques de représentation pour réduire les éléments naturalistes à leur minimum signifiant. Ramené à une géométrie concrète, toute en matière et en volume, le paysage est ici reconstitué à partir d’une empreinte ou d’un schème premier, motif d’un processus d’abstraction.
Prolongeant la créativité de la nature, un dernier groupe d’artistes s’inspire de la morphologie environnementale pour recréer des paysages pleinement artificiels. Les compositions de Nicolas Tourte brillent ainsi par leur indétermination première, dominées par des vides et des silences comme autant de failles interprétatives dans lesquelles l’imagination peut s’engouffrer. Couches de sédiments minéraux, composition de bandes de papier déchirés ou panorama lunaire, Avec un peu d’encre de Chine joue de l’indistinction entre le micro- et le macroscopique, entre le rendu naturaliste et l’agencement de formes abstraites. Tout aussi mystérieuse, la poésie de Julien Lombardi donne forme à des paysages de synthèse déserts et silencieux, plongés dans une ambiance nocturne. Sans marque de reconnaissance temporelle ou culturelle, ils en appellent à un oeil contemplatif, alimentant l’imaginaire d’une scène lunaire propice au fantastique. Incarnant une forme de merveilleux virtuel, les Anti-nuages de Laurent Millet relèvent enfin d’une vision paradoxale: la possibilité de trouver des nuages en négatif au coeur d’une eau déchaînée. Vortex, trous noirs ou anti-matière, ces éléments indéfinissables réagencent l’ordre du monde dans le sens d’une inversion des lois de la physique, brouillant leurs critères de reconnaissance habituels.
A travers chacune de ces propositions, le paysage s’affirme dans cette exposition comme la source d’un émerveillement primitif inscrit dans les archaïsmes de la pensée, tel le « fantastique naturel » décrit par Roger Caillois, moteur d’un travail de l’imaginaire ici placé entre dessin mental et expérimentation plastique.
Florian Gaité
Exposition SPACE ODDITY Mois de la photographie du Grand Paris Avril 2017
Benjamin Ottoz
Sérendipity
2016-2017
Exposition SPACE ODDITY Mois de la photographie du Grand Paris Avril 2017
Nicolas Tourte
Avec un peu d’encre de Chine
2012
Exposition SPACE ODDITY Mois de la photographie du Grand Paris Avril 2017
Jean-Michel André
Borders
2016 – 2017
Exposition SPACE ODDITY Mois de la photographie du Grand Paris Avril 2017
Olivia Lavergne
Soupçon
2016-2017
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Newsletter / Plateforme / Mai 2017
Exposition PLATEFORME
Pendant trois semaines, Parsons Paris investit la Galerie Plateforme pour trois expositions. Ces expositions mettront en valeur diverses œuvres produites par les étudiants de Parsons Paris depuis les premières années, jusqu’aux licences AMT (Art, Médias et Technologie) et aux Masters (Design + Technology). Un projet lancé par le directeur du programme du département Art, Médias et Technologie Benjamin Gaulon en collaboration Félicie D’Estienne D’Orves, Bridget O’Rourke et Nicolas Maigret.
During three weeks Parsons Paris is taking over the Plateforme Gallery for three exhibitions. Those exhibitions will showcase various works produced by the students of Parsons Paris from first years, to the Bachelor (Art, Media and Technology) and the Masters (Design+Technology). A project initiated by Art, Media & Technology department’s program director Benjamin Gaulon in collaboration Félicie D’Estienne D’Orves, Bridget O’Rourke and Nicolas Maigret.
Parsons Paris is the European campus of The New School, an innovative university based in New York City. Our degree programs and summer and study abroad courses build on the curriculum of Parsons School of Design, a globally acclaimed art and design school. Established in 1921, Parsons Paris invites students interested in college in Paris to join our modern atelier. There they will find interdisciplinary learning and small classes that prepare them for careers in fashion, management, digital innovation, and curatorial practice.
Infraspace

À partir du the BFA Art, Media & Technology sophomore’s show : Infraspace. Une vitrine des œuvres de la classe Spatial enseignée par l’artiste française Félicie d’Estienne d’Orves. Cette exposition collective repense la notion d’inframince inventée par Marcel Duchamp. Commissaire : Sean Rose.Starting with the BFA Art, Media & Technology sophomore’s show: Infraspace. A showcase of works from the class Spatial taught by French artist Félicie d’Estienne d’Orves. This group show is rethinking the concept of inframince coined by Marcel Duchamp. Curated by Sean Rose

Inspiré par la notion d’inframince, Infraspace explore le concept duchampien à travers une approche pluridimensionnelle, invitant le « regardeur » à pénétrer dans cet espace fuyant qui vibre entre l’œuvre et sa perception. Tentant de donner une définition de l’art, Marcel Duchamp avait déclaré que « l’art est en réalité que le chaînon manquant, pas les liens qui existent. Ce n’est pas ce que vous voyez qui est de l’art, l’art c’est l’écart. » Cette exposition souhaite faire en sorte que le visiteur crée ce lien manquant – qu’il se relie à travers ses sens à l’environnement dans lequel les pièces sont exposées mais qu’il se projette surtout au-delà de l’espace de la galerie dans les interstices infinitésimaux, qu’ils soient spatiaux ou temporels, contenus dans les œuvres présentées. Des micro-perceptions quotidiennes (furtifs contacts visuels, déstabilisation éphémères, sens du goût fugace, lecture subliminale) incarnent cet inframince de la sensation et rappellent qu’à la base de l’expérience esthétique se trouve un « toucher », un point de contact avec l’infini de l’Autre.

Inspired by inframince (infrathin), Infraspace explores Marcel Duchamp’s concept in a multi-layered and multidimensional approach, inviting the ‘viewer’ to engage with the elusive space between work and perception. Discussing art, the father of readymade once said: “What art is in reality is this missing link, not the links which exist. It’s not what you see that is art, art is the gap.” This show entices the visitor to make that missing link—to relate through their senses to the environment in which the works are displayed but also project themselves beyond the white cube into an intimate relationship with infinitesimal spaces, be they spatial or temporal. Everyday life micro-perceptions (eye-contact, passing loss of balance, ephemeral taste on the tongue, subliminal reading) are re-enacted in Infraspace, underscoring that the basis of any aesthetic experience is ‘touch’, making contact with the infiniteness of the Other.

Vernissage le vendredi 5 mai à 18h00
Ouvert du 6 au 7 mai, de 14h30 à 19h30
Opening Date: Friday May 5th 6pm
Open from the 6th to 7th – 2.30 to 7.30pm
Small Works
Une vitrine des œuvres du Curriculum Transdisciplinaire de Première Année à Parsons Paris. Les étudiants Majors de premier cycle à Parsons étudient ensemble les principes fondamentaux de la créativité dans l’art, le design et les stratégies du design.
Curateurs : Bridget O’Rourke et Anne Attali.
A showcase of works from the transdisciplinary First Year Curriculum at Parsons Paris. Students from all undergraduate majors offered at Parsons study together to learn the basic principles of creativity in art, design and design strategies. Curated by artists Bridget O’Rourke and Anne Attali.
Vernissage le vendredi 12 mai à 18h00
Opening Date: Friday May 12th 6:00pm
A more fruitful way to spend free time
Cette vitrine des œuvres de la classe Disnovation enseignée par l’artiste français Nicolas Maigret se concentrera sur les espaces de friction générés par la Gig Economy. Au cours du printemps 2017, les étudiants du BFA AMT et MFA Design + Technology ont travaillé et recherché divers sujets liés à l’innovation technologique et leurs impacts sociaux, politiques et environnementaux. Cette exposition sera la suite d’une série d’événements autour de ce sujet co-organisé par le département Art, Médias et Technologie de Parsons Paris et Nicolas Maigret depuis 2013.
This showcase of works from the class Disnovation taught by french artist Nicolas Maigret will focus on the friction spaces generated by the Gig Economy. During the spring 2017 semester students from the BFA AMT and MFA Design + Technology have been making work and research around various topics related to technological innovation and their social, political and environmental impacts. This exhibition will be a continuation of a series of events around this topic co-organised by the Art, Media and Technology Department of Parsons Paris and Nicolas Maigret since 2013.
Vernissage le samedi 20 mai à 18h00
Ouvert le 21 de 14h00 à 18h00
Opening Date: Saturday 20th 6pm
Open the 21st from 2 to 6pm
["Plateforme"]
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Exposition SPACE ODDITY Mois de la photographie du Grand Paris Avril 2017
Exposition photographique et plastique
Mois de la photographie 2017
Module 1
Maison des Arts de Créteil jusqu’au 13 mai 2017
Thierry Cohen / Cédric Delsaux / Vincent Fournier / Marina Gadonneix / Noémie Goudal / Nicolas Moulin / François Ronsiaux
L’exposition Space Oddity regroupe une douzaine d’artistes photographes et plasticiens naviguant aux frontières de leurs médiums sur les représentations fantasmagoriques, abstraites ou allégoriques du futur et de l’espace.
Le projet regroupe deux modules distincts et complémentaires, dont un photographique à la Maison des Arts de Créteil, et un second plastique à la galerie Plateforme à Paris, dans le cadre du mois photographique 2017 organisé par la Maison Européenne de la Photographie.
Empruntant au mythique film de Stanley Kubrick, repris musicalement par David Bowie, Space Oddity tente une perte de repères physiques et spatiaux par le repoussement des codes conventionnels opérés par les artistes présentés et la singularité de leurs propositions. Ne restant pas figées dans une plasticité convenue des représentations de l’espace, de l’univers et de la science-fiction, les œuvres évoquent l’utopie, le fantasme, mais aussi l’illusion et le questionnement du soi, dans une époque où l’immensité mouvante et incontrôlable de l’espace est une valeur acquise.
Epoque où la théorie de l’instant originel de l’Univers elle même, et avec ça la relativité générale d’Einstein pourrait potentiellement être remplacée par un phénomène cyclique, constitué par une phase d’expansion de l’Univers, et une phase de contraction qui la précède et la suit.
A l’heure donc où nous parlons matière noire, antimatière, contraction, rayonnement cosmologique, et quantique, Space Oddity définit un instant T poétique, singulier et métaphysique sur notre rapport à l’espace et la manière dont il influe sur nos espérances dans une période résolument consumériste.
Plateforme
/// 73, rue des Haies 75020 Paris – France ///
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Exposition SPACE ODDITY Mois de la photographie du Grand Paris Avril 2017
Space Oddity /
Week-end intense mois de la photographie
Rencontre Artistes / MEP / cocktail /
week-end intense du mois de la photo
le dimanche 23 avril en présence des artistes
à la Maison des Arts de Créteil à partir de 15h
DEUXIÈME WEEK-END : 22-23 avril
Dépliant-programme disponible dans tous les lieux d’exposition
INTENSE : 32 expositions
Rencontres avec les photographes et les commissaires d’exposition – Ateliers – Performances – Signatures – Conférences et bien plus encore.
SUD-OUEST : 15 communes
Arcueil, Châtenay-Malabry, Clairefontaine-en-Yvelines, Clamart,
Corbeil-Essonnes, Créteil, Gentilly, Issy-les-Moulineaux, Malakoff, Meudon, Montrouge, Paris, Vanves, Vitry-sur-Seine, Versailles.
LIGNE DE BUS GRATUITE, spécial Week-End Intense Sud-Ouest
Chaque arrêt est desservi environ toutes les 30 minutes, dans les deux sens :
● Maison des Arts de Créteil | Créteil
● MAC VAL | Vitry-sur-Seine
● Maison de la Photographie Robert Doisneau | Gentilly
● Anis Gras, le Lieu de l’Autre | Arcueil
● maison des arts centre d’art contemporain de malakoff | Malakoff
● Médiathèque Centre-Ville | Issy-les-Moulineaux
● Centre d’Art Contemporain Chanot | Clamart
● Bastion de l’Orangerie des jardins de l’Orangerie de l’Observatoire de Meudon | Meudon
● Espace Richaud | Versailles
● Maison de Chateaubriand – Domaine départemental de la Vallée-aux-Loups | Châtenay-Malabry
12H-19H
Consultez le programme complet des événements, lieux, dates et horaires sur www.moisdelaphotodugrandparis.com
Exposition SPACE ODDITY Mois de la photographie du Grand Paris Avril 2017
Exposition photographique et plastique
Mois de la photographie 2017
Commissariat François Ronsiaux
Module 1
Maison des Arts de Créteil Du 7 avril au 13 mai 2017
Vernissage le 7 avril à 18h
Rencontre MEP/cocktail/signature catalogue le dimanche 23 avril à 15h
Thierry Cohen / Cédric Delsaux / Vincent Fournier / Marina Gadonneix / Noémie Goudal / Nicolas Moulin / François Ronsiaux
Module 2
Galerie Plateforme Du 14 au 30 avril 2017
Vernissage le 14 avril à 18h
Cécile Beau / Félicie d’Estienne D’Orves / Joanie Lemercier /
Thomas Lasbouygues et Guillaume Barth (projet Elina)
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Thomas Lasbouygues et Guillaume Barth
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie,
crédit photo Guillaume Barth
L’exposition Space Oddity regroupe une douzaine d’artistes photographes et plasticiens naviguant aux frontières de leurs médiums sur les représentations fantasmagoriques, abstraites ou allégoriques du futur et de l’espace.
Le projet regroupe deux modules distincts et complémentaires, dont un photographique à la Maison des Arts de Créteil, et un second plastique à la galerie Plateforme à Paris, dans le cadre du mois photographique 2017 organisé par la Maison Européenne de la Photographie.
Empruntant au mythique film de Stanley Kubrick, repris musicalement par David Bowie, Space Oddity tente une perte de repères physiques et spatiaux par le repoussement des codes conventionnels opérés par les artistes présentés et la singularité de leurs propositions. Ne restant pas figées dans une plasticité convenue des représentations de l’espace, de l’univers et de la science-fiction, les œuvres évoquent l’utopie, le fantasme, mais aussi l’illusion et le questionnement du soi, dans une époque où l’immensité mouvante et incontrôlable de l’espace est une valeur acquise.
Epoque où la théorie de l’instant originel de l’Univers elle même, et avec ça la relativité générale d’Einstein pourrait potentiellement être remplacée par un phénomène cyclique, constitué par une phase d’expansion de l’Univers, et une phase de contraction qui la précède et la suit.
A l’heure donc où nous parlons matière noire, antimatière, contraction, rayonnement cosmologique, et quantique, Space Oddity définit un instant T poétique, singulier et métaphysique sur notre rapport à l’espace et la manière dont il influe sur nos espérances dans une période résolument consumériste.
François Ronsiaux
Avec humour proche de l’infini.
Après deux décennies de fascination pour une stricte objectivité sur le monde, les photographes semblent avoir envie de rêver à nouveau.
Si la photographie a toujours accompagné la conquête de l’espace, son imperfection lors des premiers vols laissait chacun sur sa faim de détails tout en étant suspendu à la fascination de l’exploit.
Aujourd’hui les prouesses techniques sont beaucoup plus élaborées, les robots et autres vaisseaux incroyablement sophistiqués, mais c’est avec humour et poésie que les artistes et les photographes ont choisi de les traiter, tant il est difficile de croire à leur réalité.
On imagine de la part des scientifiques une envie de partager leurs outils extraordinairement complexes qui semblent prolonger des passions de jeunesse autant qu’ils ouvrent l’immensité de la création.
Les travaux réunis à l’occasion de cette exposition sont sur le fil de l’ambiguïté. Lesquels de ces personnages ne sont pas des jouets, aucun sans doute, lesquels de ces paysages ne sont pas des maquettes, pas plus. Si l’on s’interroge sur la finalité de certaines situations, certains robots, certaines observations, il n’est qu’une réponse : la mise en scène de ces machines par des artistes sert à nous faire rêver, à nous rappeler que l’on peut se dépasser, à nous montrer qu’il n’y a pas que la guerre qui fait progresser les techniques, mais aussi la conquête de l’infini.
Ils sont loin les dessins irréels du Petit Prince de Saint Exupéry. La poésie et la réjouissante jubilation de la science, mise en valeur par des artistes de talent, constituent la matière d’une exposition exceptionnellement optimiste.
François Hébel
Directeur artistique
Mois de la Photo du Grand Paris 2017
Des artistes à la conquête de l’espace
Que ce soit Blaise Pascal qui écrit au XVIIe siècle : « Car enfin qu’est-ce que l’homme dans la nature ? Un néant à l’égard de l’infini, un tout à l’égard du néant, un milieu entre rien et tout» ou Neil Armstrong qui déclare le 21 juillet 1969 en foulant le sol de la Lune : « Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité», quand il est question d’univers, nos repères spatio-temporels ne sont plus les mêmes et les échelles changent. D’un seul coup, l’homme s’efface au profit de l’humanité, les kilomètres deviennent des années lumière et les voyages des odyssées.
Au-dessus de nos têtes : le ciel, les étoiles, les planètes, l’espace, l’infini… autant dire l’inconnu. Et comme tout ce qui est inexplorable et intouchable demeure mystérieux, les hommes se sont emparés de ce territoire particulier qu’est l’univers par le biais de l’observation, de la pensée ou du spirituel, dans d’incessants allers et retours entre réalité, imaginaire et fiction.
Cet attrait irrésistible qui s’exerce sur la plupart d’entre nous prend une envergure plus grande encore lorsque les artistes en font l’objet de leur travail. C’est cette fascination qui est à l’origine de Space Oddity, deux expositions conçues par François Ronsiaux qui empruntent leur nom à la chanson de David Bowie sortie quelques mois après que le premier homme ait marché sur la Lune. Si elles sont articulées en deux modules distincts, avec d’un côté des photographes et de l’autre des artistes plasticiens, cet ouvrage, lui, est une invitation à dépasser les frontières. Non seulement celles qui délimitent souvent les catégories -photographie, installation et vidéo, etc.- mais également celles qui séparent ordinairement le scientifique et l’imaginaire, le documentaire et le fictionnel.
Bienvenue dans Space Oddity qui, telle une encyclopédie moderne, est une invitation à la contemplation, à la réflexion et au rêve.
Sophie Bernard
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Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Marina Gadonneix
PHÉNOMÈNES – Untitled (Mars yard)
Courtesy Galerie Christophe Gaillard, et l’artiste
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Noémie Goudal
Station V, 2015
Courtesy Edel Assanti/Galerie Les Filles du Calvaire
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Cécile Beau
Sol
Impression numérique sur béton, 2013
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Vincent Fournier
TS18 chair #3, Yuri Gagarin Cosmonaut Training Center,
Star City, Zvyozdny Gorodok, Russia, 2007
["Plateforme"]
Exposition SPACE ODDITY Mois de la photographie du Grand Paris Avril 2017
Exposition photographique et plastique
Mois de la photographie 2017
Commissariat François Ronsiaux
Module 1
Maison des Arts de Créteil Du 7 avril au 13 mai 2017
Vernissage le 7 avril à 18h
Rencontre MEP/cocktail/signature catalogue le dimanche 23 avril à 15h
Thierry Cohen / Cédric Delsaux / Vincent Fournier / Marina Gadonneix / Noémie Goudal / Nicolas Moulin / François Ronsiaux
Module 2
Galerie Plateforme Du 14 au 30 avril 2017
Vernissage le 14 avril à 18h
Cécile Beau / Félicie d’Estienne D’Orves / Joanie Lemercier /
Thomas Lasbouygues et Guillaume Barth (projet Elina)
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Thomas Lasbouygues et Guillaume Barth
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie,
crédit photo Guillaume Barth
L’exposition Space Oddity regroupe une douzaine d’artistes photographes et plasticiens naviguant aux frontières de leurs médiums sur les représentations fantasmagoriques, abstraites ou allégoriques du futur et de l’espace.
Le projet regroupe deux modules distincts et complémentaires, dont un photographique à la Maison des Arts de Créteil, et un second plastique à la galerie Plateforme à Paris, dans le cadre du mois photographique 2017 organisé par la Maison Européenne de la Photographie.
Empruntant au mythique film de Stanley Kubrick, repris musicalement par David Bowie, Space Oddity tente une perte de repères physiques et spatiaux par le repoussement des codes conventionnels opérés par les artistes présentés et la singularité de leurs propositions. Ne restant pas figées dans une plasticité convenue des représentations de l’espace, de l’univers et de la science-fiction, les œuvres évoquent l’utopie, le fantasme, mais aussi l’illusion et le questionnement du soi, dans une époque où l’immensité mouvante et incontrôlable de l’espace est une valeur acquise.
Epoque où la théorie de l’instant originel de l’Univers elle même, et avec ça la relativité générale d’Einstein pourrait potentiellement être remplacée par un phénomène cyclique, constitué par une phase d’expansion de l’Univers, et une phase de contraction qui la précède et la suit.
A l’heure donc où nous parlons matière noire, antimatière, contraction, rayonnement cosmologique, et quantique, Space Oddity définit un instant T poétique, singulier et métaphysique sur notre rapport à l’espace et la manière dont il influe sur nos espérances dans une période résolument consumériste.
François Ronsiaux
Avec humour proche de l’infini.
Après deux décennies de fascination pour une stricte objectivité sur le monde, les photographes semblent avoir envie de rêver à nouveau.
Si la photographie a toujours accompagné la conquête de l’espace, son imperfection lors des premiers vols laissait chacun sur sa faim de détails tout en étant suspendu à la fascination de l’exploit.
Aujourd’hui les prouesses techniques sont beaucoup plus élaborées, les robots et autres vaisseaux incroyablement sophistiqués, mais c’est avec humour et poésie que les artistes et les photographes ont choisi de les traiter, tant il est difficile de croire à leur réalité.
On imagine de la part des scientifiques une envie de partager leurs outils extraordinairement complexes qui semblent prolonger des passions de jeunesse autant qu’ils ouvrent l’immensité de la création.
Les travaux réunis à l’occasion de cette exposition sont sur le fil de l’ambiguïté. Lesquels de ces personnages ne sont pas des jouets, aucun sans doute, lesquels de ces paysages ne sont pas des maquettes, pas plus. Si l’on s’interroge sur la finalité de certaines situations, certains robots, certaines observations, il n’est qu’une réponse : la mise en scène de ces machines par des artistes sert à nous faire rêver, à nous rappeler que l’on peut se dépasser, à nous montrer qu’il n’y a pas que la guerre qui fait progresser les techniques, mais aussi la conquête de l’infini.
Ils sont loin les dessins irréels du Petit Prince de Saint Exupéry. La poésie et la réjouissante jubilation de la science, mise en valeur par des artistes de talent, constituent la matière d’une exposition exceptionnellement optimiste.
François Hébel
Directeur artistique
Mois de la Photo du Grand Paris 2017
Des artistes à la conquête de l’espace
Que ce soit Blaise Pascal qui écrit au XVIIe siècle : « Car enfin qu’est-ce que l’homme dans la nature ? Un néant à l’égard de l’infini, un tout à l’égard du néant, un milieu entre rien et tout» ou Neil Armstrong qui déclare le 21 juillet 1969 en foulant le sol de la Lune : « Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité», quand il est question d’univers, nos repères spatio-temporels ne sont plus les mêmes et les échelles changent. D’un seul coup, l’homme s’efface au profit de l’humanité, les kilomètres deviennent des années lumière et les voyages des odyssées.
Au-dessus de nos têtes : le ciel, les étoiles, les planètes, l’espace, l’infini… autant dire l’inconnu. Et comme tout ce qui est inexplorable et intouchable demeure mystérieux, les hommes se sont emparés de ce territoire particulier qu’est l’univers par le biais de l’observation, de la pensée ou du spirituel, dans d’incessants allers et retours entre réalité, imaginaire et fiction.
Cet attrait irrésistible qui s’exerce sur la plupart d’entre nous prend une envergure plus grande encore lorsque les artistes en font l’objet de leur travail. C’est cette fascination qui est à l’origine de Space Oddity, deux expositions conçues par François Ronsiaux qui empruntent leur nom à la chanson de David Bowie sortie quelques mois après que le premier homme ait marché sur la Lune. Si elles sont articulées en deux modules distincts, avec d’un côté des photographes et de l’autre des artistes plasticiens, cet ouvrage, lui, est une invitation à dépasser les frontières. Non seulement celles qui délimitent souvent les catégories -photographie, installation et vidéo, etc.- mais également celles qui séparent ordinairement le scientifique et l’imaginaire, le documentaire et le fictionnel.
Bienvenue dans Space Oddity qui, telle une encyclopédie moderne, est une invitation à la contemplation, à la réflexion et au rêve.
Sophie Bernard
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Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Marina Gadonneix
PHÉNOMÈNES – Untitled (Mars yard)
Courtesy Galerie Christophe Gaillard, et l’artiste
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Noémie Goudal
Station V, 2015
Courtesy Edel Assanti/Galerie Les Filles du Calvaire
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Cécile Beau
Sol
Impression numérique sur béton, 2013
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Vincent Fournier
TS18 chair #3, Yuri Gagarin Cosmonaut Training Center,
Star City, Zvyozdny Gorodok, Russia, 2007
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Exposition SPACE ODDITY Mois de la photographie du Grand Paris Avril 2017
Exposition photographique et plastique
Mois de la photographie 2017
Commissariat François Ronsiaux
Module 1
Maison des Arts de Créteil Du 7 avril au 13 mai 2017
Vernissage le 7 avril à 18h
Rencontre MEP/cocktail/signature catalogue le dimanche 23 avril à 15h
Thierry Cohen / Cédric Delsaux / Vincent Fournier / Marina Gadonneix / Noémie Goudal / Nicolas Moulin / François Ronsiaux
Module 2
Galerie Plateforme Du 14 au 30 avril 2017
Vernissage le 14 avril à 18h
Cécile Beau / Félicie d’Estienne D’Orves / Joanie Lemercier /
Thomas Lasbouygues et Guillaume Barth (projet Elina)
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Thomas Lasbouygues et Guillaume Barth
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie,
crédit photo Guillaume Barth
L’exposition Space Oddity regroupe une douzaine d’artistes photographes et plasticiens naviguant aux frontières de leurs médiums sur les représentations fantasmagoriques, abstraites ou allégoriques du futur et de l’espace.
Le projet regroupe deux modules distincts et complémentaires, dont un photographique à la Maison des Arts de Créteil, et un second plastique à la galerie Plateforme à Paris, dans le cadre du mois photographique 2017 organisé par la Maison Européenne de la Photographie.
Empruntant au mythique film de Stanley Kubrick, repris musicalement par David Bowie, Space Oddity tente une perte de repères physiques et spatiaux par le repoussement des codes conventionnels opérés par les artistes présentés et la singularité de leurs propositions. Ne restant pas figées dans une plasticité convenue des représentations de l’espace, de l’univers et de la science-fiction, les œuvres évoquent l’utopie, le fantasme, mais aussi l’illusion et le questionnement du soi, dans une époque où l’immensité mouvante et incontrôlable de l’espace est une valeur acquise.
Epoque où la théorie de l’instant originel de l’Univers elle même, et avec ça la relativité générale d’Einstein pourrait potentiellement être remplacée par un phénomène cyclique, constitué par une phase d’expansion de l’Univers, et une phase de contraction qui la précède et la suit.
A l’heure donc où nous parlons matière noire, antimatière, contraction, rayonnement cosmologique, et quantique, Space Oddity définit un instant T poétique, singulier et métaphysique sur notre rapport à l’espace et la manière dont il influe sur nos espérances dans une période résolument consumériste.
François Ronsiaux
Avec humour proche de l’infini.
Après deux décennies de fascination pour une stricte objectivité sur le monde, les photographes semblent avoir envie de rêver à nouveau.
Si la photographie a toujours accompagné la conquête de l’espace, son imperfection lors des premiers vols laissait chacun sur sa faim de détails tout en étant suspendu à la fascination de l’exploit.
Aujourd’hui les prouesses techniques sont beaucoup plus élaborées, les robots et autres vaisseaux incroyablement sophistiqués, mais c’est avec humour et poésie que les artistes et les photographes ont choisi de les traiter, tant il est difficile de croire à leur réalité.
On imagine de la part des scientifiques une envie de partager leurs outils extraordinairement complexes qui semblent prolonger des passions de jeunesse autant qu’ils ouvrent l’immensité de la création.
Les travaux réunis à l’occasion de cette exposition sont sur le fil de l’ambiguïté. Lesquels de ces personnages ne sont pas des jouets, aucun sans doute, lesquels de ces paysages ne sont pas des maquettes, pas plus. Si l’on s’interroge sur la finalité de certaines situations, certains robots, certaines observations, il n’est qu’une réponse : la mise en scène de ces machines par des artistes sert à nous faire rêver, à nous rappeler que l’on peut se dépasser, à nous montrer qu’il n’y a pas que la guerre qui fait progresser les techniques, mais aussi la conquête de l’infini.
Ils sont loin les dessins irréels du Petit Prince de Saint Exupéry. La poésie et la réjouissante jubilation de la science, mise en valeur par des artistes de talent, constituent la matière d’une exposition exceptionnellement optimiste.
François Hébel
Directeur artistique
Mois de la Photo du Grand Paris 2017
Des artistes à la conquête de l’espace
Que ce soit Blaise Pascal qui écrit au XVIIe siècle : « Car enfin qu’est-ce que l’homme dans la nature ? Un néant à l’égard de l’infini, un tout à l’égard du néant, un milieu entre rien et tout» ou Neil Armstrong qui déclare le 21 juillet 1969 en foulant le sol de la Lune : « Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité», quand il est question d’univers, nos repères spatio-temporels ne sont plus les mêmes et les échelles changent. D’un seul coup, l’homme s’efface au profit de l’humanité, les kilomètres deviennent des années lumière et les voyages des odyssées.
Au-dessus de nos têtes : le ciel, les étoiles, les planètes, l’espace, l’infini… autant dire l’inconnu. Et comme tout ce qui est inexplorable et intouchable demeure mystérieux, les hommes se sont emparés de ce territoire particulier qu’est l’univers par le biais de l’observation, de la pensée ou du spirituel, dans d’incessants allers et retours entre réalité, imaginaire et fiction.
Cet attrait irrésistible qui s’exerce sur la plupart d’entre nous prend une envergure plus grande encore lorsque les artistes en font l’objet de leur travail. C’est cette fascination qui est à l’origine de Space Oddity, deux expositions conçues par François Ronsiaux qui empruntent leur nom à la chanson de David Bowie sortie quelques mois après que le premier homme ait marché sur la Lune. Si elles sont articulées en deux modules distincts, avec d’un côté des photographes et de l’autre des artistes plasticiens, cet ouvrage, lui, est une invitation à dépasser les frontières. Non seulement celles qui délimitent souvent les catégories -photographie, installation et vidéo, etc.- mais également celles qui séparent ordinairement le scientifique et l’imaginaire, le documentaire et le fictionnel.
Bienvenue dans Space Oddity qui, telle une encyclopédie moderne, est une invitation à la contemplation, à la réflexion et au rêve.
Sophie Bernard
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Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Marina Gadonneix
PHÉNOMÈNES – Untitled (Mars yard)
Courtesy Galerie Christophe Gaillard, et l’artiste
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Noémie Goudal
Station V, 2015
Courtesy Edel Assanti/Galerie Les Filles du Calvaire
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Cécile Beau
Sol
Impression numérique sur béton, 2013
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Vincent Fournier
TS18 chair #3, Yuri Gagarin Cosmonaut Training Center,
Star City, Zvyozdny Gorodok, Russia, 2007
Evènements partenaires
Kosmica Paris

La conquête de l’art de l’espace

L’art a conquis l’espace. De nombreuses organisations à travers le monde ont embrassé le domaine des humanités afin d’enrichir les activités spatiales. Bien avant les programmes spatiaux, des artistes ont tout au long des siècles nourri l’imaginaire du voyage dans l’espace. Encore maintenant, des artistes continuent de créer une nouvelle poétique et des oeuvres critiques sur notre rôle dans l’espace…
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SIDÉRATION #7 « Espace, lieu d’utopies »
Le siège du CNES, au coeur du quartier des Halles, accueille à nouveau le festival SIDÉRATION et se transforme en lieu d’utopies inspirées par l’Espace. Pendant ces trois jours, par la variété de sa programmation, le festival ausculte les promesses de sociétés nouvelles issues de désirs de vie meilleure ou de volonté d’hégémonie.
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Plateforme
/// 73, rue des Haies 75020 Paris – France ///
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Exposition SPACE ODDITY Mois de la photographie du Grand Paris Avril 2017
Exposition SPACE ODDITY
Mois de la photographie du Grand Paris
Avril 2017
l’exposition SPACE ODDITY
qui aura lieu en avril 2017 à la galerie Plateforme et la Maison des Arts de Créteil dans le cadre du mois de la photographie du Grand Paris.
Elina, 2015, sculpture en sel, eau, 300 cm de diamètre, projet Elina 2013-2015, Bolivie, crédit photo Guillaume Barth
Exposition photographique et plastique
Mois de la photographie 2017
Commissariat François Ronsiaux
Maison des Arts de Créteil Du 7 avril au 13 mai 2017
Rencontre MEP/cocktail/signature catalogue le dimanche 23 avril
Galerie Plateforme Du 14 au 30 avril 2017
Module 1
Thierry Cohen / Cédric Delsaux / Vincent Fournier / Marina Gadonneix / Noémie Goudal / Nicolas Moulin / François Ronsiaux
Module 2
Cécile Beau / Félicie d’Estienne D’Orves / Joanie Lemercier /
Thomas Lasbouygues et Guillaume Barth (projet Elina)
L’exposition Space Oddity regroupe une douzaine d’artistes photographes et plasticiens naviguant aux frontières de leurs médiums sur les représentations fantasmagoriques, abstraites ou allégoriques du futur et de l’espace.
Le projet regroupe deux modules distincts et complémentaires, dont un photographique à la Maison des Arts de Créteil, et un second plastique à la galerie Plateforme à Paris, dans le cadre du mois photographique 2017 organisé par la Maison Européenne de la Photographie.
Empruntant au mythique film de Stanley Kubrick, repris musicalement par David Bowie, Space Oddity tente une perte de repères physiques et spatiaux par le repoussement des codes conventionnels opérés par les artistes présentés et la singularité de leurs propositions.
Ne restant pas figées dans une plasticité convenue des représentations de l’espace, de l’univers et de la science-fiction, les œuvres évoquent l’utopie, le fantasme, mais aussi l’illusion et le questionnement du soi, dans une époque où l’immensité mouvante et incontrôlable de l’espace est une valeur acquise.
Epoque où la théorie de l’instant originel de l’Univers elle même, et avec ça la relativité générale d’Einstein pourrait potentiellement être remplacée par un phénomène cyclique, constitué par une phase d’expansion de l’Univers, et une phase de contraction qui la précède et la suit.
A l’heure donc où nous parlons matière noire, antimatière, contraction, rayonnement cosmologique, et quantique, Space Oddity définit un instant T poétique, singulier et métaphysique sur notre rapport à l’espace et la manière dont il influe sur nos espérances dans une période résolument consumériste.
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Plateforme Paris

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Décembre 2016

Plateforme Paris

Concert collectif EUNK //
César Bernal, Sebastian Tapia, Lucas Alvarado //

Musique improvisée / Chili
Contrebasse, objets sonores, électroniques & viole de gambe
Le vendredi 09 décembre 2016 à 21h. //

exposition SUPERGRAVITY - GRAVITONS EDITIONS

Vennez féter avec nous le dernier évènement de l’année 2016 avant fermeture hivernale !

En tournée Europeenne et de passage à Plateforme, Eunk est un collectif de musiciens, crée à Valparaíso, au Chilil en 2013, qui travaille sur le champ de l’expérimentation sonore et l’improvisation libre, en reunissant des artistes de différentes disciplines comme le théâtre, la danse et la poésie.

La structure qu’ils ont créés fonctionne aussi comme un espace de partage physique et virtuel de production artistique.
L’ensemble composé de 4 musiciens propose pour cette tournée improvisation instrumentale et électro-acoustique :
-duo Bernal+Tapia (contrebasse & objets sonores)
-trio Bernal+Tapia+Alvarado (contrebasse, électroniques & viole de gambe)

https://eunk.bandcamp.com/
https://www.facebook.com/colectivo.eunk/

exposition SUPERGRAVITY - GRAVITONS EDITIONS
exposition SUPERGRAVITY - GRAVITONS EDITIONS

 

Plateforme Paris

Jusqu’au 23 septembre 2017
Evènement Une Journée de Coïncidences ed.4 //
Parcours/exposition à ciel ouvert en réalité augmentée //
Exposition virtuelle de SYSTAIME visible sur place //

Avec les œuvres de Donald Abald, Hugo Arcier, Frédéric Deslias, Alexandre Durand, Klaus Fruchtnis, Vincent Pouydesseau, François Ronsiaux et Dorota Kleszcz, Esmeralda Kosmatopoulos, Eric Le Maire, Christophe Luxereau, Raphaël Moreira Gonçalves, Andreas Nicolas Fischer, ORLAN, Antoine Schmitt, Robert Seidel, Michaël Borras A.KA Systaime, Alan Warburton //

Evènement Une Journée de Coïncidences ed.4

Des plans identifiants les projets virtuels sont à disposition du public à Plateforme et sur le site internet, ainsi que 2 tablettes connectées en prêt.
L’installation du programme de réalité augmentée AUGMENT est gratuite et s’installe automatiquement sur App store ou Android sur tablette ou smartphone.

informations et plan :

www.ujdc4.plateforme-paris.com

télecharger l’aplication app store ou androïd sur :

Augment logo

Plateforme Paris

Arte actions culturelles Plateforme Paris              Paris Art

Plateforme Paris

Plateforme – 73, rue des Haies, Paris, 75020, France
Tél. + 33 9 54 92 23 35
du mercredi au dimanche de 14h30 à 19h30

www.plateforme-paris.com

Plateforme Paris

plateforme
www.plateforme-paris.com
73 rue des Haies – 75020 Paris

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Décembre 2016

Plateforme Paris

Exposition vente SUPERGRAVITY //
GRAVITONS EDITIONS //

Exposition du 02 au 04 décembre 2016
Lectures-performances tous les soirs / 17-19h

Une sélection d’ebooks, livres d’artistes, impressions, objets d’artiste en série limitée & MORE. //

exposition SUPERGRAVITY - GRAVITONS EDITIONS

Pour fêter la première année de la réouverture de son site, gravitons vous convie à SUPERGRAVITY – exposition-vente Noël 2016 !

Une sélection d’ebooks, livres d’artistes, impressions, objets d’artiste en série limitée & MORE.

Avec la participation de :

Franck Ancel
Ludovic Bernhardt
Débora Bertol
Frédéric Develay
Damien Dion
Farah Khelil
Antoine Lefebvre Editions
Fred MARS Landois
MoMO Galerie
Julien Nédélec
Marie-Amélie Porcher
Marie Sochor
Studio Mlle jane dOe
Tazasproject
+ artistes invités

Plateforme d’édition contemporaine gravitons est une maison d’édition et boutique en ligne dédiée aux éditions physiques et numériques, de type ebooks, livres d’artistes, catalogues, impressions et objets d’artiste en série limitée.

https://www.gravitons.fr/

exposition SUPERGRAVITY - GRAVITONS EDITIONS

Formula 1 Istanbul Conflict Park
Ludovic Bernhardt

exposition SUPERGRAVITY - GRAVITONS EDITIONS

Les Paradis artificiels
Yvette et Paulette

exposition SUPERGRAVITY - GRAVITONS EDITIONS

Space Driving Lessons par
MoMO Galerie

exposition SUPERGRAVITY - GRAVITONS EDITIONS

Colorie tes grands-mères par
Yvette et Paulette

exposition SUPERGRAVITY - GRAVITONS EDITIONS

Nebula par
Studio Mlle jane dOe

 

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Jusqu’au 23 septembre 2017
Evènement Une Journée de Coïncidences ed.4 //
Parcours/exposition à ciel ouvert en réalité augmentée //
Exposition virtuelle de SYSTAIME visible sur place //

Avec les œuvres de Donald Abald, Hugo Arcier, Frédéric Deslias, Alexandre Durand, Klaus Fruchtnis, Vincent Pouydesseau, François Ronsiaux et Dorota Kleszcz, Esmeralda Kosmatopoulos, Eric Le Maire, Christophe Luxereau, Raphaël Moreira Gonçalves, Andreas Nicolas Fischer, ORLAN, Antoine Schmitt, Robert Seidel, Michaël Borras A.KA Systaime, Alan Warburton //

Evènement Une Journée de Coïncidences ed.4

Des plans identifiants les projets virtuels sont à disposition du public à Plateforme et sur le site internet, ainsi que 2 tablettes connectées en prêt.
L’installation du programme de réalité augmentée AUGMENT est gratuite et s’installe automatiquement sur App store ou Android sur tablette ou smartphone.

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Arte actions culturelles Plateforme Paris              Paris Art

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Tél. + 33 9 54 92 23 35
du mercredi au dimanche de 14h30 à 19h30

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Octobre 2016

Plateforme Paris

Exposition photographique HUDROS, d’eau et de béton //
Patrick Rimond //

Exposition du 14 au 30 octobre 2016

Signature du Livre HUDROS (iKi éditions, 2016),
le samedi 15 octobre de 15h à 18h, en présence de l’éditeur. //

Patrick Rimond - Hudros

L’exposition « HUDROS, d’eau et de béton » est tiréedu livre éponyme publié en 2016 chez iKi éditions. C’est un travail photographique réalisé dans les Bouches-du-Rhône autour de surfaces d’eau contraintes par l’homme.
Cette série est née d’une fascination symbolique créée par le jeu d’une eau à l’aspect cristallin glissant le long d’un béton brut et inerte. À la vie s’oppose l’inanimé, avec la fraîcheur d’une eau en perpétuel renouvellement et un béton statique abîmé par le temps. Interdépendants pour le bon fonctionnement d’un ensemble, ils sont une illustration de la dualité du yin et du yang.

Quand Patrick Rimond photographie le paysage,  il se place sur le terrain de l’abstraction. Au premier abord c’est un travail rigoureux et épuré qu’on pourrait trouver froid. Mais à y regarder de plus près, ses photographies« font l’apologie subtile de l’imperfection, de l’asymétrie et de la beauté voilée laissée par la patine du temps »*. Il photographie à main levé et rapidement, guidé par laperception des lumières et des matières. Son travail est introspectif.

*Valérie Douniaux

www.patrickrimond.com

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Patrick Rimond - Hudros
Patrick Rimond - Hudros

 

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Jusqu’au 23 septembre 2017
Evènement Une Journée de Coïncidences ed.4 //
Parcours/exposition à ciel ouvert en réalité augmentée //
Exposition virtuelle de SYSTAIME visible sur place //

Avec les œuvres de Donald Abald, Hugo Arcier, Frédéric Deslias, Alexandre Durand, Klaus Fruchtnis, Vincent Pouydesseau, François Ronsiaux et Dorota Kleszcz, Esmeralda Kosmatopoulos, Eric Le Maire, Christophe Luxereau, Raphaël Moreira Gonçalves, Andreas Nicolas Fischer, ORLAN, Antoine Schmitt, Robert Seidel, Michaël Borras A.KA Systaime, Alan Warburton //

Evènement Une Journée de Coïncidences ed.4

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Arte actions culturelles Plateforme Paris              Paris Art

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Plateforme – 73, rue des Haies, Paris, 75020, France
Tél. + 33 9 54 92 23 35
du mercredi au dimanche de 14h30 à 19h30

www.plateforme-paris.com

François Ronsiaux

Parcours/exposition à ciel ouvert en réalité augmentée
Commissariat : Hugo Arcier, François Ronsiaux
Du 23 septembre 2016 au 23 septembre 2017
Vernissage le 23 septembre de 18h à 21h
Une Journée de Coïncidences ed.4
Evènement Une Journée de Coïncidences ed.4
Avec les œuvres de Donald Abald, Hugo Arcier, Frédéric Deslias, Alexandre Durand, Klaus Fruchtnis, Vincent Pouydesseau, François Ronsiaux et Dorota Kleszcz, Esmeralda Kosmatopoulos, Eric Le Maire, Christophe Luxereau, Raphaël Moreira Gonçalves, Andreas Nicolas Fischer, ORLAN, Antoine Schmitt, Robert Seidel, Michaël Borras A.KA Systaime, Alan Warburton
informations et plan :
Plateforme Paris
Plateforme – 73, rue des Haies, Paris, 75020, France
Tél. + 33 9 54 92 23 35
du mercredi au dimanche de 14h30 à 19h30

Exposition collective
Au Carreau de Cergy
Du 01 octobre au 27 novembre
Vernissage le 1er ocobre à 18h
DANS LE REGARD DE L’AUTRE
Francois-Ronsiaux United Land
Jean-Louis Accettone, Alineaire, Esmaeil Bahrani, Béatrice Barrier, Liu Bolin, Philippe Bossi, Alex Chan, Cao Fei, Rodolphe Delaunay, Flux & Pardon. Franckdavid, Karleen Groupierre, Sophie Daste & Adrien Mazaud, Jonathan Harris, Judith Guez, Romuald Hazoumè, Antonin Heck, Gabi Jimenez, JU Salge, Alexandra Kawiak, K-litystreet KURAR, Laurent Lacotte, Armella Leung, Levalet, Stef Meyer & Pascal Bourelier, Jossie Malis, Houston Maludi, Philippe Ramette, Clément Révérend, Francois Ronsiaux, Mirabelle Roosenburg, Mathieu Roquigny
Exposition le Carreau de Cergy
Le Carreau – 3-4 rue aux herbes (quartier Grand Centre)
95000 CERGY

Nuit Blanche
1er ocobre 19h-2h
Festival 12×12 preview
Festival 12x12
Photographie augmentée
Le 100 100, rue de Charenton, 75012 Paris

Paris media Art Fair
Exposition du 18 au 23 octobre 2016
Vernissage le lundi 17 octobre 2016 à 18h (sur invitation)
Entrée libre du mardi 18 octobre
au dimanche 23 octobre 2016
Variation media Art Fair
Projet Ice Clock
Nouveau projet
Ice clock
2016
Groupe frigorifique, impression 3d acier inox , arduino, impression 3d epoxy
ICE CLOCK est une série d’Installations-sculptures mêlant création 3d et technologie réfrigérante dans un système autonome de création/destruction aléatoire d’iceberg. L’iceberg en suspension sous une cloche en verre fond en partie et se reconstitue cycliquement, inondant une partie d’un paysage artificiel soutenant la pièce. Les sculptures modifient leurs formes et apparences en fonction des heures de la journée, de la saison et des conditions de température et d’hydrométrie, et développent  des phases de condensation, brouillard, ou d’inondation; ce qui rend le projet changeant et vivant continuellement. ICE CLOCK, dans la lignée du projet United Land, représentant la planète recouverte par les eaux et la glace, est une allégorie fantasmagorique de la situation ambivalente de l’homme contemporain dans son environnement et de sa vision ambigüe du rapport Nature/progrès. Ici l’iceberg montre plus qu’un fragment visible mais sa face cachée, son coté obscur, dans une perspective réaliste de fonte irrémédiable malgré les perfusions technologiques artificielles soutenant une ambitionnée hypothèse d’équilibre. Ces majestueuses montagnes de glace éphémères sont l’éther de l’impossibilité de contrôle des éléments en présence sous l’usure du temps, et symbolisent irrémédiablement la disparition, ou pour un esprit éclairé la transformation d’une forme vers une autre dans un esprit de rotation cyclique.
Foire Variations
Galerie de la Cité Internationale des Arts
18, rue de l’Hôtel de Ville
75004 Paris
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