Galerie des Gobelins

Galerie des Gobelins

CARTE BLANCHE À OLIVIER ROLLER

27 mars – 26 juillet 2015

GALERIE DES GOBELINS 

SALON CARRÉ

Cette année, en parallèle de l’exposition « L’ESPRIT ET LA MAIN », le Mobilier national offre une carte blanche au photographe Oliver Roller connu pour ces célèbres portraits d’hommes politiques ou personnalités du pouvoir. 

En effet, depuis 2009, il réalise une fresque photographique, cherchant à décrire le pouvoir et l’influence en ce début de XXIe siècle, par les individus qui le composent. Des portraits où se mêlent financiers, publicitaires, intellectuels, diplomates, ou encore Empereurs romains.

La carte blanche d’Olivier Roller au Mobilier national dépasse le simple cadre photographique, et rejoint l’idée d’une installation et la mise en exergue de l’excellence d’un savoir-faire (l’art de la tapisserie) par des images photographiques. Elles sont tirées d’après des œuvres tissées appartenant aux collections du Mobilier national et d’autres établissements. 

L’installation intitulée « l’Etat du monde – la tapisserie comme allégorie du pouvoir » prend la forme de structures suspendues et ondulatoires qui accueillent des photographies imprimées sur des supports souples. Le spectateur est en présence d’un immense fil, discontinu, caractéristique des tapisseries de la Manufacture des Gobelins. 

L’artiste poursuit dans cette exposition une recherche sur la matière qu’il réinterprète sans cesse. Il envisage la tapisserie comme allégorie du pouvoir, constitutif du monumental lié aux architectures et à la fonction des utilisateurs. Dans Le Politique, Platon utilise la métaphore de l’art du tissage comme paradigme de l’art politique. Pour Olivier Roller, l’art politique est celui d’entrelacer les différences pour produire un tout homogène, lié avec des éléments distincts. 

 

CARTE BLANCHE À OLIVIER ROLLER

27 mars – 26 juillet 2015

GALERIE DES GOBELINS 

SALON CARRÉ

Cette année, en parallèle de l’exposition « L’ESPRIT ET LA MAIN », le Mobilier national offre une carte blanche au photographe Oliver Roller connu pour ces célèbres portraits d’hommes politiques ou personnalités du pouvoir. 

En effet, depuis 2009, il réalise une fresque photographique, cherchant à décrire le pouvoir et l’influence en ce début de XXIe siècle, par les individus qui le composent. Des portraits où se mêlent financiers, publicitaires, intellectuels, diplomates, ou encore Empereurs romains.

La carte blanche d’Olivier Roller au Mobilier national dépasse le simple cadre photographique, et rejoint l’idée d’une installation et la mise en exergue de l’excellence d’un savoir-faire (l’art de la tapisserie) par des images photographiques. Elles sont tirées d’après des œuvres tissées appartenant aux collections du Mobilier national et d’autres établissements. 

L’installation intitulée « l’Etat du monde – la tapisserie comme allégorie du pouvoir » prend la forme de structures suspendues et ondulatoires qui accueillent des photographies imprimées sur des supports souples. Le spectateur est en présence d’un immense fil, discontinu, caractéristique des tapisseries de la Manufacture des Gobelins. 

L’artiste poursuit dans cette exposition une recherche sur la matière qu’il réinterprète sans cesse. Il envisage la tapisserie comme allégorie du pouvoir, constitutif du monumental lié aux architectures et à la fonction des utilisateurs. DansLe Politique, Platon utilise la métaphore de l’art du tissage comme paradigme de l’art politique. Pour Olivier Roller, l’art politique est celui d’entrelacer les différences pour produire un tout homogène, lié avec des éléments distincts. 

Grâce au lien suivant vous pourrez télécharger le COMMUNIQUÉ DE PRESSE de l’exposition : 

https://www.dropbox.com/s/5n8erihd9z0kxlq/CP%20carte%20blanche%20Olivier%20Roller.pdf?dl=0

 

Les Gobelins au Siècle des Lumières. Un âge d’or de la manufacture royale

 

Le Mobilier national propose une

CARTE BLANCHE
À PIERRE ET GILLES
à la Galerie des Gobelins

(8 avril – 5 octobre 2014)

 

CETTE NOUVELLE CARTE BLANCHE PROPOSE À PIERRE ET GILLES DE DIALOGUER AVEC LE MONDE DÉCORATIF DU XVIIIE SIÈCLE, MAGNIFIQUEMENT REPRÉSENTÉ DANS L’EXPOSITION LES GOBELINS AU SIÈCLE DES LUMIÈRES. UN ÂGE D’OR DE LA MANUFACTURE ROYALE.

Dans le salon carré, au premier étage de la Galerie des Gobelins, ce couple artistique passionné de motifs iconiques apporte un souffle inimitable qui mêle comme à son habitude esprit baroque et scènes oniriques. Leur art photographique rehaussé de peinture se déploie dans un cadre théâtral complexe en parfaite harmonie avec la puissance du Siècle des Lumières. Pour cette « carte blanche » centrée sur le XVIIIe, Pierre et Gilles présentent une installation qui servira d’enveloppe richement parée à un portrait de ZAHIA DEHAR réalisée pour cette occasion : «Nous avions déjà travaillé avec Zahia Déhar qui a incarné notre Nouvelle Eve. Elle s’est naturellement imposée à nous, telle une Diane ou une Marie-Antoinette contemporaine. Nous percevons en effet sa grâce et sa légèreté parée d’innocence et cette apparente fragilité qui cache une grande volonté. Cette personnalité singulière nourrit admirablement l’imaginaire». Pour le portrait, Zahia Dehar porte une robe d’organza brodée de rubans et de fleurs des champs réalisée par ses ateliers pour sa collection couture printemps-été 2013, « La saison des fleurs ».


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