Fille de magicien et enfant de la balle, la jeune tourangelle Lisa Milo (23 ans à peine) a longtemps confronté sa signature vocale si particulière à la reprise des chansons d’artistes qu’elle admire comme Peter Peter, Lana Del Rey, Major Lazer…
Une manière de se recréer un environnement artistique fort et de casser le moule dans lequel plusieurs années d’apparitions à la télévision – notamment dans le groupe pop d’une chaîne pour enfants – auraient pu l’enfermer, et auxquelles elle saura mettre un terme avant l’adolescence. L’exercice formateur de la cover et l’expérience très tôt de l’industrie du divertissement auront finalement nourri un univers et une écriture à la fois sensibles et singuliers que Lisa Milo, désormais jeune femme et diplômée d’une grande école, dévoile aujourd’hui avec son premier titre Renaissance.
En s’inspirant des grands courants réinventant la pop américaine actuelle tout en assumant pleinement l’héritage de la chanson française, Lisa Milo renouvelle les codes. Et la confrontation de cette ballade écorchée – composée seule au piano, avec la culture électro/hip-hop subtile du producteur Fred ’Brain’ Monestier offre sans nul doute à Lisa Milo le titre de nouvelle ambassadrice d’une slow pop hexagonale.
Ce n’est pas l’ivresse des grands soirs
Qui fera la beauté de mon histoire
Moi j’aspire à d’autres richesses
Je ferai du monde ma nouvelle adresse
Pour que ma vie recommence
Pour quelques grammes d’espérance
Je donnerai mon corps à la chance.
RENAISSANCE est le premier extrait de son EP
à paraître début 2017.
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