Grévin s’orne d’une oeuvre d’art signée Le Diamantaire PARIS

Grévin s’orne d’une oeuvre d’art signée Le Diamantaire

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GRÉVIN ENRICHIT SON PARCOURS DE VISITE D’UNE ŒUVRE D’ART SIGNÉE LE DIAMANTAIRE

 

Depuis sa création en 1882, les dirigeants de Grévin ont souvent fait appel à de grands artistes et ingénieurs pour embellir et enrichir le parcours de visite. La Coupole et la Salle des Colonnes, écrins originels du 10, Boulevard Montmartre, sont les somptueuses salles baroques où l’on peut admirer sous la coupole, les bustes de Michel-Ange, Benvenuto Cellini, Germain Pilon et Jean Goujon ainsi que des mosaïques de Venise. Inspirée du style Louis XIV, la Salle des Colonnes offre elle, un décor précieux tout de lambris de palissandre sculpté rehaussé d’or et de marbre, un décor toujours préservé signé Esnault-Pelterie, créé pour accueillir les 80 premiers personnages, inaugurés le 5 juin 1882.

 

C’est dans cette tradition de faire appel à des sculpteurs, peintres, plasticiens que Patricia Girbeau, responsable artistique de Grévin depuis 2011 eut l’idée de s’intéresser à un artiste qu’elle découvre en 2021 sur Instagram et propose alors à Yves Delhommeau, directeur général de Grévin de faire appel au Diamantaire pour créer une œuvre destinée à sublimer par ses reflets la Salle des Colonnes, une invitation aux visiteurs à se prendre en photo devant cette œuvre unique.

Dans un contexte où le street art fleuri, le Diamantaire se distingue par le choix du miroir comme matériau pour orner les murs. Le miroir utilisé par l’artiste est récupéré dans la rue puis recyclé sous forme de diamants en deux dimensions. Chaque œuvre est ensuite peinte et numérotée. Les premiers murs parsemés de ces bijoux de rue sont d’abord ceux de la capitale française en 2011. Aujourd’hui, ces joyaux colorés sont livrés dans les plus grandes villes du monde comme New York, Montréal, Los Angeles, Miami ou encore Zurich. Au-delà de la valeur esthétique de ces œuvres, il s’agit de faire passer un message. Le diamant, symbole fort de luxe, associé à la rareté et l’exclusivité est offert au passant à travers l’art. La créativité est au service de la rue.

Le Diamantaire a créé une oeuvre unique faite de miroirs de 3 m x 1 m,30 pour Grévin et destinée à sublimer par ses reflets la célèbre Salle des Colonnes.

GRÉVIN, DES PERSONNALITÉS DE CIRE MAIS AUSSI DES DÉCORS D’EXCEPTION
GRÉVIN ENRICHIT SON PARCOURS D’UNE ŒUVRE D’ART SIGNÉE LE DIAMANTAIRE

Depuis sa création en 1882, les dirigeants de Grévin ont souvent fait appel à de grands artistes et ingénieurs pour embellir et enrichir le
parcours de visite. La Coupole et la Salle des Colonnes, écrins originels du 10, Boulevard Montmartre, sont les somptueuses salles baroques
où l’on peut admirer sous la coupole, les bustes de Michel-Ange, Benvenuto Cellini, Germain Pilon et Jean Goujon ainsi que des mosaïques de
Venise. Inspirée du style Louis XIV, la Salle des Colonnes offre elle, un décor précieux tout de lambris de palissandre sculpté rehaussé d’or et
de marbre, un décor toujours préservé signé Esnault-Pelterie, créé pour accueillir les 80 premiers personnages, inaugurés le 5 juin 1882.
En 1900, le sculpteur Antoine Bourdelle et le peintre affichiste Jules Chéret sont choisi pour signer le décor du Théâtre Grévin, des
compositeurs signent au fil des ans la musique du célèbre Palais des Mirages, présenté au Trocadéro lors de l’Exposition Universelle de 1900
puis installé à Grévin en 1906 grâce à son ingénieur Eugène Hénard.
Rappelons aussi que chaque personnage présenté sur le parcours sont des œuvres d’art signées de sculpteurs et d’artisans hors pairs.
C’est dans cette tradition de faire appel à des sculpteurs, peintres, plasticiens que Patricia Girbeau, responsable artistique de Grévin depuis
2011 eut l’idée de s’intéresser à un artiste qu’elle découvre en 2021 sur Instagram et propose alors à Yves Delhommeau, directeur général
de Grévin de faire appel au Diamantaire pour créer une œuvre destinée à sublimer par ses reflets la Salle des Colonnes, une invitation aux
visiteurs à se prendre en photo devant cette œuvre unique.
QUI EST LE DIAMANTAIRE ?
Né à Caen en 1987, c’est la découverte de l’œuvre « André the Giant Has a Posse » d’Obey en 2001 qui initie sa
démarche d’utiliser la rue comme terrain d’expression. Il se lance alors dans le graffiti et sature rapidement
de son art, tous les murs de sa ville natale. Ces multiples représentations finissent par lui valoir une
interdiction de graffer. Loin d’abandonner pour autant l’idée d’exposer sa créativité au plus grand nombre,
il commence à travailler au pochoir.
Ses études en métallerie puis chaudronnerie le forment au façonnage et l’initient à des techniques qui
nourrissent progressivement sa créativité et son savoir-faire.
Dans un contexte où le street art fleurit, le Diamantaire se distingue par le choix du miroir comme
matériau pour orner les murs. Le miroir utilisé par l’artiste est récupéré dans la rue puis recyclé sous
forme de diamants en deux dimensions. Chaque œuvre est ensuite peinte et numérotée. Les premiers
murs parsemés de ces bijoux de rue sont d’abord ceux de la capitale française en 2011. Aujourd’hui, ces
joyaux colorés sont livrés aux plus grandes villes du monde comme New York, Montréal, Los Angeles, Miami
ou encore Zurich. La créativité est au service de la rue.
A partir de 2012, le Diamantaire fait évoluer son travail de rue vers l’art des galeries et participe à plusieurs
expositions collectives à Paris puis à Zürich. Un an après, il réalise sa première exposition solo Atelier, à
la galerie Derouillon à Paris (3e

). Cet évènement lui permet d’explorer différentes techniques comme la

gravure, mais aussi d’utiliser d’autres matériaux comme le bois et le métal
L’année 2014 marque un tournant dans la carrière du Diamantaire. Son travail est parrainé par un mécène, qui met à sa disposition un
immense atelier de 900 m2. Il produit alors des pièces de grande envergure comme son œuvre 4000, en acier monumental qui mesure quatre
mètres par quatre. Cette pièce, réalisée à l’occasion d’un festival de street art en banlieue parisienne, marque le passage du travail de l’artiste
de deux à trois dimensions.
Séduit par le travail de l’artiste, la galerie Station 169 de Montréal lui propose de réaliser une exposition personnelle : street art from Paris.
A son retour en France, il réalise une série de 10 pièces qui seront exposées à la galerie Wide Painting à Paris (5e) ainsi que chez MISS KO – le
dernier restaurant parisien designé par Phillipe Starck.
Début 2015, le Diamantaire expose en duo avec Zoé Byland à la Trace Gallery de Zürich. Les œuvres présentées par l’artiste lors de cette
exposition nommée Monochrome, affichent un style plus affirmé. Le symbole du diamant est représenté en volume et sous différents angles
de vue. Le Diamantoscope, pièce à mi-chemin entre le kaléidoscope et la longue-vue d’observation illustre parfaitement l’évolution artistique
du Diamantaire.
La fin de l’année 2015 est marquée par son exposition Diamonds are forever II à la galerie Wide Painting à Paris (5e). Les perspectives sont
multipliées, et offrent une multitude de reflets mais aussi de points de vue.
En 2018, Le Diamantaire lance son exposition « Des Structures » à la Chapelle Expiatoire, à Paris 8e

, géré par le Centre des Monuments Nationaux.
Un assemblage de jeux de miroirs intégrés aux volumes néoclassiques de la chapelle, offrant une lecture fragmentée de l’architecture. Les
œuvres sont conçues pour s’adapter à l’environnement historique de la Chapelle Expiatoire, créant un dialogue entre le baroque néoclassique
et l’art contemporain.
En 2022, Le Diamantaire lance son exposition « Le Diamantaire – Precious Time » à la Galerie Speerstra explorant la notion du temps – à la fois
rigide et relatif — à travers des sculptures en miroir, certaines composées à partir de miroirs ayant déjà une histoire.
En 2024, Le Diamantaire s’expose à CAP3000 à Saint-Laurent-du-Var, au sein de l’espace luxe et créateurs. Quatre sculptures proposées :
Diamond Blood (un gigantesque lustre suspendu inspiré des facettes de diamant, avec miroirs en mouvement propulsés par un moteur, idéal
pour des prises de vue originales), Center of Everything (sculpture immersive de 2,50 m de haut et large, pensée pour être photographiée de
l’intérieur), et quatre sculptures murales (4 Sides, Blue Water Drop, Round Star, Silver Water Drop).
En parallèle Le Diamantaire élargie depuis plus de dix ans, l’application de son art au service de marques prestigieuses comme Adidas, Red
Bull, Lacoste, Louis XIII, Piaget, Jordan, Mini, EDF, Netflix, Shinzo, Samsung, BMW… Création de produits uniques, expositions, évènements
artistiques, design de mobiliers… Aucune frontière créative, Le Diamantaire aime s’ouvrir à tous les horizons et partager avec ce public ciblé,
de nouvelles perspectives artistiques.
Le Diamantaire témoigne une fois de plus la richesse de sa créativité et d’un travail artistique et conceptuel en perpétuelle évolution.
LE DIAMANTAIRE sur les hauteurs de Paris :
Rendez-vous au sommet de la Tour Montparnasse pour découvrir une exposition perchée, une vue de Paris aux multiples facettes.
Jusqu’au 31 août 2025 : Tour Montparnasse – Montparnasse 56.

 

 

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