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C’est le mât qui tient la passerelle et vice versa |
La passerelle Pierre Simon Girard à Bobigny |
161, rue de Paris |
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La passerelle Pierre Simon Girard est la première réalisation emblématique de la ZAC Ecocité, qui s’étend sur une bande étroite de 2,8 kilomètres, comprise entre le canal de l’Ourcq et l’ex-Rn3. Elle établit un lien territorial entre des entités jusqu’alors disjointes : l’ex-RN3, les berges du canal, le parc départemental de la Bergère et au-delà le centre-ville de Bobigny. La continuité du tablier en caisson métallique unifie la composition structurelle en deux séquences : la rampe et le franchissement du canal. La forme courbe de la passerelle permet de rejoindre une petite butte existante du parc. Elle n’est portée que par un seul mât, articulé à sa base, qui trouve son équilibre naturellement en fonction de la tension exercée par les haubans : c’est le mât qui tient la passerelle mais c’est aussi la passerelle qui tient le mât. Située au cœur d’un futur quartier, la nouvelle place qui accueille la passerelle sera à terme bordée de commerces, d’une école et d’immeubles de logements. |
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Maître
d’ouvrage
Séquano Aménagement
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Maître
doeuvre
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Programme
Passerelle de franchissement du canal de l’Ourcq et place publique entre le canal et l’ex-Rn3. Dimensions : Longueur du tablier 120 m. Largeur 3,6 m. Hauteur du mât 17 m
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Coût
Coût : Passerelle 1,6 M d’ € HT. Place 2,3 6 M d’ € HT
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Livraison
Juillet 2014
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Photo : © Nicolas Saettel |
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à voir également |
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58 logements collectifs sociaux à Neuilly-sur-Marne |
102, avenue Victor-Hugo |
Le quartier des Fauvettes est marqué par l’image du « grand ensemble ». La démarche de requalification du quartier marque la volonté de retrouver des éléments essentiels qui ont prouvé leur capacité à fabriquer la ville. Au-delà de la problématique de résidentialisation, le projet vise à un objectif de domesticité, à cette fin il a été tenté de faire dialoguer le paysage avec l’architecture pour faire vivre la rue. De plus, l’opération doit assurer la liaison entre des bâtiments d’échelles variées. Le choix retenu a été d’implanter quatre bâtiments de différentes échelles afin de permettre une transition douce entre la barre B 44, la gendarmerie, le cimetière et la rue qui bordent le site. Ainsi, le bâtiment le plus volumineux vient assurer l’alignement avec un autre bâtiment en R+ 6, tandis que deux bâtiments en R+ 4 et combles poursuivent le système jusqu’à la gendarmerie et marquent l’angle avec la rue. Des maisons de ville ont été implantées en coeur d’îlot. L’élément fort du projet à consister à offrir des fenêtres toute hauteur avec volets sur une trame régulière qui se retourne en coeur d’îlot. Ce traitement rythmé associé aux grilles de clôture et aux éléments de façade colorés donne à la rue une impression de vibration et d’animation. |
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Maître
d’ouvrage
OPH 93 (Office public de l’habitat Seine-Saint-Denis)
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Maître
doeuvre
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Programme
26 logements PLUS, 26 logements PLUS-CD et 6 logements PLAI
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label
Démarche HQE, H&E profil A, BBC, Qualitel
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Surface shon
5185 m²
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Coût
7,4 millions d’€ HT
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Livraison
Juin 2014
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Photo : © Martin Argyroglo |
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agenda |
Démarche atlas des paysages en Seine-Saint-Denis |
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Lundi 11 mai 2015 Mercredi 27 mai 2015 |
Définir des unités paysagères pour la Seine-Saint-Denis : quel découpage pour quelle finalité ? |
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Aujourd’hui, l’Atlas des paysages de Seine-Saint-Denis est en cours d’élaboration. Pour poursuivre la réflexion commune engagée au sein du groupe Paysages, nous vous proposons un séminaire dédié à la question des Unités paysagères : que nous apprennent-elles sur les territoires ? à quoi servent-elles ?
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Conversations métropolitaines # 2 |
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Mercredi 27 mai 2015 |
Deuxième soirée du cycle ” Nouvelles mobilités ? ” : 6 conférences-débats proposées d’avril à décembre 2015. Elle se déroulera de 18h30 à 20h30 à L’entrepôt 7 rue Francis de Pressensé 75014 Paris. |
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La métropole du Grand Paris prend forme avec une loi qui organise les territoires et avec un projet de transport en commun, le Grand Paris Express, qui en reliera les grands pôles. Pour autant, pour fonctionner, la métropole ne doit pas faire l’impasse sur la maîtrise des fonctions de la zone dense et le développement égalitaire des territoires. Nouvelles mobilités ? Cette deuxième rencontre portera sur la desserte des territoires du Grand Paris. Quelles sont les pratiques en matière de transports en Île de France, quelles sont les mutations en cours en terme de comportements ? Comment traiter les questions de mobilité dans le futur ? Quelle offre d’inter-modalité anticiper selon les territoires, les flux et les usagers ? Intervenants pressentis : – Guillaume de Tilière, Professeur associé au LVMT à l’université Paris Est (Laboratoire Ville Transport Mobilité de l’IFU), Responsable du Groupe Transport chez BG Ingénieurs Conseils – Georges Amar, Chercheur associé à l’école des Mines ParisTech Ancien directeur de l’unité Prospective et Conception Innovante de la RATP – Modérateur : Jean-Michel Payet, directeur du CAUE93.
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Les rendez-vous du CAUE 93 |
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35 logements à Montreuil |
Jeudi 28 mai // Après-midi // Visite |
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L’opération ” 35 logements à Montreuil ” est répartie sur deux parcelles du Haut-Montreuil, distantes d’un kilomètre l’une de l’autre (17 et 18 logements). L’opération s’inscrit dans un tissu urbain hétéroclite, aux volumes bâtis variés, allant du pavillon aux ensembles collectifs de grande échelle. Rue Dolet, les trois bâtiments qui composent l’opération s’organisent autour d’une desserte en coeur d’ilôt composée d’une cour intérieure plantée. Elle constitue le poumon et centre névralgique de l’opération, par les nombreux usages qu’elle concentre : vues, espaces verts, potagers, vélos, circulations… Les différentes unités bâties présentent des hauteurs et profils crénelés, s’intégrant ainsi au paysage urbain disparate du quartier. Cet ensemble architectural témoigne d’une dialectique forte entre un bardage en pin autoclave noir habillant les volumes et le jaune profond des circulations. Rue Branly, les logements sont conçus sur la base d’un plan en L et accolés dos à dos. Le choix a été fait d’un bardage en mélèze naturel, alternant verticales et horizontales, jouant ainsi avec la lumière et la matière. Les logements, destinés à des familles précaires et longtemps nomades, présentent des surfaces réduites dans le but de proposer des loyers modestes. Pour compenser la taille des appartements, des prolongements extérieurs ont été imaginés, chaque logement étant desservi par des terrasses privatives ou coursives, tant en RDC qu’en étage. L’opération a été pensée et structurée autour d’espaces extérieurs communs, pouvant générer du lien social à l’image d’un quartier vertical : jardin, cheminements, escaliers extérieurs et passerelles ont été conçus comme des espaces à partager. Première opération livrée par les architectes associées de LA Architectures, elle s’est vue décernée par le Moniteur le PRIX DE LA PREMIERE OEUVRE 2014.
Intervenants pressentis :
– Cabinet LA Architectures : Axelle ACCHIARDO, architecte
– OPH de Montreuil : intervenant à préciser
– Groupe CBS-CBT spécialisé dans la réalisation de structures en bois :
Jean-Luc SANDOZ, directeur |
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