Alain De Greef nous a quitté Directeur des programmes de Canal + RIP

Alain De Greef

ALAIN DE GREFF

 

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Alain De Greef
Naissance
Boulogne-Billancourt
Nationalité Français

Alain De Greef[1], né le à Boulogne-Billancourt est l’ancien directeur des programmes de Canal+.

Biographie

Son père, qui s’appelait Robert est décédé à Braine-l’Alleud, en Belgique, dans les années 1980. Sa grand-mère, Jeanne née au xixe siècle était férue de littérature.

Chef-monteur à l’ORTF en 1971, puis à Antenne 2 en 1976, il est nommé chef d’atelier de production, toujours pour Antenne 2, à partir d’avril 1980.

Il est à l’origine, avec Pierre Lescure, de l’émission musicale devenue culte Les Enfants du rock.

Alain De Greef est ensuite engagé par Canal+ comme directeur de la production lors de la création de la chaîne en 1984. Il occupe le poste de directeur des programmes à partir de 1986 et jusqu’en février 1994, puis celui de directeur général chargé des programmes de la chaîne jusqu’en décembre 2000. Il est à l’origine des émissions Nulle part ailleurs, Les Guignols de l’info, La Grande Famille, Groland, des émissions de Les Nuls, de Karl Zéro, de Jean-Yves Lafesse, de Jamel Debbouze, deJules-Édouard Moustic, de Benoît Delépine, des Deschiens, de Benoît Poelvoorde

En 2001, en tant que directeur général des programmes du groupe Canal+, il réforme complètement I>Télévision avant d’être placé par Vivendi dans la charrette de départ de Pierre Lescure.

Dans le film Dobermann, Alain De Greef apparait dans la scène de la boîte de nuit. Il est un consommateur accoudé au comptoir. Il fait aussi une apparition dans la série H, saison 2, épisode 19 et dans Platane en 2011 ou il joue son propre rôle.

Devenu, selon ses propres dires, un « paisible retraité provincial ».

Les Guignols de l’info

Dans Les Guignols de l’info où il apparait à partir de 1991, De Greef est représenté comme un joyeux désordonné, perpétuellement aviné (il grogne plus qu’il ne parle, répétant toujours « Oh, ça vaaa… » ou « ça va paaas… »), qui ne travaille presque jamais, si ce n’est pour dire qui présentera Nulle part ailleurs. De Greef passe le festival de Cannes à danser en boîte sur The Rhythm of the Night de Corona. Sa marionnette est un cadeau des fabricants, la seule à ne pas avoir été payée par Canal +[2].

Bibliographie

Essai

Notes et références

  1. En principe sa particule « De » s’écrit en majuscule car c’est un nom d’origine flamande qui signifie « Le Greef », et non pas une particule nobiliaire ou précédant un nom de terre.
  2. Céline Deluzarche, Alain De Greef – Interview, L’internaute, mars 2005, (page consultée le 15 janvier 2009)
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