« Ma maison chez les ploucs », premier roman de Fabian Regairaz

« Ma maison chez les ploucs », premier roman de Fabian Regairaz

Portrait fabian regairaz (1)

Couv

Couverture livre maison chez les ploucs

Éditions Il Est Midi

Son héros, Louis Vuillerme, notaire hypocondriaque et snob contrarié, voit sa vie basculer quand son immeuble est transféré de Vincennes à Saint-Étienne. Ce glissement géographique devient le révélateur d’un déracinement intime, d’une honte sociale, et d’un passé qu’on croyait enterré. Entre satire de classe, humour noir et vertige existentiel, le roman interroge avec finesse ce que l’on cache derrière les façades bien rangées.
Une comédie existentielle sur le déracinement,
la honte sociale et le choc des territoires
Et si votre maison était déplacée, du jour au lendemain, à 600 kilomètres de là ?
Dans Ma maison chez les ploucs, Fabian Regairaz
imagine une situation aussi absurde que vertigineuse : un immeuble entier est transféré d’autorité
de Vincennes à Saint-Étienne.
Ce point de départ devient le théâtre d’une comédie
sociale mordante, où l’humour noir côtoie les blessures intimes.
Le héros, Louis Vuillerme, est notaire, hypocondriaque, snob contrarié et profondément mal à l’aise
avec ses origines. Brutalement catapulté dans la
ville qu’il déteste le plus au monde, il se retrouve
confronté à son passé, à ses hontes enfouies, et
à une galerie de personnages aussi grotesques
qu’émouvants. Entre un beau-père tyrannique, une
épouse adepte de rééquilibrage cosmique, des
Stéphanois passablement hostiles et une tumeur
testiculaire potentielle, Louis tente de survivre à ce
cauchemar ubuesque.
Mais ce déplacement n’est peut-être pas dû au hasard… Et quand journalistes, assureurs et démons du passé s’en mêlent, la farce tourne à la métaphysique. Le roman devient alors une réflexion sur
l’identité, le territoire, et cette question essentielle :
peut-on vraiment fuir ce que l’on est ?
L’auteur : un notaire qui manie l’absurde
comme une arme douce
Fabian Regairaz, 50 ans, est notaire en région parisienne. Il écrit des récits où l’absurde flirte avec le quotidien, sans autre prétention que de divertir et de chatouiller
quelques certitudes.
Son intention avec Ma maison chez les ploucs : explorer les
failles humaines avec tendresse et ironie, interroger les origines sociales, les refoulements intimes, et les mécanismes
de défense que chacun met en place pour survivre à soimême.
Ma maison chez les ploucs est son premier roman publié.
2-
MA MAISON CHEZ LES PLOUCS – DOSSIER DE PRESSE Octobre 2025
L’auteur : un notaire qui manie l’absurde
comme une arme douce
Ce que le roman interroge
• Le choc des territoires : Paris vs “province”
• Le poids des origines et la honte sociale
• Le regard sur les classes populaires
• L’absurde comme révélateur du réel
• L’identité comme construction mouvante
Extraits choisis
Le choc initial : une maison téléportée
“ Notre maison – oui, notre maison – avait disparu. Volatilisée. Pfiout. Rayée de la carte par
un caprice cosmique. Une seconde, elle trônait fièrement à Vincennes, encerclée de boomers
repus, de poussettes à mille balles, de joggeurs enragés. La suivante, bam : catapultée à
Saint-Étienne. Six cents bornes en un claquement de doigts.”
— L’absurde comme révélateur du réel
“ On a essayé de comprendre, de recoller les morceaux de notre réalité explosée… mais non.
Impossible. K.O. Sonnés. Lessivés. On n’en revenait pas.”
— Entre maladie et exil
“ Et je vous le dis franchement : entre une tumeur aux couilles et un retour forcé dans cette
ville de misère, mon cœur balance. Coup de bol, j’ai eu les deux.”
— Le poids du passé
“ On ne déchire pas l’ombre de son passé, on l’apprivoise ou on se noie. Le passé, c’est comme
un tatouage mal fait : tu peux essayer de le faire disparaître, il restera toujours une cicatrice.”
— L’identité comme territoire mouvant
“ Pourquoi cette obsession maladive de vouloir coller les gens sur la carte ? Peut-être que
l’identité, c’est du vent, un truc qu’on invente pour se rassurer.”
— Le quotidien comme camouflage
“ Le quotidien a le mérite de vous faire croire que vous êtes à votre place. À force de choisir
des tomates, de compter la monnaie, de trinquer sans raison, vous finissez par oublier que
vous avez été catapultés là, comme un déchet spatial.”
— Le regard social, acide et lucide
”Cette ville est en déliquescence. Des rideaux baissés à perte de vue, des vitrines crasseuses… Même les kebabs ferment. C’est dire.”
Couv
Fiche technique
Titre Ma maison chez les ploucs
Auteur Fabian Regairaz
Éditeur Éditions Il Est Midi
ISBN 978-2-494282-85-8
Format Broché
Pages 208
Prix 20 TTC
Langue Français
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