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Album disponible The Wrong Kind of War
Think Zik!
Imany nous présente aujourd’hui son nouveau clip “Lately”, extrait de son deuxième album studio “The Wrong Kind of War”, déjà disque d’or.
Ce clip, réalisé par Malick Ndiaye, a été  tourné à Dakar au Sénégal dans les vestiges d’un ancien Palais de Justice. C’est dans ce cadre surréaliste qu’Imany a invité la star de la danse Lil’ Buck à exprimer son style si inventif et si particulier. Avec un danseur d’exception, un lieu digne des plus beaux décors et une chanson qui sonne déjà comme un classique, ce clip avait déjà sur le papier les ingrédients pour séduire les amateurs de belles choses.
Il ne manquait plus que la beauté des mouvements et la poésie de la narration,  pour que ces images nous portent à chaque seconde des 4’42 du clip, par la force de leur simplicité et l’émotion qu’elles dégagent.
Comme la musique d’Imany, ce clip est à la fois intime et universelle et cette chanson nous fait découvrir une autre facette de sa personnalité où chaque couleur de cette palette des sentiments résonne dans l’inconscient collectif.
Pour regarder et diffuser le clip de Lately :
« J’ai toujours aimé chanter, j’ai longtemps pensé que ce n’était pas pour moi ! »
Si Imany a trouvé sa voie sur le tard, elle a depuis parcouru un bon bout de chemin, sans pour autant presser le pas, en prenant le soin de choisir le bon tempo. De premières parties en concerts sous son nom, elle aura su peaufiner son style, avant de coucher un premier EP, puis un disque dans la foulée.
Ce sera en 2011 «The Shape Of A Broken Heart», le début d’une irrésistible ascension vers les sommets, portée par le titre «You Will Never Know». Plus de 400 concerts à travers le monde, près de 400.000 disques écoulés, dont presque une moitié en France, Imany a depuis effectivement tracé sa route, creusé son sillon entre soul, folk, blues et pop. Sans forcer elle a su imposer son style, une mélancolie rageuse, des textes aiguisés sur l’expérience d’une vie. Celle d’une jeune fille pour qui tout n’était pas joué d’avance. Voilà peut-être pourquoi elle s’est choisie comme surnom un mot que l’on peut traduire par «La foi» en swahili.
Cinq ans après ses débuts, Imany est donc de retour. On l’avait quittée jeune femme, la voilà mère.
Une maternité qui rime avec la maturité d’un second recueil qui fait mieux que confirmer l’essai. Elle revient transformée, sans pour autant avoir changé de cap esthétique : toujours aux frontières des nombreux styles qui ont façonné son succès, sa voix singulière traduit en chansons ciselées un esprit sans œillères. De même elle reconduit l’équipe qui l’avait menée au sommet.
Pour composer cet album, la chanteuse aura multiplié les allers et retours entre Paris et Dakar, des sessions régulières au studio Globo et au studio parisien Question de son.
Il en va de même pour les textes, qui interpellent tout à la fois la nature de l’Homme et interrogent la femme qu’elle est. Des chansons qui assènent quelques vérités sur l’amour, et toutes ces histoires qui sont liées : «No reason no rhyme», sur une rupture assumée, tout comme «Nothing to save» ou dans un registre plus véhément «The wrong kind of war», «You don’t belong to me», un amour soi-disant impossible façon Roméo et Juliette, ou encore «I used to cry», un titre qui tire un trait sur le passé en prenant l’inspiration du côté des grandes voix du blues et du jazz : Billie Holiday, Dinah Washington…
Plus optimiste, la superbe love song «I long for you» prend quant à elle des accents Dylaniens, influence majuscule que l’on retrouve sur «I’m not sick but I’m not well», où elle dépeint :« l’état dans lequel on se trouve lorsqu’on tombe amoureux. Tu n’es plus rien, tout devient concentré autour d’une personne. T’es pas malade, t’es juste pas bien… ou juste très bien ! » Un état qui fait perdre la raison sur lequel Imany revient avec la déclaration d’amour « Lately ».
 « Dans cet album, les mélodies sont plus fortes, les textes sont plus assumés, mais toutes les chansons ne sont pas autobiographiques, loin s’en faut. Néanmoins, je dois bien planter ma plume dans l’histoire réelle, la mienne ou celle des autres. »

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