104 CENT QUATRE Septembre 2014

104 CENT QUATRE

4 CONCERTS

musique au CENTQUATRE-PARIS février 2016 Stranded Horse (sextet)+Arlt Folk, chansons d’ici et là 11 février 2016 NUIT104 Carnaval Electro 20 février 2016 Rokia Traoré  25 février 2016 Barbara Carlotti Dream Machines 27 et 28 février.

Instrument à cordes africain, la kora confère à la musique de Stranded Horse une identité très particulière, à cheval entre plusieurs traditions (la musique mandingue, le folk, la musique de chambre). Avec Stranded Horse et Arlt, cette soirée réunit deux formations très libres de la scène musicale française contemporaine, chacune explorant des chemins de traverse pour faire apparaître une forme de folk apatride, affranchi de l’héritage anglo-saxon et ardemment tendu vers d’autres horizons. L’Afrique se révèle ainsi un pôle essentiel dans le paysage, à la fois sobre et majestueux, traversé depuis 2007 par Yann Tambour avec Stranded Horse, et dont la kora – instrument à cordes Contact presse Le CENTQUATRE-PARIS Virginie Duval de Laguierce 01 53 35 50 96 / 06 46 43 65 44 v.duval@104.fr Le 19 janvier 2016 africain, entre harpe et luth – constitue la (frissonnante) colonne vertébrale. Après les remarquables Churning Strides et Humbling Tides, Stranded Horse va publier en janvier 2016 son très attendu troisième album et, dans la foulée, venir le présenter sur scène en sextet, Yann Tambour étant accompagné par le virtuose joueur de kora sénégalais Boubacar Cissokho, le violoncelliste Gaspar Claus et les violonistes Carla Pallone et Christelle Lassort ainsi qu’Eloïse Decazes (chant). Le territoire qu’arpente Arlt n’est pas moins bigarré, chanson française, folk et rock s’y faisant allègrement secouer en tous sens pour un résultat on ne peut plus vivifiant. À l’origine un duo, formé par Eloïse Decazes et Sing Sing, le groupe s’est mué en trio avec l’arrivée de l’intrépide multiinstrumentiste Thomas Bonvalet pour leur troisième album officiel, annoncé pour octobre 2015. La formule trio avec Mocke ouvrira la soirée. “Churning Strides” (Talitres, 2007) premier long format de Thee, Stranded Horse, ouvrait une nouvelle fenêtre dans le paysage musical de Yann Tambour. Au travers d’un jeu de kora qu’il s’approprie de manière très personnelle doublé parfois d’une guitare acoustique accompagnant un chant singulier, Yann dévoilait un univers envoûtant à la douceur cristalline, mêlant le folk anglo-saxon et la majesté harmonique des horizons mandingues. Sans jamais construire par opposition stricte à son précédent projet Encre, Yann incorporait avec une justesse éclatante ses influences nomades et en transgressait ainsi la colère rentrée et le verbe acéré. Une étape nécessaire, puis exorcisée par de nouvelles envies musicales, mais une voie unique, un somptueux sillon. Car il n’a de cesse de se redessiner, il décide de décrire, plus en retrait, plutôt que de désigner. Ainsi Stranded Horse écourte, avec justesse, son nom, témoin du flux et du reflux et de scènes bigarrées. Le second opus de Stranded Horse, majoritairement anglophone, culture dans laquelle Yann a été bercé très jeune, fut écrit à Bristol en 2008 où il résidait alors. Finalement ré-enregistré dans son Cotentin natal “Humbling Tides” (des marées à vous rendre humble) respire le calme de l’environnement, les côtes sauvages de la Manche, la force et la grandeur des marées. Il ré-invoque aussi, plus mûr, les démons passés. Le troisième album de Stranded Horse, travaillé en résidence au théâtre de Coutances (Manche), sera publié chez Talitres le 25 janvier 2016. Stranded Horse présentera son nouveau groupe en quintet et son nouveau répertoire, avec le virtuose sénégalais Boubacar Cissokho à la kora et un trio à cordes de haute volée comprenant les violonistes Carla Pallone (Mansfield Tya) et Christelle Lassort (Camille) et le violoncelliste Gaspar Claus (Pedro Soler, Rone. KIT MEDIA Vous pouvez télécharger nos kits media à partir de ce lien : http://www.104.fr/menu-haut/professionnels/espace_presse.html Formulaire KIT MEDIA à remplir avec votre prénom, nom, média, e-mail. Cliquer ensuite sur ENVOYER puis Cliquer sur le LIEN ROSE / Pré-visualisez le contenu des kits media vous intéressants / télécharger en cliquant sur la flèche en haut, au milieu. Le CENTQUATRE-PARIS 5 rue Curial 75019 PARIS M° Riquet (ligne 7) Informations et billetterie www.104.fr 01 53 35 50 00 Le CENTQUATRE est un établissement artistique de la Ville de Paris. Le CENTQUATRE.

 

 

 

 

 

Sixième édition de Circulation(s), festival de la jeune photographie européenne organisé par l’association Fetart : 46 jeunes talents au CENTQUATRE-PARIS du 25 mars au 26 juin 2016.
Ce festival a pour vocation de faire émerger les talents de la jeune photographie européenne et de faire découvrir au public la création artistique contemporaine innovante.

La programmation s’articule autour de la sélection d’un jury suite à un appel à candidatures international, d’invités (des artistes, une galerie et une école) et de la carte blanche de la marraine de cette édition, agnès b. Autour de cette exposition d’envergure, Little Circulation(s), l’exposition à hauteur d’enfants, revient en 2016 avec son programme pédagogique et les activités pour le jeune public. Deux photographes de Circulation(s) sont à nouveau exposés à la gare de Paris-Nord et deux photographes présenteront le résultat de leur résidence de trois mois au CENTQUATRE-PARIS.

CENT QUATRE

Du vendredi 20 au dimanche 22 mai se tiendront les J.E.E.P., journées européennes des écoles de photographie.

 

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avec ARTE dans le cadre du Festival TEMPS D’IMAGES

Emily Loizeau

Run, Run, Run – Hommage à Lou Reed

création 2014

20 et 21 septembre 2014

20 septembre / 20h

21 septembre / 18h

 

20€ TP / 15€ TR / 12€ TA

 

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Emily Loizeau – Run Run Run © Grégoire de Calignon

 

On ne présente plus Lou Reed, figure incontournable du rock, surnommé par Andy Warhol « le prince de la nuit et des angoisses ». Tout le monde connaît ses titres que des films comme Trainspotting ou Velvet Goldmine ont rendus légendaire. Son univers empreint de nostalgie, aux thèmes souvent sombres et violents (drogues dures, sado masochisme…), a influencé de nombreux mouvements musicaux dès les années 70, du punk rock à la new-wave. Lui-même a défini le rock avec des mots devenus célèbres : « Je crois que le rock’n’roll est une culture typique du vingtième siècle. Je crois que ça a été inventé pour que quelqu’un rassemble une histoire, des paroles, des sentiments et une qualité de littérature qui soient délicieux et complémentaires à l’intelligence et au corps. On a eu Ulysse, Dostoïevski et Shakespeare et je voudrais créer quelque chose qui soit aussi précieux dans une maison que ces oeuvres. » C’est une poésie du 20e siècle que Lou Reed invente, un mal du siècle âpre et doux, un chant violent et obscur. Lorsqu’il nous quitte en 2013 à l’âge de 71 ans, ses fans s’emballent et des communautés d’artistes s’expriment avec respect et nostalgie. Nombreux sont-ils alors à reprendre les plus grands tubes du chanteur, de Perfect Day à Walk on the Wild Side.

 

Emily Loizeau, auteur, interprète, compositrice franco-britannique offre aujourd’hui un concert lecture original en hommage à l’artiste. Elle prend à bras le corps la légende Lou Reed et partage avec le public son amour pour cette musique. Son inspiration : Traverser le feu. Soit l’intégrale de ses chansons, parues aux éditions du Seuil, quelques mois avant sa disparition, trente albums du Velvet Underground ainsi quede derniers textes pas encore enregistrés. Accompagnée par la comédienne Julie-Anne Roth et par le guitariste Csaba Palotaï, elle joue de l’harmonium et du piano et recrée sur le plateau l’univers Velvet. Des vidéos projections rappellent le travail d’Andy Warhol mené au coeurde la Factory. Producteur des Velvet au début de l’aventure, il fabrique des films du groupe qu’il projette pendant leurs concerts. Ces expériences underground donnent naissance au spectacle Exploding Plastic Inevitable, dans lequel Warhol, leur protecteur, mêle vidéos, musique et performances artistiques. Le groupe d’artistes s’est progressivement ouvert et leur influence n’a depuis cessé de croître. EmilyLoizeau use de sa voix douce et puissante pour faire revivre leur âme et la foi Lou Reed.

 

Emily Loizeau sort son premier album sous le label indépendant Fargo en 2006. En 2008, elle signe Pays sauvage, album auquel HermanDüne, Moriarty, Thomas Fersen, Nina Morato ou encore Olivia Ruiz ont collaboré. Elle remporte alors le prix Constantin la même année et se produit à l’Olympia à Paris. Au printemps 2010, elle participe avec deux chansons (Black bird et Quelle étrange nature) à la pièce d’Aristophane représentée à la Comédie-Française, dans une traduction et mise en scène d’Alfredo Arias. Son dernier disque, Mothers &Tygers, très attendu, est sorti en 2012.

 

 

 

 

Le CENTQUATRE-PARIS
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Le CENTQUATRE est ouvert
du mardi au vendredi
de 12h à 19h
le week-end de 11h à 19h
fermé le lundi (ouverture tardiveles soirs de programmation)

 

 

 

 

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Contact presse ARTE

Marie-Charlotte Ferré

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mc-ferre@artefrance.fr

dp-MUSIQUE.jpgseptembre > novembre 2014

 

avec ARTE dans le cadre du Festival TEMPS D’IMAGES

we :mantra

Don Niño / Cubenx / Antoine Schmitt

création 2014

23 septembre 2014 / 21h

 

15€ TP / 12€ TR / 10€ TA

 

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we mantra ® Ph. Lebruman

 

C’est en août 2012 que le label de disques InFiné fait se rencontrer Don Niño et Cubenx sur la scène de la Carrière du Normandoux. Les deux musiciens se sont trouvés et partagent sur scène une création originale où les percussions et les instruments traditionnels indiens se mêlent aux compositions électro pour créer un univers sonore minimal et psyché-rock. Un an plus tard, we:mantra est né. Le joueur de sitar Don Niño et la figure montante de la scène électro mexicaine, Cubenx, sont très vite rejoints par l’artiste Antoine Schmitt. Véritable manifeste autour de la notion de cycle, we:mantra explore un répertoire inédit, fondé sur des textes courts, écrits en anglais, et sur la répétition de motifs, propre aux mantras. Le plasticien transcende la musique en créant un véritable concert immersif qui laisse toute sa place au son, à sa vibration et à sa puissante résonance. À l’origine ingénieur programmeur en relations homme-machine et en intelligence artificielle, Antoine Schmitt place maintenant le programme – matériau artistique contemporain unique – au cœur de ses créations. Il cherche ainsi à révéler et, littéralement, à manipuler les forces mises à l’œuvre. Dans un geste esthétique précis, il pose la question du mouvement, de ses causes et de ses formes. À travers ses mantras rétro-futuristes, le trio explore ainsi les neuf « états » de la musiqueclassique indienne : héroïsme, sérénité, dégoût, gaieté, érotisme, etc. Les drones et le choix d’une musique modale créent le lien entre les différents sentiments exprimés par la mélodie et participent au sentiment d’immersion du public. Ensemble, ces artistes s’emparent de tous les médias pour façonner une scénographie mouvante et vivante dans laquelle l’image live, projetée en très grande taille, dialogue avec le son. Ces lents mouvements perpétuels ouvrent le regard et l’esprit pour une expérience mentale et sensorielle globale. La musique, l’audiovisuel, le numérique se lient ainsi dans un spectacle inédit et puissant.

 

Antoine Schmitt est un artiste plasticien. Il crée des œuvres sous forme d’objets, d’installations et de situations pour traiter des processus du mouvement et en questionner les problématiques intrinsèques, de nature plastique, philosophique ou sociale. Héritier de l’art cinétique et de l’art cybernétique, nourri de science-fiction métaphysique, il interroge inlassablement les interactions dynamiques entre nature humaine et nature de la réalité. Son travail a reçu plusieurs prix dans des festivals internationaux – Transmediale, Ars Electronica, Unesco International Festival of Video-Dance, Digital Turku, Vida 5.0, CYNETart, medi@terra, Interférences, ou encore Machinista – et a été exposé dans de nombreux musées et galeries à travers le monde. Antoine Schmitt est représenté par la galerie Charlot (Paris).

 

Cubenx combine l’élégance d’un génie de l’electronica comme Murcof, les orientations minimales d’un Fax, les ondulations Cold Wave. Basé à Puerto Vallarta à Mexico, programmeur radio amoureux de la musique, Cesar Urbina aka Cubenx a sorti une collection de sons minimaux pour le label Static Discos ou Cyan Records avant de gagner l’attention du label Agoria. Avec son premier album, On Your OwnAgain, sorti en 2011, il réactualise le post-punk et offre une porte de sortie à des mélodies acides et organiques.

 

Don Niño est un musicien français anglophone. Depuis 2000, à travers ses concerts et ses albums, il ouvre une brèche dans le tumulte de la musique pop psychédélique. Convoquant souvenirs et ancêtres (Syd Barrett, Nick Drake ou Thurston Moore…), pétri de la mémoire de ses terres natales (ex-URSS, Allemagne, États-Unis…) et de l’amour de la musique (des ragas indiens à l’indierock), il livre dans ses albumsdes compositions aux images protéiformes. En autodidacte érudit, il donne ainsi corps à sa vision du monde et se fait abolisseur de frontières. Son dernier album, In the Backyard of Your Mind, est paru sur le label inFiné en 2012.

 

 

 

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dp-MUSIQUE.jpgseptembre > novembre 2014

 

avec ARTE dans le cadre du Festival TEMPS D’IMAGES

Tokyo-Paris by RKK
avec Jun Miyake, Maïa Barouh, Sublime…

électro / jazz

27 septembre 2014

20h30 > 02h30

25€ TP/20€ TR/20€ TA

 

première partie

concerts de Maïa Barouh, Jun Miyake et Sublime

20h30 > 1h

20€ TP/18€ TR/15€ TA

 

deuxième partie

DJ et VJ-set de Toshio Matsuura et de Kay Suzuki

00h > 2h30

12€ TP/10€ TR/8€ TA
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Maïa Barouh © Shanbara

 

Tokyo-Paris by RKK, axe d’image et de son pour une nuit d’automne. On sait la primauté du visuel dans l’imagerie nippone, du manga au digital. On connaît moins, ici, la singularité des aventuriers sonores au pays du Soleil levant, et ses rebondissements parisiens. Alors, pour explorer ces espaces in(dé)finis, une soirée-nuit n’est pas de trop.

 

Du Japon, que connaît-on ?

Le fameux défricheur de talents musicaux Rémy Kolpa Kopoul propose un focus des sons neufs sur la diagonale Tokyo-Paris. Grâce à ses connexions artistiques, le CENTQUATRE-PARIS met à l’honneur la musique du Japon et invite des talents vivant entre ici et là-bas. Entre notre douce France et le pays du Soleil Levant, les ponts sont plus nombreux et riches que l’on ne le croit : de l’artiste Jun Miyake, à la chanteuse franco-japonaise Maïa Barouh, les sonorités traditionnelles sont revisitées par des rythmes électros urbains, échappant aux codes du jazz. La chanteuse française Sublime, installée à Tokyo nourrit les liens d’un pays à l’autre, que le DJ Matsuura Toshio (UFO)transposera pour le dancefloor. « Tokyo-Paris by RKK » est un temps de rencontre entre deux cultures artistiques, un mix exploratoire et fructueux, une longue soirée de fusion musicale étonnante et inattendue.

 

première partie

 

Jun Miyake

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Jun Miyake ©Toshiaki Yamada

Le guide de cette aventure est un secret bien gardé au Japon, et entretenu à Paris où il réside depuis quelques années. Son nom, Jun Miyake. 18 albums en 30 ans, mixant des mondes qu’on eût pu penser antagoniques, pour en créer un seul, le sien. Un monde pluriel et singulier à la fois qui a connu ses premiers balbutiements à travers le jazz, et s’est forgé à la prestigieuse université de musique de Berkelee aux Etats-Unis. « J’avais 12 ans quand j’ai découvert cette musique, ça m’a fait l’effet d’une décharge électrique, raconte-t-il. Pendant dix ans, je n’ai rien écouté d’autre. Jusqu’au jour où, de retour à Tokyo, j’ai entendu un concert de Miles Davis. En voyant qu’il était incapable de prendre une nouvelle direction, je me suis dit que le jazz était mort ! Ça a été un crève-cœur, mais je me suis tourné vers toutes les musiques que j’avais négligées. C’est à ce moment qu’on m’a proposé de composer pour la pub – un milieu qui, à l’époque, était ouvert à l’expérimentation. De là est né le langage hybride qui est le mien aujourd’hui. »

Pour l’image que sa musique suscite ou accompagne, la liste de ses collaborations parle d’elle-même: Jean-Paul Goude, Oliver Stone, Bob Wilson, Philippe Découflé et Pina Bausch, dont il enveloppe certaines chorégraphies de son dernier spectacle Vollmond ainsi que dans le film Pina de Wim Wenders (ce film a été récompensé par le Prix ARTE du documentaire européen de l’année). L’univers de Miyake, où se croisent voix bulgares, chanteuse pop, quatuor à cordes, tempos brésiliens et effets électro induit la féerie.

Cette présentation scénique, une première en France, s’inscrit donc naturellement dans ce cycle TEMPS D’IMAGES. Ce concert de JunMiyake est une occasion d’exprimer les connivences entre Tokyo et Paris.

 

Maïa Barouh

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Maia Barouh ©Shanbara

Maïa Barouh, franco-japonaise, époustouflante vocaliste fait parler et danser sa flûte, qu’elle utilise également en temps que percussion. Ses chants sont quasi-chamaniques!

Maïa, fille du grand Pierre Barouh (l’homme de Saravah), qui puisait ses influences de la culture africaine et gitane a décidé, suite à la catastrophe de Fukushima en 2011, de se recentrer sur l’essence traditionnelle du Japon en rassemblant les chansons des pêcheurs, villageois et paysans de la zone sinistrée qu’elle réinterprète à travers son propre spectre d’émotions, pour témoigner de la richesse de son pays natal. Désormais installée en France, elle s’est entourée d’un groupe pour préparer un album combinant danse, VJ et musique qui sortira en septembre.

 

Sublime

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Sublime © Franck Robichon

Egalement à l’affiche une Française installée au Japon depuis trois décennies, Sublime (son vrai nom???… de famille!). Connue de la scène nipponne pour ses airs de « chanson française », sa rencontre avec Jun Miyake a engendré une collaboration forte entre les deux artistes puis une carrière solo dans le pays de son maître. Elle a débuté comme danseuse de music-hall à Paris. Exilée à l’autre bout du monde, la voilà de retour, chantant « Tokyo, je t’aime ! », avec un cabaret musical rétro-futuriste drôle et élégant.

 

 

 

deuxième partie

 

 

Toshio Matsuura

Membre fondateur de United Future Orgaization (U.F.O) qui vit le jour en 1990 est un pilier de la culture club du Japon. Le collectif a sorti 5 albums dans une trentaine de pays et a bénéficié d’une réputation solide. Si Tashio Matsuura a quitté le collectif en 2002, il continue de jouer dans les clubs et festivals du monde entier tout en travaillant pour des célèbres marques de vêtements en tant que consultant musique. Ses premières explorations de l’acid jazz l’entrainent en 2013 à fonder le projet HEX, réunissant les talents électro du Japon pour promouvoir leur vision du jazz sous une forme progressive. Son DJ-set sera aussi éclectique qu’hypnotique.

 

Kay Suzuki – dj set

Producteur japonais et dj basé à Londres, Kay Suzuki a grandi immergé dans le monde de la musique. Influencé par un spectre très large de musiques de type Soul Jazz, Funk, Afro-beat, Latin, House, Broken Beat, Techno de Detroit, et tout le reste ou au-delà.
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Susheela Raman + 1re partie

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02 octobre 2014 / 21h

 

25€ TP / 22€ TR/ 18€ TA
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©Andrew Catlin

 

Joyeux mélange de boutures sonores européennes, africaines et asiatiques, couplé à la justesse du chant indien, le style musical de Susheela Raman s’est forgé sur un socle d’inspirations occidentales fait de rock, de blues et de soul. Au fil des années, la jeune Londonienne s’est affirmée comme l’une des artistes les plus créatives de sa génération. Dotée d’une voix fabuleuse et d’une présence sur scène saisissante, elle a su conquérir son public grâce à ses propres compositions et à ses interprétations très personnelles de la musique traditionnelle indienne.

 

Née en Angleterre de parents indiens, Susheela marie de sa voix puissante et sensuelle la musique de l’Inde et les sonorités occidentales urbaines, célébrant la rencontre des cultures européenne, africaine et asiatique. Forte d’une formation classique indienne qui la porte sans l’entraver, elle invente de nouveaux paysages musicaux d’une beauté et d’une créativité intenses.

 

La chanteuse s’est ouverte au rock lors de son enfance passée à Sidney, où elle monte son premier groupe. Cette influence perdure puisqu’elle reprend en 2007 Bob Dylan et Jimi Hendrix ; six ans après avoir recu le prestigieux Mercury Prize pour son premier album.Susheela Raman, par sa profonde exploration de la musique indienne, crée le lien entre les émotions véhiculées par le rock et celles exaltées par la musique du sud de l’Inde, notamment de la communauté Tamoule en 2011 : « lorsqu’on explore en profondeur la culture, qu’on se détache de la culture de masse, on découvre des choses si confidentielles qu’on souhaiterait les voir dans la lumière […] En tant que performeuse, l’émotion à cœur ouvert et la dimension d’extase et de transe de la musique tamoule ont été très accessibles pour moi. » Avec des spectateurs conquis autant en orient qu’en occident, elle réitère des expérimentations toujours plus surprenantes. Par sa volonté de briser les barrières entre les styles musicaux, elle crée un son inédit et s’érige en véritable artiste à l’identité unique et troublante.

 

Dépassant largement les frontières de l’underground indo-pakistanais, Susheela est l’une des jeunes espoirs de la scène britannique. Sa musique même lorsqu’elle invente son propre langage musical reste toujours très divertissante, venue du fond du coeur, pleine d’affinités inattendues à la résonance du jazz sans sa débauche de notes superflues.

Discographie

2001 : Salt Rain

2003 : Love Trap

2005 : Music for Crocodiles

2007 : 33 1/3

2011 : Vel

2014 : Queen Between

 

 

(Re)découvrez Shusheela Raman

concert du 03 aout 2014 à Arles

disponible pendant 6 mois en streaming sur ARTE à ce lien : http://concert.arte.tv/fr/susheela-raman-feat-rizwan-muazzam-qawwali-au-festival-les-suds-arles

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